jeudi 30 septembre 2021

Zemmour n'est qu'un empêcheur de tourner en rond médiatique de foire dans cette campagne électorale déplorable ! Pour français lambda gogos habituels qui font le bonheur des politiciens de tous bords

 

Cotta – Zemmour met la droite cul par-dessus tête

CHRONIQUE. À l’approche de la présidentielle, le polémiste sème la zizanie au sein de la droite. Celle de Marine Le Pen comme celle des Républicains.

La droite chamboulée. Éric Zemmour, en moins d’un mois, a enfoncé la barrière, plus fragile qu’on ne le croyait, entre la droite et l’extrême droite. Si Marine Le Pen a pris en plein visage les premiers coups portés par le candidat putatif, devenu omniprésent sur les antennes, l’onde de choc a rapidement atteint Les Républicains. Voici la droite entière naviguant dans le triangle des Bermudes.

Première offensive, donc, d’Éric Zemmour contre Marine Le Pen. Lorsqu’il a dit, comme si cela allait de soi, que Marine Le Pen ne pourrait jamais être présidente de la République, Éric Zemmour a envoyé sa première flèche au Rassemblement national. Car c’était, d’une phrase, le toucher au cœur. Durablement installée dans les sondages en numéro deux derrière Emmanuel Macron, quelquefois même passant en pole position, Marine Le Pen se donnait, depuis quelques mois, une apparence rassurante.

Sa certitude reposait sur le fait que, voulant gouverner la France, elle devait changer. Se changer d’abord elle-même, en adoucissant son image. Changer le nom de son parti parce qu’il avait été celui de son père. Se rapprocher des gens, arpenter la France, pour creuser sa différence avec le président de la République, censé en être éloigné. Adoucir aussi son discours, en l’élargissant aux relations internationales, tantôt présente dans Les Échos pour parler d’économie, tantôt dans ses meetings, vêtue de probité candide et d’une veste d’un bleu clair virginal.

Primaire des Républicains : qui veut gagner des millions ?

Beaucoup d’efforts pour faire oublier son débat de l’entre-deux-tours présidentiel de 2017, qu’elle a fini par juger elle-même de mauvaise qualité, et qui lui colle à la peau depuis quatre ans. Beaucoup d’efforts, mais peu suivis d’effets, puisque les régionales, où aucune région, malgré les prédictions, n’a été conquise par son parti, ont marqué pour elle un échec cuisant. Pourtant, elle gardait sa place dans le peloton de tête, et l’idée d’un deuxième duel présidentiel Macron-Le Pen s’installait dans les esprits, pourtant peu désireux d’un remake de 2017.

Retour à la case immigration pour Marine Le Pen

Et puis voilà qu’en un mois, depuis l’entrée en scène d’Éric Zemmour, sa cote n’en finit plus de descendre. Elle ne devance aujourd’hui Xavier Bertrand que d’une courte tête, tandis que Zemmour n’en finit pas de monter. Au début, Marine Le Pen a fait bonne figure, affirmant que son expérience aurait le dessus sur un débutant ignorant du terrain. Puis elle a accusé le coup. Aujourd’hui, elle se voit, quoi qu’elle en dise, contrainte de revenir sur le terrain sur lequel le Front national s’était établi : l’immigration. Elle ne souhaitait pas, elle, parler du grand remplacement, jugeant que la présidentialisation de son personnage passait par plus de prudence et que le spectre de la guerre civile, brandi par Zemmour, était incompatible avec ses espérances élyséennes.

Le changement de cap a été presque immédiat : en proposant un référendum sur l’immigration, elle est retournée à son point de départ. Il faut dire qu’elle croyait, bien d’autres observateurs aussi, que son socle était immuable. Il ne l’est pas, et tous ceux qui se résignaient, parmi ses électeurs ou une partie des cadres de son mouvement, à la voir se banaliser se sont vus ragaillardis par l’analyse d’Éric Zemmour sur le déclin de la France. Elle a beau affirmer son doute vis-à-vis des sondages et déclarer qu’elle en a vu d’autres, elle ne peut ignorer que les voix qu’elle perd sont autant de gagnées par Éric Zemmour.

Hypermind – Zemmour devance Le Pen et Bertrand

Les Républicains, eux, se sont crus pendant quelques semaines à l’abri de l’offensive Zemmour. Ils avaient tort, la suite de l’histoire l’a prouvé, pour deux raisons. La première, l’essentielle, est qu’ils ne sont pas arrivés, en plus de quatre ans, à dégager de leurs rangs un chef pour les conduire à la bataille présidentielle. La seconde aggrave la première : échaudés par la primaire de 2016, ils n’ont pas trouvé la façon aisée de départager ceux qui, parmi eux, ont fait acte de candidature et ceux qui, ayant quitté LR, comme Xavier Bertrand ou Valérie Pécresse, souhaitent, malgré cela, représenter la droite de gouvernement.

LR prend un peu trop son temps

Face aux tirs de canon de Zemmour, dénonçant l’inertie de leurs chefs, l’affadissement de leurs doctrines et leur aveuglement devant les dangers qui menacent la France, ils n’ont pas accéléré leur mouvement. Ils sont restés sur leur tempo, en demandant d’abord une étude de départage à Jean Leonetti, pendant l’été, tout en lançant une vaste enquête sur les vertus des candidats possibles dans leur propre parti, puis en décidant la tenue d’un congrès. Lequel a décidé quoi ? De réunir un autre congrès, en décembre, dans deux mois et demi, pour trancher entre les prétendants, sans que l’on sache bien ce que les impétrants auront à faire pour convaincre les militants de leur supériorité sur les autres. D’ici là, Zemmour gambadera.

« Combattre Zemmour », la nouvelle obsession de LR

Les Républicains sont-ils paralysés au point qu’à ce stade on peut parler de suicide collectif ? Car ce sont les militants, justement, qui renâclent. Tant que le tir sur eux n’était pas nourri, ils pouvaient oublier que, depuis longtemps, une ligne de partage – on ne parle pas encore de fracture – traversait leur camp. Aujourd’hui, ils ne le peuvent plus. D’un côté, ceux des Républicains qui se sentaient attirés, sans le dire, par l’extrême droite ont trouvé un nouveau héros dont le langage est on ne peut plus direct sur l’immigration : l’islam est incompatible avec la République, tous les musulmans, dehors. De l’autre, la plupart des cadres et des membres du mouvement qui se veulent dans une droite de gouvernement ont choisi d’attaquer Emmanuel Macron sur sa carence régalienne, tout en évitant, comme le fait Zemmour, d’appeler à la guerre civile avec l’islam, qu’ils séparent de l’islamisme. Réconciliées pour le moment dans LR, y a-t-il donc deux droites, prêtes à faire craquer leur mouvement ?

Dans ce cas, il faudrait presser le pas, opposer un candidat unique à Zemmour, qui ne l’est pas encore. Et non pas se demander, comme ses dirigeants le font depuis des jours, s’ils doivent ou pas accepter un débat avec le polémiste en se divisant sur le sujet, une fois de plus, les uns réclamant une confrontation, les autres bien décidés à l’éviter. En tout cas, il faut aller vite. Fût-ce en désignant celui qui a pris le départ en premier et qui, dans les enquêtes d’opinion, a acquis une avance sur ses compétiteurs, tandis que les dirigeants du parti essayaient de ne fâcher personne. Xavier Bertrand candidat ? LR, comme Éric Zemmour l’écrit de la France, est à la croisée des chemins.

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La droite n'a pas besoin de ce personnage pour être plus divisée qu'elle n’est par ses candidats archis connus et leurs égos démesurés plus les uns que les autres !?

Les sondages ne font que refléter les échos de certains français gogos qui croient encore au changement avec cet épouvantail polémiste qui explosera en vol comme d'autres avant lui !?

Nous sommes à 7 mois de l'élection, c'est court et long avec par exemple l'augmentation de l'énergie et la perte de pouvoir d'achat , car les français vont bien plus souffrir que l'épisode des gilets jaunes et leur quelques centimes d’augmentation de l'essence et la suppression de la taxe carbone que certains style écolos renaissant verraient bien revenir et qui servirait surtout à combler partiellement le trou du « quoi qu'il en coute » macronien de la période Covid pas encore terminée la rentrée est là et va être dure jusqu’en avril à l’élection et même après et les français devraient se réveiller, çà les changeraient !

Alors cette droite ringarde et ses leaders trop nombreux devraient maintenant choisir leur candidat très vite au lieu de palabrer sur l’avenir du sieur trublion « Zemmour » si elle veut renaitre de ces cendres dû à leur divisions débiles politiciennes du chacun pour soi chez les caciques LR et autres de cette droite ne s’en recommandant pas !

Car E.MACRON est encore président, il ne faut pas l’enterrer trop tôt, car même si M.LE PEN descend dans les sondages, il peut agir avec des promesses fumeuses ou réformes à la marge de dernière minute qui endormiront encore beaucoup de français gogos versatiles, il faut dire qu’avec une classe politique de tous bords aussi médiocre, il ne faut pas s’étonner que des personnages du style « Zemmour » se pointent !?

Jdeclef 30/09/2021 16h54


mercredi 29 septembre 2021

Pauvre FRANCE et ses sondages médiatiques politiques qui polluent à chaque fois les élections, notamment la présidentielle !

 

Présidentielle : Éric Zemmour gagne du terrain, Marine Le Pen recule

D’après un sondage Harris Interactive réalisé pour « Challenges », Éric Zemmour récolterait 13 % des voix à la présidentielle, contre 16 % pour Marine Le Pen.

À sept mois de la présidentielle de 2022, le potentiel duel entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron au second tour est des plus incertains. Une nouvelle enquête d’opinion, publiée par Harris Interactive pour Challenges ce mardi 28 septembre, démontre la progression d’Éric Zemmour dans les intentions de vote (entre 13 et 14 % des voix), au détriment de sa rivale d’extrême droite, Marine Le Pen, avec 16 %.

Marine Le Pen baisse dans les intentions de vote

Ainsi, plus les semaines passent, plus il grignote des points à Marine Le Pen. Alors que la candidate RN affichait 18 % la semaine passée, selon l’avant-dernier baromètre de Harris Interactive pour Challenges, Éric Zemmour était à 11 % des intentions de vote. L’écart entre les deux personnalités est donc passé de 7 à seulement 3 points en une semaine seulement, une diminution très significative.

À noter que des sondages plus anciens prédisaient que l’ex-dirigeante du RN obtiendrait 28 % des voix début juin dernier tandis qu’à cette même période Éric Zemmour affichait seulement 5,5 % d’intentions de vote, selon l’Ifop pour Le Point.

Éric Zemmour a également de quoi faire trembler la droite. En effet, Xavier Bertrand, potentiel candidat, obtiendrait, lui, 14 % des voix, juste devant le polémiste controversé. Ce dernier devancerait l’autre potentielle candidate, Valérie Pécresse, qui ne remporterait que 12 % des voix. Dernière possibilité, enfin, celle d’une candidature d’un autre candidat de droite, Michel Barnier, qui ne remporterait que 8 % des voix.

« Combattre Zemmour », la nouvelle obsession de LR

Toutefois, en dépit des rivalités, les deux tiers des électeurs potentiels d’Éric Zemmour (66 %) se rallieraient à Marine Le Pen au second tour, contre 7 % à Emmanuel Macron et 27 % de votes blancs, nuls ou d’abstention, en cas de duel Macron-Le Pen. « Marine Le Pen est donnée au second tour de l’élection présidentielle, ce qui n’est le cas ni du candidat des Républicains ni du candidat (potentiel) Éric Zemmour », s’est défendu Jordan Bardella sur France Inter ce mardi, ajoutant ne pas vouloir « commenter les sondages ».

Ainsi, si Emmanuel Macron distance tous ses concurrents dans ce dernier sondage Harris Interactive, avec entre 23 et 26 % des intentions de vote, la deuxième place est désormais bel et bien disputée entre Marine Le Pen, le candidat LR, Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, qui affiche 13 % des voix, contre 7 % pour la socialiste Anne Hidalgo, 6 % pour l’écologiste Yannick Jadot, devant Arnaud Montebourg (2 %).

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Macron n’a peut-être pas trop à craindre pour sa réélection, car l’épouvantail nouveau Zemmour est arrivé qui tourne la tête aux partis ringards et ses politiciens médiocres de tous bords que nous subissons depuis des décennies et qui roulent encore les Français dans la farine de ce gâteau électoral empoisonné !

Parlons-en de ce ZEMMOUR polémiste « Zorro de pacotille », certains le compare à tort à Coluche qui lui avait une qualité que lui n’a pas, car il était drôle et a apporté du bonheur et a eu l’intelligence de lâcher une affaire qui n’était pas son métier, ce que lui cet apprenti politicien médiatique fat à un point hors norme, ne veut pas faire se sentant des ailes, car on ne sait même pas comment l’appeler, ce serait une catastrophe s’il venait à être élu par des français désespérés capables de tenter le tout pour le tout !?

Il reste encore la barrière des 500 signatures (heureusement) car les autres partis en lice et leurs candidats ont oublié tout le reste, c’est-à-dire la France comme LR de cette droite obnubilée par la présence de ce mauvais clown télévisuel et même le RN de M.LE PEN érodé dans les sondages à cause de lui sans compter les autres PS/PC/LFI et même les verts EELV de JADOT qui croient avoir réussi à s’entendre !

Là, on va pouvoir constater ce que valent les électeurs français gogos et versatiles et leur « chacun pour soi » qui avalent depuis 40 ans des couleuvres de ces politiciens plus que médiocres qui finissent dans les gouvernements de tous bords avec leurs dirigeants (toujours les mêmes) de cette Vème république obsolète et usée, je sais de quoi je parle je les ai tous subi depuis De Gaulle, je n’attends plus de miracle !

Jdeclef 29/09/2021 12h52


Si les Algériens protestent pour leur difficulté à obtenir des visas pour la France :

 

« Avoir un visa, c’est de l’ordre de l’impossible » : la colère des Algériens

REPORTAGE. Si les officiels n’ont pas réagi à la décision de Paris de réduire l’octroi des visas, les craintes chez les Algériens sont nombreuses et la déception douloureuse.

Je suis fatiguée de toutes les contraintes que nos familles doivent gérer pour circuler. Pour nos familles, la situation était déjà plus compliquée que dans d’autres pays avec la fermeture des frontières, mais on patientait : on va enfin sortir de cet enfer, et en fait non. Nos vies privées dépendent d’enjeux politiques sur lesquels nous n’avons aucune prise. C’est insupportable. » Comme un cri de cœur, la tirade de cette jeune Algéroise dont une partie de la famille vit à Grenoble et à Paris, résume l’état d’esprit des Algériens face à la décision de Paris de réduire de moitié l’octroi des visas au niveau des trois consulats de France, à Alger, Annaba et Oran.

Algérie : quand la plaie de l’émigration clandestine se rouvre

« Chercher un autre visa Schengen »

Après de longs mois de fermeture du ciel algérien, jumelée à la suspension de trois mois durant l’été des services visas pour la France et dont l’activité reprenait progressivement, la circulation entre les deux pays était devenue compliquée, mettant à rude épreuve les liens familiaux et les relations d’affaires, hypothéquant l’avenir d’étudiants et de chercheurs algériens désirant poursuivre leurs études ou travaux ailleurs.

Dans ce café au centre-ville à Alger, Imad, étudiant en médecine, suit sur l’écran de la télé perchée au-dessus des tables le défilement des bandes d’informations sur France 24. « Déjà, ce n’était pas du tout évident d’avoir le visa, mais maintenant, c’est de l’ordre de l’impossible », dit le jeune homme qui souhaite toujours poursuivre ses études de spécialité – en ophtalmologie – en France. « Eh bien, sinon, je vais tenter ma chance ailleurs, chercher un autre visa Schengen et voir avec les autres consulats italien, belge ou espagnol… »

Au téléphone, Idriss, patron d’une usine de canalisation hydraulique, ne cache pas son amertume. « Il existe toujours pour les hommes d’affaires des canaux spéciaux pour l’obtention de visas. Ils nous connaissent, on ne s’amuse pas à abuser de ces privilèges pour faire n’importe quoi. On bosse pour le bien des deux pays », déclare-t-il. Mais ce qu’il craint est « que ce genre de mesures de rétorsion ne compliquent une situation déjà peu reluisante ». « Le business France-Algérie est quasiment au point mort, les investisseurs étrangers, en général, appréhendent déjà de travailler ici. Nous n’arrêtons pas de créer des points de fixation, hier, le Maroc, aujourd’hui, la France… Nous envoyons constamment de mauvais signaux à nos partenaires, c’est très inquiétant », poursuit-il, faisant allusion à la rupture des relations diplomatiques entre Alger et Rabat le 24 août dernier et la fermeture de l’espace aérien algérien au Maroc depuis le 22 septembre.

Droits d’inscription des étudiants étrangers : l’attractivité française mise à mal

« Les Français avaient déjà prévenu les Algériens »

« Cela fait deux ans que je n’ai pas voyagé avec ma femme et ma fille, deux ans que nous n’avons pas vu nos proches à Lille où sont installés mes oncles et tantes depuis plus de quarante ans », regrette Samir, cadre financier dans une boîte privée à Alger. « Le coronavirus, la suspension de tous les vols, et maintenant, ce visa qu’on nous interdit quasiment… J’ai l’impression de vivre dans une grande prison et je ne me pose pas la question de savoir c’est la faute à qui : tout le monde, tous les responsables en France ou en Algérie, nous ont mis dans cette situation », plaide ce trentenaire.

« Ce qui devait arriver était inéluctable », confie un connaisseur du dossier France-Algérie qui a requis l’anonymat. « Les Français avaient déjà prévenu les Algériens, notamment en novembre 2020, de recourir à des mesures de rétorsion en “tapant” fort. Mais la lenteur d’Alger, ou peut-être ses hésitations à répondre à toutes les demandes françaises, n’ont pas laissé de choix à Paris. »

En novembre 2020, le secrétaire d’État français aux Affaires européennes, Clément Beaune, avait déclaré à Europe 1 que la France était déterminée à renvoyer les étrangers en situation irrégulière dans leurs pays d’origine, mais que ces derniers refusaient de les accueillir. L’idée était de forcer la main aux pays récalcitrants en réduisant le nombre des visas octroyés. « Nous avons des leviers pour le faire, par exemple les visas […] en ciblant des responsables politiques, des responsables économiques. Oui, c’est un des leviers que le président de la République, que le ministre de l’Intérieur envisagent », avait déclaré Clément Beaune.

En ce même novembre 2020, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, s’était rendu à Tunis et à Alger pour, notamment, évoquer la question des expulsions de ressortissants en situation irrégulière et/ou impliqués dans des processus de radicalisation. Parallèlement, le président Emmanuel Macron avait annoncé un durcissement des contrôles aux frontières et a déclaré souhaiter une révision des accords Schengen. Il faut rappeler que cela se passait juste après l’attentat, le 29 octobre 2020, à la basilique Notre-Dame à Nice, qui a coûté la vie à trois personnes et dont l’auteur était un jeune clandestin tunisien.

Algérie : les harraga reprennent le large

L’autre drame : les haragas

L’attente et la patience de Paris ont donc duré presque un an avant que le couperet ne tombe. Le refus d’Alger de délivrer les laissez-passer consulaires nécessaires pour le retour des clandestins refoulés a donc fini par provoquer cette décision de réduire drastiquement les visas. « Des messages, accompagnés de mesures moins spectaculaires ont été envoyés à Alger, en vain », confie notre source.

Cette séquence intervient alors qu’en Algérie enfle le débat sur le phénomène de la harga (brûler la frontière) avec l’augmentation, ces dernières semaines, du nombre de clandestins arrivant par mer en Espagne et les drames qui souvent en découlent. Selon des sources non officielles, cinquante Algériens ont péri le week-end dernier en pleine mer en tentant d’atteindre les côtes espagnoles et en suivant le décompte, sur Facebook, que fait Francisco José Clemente Martin, du Centre international d’identification les migrants disparus (CIPIMD) et membre de l’ONG Heroes del mar, on s’aperçoit que pas un jour ne passe sans une arrivée de clandestins par mer ou une opération de sauvetage des garde-côtes espagnols. Ces mêmes clandestins, selon des sources sécuritaires algériennes, traversent l’Espagne pour rejoindre la France, un pays où ils peuvent avoir plus d’attaches et de réseaux d’entraide et qui « finiront par gonfler le nombre des clandestins que la France veut renvoyer chez eux », explique-t-on. « Moins il y aura de visas, plus la tentation de rester clandestinement sur place ou de “brûler la frontière” est forte, commente Amel, une jeune Algéroise qui attend son sésame pour partir à Paris poursuivre ses études. C’est le serpent qui se mord la queue. »

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Qu'ils s'en prennent à leurs gouvernements depuis leur indépendance en 1962 car en fait, ils n'aiment pas la France (ce vilain ex colonisateur) tout comme leurs dirigeants que se sont succédé qu'ils ont élus, mais qui leur ont nivelé leurs libertés !

Ils sont ambivalents, voire masochistes car vouloir migrer en masse vers le pays qui selon eux les a asservis (au point qu’ils ont toujours besoin de celui-ci ?)

Et passent leur temps à se plaindre car incompétents pour se gérer eux-mêmes et se débarrasser de leurs dirigeants et partis totalitaires !

Il y a 193 pays à l’ONU qui pourrait les accueillir ces migrants déçus de la nouvelle ALGERIE indépendante qui n’arrive pas à se gérer correctement !?

Mais bien sûr, c’est bien plus simple de fuir vers la France ex-département français dont ils ne veulent plus !

Ce pays est un des boulets que l’on traine depuis la décolonisation après une guerre meurtrière inutile qui a semé rancœur et malheur dans nos peuples français et algériens !

Cet épisode de plus dans les mauvaises relations avec la France est le plus exacerbé avec l’Algérie, il faut en profiter pour tirer un trait définitif de cette période ex coloniale avec les Afriques ex AOF/AEF, Afrique du nord et Maghreb : TUNISIE et MAROC trop pourvoyeur de migration vers la France qui coutent si cher en finances et problèmes divers nombreux qui vont avec !

Cette mesure pour réduire les visas pour ses pays peut être symbolique, mais devrait être définitive pour permettre de tourner la page définitivement avec ces pays qui en fait ont une rancœur envers la France et qui soulagerait le peuple français qui en souffre n’osant pas le dire ouvertement, car c’est du « politiquement incorrect hypocrite » spécialité des gouvernements de bienpensants qui nous gouvernent depuis des décennies !

Jdeclef 29/09/2021 10h55


mardi 28 septembre 2021

Cette dame est une grande malade psychologique qui s'ignore !?

 

Présidentielle : en colère contre le PS, Ségolène Royal « n’exclut rien »

Après sa défaite aux sénatoriales, elle annonce sur France 2 la création d’un nouveau parti et envisage une candidature à la prochaine présidentielle.

Quinze ans après son duel perdu face à Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal se lancera-t-elle à nouveau dans la course à l’Élysée ?

L’ancienne ministre socialiste est intervenue ce mardi au micro de France 2, deux jours après avoir échoué à l’élection des sénateurs représentant les Français de l’étranger, marquée par l’entrée à la chambre haute d’une nouvelle élue écologiste, Mélanie Vogel.

Dans ce scrutin, Ségolène Royal s’est vu refuser l’investiture au profit de Yan Chantrel et n’a pas hésité à faire part de sa « déception », déplorant « la stratégie de la division » du PS et « une trahison très dure ». « Le PS m’a fait battre. […] Ce n’est pas la première fois que l’appareil du PS se comporte comme ça, 2006, c’était déjà le cas, assure-t-elle. Ma liberté les dérange. » Ainsi, l’ex-finaliste de l’élection présidentielle de 2017 annonce qu’elle compte transformer en parti politique son association Désirs de France. « Je veux qu’une nouvelle génération politique se lève […], ce sont des jeunes qui en prendront la responsabilité », affirme-t-elle.

Sévère défaite pour Ségolène Royal aux sénatoriales

« Le parti n’a pas rendu service à Anne Hidalgo »

Un nouveau parti pour une nouvelle campagne ? Possiblement. « Puisque le PS me rend ma liberté, affirme-t-elle, si je considère que dans le débat politique il faut rassembler différemment, je n’exclus rien, bien sûr. » Une candidature de sa part ferait de l’ombre à une candidate PS déjà annoncée, Anne Hidalgo. « Le parti ne lui a pas rendu service, estime Ségolène Royal. Car la semaine même où le parti m’a refusé l’investiture ( à l’élection des sénateurs représentant les Français de l’étranger NDLR) et a parachuté un candidat contre moi, Anne Hidalgo s’est effondrée dans les sondages pour atterrir à 4 %. Parce que les gens n’aiment pas le sectarisme… »

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Elle est addict ou droguée à la politique et ne veut pas se rendre compte que quand on subit trop d'échecs retentissants dans ce monde de politiciens de tous bords hypocrites qui ne fait pas de cadeaux, il faut savoir passer la main !

Son manque d’amour propre et son égo hors norme l’aveugle totalement elle aurait besoin de consulter pour son bien, et pour celui des Français, car elle a fait ses preuves de son incompétence déjantée, quand elle était dans le pouvoir gouvernemental de ses mandats précédents se croyant indispensable mais chez elle, c’est un défaut incurable dont il faudrait qu’elle se débarrasse !

Elle en devient dangereuse et lui donner de nouvelle responsabilité est une erreur que nos dirigeants ne refassent pas, on a déjà assez d’illuminés qui courent après le pouvoir suprême, elle a essayé, elle n’a pas réussi heureusement !

Quelle profite de la retraite que lui offre les Français gogos qui se trompent souvent dans leur choix politique et politiciens de tous bords, cela suffit cette mauvaise mascarade qui ne fait plus rire personne !

Jdeclef 28/09/2021 10h58LP


lundi 27 septembre 2021

Cette personne a semé un souk pas possible pendant qu'elle était au pouvoir en tant que ministre de la Justice !

 

Coignard – Christiane Taubira : l’irresponsabilité au service de la démagogie

CHRONIQUE. Face au désastre sanitaire en Guyane, Christiane Taubira ne veut pas appeler à la vaccination. Du « clientélisme à visage humain » !

Christiane Taubira refuse de prendre le risque de l’impopularité dans la région dont elle est originaire. Elle préfère regarder les Guyanais risquer leur vie face à la déferlante épidémique plutôt que de leur conseiller publiquement de se faire vacciner contre le Covid-19. Redoute-t-elle de voir sa cote s’étioler dans un territoire où seuls 30 % des habitants ont eu recours à l’injection qui sauve, et où l’opinion publique est majoritairement hostile, ou à tout le moins défiante, à l’égard de la vaccination ? C’est triste, désolant, atterrant, mais il est difficile de trouver une autre explication à l’attitude irresponsable de cette icône de la gauche.

Après avoir réfuté en début de semaine dernière le terme de pandémie parce que « c’est une maladie qui fragilise les personnes déjà vulnérables, qui montre comme un effet de loupe les inégalités, les vulnérabilités, les fragilités qui ne sont pas prises en considération », Christiane Taubira a considéré qu’elle n’avait pas « vocation » à appeler à la vaccination : « Je suis un responsable politique qui n’est pas en exercice et qui, par conséquent, ne dispose pas des éléments d’information qui permettraient formellement de donner une consigne. »

Guyane : Taubira refuse d’appeler la population à se faire vacciner

Crise de « vocation »

Tandis qu’elle tenait ces propos, la situation sanitaire n’a cessé de se dégrader en Guyane : un pourcentage de décès jamais enregistré ailleurs sur le territoire national, des soignants à bout de souffle, parfois inquiets à l’idée de se faire agresser. Mais Christiane Taubira, elle, « n’a pas vocation ».

Pour se justifier, l’ancienne garde des Sceaux a publié un tweet qui aggrave encore son cas : « Faut-il clarifier, pour les personnes de bonne foi et celles de mauvaise foi : Je répète mes propos sur #CaVous : les arguments antivax sont un tissu d’imbécillités. Je suis moi-même vaccinée, En Guyane, depuis 4 mois, sans en faire mystère ». Cette grande donneuse de leçons considère donc que le vaccin est bon pour elle, mais n’en conclut pas pour autant qu’elle doit inciter ses concitoyens à se protéger eux aussi. Elle n’est pas « en exercice », mais gageons qu’elle est mieux informée que le Guyanais moyen. Pourtant, elle opte pour le scepticisme tranquille, au prétexte qu’elle « ne dispose pas des éléments d’information ».

Georges Patient, sénateur socialiste de Guyane, n’a pas ces pudeurs de gazelle. À la télévision, sur les réseaux sociaux, il appelle les Guyanais à se faire vacciner. C’est courageux, mais sûrement moins efficace qu’une prise de parole de Christiane Taubira. Question de notoriété et résonance médiatique. Alors, une question terrible s’impose : combien de morts, encore, avant que Christiane Taubira ne trouve la « vocation » ?

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En détruisant ce qui avait été fait avant, même si c'était déjà insuffisant et pas parfait !

Elle est d'un orgueil encensé et d’une hypocrisie hors norme !

Ne peut-elle nous oublier, elle a assez fait de mal à l’Assemblée nationale avec ses invectives déjantées irresponsables !

Maintenant, elle laisse tomber sa région de naissance la Guyane qui est dans un situation sanitaire déplorable en s'en lavant les mains !?

Alors qu'il faudrait soutenir les guyanais plutôt en les poussant à la vaccination plutôt que de les laisser à leur triste sort périr !?

Cette femme se croyant érudite écrivant poèmes ou livres n'a telle pas mieux à faire, mais non, elle n'a aucune honte, elle fait les plateaux télé pour promouvoir ses écrits d'édition en donnant bien sur des leçons de bienpensant qui s’écoutent parler dont les Français souffrent tant !

Quand elle a quitté le gouvernement sous le quinquennat hollande, on a poussé un « ouf » de soulagement !

Elle fait partie de ces quelques ministres déplorables qui ont fait plus de mal que de bien, car nuls ou extrémistes illuminés nuisibles, car cette personne est loin d’être une sainte, inutile de dévoiler son panégyrique !

Ce que peut faire l’orgueil quand on donne trop de pouvoir à des hommes ou femmes appelés à diriger notre pays qui peut être très préjudiciable pour le peuple et comme avec cette Vème république obsolète et usée on donne trop de pouvoir à un président seul qui les désigne !?

Il serait temps de la reformer cette république ou la démocratie s’érode dangereusement, car elle ne remplit plus son rôle de « liberté égalité fraternité » laissant notre France à quelques poignées d’élus politiciens et dirigeants, pattes cassées qui laissent glisser le pays vers le fond ne pensant qu’à eux !

Jdeclef 27/09/2021 13h41


Elle va (peut-être) ENFIN comprendre que des politicien(nes) ex élus qui ont fait erreurs multiples et bavarde trop en plus :

 

Sévère défaite pour Ségolène Royal aux sénatoriales

L’ex-candidate à la présidentielle échoue dans sa tentative d’être élue sénatrice des Français de l’étranger. Elle ne recueille que 2 % des suffrages.

Sa candidature ne passait pas très bien parmi les sénateurs. Ségolène Royal avait entrepris depuis plusieurs mois d’être candidate à l’un des six sièges de sénateur représentant les Français à l’étranger. Elle l’avait fait à sa manière, sans ambages, appelant les sénateurs du groupe socialiste au Palais du Luxembourg pour tenter d’obtenir leur appui. La finaliste de l’élection présidentielle de 2007 avait même repris sa carte du Parti socialiste, comme pour s’assurer un appui supplémentaire. Tant pis si elle s’était rapprochée d’Emmanuel Macron en 2007, avant de reprendre ses distances, au moment où elle a été évincée de son poste d’ambassadrice des pôles. Ses efforts, en tout cas, auront été vains. Elle arrive en dernière position des candidats à l’élection au Sénat, ne recueillant que 11 voix sur 533 inscrits…

« Parachutage »

Christophe-André Frassa, le candidat LR, obtient le plus grand nombre de voix (105), suivi de Jean-Pierre Bansard (95) et de Samantha Cazebonne (LREM). Les trois autres sièges ont été attribués à Olivier Cadic, Mélanie Vogel et Yan Chantrel. C’est ce dernier que le Parti socialiste avait choisi de soutenir, plutôt que Ségolène Royal. Les électeurs trouvaient en effet que, même si l’ex-ministre de l’Écologie est née à Dakar, elle ne connaissait qu’imparfaitement les conditions des Français habitant à l’étranger.

« Le parachutage a toujours été rejeté », expliquait il y a quelques semaines la sénatrice Hélène Conway-Mouret, ancienne ministre. « La liste de Yan Chantrel nous semblait être plus conforme à la direction que l’on souhaite prendre », avait de son côté expliqué Corinne Narassiguin, porte-parole du PS. L’échec pour Ségolène Royal, qui misait beaucoup sur cette élection, est sévère. Avec seulement 2,07 % des voix, elle fait même moins bien qu’une autre liste dissidente du PS, emmenée par Laure Pallez…

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On n'en veut plus de cette classe politique obsolète et ces partis ringards de cette Veme république qui ne correspond plus à ce qu’attendent les français !

Mais pour certains politiciens (pseudo professionnels) ils sont aveuglés par leurs égos démesurés et en plus comme elle, malgré des échecs retentissants pendant leurs mandats n’ont aucun amour propre et incurables se croyant indispensables !?

C’est d’ailleurs pour çà qu’il y a tant de candidats pour faire de la politique de tous bords, comme elle qui a l’âge de la retraite qu’ils devraient prendre, car c’est nous français qui leurs payons !

Mais c’est cela la France ne nous étonnons pas qu’elle végète, il n’y a qu’à voir la campagne présidentielle médiocre et ses multiples candidats de tous bords !

Les électeurs sont des gogos français trop gâtés versatiles et partisans du « chacun pour soi » ils n’ont que ce qu’ils méritent, car ils ne font rien pour que ça change !

C’est malheureux à dire, mais ils n’en « bavent pas assez ! »

Jdeclef 27/09/2021 10h26LP


samedi 25 septembre 2021

Encore un valeureux de nos soldats tombés dans ce SAHEL malien en pure perte dans une guerre de pacification sans fin inutile !

 

Mali : un soldat français a été tué au combat

Le caporal-chef de 34 ans, Maxime Blasco, est mort en combattant le terrorisme au Mali, ce vendredi, sous les balles d’un tireur embusqué.

 

 

Un soldat français a été tué au combat au Mali ce vendredi, a annoncé l’Élysée dans un communiqué, alors que la France entame le désengagement partiel de la force Barkhane au Sahel dans un contexte tendu entre Paris et Bamako.

Le caporal-chef, Maxime Blasco, du 7e bataillon de chasseurs alpins de Varces (Isère), 34 ans, est mort au combat « contre un groupe armé terroriste », a précisé le communiqué. Selon l’état-major des armées, la victime a été tuée « au cours d’une opération de reconnaissance et de harcèlement » dans la région de Gossi, à proximité de la frontière entre le Mali et le Burkina Faso. « Des éléments d’un groupe armé terroriste ont été détectés par un drone Reaper tôt dans la matinée, dans la forêt de N’Daki », a ajouté l’état-major.

Il « a été pris à partie à courte distance par d’autres éléments du groupe armé terroriste », note-t-il. « Au cours de cette action, le caporal-chef Maxime Blasco a été touché par un tireur embusqué. » Il a rapidement succombé à ses blessures, selon le communiqué de l’armée. « Il était titulaire de quatre citations et en était à son quatrième engagement dans Barkhane en trois ans. C’était quelqu’un qui avait un parcours opérationnel exceptionnel. »

Touché par un tireur embusqué

En effet, Maxime Blasco avait reçu en juin la médaille militaire « pour la valeur exceptionnelle de ses services », a précisé la présidence de la République, évoquant « l’émotion particulièrement vive » du président Emmanuel Macron.

En 2019, le jeune soldat avait également sauvé la vie à deux de ses camarades après le crash de leur hélicoptère Gazelle. Grièvement blessé, notamment avec de multiples fractures vertébrales, il avait réussi à les extraire sur une cinquantaine de mètres avant de les installer « de façon un peu artisanale sur les patins » d’un hélicoptère Tigre pour les extraire de la zone de combat, a rappelé lors d’un point presse le colonel Pascal Ianni, porte-parole des armées françaises. Un acte de bravoure remarquable.

Une pluie d’hommages

Le chef d'état-major a ainsi témoigné de sa « profonde émotion » envers « un héros qui s’était brillamment illustré lors de ses précédents engagements dans la BSS, en particulier lors de l’opération Aconit en juin 2019. »

La ministre des Armées, Florence Parly, a également rendu hommage au trentenaire. « […] Je m’incline devant son courage, son engagement profond au service de notre pays. Mes condoléances à sa famille […] », a-t-elle écrit.

Son décès porte à 52 le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations antidjihadistes Serval puis Barkhane. En 2021, deux soldats, dont une femme, tous deux du 2e régiment de hussards de Haguenau (Bas-Rhin), avaient été tués dans leur véhicule blindé léger (VBL) par un « engin explosif improvisé », lors d’une mission de reconnaissance et de renseignement.

Cinq jours avant, trois soldats du 1er régiment de chasseurs de Thierville-sur-Meuse (Meuse) avaient aussi été victimes d’une bombe artisanale. Ces attaques mortelles avaient été revendiquées par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al-Qaïda.

Ce nouveau décès intervient peu de temps après que Paris ait revendiqué la « neutralisation » en août au Mali du chef du groupe djihadiste État islamique dans le Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid al-Sahraoui, une opération qualifiée de « succès majeur » pour la France.

Sur décision d’Emmanuel Macron, la France a entrepris de réorganiser son dispositif militaire au Sahel, en quittant notamment les bases les plus au nord du Mali (Kidal, Tombouctou et Tessalit) et en réduisant le nombre de troupes dans la région d’ici 2023, à 2 500-3 000 hommes contre plus de 5 000 aujourd’hui. Un défi logistique qui exige une coordination étroite avec Bamako.

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Ou on lutte contres des barbares fantômes illuminés terroristes djihadistes qu'on ne peut éliminer car connaissant les pays où ils pratiquent leurs exactions à travers leurs multiples frontières poreuses non protégées par les pays africains eux-mêmes incapables de gérer leur sécurité et ayant recours à l'ancien vilain colonisateur français ou autres européens qu'ils n'aiment pas car considérés comme des troupes étrangères qui occupent leurs régions immenses !

Maliens entre autres et sa junte militaire qui a pris le pouvoir en renversant leur président et ce n'est pas la première fois dans ces pays gouvernés par des pseudos dictateurs totalitaires comme d'ailleurs une partie de ces populations africaines de l'ex AOF/AEF  ainsi que ceux de l'Afrique du nord  du Maghreb  qui préfèrent émigrer vers cette France qu'ils critiquent d'ailleurs en défilant dans des manifestations, car selon eux pas correctement traités, sauf que là, ils ont le droit de protester, car nous sommes dans un pays libre ou se droit existe encore et ou on en abuse !

Ce pauvre caporal qui a fait son métier a donné sa vie pour rien et a mis de la tristesse dans sa famille, comme d’autres avant lui et notre président versera comme d’habitude des larmes de crocodile comme d’autres présidents avant lui , les américains ont compris (ils y ont mis le temps) que de faire les gendarmes du monde avec l’AFGHANISTAN depuis plus de 20 ans ne servait à rien, la France en était déjà partie avant, alors pour l’Afrique, il faut faire pareil car c’est une mission stérile sans fin avec perte de nos soldats qui est gouffre sans fond financier en plus qui se vide comme le tonneau des Danaïdes !

Jdeclef 25/09/2021 16h12LP


vendredi 24 septembre 2021

Normal cette observation entre 2 personnages fats car d'ailleurs aussi nul l'un que l'autre !

 

Coignard – Mélenchon-Zemmour : match… nul !

CHRONIQUE. Un concours de citations et d’invectives, mais rien qui ressemble à un débat sur la France et ses enjeux dans cette confrontation d’ego.

D’un côté, un candidat déclaré à la présidentielle, dont c’est la troisième campagne et qui ne parvient pas à décoller dans les sondages. De l’autre, une vedette de la télévision et de l’édition, qui prend des airs de chattemite dès qu’on lui demande s’il va, ou non, se présenter à l’élection de 2022. C’était le débat dont tout le monde parlait. Deux bretteurs situés aux deux extrêmes de l’échiquier politique allaient s’affronter, deux heures durant, sur BFMTV.

D’emblée, chacun se récrie sur le plateau : pas question de s’abaisser à un vulgaire match de catch verbal. Et les deux débatteurs d’assurer, la main sur le cœur, qu’il n’en sera rien. « Jean-Luc Mélenchon comme moi sommes des gens qui plaçons l’avenir de la France dans la perspective de l’Histoire », dit Zemmour. « Ni guerre de coqs ni perfidie mondaine », promet son adversaire.

Débat Zemmour-Mélenchon : clash attendu entre frères ennemis

Ces engagements n’ont pas été tenus ne fût-ce que cinq minutes. « Vous êtes un danger à mes yeux, vous êtes un danger pour notre pays, vous êtes un raciste », lance Mélenchon. « Dans votre camp, depuis deux siècles, on ne débat pas, on guillotine, on n’invective pas, on ostracise », réplique Zemmour. Invités à s’exprimer sur deux thématiques principales, « La France est-elle en danger ? » et « Comment réduire la fracture sociale ? », les deux protagonistes ont donné libre cours à leurs obsessions personnelles : la tyrannie des riches pour l’un, celle de l’islamisation pour l’autre. L’éducation ? Le pouvoir d’achat ? Le développement économique ? La réindustrialisation ? La France dans l’Europe ? Il n’en a pas été question, ou si peu.

La politique spectacle

En conclusion, invités à décrire la France telle qu’ils la voient en 2050, l’un parle de la menace climatique et de la montée des eaux qui engloutirait la Camargue, le Marais poitevin ainsi que les villes de Dunkerque et Bordeaux, l’autre la libanisation du pays, soumis à la dictature des communautés, de la violence et de la misère. Mais, et c’est bien dommage, aucun des deux n’a sérieusement développé les réformes qu’il propose pour éviter que son scénario de cauchemar se réalise.

Présidentielle 2022 : dans les coulisses du « projet » Zemmour

Il faut espérer que ce moment de télévision n’augure n’a pas des débats à venir. La tentation du clash permanent et du spectacle à tout prix n’ont aucune chance de combattre les deux maux démocratiques du moment : la déconsidération de la parole politique et l’abstention qui en résulte.

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Il faut espérer que les Français gogos amateurs de ce genre de débats dit politiques télévisés ne voteront pas pour eux !?

Cela souligne la qualité médiocre de la classe politique actuelle et à venir ce qui n'augure rien de bon pour la suite !

La FRANCE ne peut sortir de l’ornière qui se creuse de plus en plus avec de tels candidats à l'élection présidentielle, pauvre pays qui glisse vers le fond entrainant les Français qui s'y laisserons prendre...

Jdeclef 24/09/2021 11h16


jeudi 23 septembre 2021

L’histoire de fausse diplomatie hypocrite n’a jamais cessée, car elle se reproduit sous d’autres formes militaro commerciales :

 

Sous-marins : l'Europe veut un « partenaire », pas un « grand frère »

Le porte-parole du gouvernement est revenu au micro de France Inter sur le dialogue entre Joe Biden et Emmanuel Macron en pleine crise diplomatique.

Vers un apaisement entre la France et les États-Unis ? Emmanuel Macron et Joe Biden ont promis, mercredi 22 septembre 2021 lors d’un appel téléphonique, de restaurer la confiance entre France et États-Unis après la crise des sous-marins australiens, qui aurait pu être évitée par « des consultations ouvertes » en amont, selon un communiqué commun de l’Élysée et de la Maison-Blanche. « Des consultations ouvertes entre alliés sur les questions d’intérêt stratégique pour la France et les partenaires européens auraient permis d’éviter cette situation. Le président Biden a fait part de son engagement durable à ce sujet », indique le communiqué.

En conséquence, les deux chefs d'État américain et français, qui se rencontreront « en Europe à la fin du mois d’octobre », ont « décidé de lancer un processus de consultations approfondies visant à mettre en place les conditions garantissant la confiance et à proposer des mesures concrètes pour atteindre des objectifs communs ». Dans ce contexte de détente, l’ambassadeur français aux États-Unis, Philippe Étienne, va retourner à Washington « la semaine prochaine », a décidé Emmanuel Macron. Paris avait annoncé vendredi le rappel des ambassadeurs aux États-Unis et en Australie, une décision sans précédent vis-à-vis de deux alliés historiques, après le torpillage d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra.

« Biden a reconnu la responsabilité des États-Unis dans la crise »

Au lendemain de cette rencontre, le porte-parole du gouvernement, Garbiel Attal, explique sur France Inter que « Joe Biden a reconnu la responsabilité des États-Unis dans la crise ». « Ce n'est pas banal que les États-Unis reconnaissent leurs torts dans un communiqué, insiste-t-il. Maintenant, il faut des actes. »

Derrière cette crise se joue également l'indépendance de la France et de l'Europe en matière de défense. « Joe Biden a compris que l'Europe ne cherchait pas un grand frère, mais un partenaire, affirme Garbiel Attal. Il reconnaît que l'Europe a vocation à se doter d'une défense importante et à être autonome. Avant, c'était l'Otan et point barre. Cela valide ce qu'Emmanuel Macron a dit sur la nécessité d'autonomie européenne et sur les insuffisances de l'Otan. »

La défense européenne doit compléter « le rôle de l’Otan »

Joe Biden a effectivement affirmé mercredi qu’il était « nécessaire que la défense européenne soit plus forte et plus performante » pour contribuer à la sécurité transatlantique et compléter « le rôle de l’Otan ». Les États-Unis « réaffirment que l’engagement de la France et de l’Union européenne dans la région Indo-Pacifique revêt une importance stratégique », ajoute le communiqué publié six jours après le déclenchement de la crise diplomatique la plus grave entre les États-Unis et la France depuis le « non » français à la guerre d’Irak en 2003.

Sous-marins : la France en difficulté dans la zone Indo-Pacifique

L’Union européenne et les États-Unis doivent travailler à « renforcer la confiance » dans leur partenariat après la crise franco-américaine, a de son côté estimé le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, au début d’une rencontre avec son homologue américain, Antony Blinken. « Nous pouvons renforcer la confiance entre nous », a-t-il dit, en évoquant une « semaine très agitée » jusqu’à présent dans les couloirs des Nations unies, dont l’assemblée générale a débuté mardi.

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Avec des accords de ventes d'armes de pointes (sous-marins) avec nos soi-disant alliés ?!

Mauvais souvenir de 1940 et de la signature d’un traité dit accord à l'issue de la conférence de Munich du 29 au .

Qualifié plus tard de chiffon de papier par Hitler ou l’on voyait le 1er ministre Chamberlain anglais et le français Daladier agiter celui-ci à la descente de l’avion en termes de victoire les feuillets, de ce soi-disant accord de (paix?)

Ou l’on voit que les alliances entre nos dirigeants occidentaux et autres ont peu de valeur notamment avec le USA protectionniste ou l’America first de D.TRUMP est toujours bien présente !

Bien sur certains diront que l’on n’est pas en guerre et que l’on ne risque pas de conflit, néanmoins les USA se protègent de la CHINE dans la région indopacifique concernant la protection leur base militaire de Guam, l’Australie, Taiwan et le Japon avec lesquelles, ils ont des accords de défense !

Ce n’est pas l’entretien téléphonique d’E.MACRON qui aplanira cette crise diplomatique par des paroles d’apaisement de ce monsieur si calme président US J.BIDEN, car le mal est fait !

D’ailleurs la colère de Mr "LE (B)RIAN" est logique, car en plus les Américains fourniront des sous-marins plus performants à propulsion nucléaire à l’Australie, même s’ils ne pourront pas envoyer de missiles nucléaires, ce qui tire un trait sur les accords de non-prolifération nucléaire et les conséquences qui vont avec !

Quand on est mal gouverné ou soi-disant protégés par des bienpensants donneurs de leçons, on a ce que l’on mérite, tant pis pour la France et les Français !

Jdeclef 23/09/2021 11h45LP