mardi 31 août 2021

C'est la rentrée dite sociale avec nos syndicats ringards habituels qui ne changent rien ! Et favorise les candidats politiciens élus de tous bords qui pratiquent le même genre de politique politicienne contre le pouvoir en place

 

Plusieurs syndicats appellent à la mobilisation le 5 octobre

La CGT, FO, la FSU, Solidaires appellent à manifester pour la défense des salaires, des emplois, des conditions de travail et d’études.

Une intersyndicale réunissant la CGT, FO, la FSU, Solidaires et les organisations de jeunesse Fidel, Unef et UNL a appelé lundi soir à une journée de mobilisation le 5 octobre, pour la défense des salaires, des emplois, des conditions de travail et d’études. Ces organisations « s’opposent à ce que la situation sanitaire soit utilisée par le gouvernement et le patronat pour accélérer la remise en cause des droits et des acquis des salariés et des jeunes », écrivent-elles dans un communiqué lu au cours d’un point presse au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis) lundi soir.

« L’élargissement et l’accélération indispensable de la vaccination demandent de renforcer l’accès à la santé, les moyens de l’hôpital public et de la médecine du travail. Cela nécessite de convaincre et de rassurer et non de sanctionner les salariés », poursuivent-elles.

Mise en garde contre le « retour de la réforme des retraites »

La CFE-CGC, qui a participé à la réunion organisée lundi à l’invitation de la CGT, n’a pas souhaité s’associer à cette journée de grève et de manifestations. La CFDT avait pour sa part décliné l’invitation de la centrale de Montreuil. L’intersyndicale met en garde dans son communiqué contre le « retour de la réforme des retraites » et contre « la réforme de l’assurance chômage ». Si le gouvernement temporise sur les retraites, il prévoit une mise en œuvre dès le 1er octobre de la réforme de l’assurance chômage, les signaux étant selon lui au vert pour l’emploi.

Delhommais – Macron, le masque du réformateur

La ministre du Travail, Élisabeth Borne, a promis la semaine dernière sur BFM Business de revenir prochainement « vers le Conseil d’État avec un nouveau décret », de manière à « avoir un texte opérationnel au 1er octobre ». La plus haute juridiction administrative avait suspendu le 22 juin une partie de la réforme en raison des « incertitudes sur la situation économique ».

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Englués pour certains dans un corporatisme désuet d’après-guerre et de mauvaise politique politicienne que pourtant ils disent ne pas faire par une hypocrisie bien connue !

Dans notre pays champion des manifestations pour tout et n'importe quoi, ce qui est lamentable et ne rapporte en rien en fait de très concret, sinon de semer désordre voire débordements de trublions violents qui s’infiltrent dans leurs défilés !

Avec leurs leaders charismatiques hyper connus que l’on revoit à chaque fois inutiles de les nommer qui n’arrivent plus à canaliser leurs adhérents ou sympathisants dans leurs manifestations qui se terminent trop souvent en heurts violents et vandalismes divers issus de voyoucratie diverses de casseurs !

A noter que la crise sanitaire avec la Covid et ces contaminations et décès n’a rien changé à leurs mauvaises habitudes stériles d’abrutis !

Avec des gogos de français lambda qu’ils entrainent qui ne semble pas si malheureux que cela, car trop gâtés et par le fait que le droit de manifester est inscrit dans notre constitution une autre forme de distractions pour certains qui n’ont rien d’autres à faire et en profitent pour râler, mais qui votent si mal pour élire nos dirigeants aux élections nationales et la présidentielle de 2022 qui approche par leur attitude de « chacun pour soi » et leur versatilité voire maintenant une perte de bon sens de beaucoup de nos concitoyens !

De ce fait la France se dégrade dans trop de domaines divers de notre société !

jdeclef 31/08/2021 13h33


Il n'y a pas de plaidoyer à faire pour une protection de la vie humaine, cela doit être évident !

 

Coignard – Plaidoyer pour le pass sanitaire

CHRONIQUE. Vilipendé par les extrêmes, ce dispositif a indirectement sauvé de nombreuses vies et permet d’envisager un retour des « jours heureux ».

 

Certains ont des mots aussi excessifs qu’insignifiants, à l’extrême gauche et surtout à l’extrême droite, pour dénoncer le pass sanitaire. « Attentatoire à la liberté » (Jean-Luc Mélenchon), « tyrannie » (Florian Philippot), « dictature sanitaire » (Nicolas Dupont-Aignan).

Pourtant, plus les jours passent, plus il devient difficile de vouer aux gémonies ce dispositif qui a fait ses preuves depuis son instauration, le 9 août dernier, jusqu’à son élargissement ce lundi à 1,8 million de salariés travaillant au contact du public.

Mobilisations anti-pass sanitaire : un tremplin pour 2022 ?

Même les plus farouches opposants qui défilent samedi après samedi pour clamer leur indignation assurent bien volontiers que ce pass représente une pression énorme pour se faire vacciner, une sorte d’obligation rampante, qui n’oserait pas dire son nom. Ils ont raison sur la première partie de l’énoncé. La mise en œuvre du pass sanitaire a été un extraordinaire accélérateur de vaccination. L’objectif de 50 millions de personnes qui ont au moins reçu une dose fin août, jugé impossible à atteindre il y a deux mois, le sera dans les jours qui viennent. Or, une étude menée par des chercheurs de Montpellier, de Nîmes et de Caen indique que près de 50 000 décès à l’hôpital, 47 400 exactement, ont pu être évités en France grâce à la campagne vaccinale. Indirectement, le pass sanitaire, puissante incitation à la vaccination, a donc sauvé de nombreuses vies.

Lancer le compte à rebours

Mais surtout, il représente le meilleur passeport pour la liberté que l’on ait trouvé depuis le début de la pandémie. Ceux qui en doutent devraient regarder du côté du Danemark. Premier pays à avoir instauré un « coronapass », le royaume scandinave est aussi le premier à supprimer, d’ici au 10 septembre, les dernières mesures de restriction sanitaire. À commencer par le « coronapass » lui-même. Cinq mois de désagréments, à devoir présenter un QR code pour pénétrer dans certains lieux, pour retrouver le monde d’avant le virus, est-ce vraiment une atteinte intolérable à la liberté, une plongée dans la tyrannie et la dictature ? Bien sûr que non, et ceux qui le croient sont soit des manipulateurs, soit des idiots utiles du complotisme.

Vaccination des adolescents : dans les familles, un sujet épidermique

Pour mettre à mal leurs arguments, le gouvernement serait inspiré de montrer au plus vite qu’il ne compte nullement prolonger le pass sanitaire au-delà de la période strictement nécessaire. C’est dès maintenant que le compte à rebours doit être enclenché, pour montrer qu’en France, comme au Danemark, le pass sanitaire aura représenté un instrument pour réussir et non un moyen d’empêcher.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

En cas de pandémie ou de maladie graves (tout comme pour les vaccins et protection sanitaires diverses !)

Il y a une discipline obligatoire auquel il faut se plier !

Dans notre pays de frondeurs patentés ou pisse vinaigres divers il y aura toujours des gens qui seront toujours contre pour ce qui est pour !

En matière de santé qui doit être une priorité il faut cesser de palabrer !

Les français lambda par trop de liberté mal encadrée bien qu'ils disent le contraire sèment le désordre, voire plus dans leurs manifestations anti-tout systématiquement avec en plus des politicards issus de partis extrêmes ou marginaux qui jettent de l'huile sur le feu !

Et si le gouvernement décidait de rendre obligatoire cette vaccination ils ne mériteraient que cela et là ils n’auraient vraiment plu le choix !

Donc cessons ces polémiques et bla-blas stériles et terminons ces manifestations sans résultat, car une majorité des français sont vaccinés et ont un passe sanitaire valide, car dans une démocratie ont ne peut plaire à tout le monde et nous avons élu des dirigeants et gouvernements habilités à prendre des décisions sanitaires et politiques !

Ces français râleurs devraient plutôt regarder les jeux paralympiques et observer ces sportifs diminués par leurs handicaps qui eux ont beaucoup de courage et ne se regarde pas le nombril comme certains de ses frondeurs !

Ou alors qu’ils aillent voir ailleurs on ne les empêche pas, ils sont libres mais peut être trop gâtés, car en France !

Jdeclef 31/08/2021 11h23


lundi 30 août 2021

Cet aboyeur de foire aux discours déjantés utopiques et extrémistes veut lutter contre l'abstention !? C'est à dire se battre contre les moulins à vent MELENCHON ?)

 

Présidentielle 2022 : Mélenchon part en guerre contre l’abstention

Pour sa rentrée politique, Jean-Luc Mélenchon a insisté sur la nécessité de gommer l’abstention électorale pour faire barrage à Macron et à Le Pen en 2022.

Déjà très critique envers l’abstention aux dernières élections régionales et municipales, Jean-Luc Mélenchon – qui avait dit à l’époque que ne pas voter était une forme de « grève civique » – a décidé de mettre l’accent sur ce sujet pour sa rentrée politique. Aux Amphis de La France insoumise, dans la Drôme, le candidat LFP à la présidentielle de 2022 a ainsi déclaré la guerre à l’abstention. Il a appelé les classes populaires, réticentes, à aller voter. Pour lui, l’abstention est donc le premier ennemi à combattre : « L’abstention, décidément, est un piège à cons ! » Certes, estime-t-il, elle est « une forme d’action et pas une indifférence ». « Mais quand il s’agit de décider, tout passe par le pouvoir politique, encore plus en Ve République », a professé le patron des députés LFI.

Il sait qu’il va devoir lutter à contre-courant contre un phénomène qui a grimpé aux deux dernières élections intermédiaires, menace la présidentielle et touche davantage les classes populaires auxquelles il s’adresse. « L’abstention est le pire qui puisse nous arriver. Les sondages disent que plus ça vote, plus nous sommes forts ; moins ça vote, plus Le Pen et Macron sont forts », a argué Jean-Luc Mélenchon. « Alors, quoi, c’est trop d’effort de se bouger ? Les esclaves se bougeaient » pour obtenir l’abolition, a-t-il tonné.

Quand l’abstention dessine deux France

Sur l’insécurité qui inquiète les classes populaires, Jean-Luc Mélenchon a affirmé qu’elle concerne surtout « les trafics de drogue, des humains » et les relations avec la police : « Nous voulons une police républicaine respectueuse de la justice, des droits des citoyens, qui vouvoie et ne tutoie personne. »

Conscient de sa personnalité clivante, propice aux polémiques médiatiques, le député des Bouches-du-Rhône a simulé les reproches que l’on pourrait lui faire : « Mélenchon ne me convient pas, il parle trop fort, on a dit qu’il était ceci, ou je sais plus ce qu’on m’a dit mais ça me pose problème car je suis un petit-bourgeois. » Il a explicité sa stratégie d'« union populaire », label qui a remplacé sur les affiches de campagne celui de LFI, désormais jugé trop peu rassembleur : « L’union à la base tous azimuts – non pas contre, par détestation, mais pour changer la vie, en disant clairement comment, pourquoi, avec qui. »

Les Insoumis, focus sur 2022, ignorent le reste de la gauche

Avant lui sur la scène, Huguette Bello, la présidente de région de La Réunion, élue grâce au soutien des Insoumis et qui est venue leur rendre la pareille, a salué « la vraie gauche, celle qui n’a jamais abandonné les classes populaires ». Le directeur de campagne Manuel Bompard a concédé devant la presse que transformer le capital d’adhésion sur le programme, documenté par un récent sondage, en voix sonnantes et trébuchantes serait difficile. « C’est la politique, les gens peuvent être d’accord avec vos propositions, mais se demandent si l’on peut vraiment les mettre en œuvre, si on va gagner, si on ne va pas les trahir… » a-t-il relevé.

Les Insoumis assument d’aliéner une partie de l’électorat, a expliqué l’eurodéputé : « Que Mélenchon soit clivant, dans notre vocabulaire, c’est positif. Pour les classes moyennes urbanisées, certes, ça peut faire peur… […] Mais une partie des classes moyennes s’est radicalisée », comme les Gilets jaunes.

Abstention : quand sonne l’heure de la démobilisation générale

En se concentrant sur l’abstention, les Insoumis prennent leur couloir en faisant mine d’ignorer le reste de la gauche, alors que les écologistes sont occupés à leur primaire jusqu’en septembre et qu’au PS Anne Hidalgo entretient le suspense sur sa date de candidature. « Nous, on va avancer, pendant que les autres débattent entre eux et ne sont pas sortis de l’ornière », savoure Éric Coquerel, autre proche de Jean-Luc Mélenchon.

Le député Alexis Corbière mise sur l’expérience des deux précédentes campagnes de Jean-Luc Mélenchon. « Je ne crois pas à cette histoire de nouveauté. On ne fera jamais plus nouveau en termes d’image que Macron, et on voit ce que ça a donné. En revanche, les gens veulent du changement » sur le fond, a-t-il souligné. Philosophe, il se résout à une campagne dure : « Elle n’est pas gagnée… mais elle n’est pas perdue non plus. »

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

C'est une coquille vide qui ne va que dans le sens du vent politique du moment, car il n'a rien d'autre à dire tant ses discours louvoie sans définir une vraie ligne politique, si ce n'est que le désordre de cette extrême gauche LFI en marge de ses gauches classiques !

Alors il critique les abstentionnistes de plus en plus nombreux d'électeurs qui ne trouvent plus d'intérêt de voter depuis 40 ans au moins pour ces politiciens de tous bords de plus en plus médiocres, voire extrémistes en plus !

La classe politique est déjà médiocre et se dégrade encore, mais lui et d’autres c’est pire alors ceux de cette majorité silencieuse on peut les comprendre car ils n’y croient plus dans ces partis ou politiciens ringards qui ne pensent qu’à eux !

Nous avons trop de politiciens de tous bords et de partis politiques qui nous font au final élire un inconnu comme MACRON par défaut avec une majorité qui ne représente pas tous les français loin de là, à cause de cette Veme république et présidentielle à 2 tours qui ne favorise que ces politiciens chevronnés que l’on retrouve à chaque élection !

Il faudrait changer notre constitution et notre système électoral pour améliorer cela et peut être aussi la V eme république, mais ne rêvons pas les français sont conservateurs et partisans « du chacun pour soi » pernicieux alors ils ont ce qu’ils méritent !

Alors en 2022 qu'ils votent mieux, mais depuis 40 ans, ils n'ont pas appris de leurs erreurs !?

Jdeclef 30/08/2021 11h24


Les parisiens approuvent et surtout les piétons pour leur sécurité entre autres nuisances ! (Tant pis pour "les pisses vinaigres "qui sont pour tous ceux qui sont contres !)

 

Limitation à 30 km/h : les Parisiens approuvent

INFOGRAPHIE. Près des deux tiers des habitants de la capitale sont favorables à la réduction de la vitesse des voitures voulue par Anne Hidalgo.

Il va falloir lever le pied dans la capitale. Ce lundi 30 août, la quasi-totalité des voies de Paris passent à 30 km/h, à l’exception du périphérique, des boulevards des maréchaux et de quelques grandes avenues comme les Champs-Élysées. La mesure, qui faisait partie du programme d’Anne Hidalgo pour les élections municipales de 2020, est largement approuvée par les Parisiens, révèle un sondage Ifop pour Mister Turbo* : 61 % des habitants de la ville sont favorables à l’abaissement de la limitation de vitesse.

Près des trois quarts des Parisiens s’accordent à dire que la mesure va sécuriser les rues et 60 % que cela contribuera à diminuer les nuisances sonores, mais à peine un sur deux y voit un bon moyen de lutter contre le changement climatique. Ce sont les usagers à vélo, les plus vulnérables – avec les piétons – face aux voitures, qui sont les plus favorables aux 30 km/h (à 77 %), suivis des utilisateurs de transports en commun (62 %) et des piétons (58 %). À l’inverse, les premiers concernés sont moins enthousiastes : à peine 29 % des motards et 36 % des automobilistes approuvent.

I30 km/h en ville, la promesse d’une pollution aggravée

Les plus riches, premiers opposants aux 30 km/h

La réduction de la vitesse dans Paris fait aussi apparaître un fort clivage politique. Si les électeurs de gauche, notamment ceux de la maire Anne Hidalgo, y sont très favorables (de 72 % à 77 % selon le parti), ce n’est pas le cas des électeurs LR (41 %, et même seulement 31 % chez ceux qui ont voté Rachida Dati pour la mairie en 2020). Un clivage se dessine également entre les Parisiens plus modestes et les plus aisés : 74 % des plus petits revenus soutiennent les 30 km/h, contre seulement 54 % des plus hauts revenus.

Plus largement, la plupart des plans de mobilité de la majorité municipale pour la capitale, pourtant vivement critiqués dans les médias, remportent également une large adhésion des Parisiens. Les deux tiers des habitants interrogés sont favorables à la zone apaisée que la mairie veut créer dans le centre de Paris, 64 % approuvent le stationnement payant pour les deux-roues motorisés, 78 % la création de pistes cyclables sécurisées, 79 % la création d’aires piétonnes dans tous les quartiers… Quelques points rencontrent toutefois un vif rejet, notamment la diminution des places de stationnement (70 % sont contre) et la hausse des tarifs de parking (69 % sont contre).

La politique de réduction de la place de la voiture menée par Anne Hidalgo est soutenue par 58 % des Parisiens, majoritairement par ses électeurs (79 %), mais aussi par une partie des électeurs de ses rivales de 2020. Ainsi, un habitant sur deux ayant voté Agnès Buzyn (LREM) en 2020 est favorable aux mesures de mobilité de la majorité élue, et un quart de ceux ayant voté Rachida Dati. Là encore, ce sont les plus modestes qui rayent bien plus volontiers les voitures de la carte postale de Paris (68 %) que les plus riches (52 %).

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Dans une ville pourrie par la pollution automobile qui a fait de la voiture reine un fléau au point que l’on n’arrive plus à circuler correctement par les embouteillages nombreux qui rend en plus les conducteurs irascibles et le stationnement presque impossible !

La solution en fait étant d’augmenter les transports en communs non polluants en masse avec couloirs réservés prioritairement à ceux-ci et créer plus de zones piétonnes pour rendre la ville aux habitants de PARIS et IDF et aux visiteurs étrangers dans notre capitale touristique en mettant des parkings et places de stationnement en lisière de PARIS intra-muros !

Cela a été fait dans d’autres capitales ou villes européennes et se sont des progrès de société pour les habitants y vivants ou y travaillant !

Jdeclef 30/08/2021 09h30


Les dirigeants de ce PS qui fut grand poussent leur parti vers un trou sans fond par leur choix plus que hasardeux !?

 

Coignard – Au PS, un malheur n’arrive jamais seul

CHRONIQUE. Les dirigeants socialistes ont adoubé Anne Hidalgo à la présidentielle et s’apprêtent à désigner Ségolène Royal pour le Sénat. Quel doublé !

La conduite d’échec fait partie des troubles psychiques répertoriés. Elle est décrite comme « une intolérance totale et systématique au succès ». Le Parti socialiste et ses dirigeants en semblent collectivement atteints. Ce week-end, ils ont choisi d’adouber Anne Hidalgo comme candidate à la présidentielle. Oui, Anne Hidalgo, qui plafonne à 7 % dans les sondages, qui n’a pas présenté le moindre programme et qui déclarait encore il y a moins d’un an, pendant la campagne municipale de Paris, que jamais au grand jamais elle ne se lancerait dans la course en 2022… À l’occasion de l’université d’été du PS, la maire de la capitale s’est rendue à Blois. Vendredi soir, avant son discours dans la cour du château royal, elle a été accueillie par un millier de militants au son d'« Hasta siempre », une célèbre chanson écrite en l’honneur de Che Guevara. Puis, dans un discours de quasi-candidature, elle a salué l’héritage de Jaurès, Blum, Mitterrand, Jospin, mais a étrangement oublié le plus récent président socialiste, François Hollande, dans sa liste d’hommages. Cela n’a pas empêché Olivier Faure, le premier secrétaire, d’être aux petits soins avec elle…

Fini le temps des primaires ouvertes, qui ont abouti pour 2017 à la désignation du candidat le plus radical, Benoît Hamon, et au score calamiteux de 6,35 % des voix au premier tour, le pire résultat de toute l’histoire du parti. Place à la désignation interne, verrouillée par les soins d’Olivier Faure, dont la motion pour le prochain congrès, les 18 et 19 septembre, comporte noir sur blanc un soutien à Anne Hidalgo. Un sondage Ifop pour le JDD indique que 10 % seulement des personnes interrogées considèrent que la maire de Paris ferait mieux qu’Emmanuel Macron, loin derrière Marine Le Pen, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Jean-Luc Mélenchon et même Michel Barnier ? Cela ne semble pas émouvoir la direction du parti, qui campe droit dans ses bottes ou dans ce qu’il en reste.

Présidentielle : à Blois, la reine Anne, « candidate naturelle » du PS

Le risque de perdre

Au PS, formation politique en situation de mort clinique de plus en plus avancée depuis 2017, le pire est toujours sûr. Anne Hidalgo est la candidate pour l’Élysée et, selon une rumeur devenue de plus en plus insistante ce week-end, Ségolène Royal devrait être désignée officiellement pour les élections sénatoriales des Français de l’étranger qui se déroulent fin septembre. Un choix qui risque de faire perdre à la gauche le siège qu’elle détenait jusqu’alors, de l’avis même de plusieurs membres du groupe socialiste au Sénat. L’ancienne présidente de Poitou-Charentes risque en effet de ne pas convaincre le collège des votants, soucieux d’élire des personnalités qui connaissent personnellement la situation d’expatriés et qui défendent concrètement leurs intérêts. Comment ne pas comprendre ceux qui soupçonnent Ségolène Royal de chercher avant tout à récupérer un peu de lumière ?

Présidentielle 2022 : à gauche, il pleut des candidats

Le PS, il est vrai, n’a plus les moyens d’organiser une primaire interne à la fédération des Français de l’étranger comme il le faisait par le passé. Le nombre d’adhérents à jour de leurs cotisations est un secret bien gardé, mais il semble avoir beaucoup diminué ces dernières années. Désigner Ségolène Royal, alors qu’il y a d’autres candidats qui, eux, connaissent le terrain, c’est se donner une vraie chance de continuer sur la même pente savonneuse…

Coignard – Ségolène Royal : candidate éternelle, perdante potentielle

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Et plongent dans médiocrité de cette gauche caviar qui n'a fait que sombrer après le quinquennat HOLLANDE et sa décision de ne pas se représenter avant la fin de son quinquennat !

Sans parler de la mauvaise qualité politique de ces deux candidates connues plus que médiocres dans les mandats qu'elles ont exercés avec leurs erreurs nombreuses !

La Berezina de ce PS avec cette fuite en avant signe son arrêt de mort politique qui dévalorise la gauche en général, mais c'est mérité !

Si cette défaite probable par la non élection de ces deux politiciennes était consommée cela soulignerait la médiocrité de la classe politique et des partis ringards français !

Jdeclef 30/08/2021 09h00LP


dimanche 29 août 2021

Sans intérêt ces manifestants contre ce passe sanitaire qui gâchent tous les samedis de ceux qui veulent sortir à PARIS ou dans d'autres villes de FRANCE comme ces manifestations de gilets jaunes en leur temps !

 

Anti-pass sanitaire : près de 160 000 manifestants en France

La mobilisation contre le pass sanitaire continue de s’essouffler, ce samedi 28 août. Le ministère de l’Intérieur a recensé 222 actions en France.

Pour le septième week-end d'affilée, 159 484 opposants au pass sanitaire, dont 14 500 à Paris, ont battu le pavé, ce samedi 28 août. La mobilisation est de nouveau en baisse, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. À 19 heures, le ministère avait recensé 222 actions sur l’ensemble de la France. Le collectif militant Le Nombre jaune, qui publie un décompte ville par ville, a recensé dans sa « première estimation » au moins 319 290 manifestants en France, contre 357 100 il y a une semaine. Outre les quatre défilés parisiens, les manifestations les plus importantes ont eu lieu à Montpellier (9 500 personnes) et Mulhouse (5 000). Selon les préfectures, ils étaient également 4 000 à Toulon et Annecy, 3 000 à Marseille ou 2 500 à Lyon.

« Le vaccin n’est pas la solution », clame Hélène Vierondeels, retraitée de l’Éducation nationale au milieu du cortège parisien réuni par les Patriotes de Florian Philippot. « Il faudrait plutôt arrêter de fermer les lits d’hôpitaux, poursuivre les gestes barrières », a-t-elle poursuivi. À quelques jours de la rentrée scolaire, de nombreux manifestants bordelais ont redit leur refus de la vaccination des enfants. « On n’est pas des rats de laboratoire », a dit à l’Agence France-Presse un garçon de 11 ans venu avec son père de 46 ans. « On veut vivre dans un pays libre, il n’y a aucun chiffre qui justifie que l’on vaccine en masse », a dénoncé son père en assimilant la vaccination à rien de moins qu’un « viol ».

« Les dernières réticences sont en train de tomber face au succès du pass sanitaire »

Depuis juillet, des centaines de milliers de personnes de tous horizons – ex-Gilets jaunes, militants antivax, tenants des théories du complot ou simples opposants à Emmanuel Macron – battent chaque samedi le pavé pour dénoncer vaccins et pass sanitaires. Elles se sont déroulées sans incident notable jusque-là, hormis quelques rares jets de grenades lacrymogènes et interpellations.

Mobilisations anti-pass sanitaire : un tremplin pour 2022 ?

Interrogé sur la contestation, le ministre de la Santé Olivier Véran a assuré cette semaine que « les dernières réticences sont en train de tomber face au succès du pass sanitaire ». Ce dispositif, à présenter obligatoirement dans les bars, restaurants, transports longue distance ou encore hôpitaux, pourrait être prolongé au-delà du 15 novembre, la limite fixée par la loi, « si le Covid ne disparaissait pas de nos vies », a averti Olivier Véran.

71 % de la population a reçu une première dose de vaccin anti-Covid

Depuis le 16 août, le pass sanitaire s’applique aussi dans de nombreux centres commerciaux. À partir de lundi, il s’imposera aux salariés des lieux où il est demandé aux clients. Les employés refusant de le présenter pourront voir leurs contrats de travail suspendus. « J’ai déjà été convoquée par la direction, je ne sais pas ce que je vais faire, car, d’un côté, je suis radicalement opposée à me faire vacciner et, d’un autre côté, je risque de perdre mon boulot, j’ai une petite fille à nourrir », a confié à Toulouse Nancy Peschtel, éducatrice spécialisée dans un hôpital de jour et soumise à la vaccination obligatoire.

« Le pass sanitaire ne devrait pas exister dans une démocratie », s’est pour sa part insurgé à Lille Marc, un informaticien de 43 ans, qui a confié avoir reçu lui-même une première dose. Selon les derniers chiffres du ministère de la Santé, plus de 48 millions de Français (71 % de la population) ont reçu au moins une injection et 42,7 millions les deux doses prescrites.

Sastre – L’irrésistible envie de plaire des antivax

Florian Philippot a confirmé samedi l’organisation le 4 septembre d’un rassemblement national. « Nous irons jusqu’au blocage général et jusqu’à la grève générale », a-t-il promis à ses troupes, « nous ne lâcherons rien ».

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Cela ne sert à rien, ils ont droit pour l'instant de faire ce qu'ils veulent !

Tout comme les anti vaccins ou contre toute vaccination !

Personne ne les empêche, mais bien sûr ils ont des contraintes de circulations à subir pour pénétrer dans certains lieux publics comme ces attestations papiers à fournir pour sortir pendant les confinements ou le port du masque !

Moi qui suis âgé j'ai du mal à comprendre ces opposants divers, car les gens de ma génération étaient vaccinés obligatoirement à la naissance avec des vaccins qui ont sauvés des milliers de vies de très graves maladies et épidémies avec rappel pour les hommes qui faisait leur service militaire jusque dans les années 60 j'ai même été vacciné contre la fièvre jaune, car en mission en Afrique !

Notre pays devient trop libre ou tout le monde veut imposer pour tout et n’importe quoi sa volonté c’est ridicule et dénué de bon sens même dans une société démocratique ou nos libertés sont devenues mal encadrées comme nos lois non applicables car non respectées !

Pour en terminer ce passe-sanitaire est le cheval de bataille de certains partis politiques marginaux et çà c’est inadmissible pour un problème de santé publique, ils mériteraient que la vaccination devienne obligatoire, car celui-ci est déjà adopté par une majorité de pays qui ont pris le train en marche ce qui prouve s’il le fallait que ce n’est pas une ineptie gouvernementale seulement française !?

Ces manifestations font penser à la lutte contre l’avortement, ou le mariage pour tous faits de société etc.

Comme tous ses faits de sociétés qui ont changé nos vies pour évoluer vers la modernité dans notre pays qui vieillit très mal comme notre Veme république obsolète poussiéreuse !

Jdeclef 29/08/2021 13h29


En complément à mon commentaire de 11h17 E.MACRON est un inconscient :

 


Afghanistan : Paris et Londres veulent une zone protégée dans Kaboul

Les États-Unis ont mis en garde contre le risque d’une nouvelle attaque terroriste imminente, quelques jours après l’attentat meurtrier à l’aéroport.

(Suite...)

Par cette demande et gesticulation en IRAK et à l'ONU il augmente l'insécurité déjà présente chez nous par cette situation moyenne orientale non réglée depuis 20 ans !

Et surtout les risques d'attentats islamiques en France qui vont augmenter !

Ce président grand discoureur ne protège pas le peuple de France, il fait le contraire, car on ne peut discuter avec des barbares illuminés fous de dieu qui ont prouvé à maintes reprises leurs nuisances envers les occidentaux judéo chrétien, c'est un fait acquit !

Le ver est déjà dans le fruit depuis 20 ans qu’il progresse, il serait temps que nos dirigeants de tous bords et E.MACRON le comprenne et en tienne compte pour la sécurité des français ?!

C’est son devoir avant tout il semble l’oublier ?!

Cà c’est grave, car nos concitoyens l’ont élu pour cela et bien d’autres choses importantes notamment leur sécurité !

Jdeclef 29/08/2021 11h51

Notre président bavard incurable « je me mêle de tout » va encore mettre son grain de sel de bienpensant donneurs de leçons avec son politiquement correct hypocrite dévastateur dans l’affaire afghane !

 

Afghanistan : Paris et Londres veulent une zone protégée dans Kaboul

Les États-Unis ont mis en garde contre le risque d’une nouvelle attaque terroriste imminente, quelques jours après l’attentat meurtrier à l’aéroport.

La France et le Royaume-Uni vont plaider lundi à l’ONU en faveur de la création à Kaboul d’une zone protégée pour mener des opérations humanitaires, a déclaré le président français Emmanuel Macron dans un entretien au Journal du dimanche. Alors que les cinq membres permanents du Conseil de sécurité doivent se réunir lundi au sujet de la crise afghane, Londres et Paris élaborent un « projet de résolution » qui « vise à définir, sous contrôle onusien, une safe zone à Kaboul qui permette de continuer les opérations humanitaires », a indiqué Emmanuel Macron.

« C’est très important. Cela donnerait un cadre des Nations unies pour agir dans l’urgence, et cela permettra surtout de mettre chacun devant ses responsabilités et à la communauté internationale de maintenir une pression sur les talibans », a-t-il ajouté. Entamées il y a deux semaines avec la prise de Kaboul, les opérations d’évacuation des Afghans fuyant le régime taliban touchent à leur fin à l’aéroport, à mesure qu’approche la date butoir du 31 août prévue pour le retrait des soldats américains. La France a ainsi cessé ses opérations vendredi soir, et le Royaume-Uni samedi.

« Mon rôle n’est pas d’agiter les peurs chez nos compatriotes »

Mais le président français a annoncé samedi que des discussions avaient été « entamées avec les talibans » pour « protéger et rapatrier des Afghanes et des Afghans » en situation de risque au-delà du 31 août. Paris compte sur l’aide du Qatar qui, grâce à ses bonnes relations avec les talibans, « a la possibilité d’aménager des opérations de pont aérien ou de réouverture de certaines lignes aériennes », a précisé Emmanuel Macron depuis Bagdad, où il assiste à un sommet régional.

Souleimane – « La plus dangereuse des migrations est celle des islamistes qui vont rejoindre l’Afghanistan »

Au Journal du dimanche, Emmanuel Macron a dit imaginer des évacuations ciblées « qui ne se feront pas par l’aéroport militaire de Kaboul ». « On verra si cela peut se faire par l’aéroport civil de la capitale ou par les pays voisins », a-t-il précisé. Le chef de l’État a par ailleurs fustigé « une certaine forme de discours clientéliste qui agite les peurs », au sujet de l’arrivée de réfugiés afghans en France. « Mon rôle n’est pas d’agiter les peurs chez nos compatriotes, c’est d’apporter des solutions pour les résoudre », a-t-il ajouté, assurant vouloir « gérer cette pression migratoire avec humanité, fermeté, avec une capacité à protéger nos frontières comme il le faut, avec une solidarité entre Européens et une politique adaptée avec les pays de la région ».

Peggy Sastre – Pourquoi on doit accueillir des réfugiés afghans

Risque d’attentat imminent

Les talibans ont décidé de coopérer pour procéder aux dernières évacuations avant le 31 août. Le calme est ainsi revenu à Kaboul, même si la situation est toujours tendue avec les forces américaines qui ont perdu treize de leurs soldats jeudi, dans l’attentat qui a fait plus de 100 morts à l’aéroport de la capitale afghane. Joe Biden a toutefois averti samedi qu’une attaque était « très probable » contre l’aéroport de Kaboul « dans les 24 à 36 heures », tout en affirmant que la frappe américaine qui a tué deux membres de l’État islamique ne serait pas « la dernière ».

Quelques heures après, l’ambassade américaine à Kaboul a exhorté tous les Américains à quitter les abords de l’aéroport, comme elle l’avait fait ces derniers jours, « en raison d’une menace précise et crédible ». Des responsables sanitaires de l’ancienne administration afghane ont déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) qu’environ 90 personnes amenées dans des hôpitaux de Kaboul étaient décédées, et 150 blessées, à la suite de l’attentat perpétré jeudi près de l’aéroport de la capitale. Certains médias locaux ont fait état d’un bilan de 170 morts. Treize soldats américains et deux Britanniques ont également péri.

BHL – C’est pour nous que sonne le glas à Kaboul

« Nous avons des listes données par les Américains »

Lourdement armés, des combattants talibans circulaient samedi sur les terrains et dans les bâtiments annexes de l’aéroport, selon des journalistes de l’AFP, sous le regard de soldats du corps des US Marine depuis le toit du terminal passagers. Les talibans ont bouclé les routes menant à l’aéroport et ne laissent passer que les bus autorisés. Des journalistes de l’AFP ont vu plus d’une douzaine de bus décharger des passagers à la porte principale de l’aéroport samedi. Samedi, les combattants talibans remettaient les Afghans candidats à l’exil aux Américains en vue de leur évacuation. Les milliers d’Afghans rassemblés depuis des jours aux portes de l’aéroport pour prendre place sur un des vols affrétés par les Occidentaux avant le 31 août, date limite pour le retrait des forces étrangères d’Afghanistan et la fin des évacuations, n’étaient plus visibles.

Seuls les bus disposant d’une autorisation sont désormais autorisés à s’avancer. « Nous avons des listes données par les Américains (…) Si votre nom est sur la liste, vous pouvez passer », a expliqué à l’Agence France-Presse un responsable taliban près du terminal passagers civils de l’aéroport international Hamid-Karzai. « Si votre nom n’est pas là, vous ne pouvez pas passer. » Samedi, un journaliste de l’AFP a ainsi vu une dizaine de minibus ou bus de taille moyenne décharger des passagers un peu tendus devant la porte principale de l’aéroport. Il n’était pas possible de déterminer d’où venaient ces bus ni qui les avait affrétés. Les responsables et gardes talibans ne laissaient pas les passagers être interviewés.

Araud – Pas d’autre choix que de rechercher des compromis avec les talibans

112 000 personnes évacuées depuis la mi-août

Avant l’attaque meurtrière de jeudi, revendiquée par l’État islamique au Khorasan (EI-K), des milliers de personnes avaient pris d’assaut l’aéroport pour fuir leur pays. Ces Afghans, pour beaucoup urbains et éduqués, craignaient que les talibans n’imposent le même type de régime fondamentaliste et brutal que lorsqu’ils étaient au pouvoir entre 1996 et 2001, malgré les promesses répétées des islamistes qu’ils ont changé et qu’ils ne chercheront pas à se venger. Quelque 112 000 personnes, afghanes et étrangères, ont ainsi été évacuées depuis la mi-août, selon la Maison-Blanche.

Un photographe de presse a reconnu un ami journaliste samedi parmi ceux qui arrivaient par bus pour être évacués. Ce dernier avait travaillé auparavant pour le service de communication de la Force internationale d’assistance à la sécurité (Isaf) et était considéré comme pouvant faire l’objet de représailles des talibans. Ils se sont enlacés brièvement avant de se séparer. « Bonne chance », se sont-ils dit, l’un restant derrière, l’autre partant vers une nouvelle vie.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Il se promène en IRAK zone dite libre, mais pas encore totalement nettoyé d’éléments de l’EI DAESH que la coalition européenne désunie et US n’a pas éliminé en criant victoire trop tôt car inachevé dans ce conflit de 2013 et la création de cet Etat islamique !

Il va aussi à l’ONU ce machin inefficace qui permet de donner bonne conscience aux états civilisés démocratiques pour agir d’agir (quand ils en ont le courage et la permission) après un vote au conseil de sécurité à la majorité mais avec un veto possible d’un des membres qui peut bloquer toutes interventions ce qui est souvent le cas !

Pour demander la création de cette « safe zone » à KABOUL en entrainant si possible l’Angleterre dans cette galère !?

En plus il va encore nous souler par un de ses discours habituels lundi sur TF1  pour nous expliquer la situation en AFGHANISTAN, plutôt que laisser les américains régler le merdier qu’ils ont causés par leur départ en catastrophe bâclé !

La France à fait ce qu’elle pouvait, « mais il ne faut pas jeter de l’huile sur le feu » car Macron qui veut jouer au « chevalier sans peur et sans reproche » va simplement raviver en important indirectement les risques d’attentats islamiques sur notre sol, car ils n’ont jamais cessé depuis, malgré que sous d’autres formes !?

L’EI DAESH, AL QUAIDA et les TALIBANS ne sont pas différents malgré ce que certains disent surtout quand il faut lutter contre les mécréants judéo chrétiens occidentaux comme ils nous appellent, ils l’ont maintes fois prouvé !

Et pour la France avec BARKANE qui seulement a changé de nom dans le sahel malien on n’est pas encore parti de rêvons pas !

Alors il reste l’espoir de 2022 si les français votent autrement que d’habitude et réfléchissent vite et bien enfin !?

Jdeclef 29/08/2021 10h45


samedi 28 août 2021

Un de moins parmi tant d'autres encore trop nombreux !?

 

Présidentielle 2022 : Bruno Retailleau renonce à sa candidature

Le chef de file des sénateurs LR estime qu’il n’est « pas le mieux placé pour battre Emmanuel Macron », dans les colonnes du « Figaro ». 

Bruno Retailleau ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2022. Le patron des sénateurs Les Républicains a annoncé qu’il renonçait à se porter candidat, dans la course à l’Élysée, dans une interview accordée au Figaro ce vendredi 27 août 2021. « Aujourd’hui, les candidatures se multiplient. Je n’ajouterai pas à cette dispersion. La lucidité, c’est de reconnaître en toute sincérité que je ne suis pas le mieux placé pour battre Emmanuel Macron », estime-t-il, alors qu’Éric Ciotti et Michel Barnier se sont récemment déclarés candidats, tandis que Laurent Wauquiez renonce également.

Bruno Retailleau considère que sa « responsabilité, c’est de tout faire pour qu’un candidat de droite devienne le prochain président de la République ». Ainsi, il compte sur « d’autres candidats [...] plus connus, soit parce qu’ils ont été ministres, soit parce qu’ils ont été très médiatisés par la campagne des régionales ».

Strauch-Bonart – Primaire à droite : une mauvaise idée… aujourd’hui indispensable

Bruno Retailleau mise sur la primaire

Dans ce contexte, Bruno Retailleau milite pour la primaire. « L'union est indispensable ! » lâche-t-il dans les colonnes du quotidien, avant d’ajouter : « Le seul moyen de la garantir, ce sont les primaires. En démocratie, quand il n’y a pas de candidat naturel, seul le vote peut être le juge de paix. » Selon le président du groupe LR au Sénat, le président de la République Emmanuel Macron mise sur une désunion de la droite pour se faire réélire pour un second mandat : il « sait qu’il peut gagner à une condition : que nous allions à l’élection présidentielle en ordre dispersé, avec plusieurs candidats », insiste-t-il, pour expliquer son choix.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

D'autres vont lâcher l'affaire et devraient le faire, espérons le car on les a trop vu ou entendu au point d'en avoir une indigestion de ces politiciens de tous bords plus nuls les uns que les autres qui ne pensent qu'à eux, mais pas à la France et encore moins aux français !

Lui préfère rester en père pénard  chef du groupe LR au Sénat cette chambre haute du parlement empêcheuse de tourner en rond inutile qui a très peu de pouvoir bien moins que la chambre basse nationale et ses députés qui votent les lois !

Jdeclef 28/08/2021 17h12


Si c'était une femme comme PECRESSE qui soit élue cela changerait de la routine habituelle des quinquennats et même d’avant de toutes ces élections présidentielles passées !?

 

Présidentielle 2022 : le duel se resserre entre Bertrand et Pécresse

Selon une étude menée par Ipsos pour le mouvement Libres ! de Valérie Pécresse, Xavier Bertrand reste le mieux placé à droite (15 % au premier tour), talonné par sa rivale (14 %).

Qui pour porter les idées de la droite lors de la prochaine présidentielle ? À l’approche de la rentrée, le rythme s’est considérablement accéléré ce jeudi 26 août. Dès 8 h 30, Éric Ciotti a annoncé rejoindre la liste déjà longue des candidats à l’investiture de la droite et du centre au micro de Jean-Jacques Bourdin. Quelques heures plus tard, dans le 20 Heures de TF1, Michel Barnier a lui aussi fait part de sa volonté de participer à la primaire de la droite, tandis que, surprise, Laurent Wauquiez annonce sur Twitter ne pas se lancer dans la course. Ils rejoignent les candidats déjà déclarés : Valérie Pécresse, partie de LR, mais prête à participer à une primaire, Philippe Juvin et Xavier Bertrand, qui, lui, a toujours affirmé ne pas vouloir se prêter au jeu.

Mais qui aura le plus de chances de faire tomber Emmanuel Macron, Marine Le Pen ou les deux, en avril prochain ? Un sondage Ipsos commandé par Libres !, le mouvement de Valérie Pécresse, et consulté par Le Point apporte de premiers angles de lecture. Après un récent scrutin marqué par un taux d’abstention inédit sous la Ve République, 15 % des interrogés (2 000 personnes inscrites sur les listes électorales, représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus ) sont sûrs, ou presque sûrs, de ne pas aller voter, 16 % sont plus incertains, mais tendent légèrement vers l’abstention, 16 % sont presque certains d’aller voter et 53 % iront voter sans aucun doute.

Présidentielle : Xavier Bertrand s’accroche à son étoile

La droite loin de prétendre au second tour

Ce sont ces 53 % qui ont été interrogés sur leur potentiel bulletin. Plusieurs cas de figure ont été présentés, avec, tour à tour, différents candidats de la droite : Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Michel Barnier et Laurent Wauquiez, qui ne se présentera finalement pas. S’il était l’unique candidat de la droite, soutenu par Les Républicains et l’UDI, c’est Xavier Bertrand qui s’en sortirait le mieux au premier tour de la présidentielle, mais bien loin d’espérer le second tour avec 15 % alors qu’Emmanuel Macron est crédité de 23 % des votes, 21 % pour Marine Le Pen.

Pécresse, Bertrand, Ciotti… Un pour tous, tous pour moi

Dans le même cas de figure, Valérie Pécresse récolterait, selon le sondage, 14 % des suffrages, derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen, dont le score reste inchangé. À noter la présence d’Éric Zemmour crédité de 7 % des voix et de Nicolas Dupont-Aignan (4 %). Michel Barnier partagerait la troisième place avec Yannick Jadot (EELV) avec 11 % chacun. Un score légèrement au-dessus de celui de Laurent Wauquiez (10,5 %).

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Car on tourne en rond depuis 40 ans avec ces politiciens(es) de tous bords et gommerait un peu de machisme ancestral désuet, car des femmes remarquables, chefs d’états, il y en a déjà eu à l’étranger que ce soit des 1ers ministres selon les types de démocraties exemple GOLDA MEIR en ISRAEL, TATCHER en ANGLETERRE ou MERKEL en ALLEMAGNE remarquables qui ont marquées leur époque et dirigés ces pays !

Et surtout dépoussiérerait notre V eme république usée et sa démocratie qui s’étiole et qui ne convient plus aux français avec ces vieux partis politique ringards et politiciens élus dont certains ont dépassés l’âge de la retraite que l’on revoit à chaque élection tout comme nos sénateurs hors d’âge qui s’engraissent comme des préretraités dans cette assemblée le Sénat inutile qui nous coutent une fortune !

Mais les français « versatiles et partisans du chacun pour soi », sont encore trop gâtés et pas assez touchés par la misère sont des conservateurs incurables râleurs, mais pleutres, du style « après moi le déluge » car ils n’arrivent pas à changer cela et vivent au jour le jour pour beaucoup de nos compatriotes !?

Attention : Suite à la soi-disant baisse constatée dans la crise sanitaire « le quoi qu’il en coute » qui les protégeaient va être supprimé à la rentrée, mais les virus sont toujours là, sans préjuger d’un éventuel rebond ?!

Jdeclef 28/08/2021 15h09


Peut-être mais nous verrons après les résultats de l'élection présidentielle et les législatives en 2022 (les français ne sont plus beaucoup encartés on les comprend !)

 

Roger Karoutchi : « Nous sommes majoritaires dans le pays »

ENTRETIEN. Le vice-président du Sénat observe de son Aventin parlementaire les querelles à droite tout en s’amusant des brevets en gaullisme revendiqués.

Il a été pendant des années le collaborateur et fidèle bras droit de Philippe Séguin à l’Assemblée nationale. Aujourd’hui premier vice-président du Sénat, ce fin connaisseur des cénacles de la droite observe avec un tempérament de sénateur les guerres de tranchées en vue de la présidentielle. Soutien affiché de Valérie Pécresse, l’ancien secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement de 2007 à 2009 espère simplement qu’une primaire tranchera le nœud gordien de la présidentielle tout en ménageant les susceptibilités : « Si nous allions à l’élection divisés, nos électeurs ne nous le pardonneraient pas », prévient-il à l’heure où les candidatures se multiplient.

Engagé pour le général de Gaulle dès l’âge de 16 ans, ce politique à l’ancienne, né à Casablanca, admirateur de Charles Pasqua, sourit à l’évocation du social-gaullisme revendiqué par nombre de candidats. « Être gaulliste, c’est déjà être social, bon sang ! », rappelle l’agrégé d’histoire, sûr de sa droite et de ses valeurs pour 2022. « Nous n’avons pas à nous définir par rapport aux autres. Ce sont les autres qui devraient se définir par rapport à nous ! »

Le Point : Vous avez plaidé en juin dernier pour une « accélération » du calendrier à droite. Nous sommes presque en septembre et la droite se cherche toujours. C’est un premier aveu d’échec pour votre camp dans la course à la présidentielle ?

Roger Karoutchi, premier vice-président du Sénat et membre du bureau politique de LR.

Roger Karoutchi : En réalité, mon initiative, accompagnée de celle des 90 autres sénateurs, visait à alerter sur notre calendrier : n’attendons pas début septembre ou mi-septembre pour décider d’une méthode. Là, les choses sont claires, il y aura bien un vote le 25 septembre des militants et adhérents sur la manière de procéder. D’ici là, les candidats potentiels ou déclarés auront tous à chercher les 250 parrainages d’élus nécessaires, c’est-à-dire que la structuration même de la primaire a commencé. Les appels à candidature ont été lancés, la règle sur les parrainages, établie, le principe d’un vote électronique, retenu sous l’autorité de Jean Leonetti. Il y a encore des ajustements à faire, mais tout cela devrait s’affiner dans les semaines qui viennent. Le travail s’effectue discrètement mais les arbitrages se font. Nous devrions être assez vite fixés. J’entends certains dire qu’ils ne veulent pas d’une primaire, mais comment trancher, par définition, lorsque vous avez plusieurs candidats ? Quelle autre solution qu’un vote ? Je veux bien qu’on fasse l’impasse mais comment fait-on ? À la courte paille, sous la prévision de Nostradamus ou de la Pythie de Delphes ? Nos adhérents ne trouveraient pas cela très régulier.

Cotta – Primaire, pas primaire ? Les Républicains dans un cul-de-sac

Vous affichez depuis longtemps votre soutien à Valérie Pécresse après l’avoir combattue en Île-de-France pour la présidence de la région en 2010. A-t-elle toutes les qualités requises pour devenir présidente de la République ?

Je vous remercie de noter nos différences passées. Effectivement, je n’ai pas toujours été pécrétiste, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais ces dernières années, elle a beaucoup évolué, beaucoup appris et beaucoup transigé. Elle est passée par toutes les étapes : conseillère régionale, députée, ministre et finalement présidente de l’Île-de-France, une région compliquée. Aujourd’hui, elle a toutes les qualités pour être présidente de la République après avoir été brillamment réélue en juin dernier. Les Français ne veulent plus de l’amateurisme des élus macronistes. En travaillant au quotidien auprès des Franciliens, elle a acquis cette capacité d’écoute et cette fermeté de conviction. Valérie Pécresse bénéfice aussi d’un double héritage à la fois chiraquien et sarkozyste. Elle a l’expérience des ministères lourds comme le Budget ou l’Enseignement supérieur, une rectitude sur le régalien, l’immigration, la sécurité, le terrorisme et l’identité, mais aussi une ouverture d’esprit sur les enjeux sociétaux qui fait honneur à la droite républicaine. Président de la République, elle sera probablement moins dans le discours ou le paraître, plus construite et rigoureuse. Je la soutiens sans réserve, ce qui ne veut pas dire que je n’aiderai pas le candidat unique de la droite que j’appelle de mes vœux, mais je constate qu’elle est aujourd’hui la plus apte à rassembler pour battre Emmanuel Macron ou Marine Le Pen.

Valérie Pécresse : « Je suis 2/3 Merkel et 1/3 Thatcher »

Choisir Valérie Pécresse, c’est aussi faire preuve de modernité.
Est-ce plus difficile d’être une femme à droite, et qui plus est candidate à la magistrature suprême ?

Être une femme, ce n’est pas une qualité, c'est un état. Mais un état qui ne doit pas être une faiblesse, ce qui n’a pas été le cas pendant longtemps dans la vie publique française. J’attends le jour où il n’y aura plus de différence de traitement, plus d’écart de carrière entre les hommes et les femmes. Le fait d’être une femme est aussi un net avantage en cas de duel avec Emmanuel Macron. Nous subissons régulièrement un procès en archaïsme, des accusations en passéisme. En un mot, nous serions dépassés. Choisir Valérie Pécresse, c’est aussi faire preuve de modernité. À une certaine époque, on disait que pour être une femme en politique, il fallait avoir les qualités d’un homme. En clair, vous pouvez être une femme mais comportez-vous en homme politique. Je pense que ce temps est révolu.

Féminisme en politique : Valérie Pécresse répond à Michel Richard

Xavier Bertrand a répété qu’il ne participerait « en aucun cas de figure » à une primaire tout en appelant au « bon sens des Français ». Si Xavier Bertrand s’impose comme candidat, sera-t-il toujours en mesure de rassembler après avoir refusé de jouer collectif ?

C’est plus facile de rassembler quand on accepte de participer à une primaire selon les règles collectives. Pour le moment, il nous répète qu’il ne participera pas à une primaire, qu’il sera candidat coûte que coûte au nom d’une candidature dite « naturelle ». Mais de quoi parle-t-on ? À ce principe, j’opposerai plutôt une candidature naturelle et légitime. Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela signifie qu’il y a un temps, dans notre famille politique, nous avions un candidat naturel et légitime installé dans une structure politique incontournable. Souvent, il s’agissait du président du parti. C’était par exemple Jacques Chirac ou encore Nicolas Sarkozy, patron de l’UMP. Ce n’est plus le cas et le parti n’est plus aussi puissant aujourd’hui, car nous sommes passés sous la barre des 100 000 adhérents. Dans ces conditions et sans candidat légitimé par une structure partisane forte de son poids militant, nous n’avons d’autre choix que d’organiser une primaire. Xavier Bertrand s’y refuse, mais si un tel système de départage a lieu, il y aura forcément une forme de médiatisation. Le risque pour lui serait la marginalisation, que les électeurs se disent : « S’il est si sûr de lui, de son implantation, pourquoi est-ce qu’il ne participe pas pendant que le reste de la droite prend part au débat… ? »

Présidentielle : Xavier Bertrand s’accroche à son étoile

J’ajoute que si le peuple français vous reconnaît la capacité de rassembler en dehors de la primaire, je vous garantis que ça se verra très vite… Après tout, pourquoi ne pas courir ce risque ? Mais cela veut dire que nous nous retrouverions avec un candidat issu de la primaire face à Xavier Bertrand. Je nous souhaite beaucoup de courage et de détermination pour trancher en faveur d’un candidat unique. Si nous allions à la présidentielle divisés, nos électeurs ne nous le pardonneraient pas. Après nos échecs successifs en 2012 et 2017 puis aux européennes, je vous le dis très tranquillement : ce serait du suicide politique.

Est-ce qu’au fond, le vrai problème de la droite n’est pas son trop-plein de candidats, mais plutôt son manque d’idées neuves ?

Roger Karoutchi a été ministre de Nicolas Sarkozy et est désormais soutien de Valérie Pécresse. © Teresa SUAREZ/REA pour « Le Point »

Sur ce point, je m’inscris en faux. Certes, le fait de ne pas avoir de candidat attitré depuis trois ans fait que l’expression de la droite est morcelée. Et le morcellement de cette expression contribue à rendre nos propositions sur l’immigration, la sécurité et le terrorisme moins audibles. Pourtant, en réalité, nos idées ne datent pas d’hier. Nous les portons au Parlement comme dans les médias depuis des années, mais il y a trop de gens qui les portent et pas une seule voix. C’est notre faiblesse de ne pas avoir de porte-voix unique – de leader incontesté si vous préférez – malgré nos idées, qui sont les bonnes. Et qu’on ne nous fasse pas le procès de ne pas les avoir appliquées au pouvoir. C’était il y a dix ans ! Les temps ont changé, la droite a changé. La société est devenue plus violente et la politique de plus en plus clivante. Sur le fond, il y a peu de différence entre Valérie Pécresse et Xavier Bertrand quand on parle d’immigration, de sécurité, de terrorisme. Il peut exister des différences sur la couverture sociale, par exemple, mais il s’agit plus de débats techniques que politiques. Sur ce que nous sommes, notre idée de la France, de la francophonie, du rôle de la France dans le monde, sa place et sa sécurité, ce que signifie le mot République ou l’autorité, nous sommes cohérents à droite. La droite ne doit pas se réinventer tous les ans, mais savoir où elle habite et parler d’une seule voix. J’invite ceux qui se présenteraient à une primaire à réfléchir à leurs propres statures ou limites personnelles. Il s’agit quand même de succéder au général de Gaulle.

Le séguiniste que vous êtes se reconnaît-il dans le gaullisme social porté par au moins deux des candidats, Xavier Bertrand et Valérie Pécresse ? Nous sommes très loin du programme de François Fillon de 2017. A contrario, proposer de redresser les comptes publics, n’est-ce pas un peu opportuniste alors que le pays a dû creuser les déficits pour affronter la crise sanitaire ?

Pardon mais laissons de Gaulle et Séguin là où ils sont. Le général de Gaulle est mort il y a plus de cinquante ans et Philippe Séguin, il y a déjà une dizaine d’années. Je conçois qu’il y ait forcément un héritage politique et philosophique sur le fond à revendiquer, mais faut-il nécessairement aller chercher une filiation ou des origines dès qu’un candidat propose un projet ? Chez de Gaulle, il existe de grands thèmes comme la participation, la solidarité, l’unité de la nation. Chez Séguin, la République, l’autorité et le sens de l’État, le sacrifice de soi, etc. Ce sont des valeurs très exigeantes. Il ne suffit pas d’en parler dans le confort d’un bureau mais de se l’appliquer à soi-même en tant que responsable politique puis, encore plus difficile, au pays. Que les candidats se revendiquent gaullistes sociaux, très bien, mais je ne sais pas exactement ce que cela veut dire. Gaulliste et social ? Social ou gaulliste ? Être gaulliste, c’est déjà être social, bon sang ! Le vote des femmes, la sécurité sociale, la participation, la réforme des allocations familiales, l’intégration et l’autodétermination des anciennes colonies. Je ne sais pas ce que ça rajoute d’être gaulliste si ce n’est un versant plus autoritaire. N’est pas de Gaulle qui veut ! Seulement, le gaullisme, c’est un tout. C’est l’autorité de l’État et l’ouverture d’esprit. Avoir une filiation gaulliste, ce n’est pas renoncer à s’adapter. De ce point de vue là, vous allez trouver que je rabâche mais Valérie Pécresse me paraît la plus crédible de ce côté-ci de la filiation. La société de 2020 n’est plus la société de 1970, c’est aussi logique que les propositions des candidats évoluent.

Ne craignez-vous pas d’être écartelé à droite entre un macronisme libéral, finalement plus réformateur, et un Rassemblement national plus ferme que vous sur l’immigration ?

Roger Karoutchi a fait ses armes avec Philippe Séguin. © Teresa SUAREZ/REA pour « Le Point »

Mais qu’ils vivent leurs vies, tous ces gens ! Je m’en fiche de ce que pensent les macronistes. Arrêtons à droite de nous définir par rapport aux autres. Un coup, si vous dites ça, vous courez après le Rassemblement national, un autre, vous soutenez forcément le gouvernement. Tous ces gens m’indiffèrent, qu’ont-ils fait ou prouvé ? Emmanuel Macron serait incontournable ? Je rappelle à tout hasard qu’au premier tour, Nicolas Sarkozy en 2007 réalisait environ 33 % des voix, très loin des intentions de vote actuelles pour Emmanuel Macron. La vérité, c’est que personne n’écrase le match parce que, soyons clairs, la pandémie occupe tout le débat public. Pour le pays, ce ne doit être ni Emmanuel Macron ni Marine Le Pen, mais la droite républicaine, sûre de ses valeurs, tranquille et forte de ses convictions, consciente qu’elle doit défendre la République et la nation. La droite qui s’est mobilisée au plan local, lors des municipales et des régionales, ce sont nos électeurs. Nous sommes majoritaires dans le pays. Dans ces conditions, j’attends de nos candidats qu’ils incarnent des convictions, des propositions et un dialogue avec les Français. Nous n’avons pas à nous définir par rapport aux autres, ce sont les autres qui devraient se définir par rapport à nous.

« Les idées de droite ne sont portées ni par Macron ni par Le Pen »

À ma connaissance, Zemmour n’a pas demandé à participer à la primaire de la droite.

On évoque même le cas d’Éric Zemmour qui, selon notre premier sondage paru en juin dernier, s’établit autour des 5 % d’intentions de vote. Suffisant pour gêner n’importe quel candidat…

J’ai beaucoup de sympathie pour Éric Zemmour que je côtoie depuis longtemps, mais on connaît bien les thématiques qu’il défend en tant que polémiste, avec un certain talent. Mais il y a des sujets, par définition, sur lesquels il n’a jamais été interrogé. On ne lui a jamais demandé comment il comptait créer de l’emploi, quelle politique agricole pour quelle forme de décentralisation, de mise en valeur des territoires. Quelle politique sociale, par exemple ? Jusqu’ici, nous sommes restés essentiellement sur les thématiques qu’il affectionne comme l’immigration, la sécurité et le terrorisme. En somme, des sujets régaliens. Il y a évidemment ces thèmes mais aussi tout le reste, ceux qui font vivre le quotidien des Français. Si vous voulez des Français avec un certain niveau d’éducation, de formation, un niveau d’emploi, de solidarité digne de ce nom, il nous faut une politique globale. Je sais qu’il doit sortir un livre aux allures de programme. Je le lirai avec attention mais, à ma connaissance, Éric Zemmour n’a pas demandé à participer à la primaire de la droite…

Zemmour connaît la France, mais connaît-il les Français ?

Vous revendiquez régulièrement votre approche constructive avec le gouvernement, la politique de la main tendue. En cas de victoire d’Emmanuel Macron, votre droite est-elle définitivement soluble dans le macronisme ?

Moi, je dis toujours bonjour mais je ne tends pas la main, surtout par les temps qui courent. « Approche constructive », je ne sais pas ce que ça veut dire… Ce sont surtout des formules, tout ça. Qu’est-ce que cela signifie « constructif avec le gouvernement » ? Moi, je suis constructif par rapport à moi-même. C’est déjà pas mal d’être cohérent. Est-ce que c’est le cas pour tout le monde ? Je n’en suis pas si sûr. Il est évident que des personnalités comme Édouard Philippe, Jean Castex, l’actuel Premier ministre et d’autres seront dans la prochaine majorité présidentielle. Mais dans un grand pays comme la France, il n’est pas bon de ne pas avoir d’opposition claire, de lignes tranchées. Ce n’est pas pour autant que je suis un opposant systématique quand je vois l’intérêt d’un texte pour les Français, et j’ajouterai, comme bon nombre de sénateurs. Est-ce que cela fait de moi un supplétif du gouvernement ou, inversement, un opposant irréductible ? Non, je serai plutôt un homme de droite libre et serein.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Car LR et cette droite ont beaucoup trop de leaders candidats et la direction du parti incapable dans désigner un d’où cette primaire qu'ils veulent organiser un piège à couillons dans lequel ils sont pourtant déjà tombés en 2017 !

Où les français leur ont botté le derrière pour ne plus voir ces politiciens fats à égos démesurés, mais que l'on a trop vu !

D’ailleurs cela a été pareil avec l’autre grand parti le PS devenu moribond !

Sauf que là en plus on a hérité de LFI parti d’extrême gauche et son vieux leader MELENCHON inutile tribun aboyeur de foire trublion de 70 ans !

Sans oublier EELV les verts écolos « empêcheurs de tourner en rond » qui ont marqué quelques points grâce aux élections municipales, mais qui se sont déjà fait remarquer par leur médiocrité et ont piégé des gogos d’électeurs qui croient à l’écologie (mais pas celle politique, comme ils la pratiquent !?)

Avec bien sur le RN et M.LE PEN qui se voit déjà au 2eme tour, comme elle en a pris l’habitude !?

Tout cela pour remettre sur orbite E.MACRON notre président pseudo monarque sans couronne en fait du même moule que ces politiciens ex élus chevronnés !

Donc je répète et rabâche, et je m’en excuse envers les français qui ont le choix pour le changement dans cette liste de prétendants que l’on connait maintenant, bien que trop nombreux, mais par pitié qu’ils votent mieux que d’habitude et qu’ils ne ramènent pas leurs choix à « un chacun pour soi trop personnel » et abandonne leur versatilité en n’écoutant pas les sondages médiatiques en avril 2022 en votant au 1er tour en masse de cette élection présidentielle en retrouvant leur bon sens qu’ils ont perdu !

Jdeclef 28/08/2021 12h28