samedi 4 septembre 2021

Peu importe ce qu'ils sont car ce sont ces criminels lâches illuminés fanatiques barbares dit religieux lâches qui utilisent ce terrorisme islamique comme une arme de destruction sur des populations innocentes !

 

Attentats du 13 novembre 2015 : qui sont les vingt accusés ?

Mercredi 8 septembre s’ouvre le procès des attentats qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis. Un procès-fleuve qui doit durer neuf mois.

Ils sont vingt accusés, mais seuls onze d’entre eux vont prendre place dans le box mercredi 8 septembre, à l’ouverture du procès des attentats du 13 novembre 2015. Parmi eux figure Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos des attaques. Trois autres hommes comparaissent libres, placés en détention provisoire après leur interpellation, ils ont ensuite bénéficié d’une remise en liberté sous contrôle judiciaire.

Si la majorité des terroristes et responsables directs des attentats sont absents, tous les accusés présents encourent entre vingt ans de réclusion criminelle et la réclusion à perpétuité pour leur participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle et autres infractions connexes. Six autres accusés sont cependant absents du box de la salle d’audience, qui a été spécialement construite pour ce procès dans le palais de justice de Paris, sur l’île de la Cité. Pour ces six hommes, des mandats d’arrêt ont été émis. Certains sont présumés morts ou en fuite en zone irako-syrienne. Dans le cas d’un des accusés, détenu en Turquie, aucun accord n’a été trouvé avec les autorités turques pour permettre sa comparution en France.

Qui sont ces hommes, et surtout, que leur reproche l’accusation ?

Les accusés détenus

1. Salah Abdeslam

Principal accusé du procès des attentats, Salah Abdeslam est le seul membre encore en vie du commando qui a frappé Paris et Saint-Denis en 2015. Le 13 novembre, il conduit la voiture dans laquelle se trouvent les trois terroristes qui se feront exploser aux abords du Stade de France. Ce soir-là, il porte lui aussi une ceinture explosive. Il était initialement prévu qu’il déclenche son dispositif, mais il expliquera avoir renoncé à le faire au moment de déposer les passagers. Le gilet explosif en question sera retrouvé à Montrouge le 23 novembre 2015. Salah Abdeslam a donc roulé du Stade de France jusqu’au 18e arrondissement (où la Clio qu’il conduisait a été retrouvée). Il prend ensuite la ligne 4 du métro parisien jusqu’à Mairie-de-Montrouge, où le gilet sera découvert par les services techniques de la ville.

Les expertises techniques n’ont pas permis de savoir s’il avait cherché à activer le dispositif de mise à feu. Mais il a été prouvé que le système était défaillant. Impossible, donc, de savoir si Salah Abdeslam a renoncé à se faire exploser ou s’il n’est tout simplement pas parvenu à enclencher ses explosifs. Reste que le communiqué de revendication du groupe État islamique (EI) évoque, outre les attentats au Stade de France, sur les terrasses et au Bataclan, une attaque dans le 18e. L’endroit où Salah Abdeslam a abandonné sa Clio. À l’aube du 14 novembre, il est exfiltré vers la Belgique, où il sera arrêté le 18 mars 2016. Le rôle exact du djihadiste français de 30 ans né à Bruxelles, mutique depuis son transfèrement en France, sera au cœur des débats.

Salah Abdeslam : histoire d’une déshumanisation

2. Mohamed Abrini

Il est « l’homme au chapeau » de l’aéroport de Zaventem. Mais avant d’être impliqué dans les attentats de Bruxelles, Mohamed Abrini est celui qui a accompagné Salah Abdeslam en région parisienne deux jours avant les attentats du 13 Novembre. Il avait été filmé dans une station-service de l’Oise en sa compagnie, à bord de la Renault Clio qui sera ensuite utilisée par le commando du Stade de France. Il a ensuite accompagné le terroriste à Alfortville pour y louer une chambre d’hôtel où vont vivre les quatre membres du commando du stade avant les faits.

Une fois les attentats commis, Abrini devient le deuxième homme le plus recherché après Salah Abdeslam. Ils côtoient tous les deux les mêmes planques en Belgique. Avec deux autres hommes également impliqués dans les attentats de Paris, ils quitteront la dernière planque connue de Salah Abdeslam à Forest pour se réfugier ailleurs. Il quitte cette cache le 22 avril pour se rendre à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem, où deux kamikazes vont commettre un attentat suicide. Lui s’échappe à nouveau. Il sera interpellé le 8 avril 2016 dans la commune d’Anderlecht.

Attentats de Bruxelles : une riposte de loups aux abois

3. Mohammed Amri

Originaire du Maroc et vivant en Belgique, Mohammed Amri, 33 ans, est un des deux hommes venus chercher Salah Abdeslam à Châtillon (Hauts-de-Seine) après les attentats pour l’exfiltrer en Belgique. C’est lui que Salah Abdeslam a contacté le premier. Mohammed Amri est un proche des frères Abdeslam, dont il a longtemps fréquenté le café Les Béguines à Molenbeek. Remis à la France le 6 juillet 2016, Mohammed Amri, qui était sous le coup d’un mandat d’arrêt européen émis par Paris, va devoir répondre des chefs d’association de malfaiteurs terroriste criminelle et recel de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste.

4. Mohamed Bakkali

Proche des frères Ibrahim et Khalid El Bakraoui – qui se sont tous les deux fait exploser lors des attentats du 22 mars 2016 à Bruxelles –, Mohamed Bakkali est accusé d’avoir facilité la préparation et la commission des attentats de Paris, notamment en louant plusieurs appartements utilisés pour loger clandestinement les terroristes arrivés en Belgique, fabriquer des ceintures explosives et stocker les armes. Il est également accusé d’avoir coordonné – avec les frères El Bakraoui – le retour de Syrie des trois terroristes du Bataclan, en leur envoyant sous une fausse identité un mandat Western Union en Hongrie. Originaire de Belgique, cet homme de 34 ans est aussi soupçonné d’avoir véhiculé les membres du commando du Bataclan à leur retour de Syrie et de s’être rapproché de ses connaissances pour leur procurer des kalachnikovs.

5. et 6. Muhammad Usman et Adel Haddadi

Muhammad Usman, un Pakistanais de 28 ans, et Adel Haddadi, un Algérien de 34 ans, sont tous les deux interpellés le 15 novembre 2015 dans un camp en Autriche. Après avoir effectué un séjour en Syrie, les deux hommes ont convoyé par plusieurs pays avec les deux Irakiens qui se feront plus tard exploser au Stade de France. Passés par la Grèce, ils vont être arrêtés une première fois avant d’être relâchés, tandis que les deux Irakiens parviennent, eux, à poursuivre leur chemin. Tous deux continuent d’emprunter le chemin logique pour se rendre en France, ce qui selon l’accusation est la preuve qu’ils avaient accepté la mission d’y commettre un attentat. Ils seront finalement arrêtés dans le camp de réfugiés de Salzbourg le surlendemain du 13 novembre. Pour les magistrats instructeurs, il est possible de déduire de leur parcours que les deux hommes étaient en route pour rejoindre le groupe terroriste et que l’action déclenchée en région parisienne avant leur arrivée a stoppé leur progression. Impossible, donc, pour l’heure, de connaître le rôle exact qu’ils auraient dû jouer.

7. Farid Kharkhach

Il est reproché à cet homme de 39 ans ayant la double nationalité belgo-marocaine d’être l’intermédiaire entre le groupe terroriste et le réseau de fabrication de faux documents administratifs dit « Catalogue ». C’est ce réseau qui a fabriqué nombre de faux papiers utilisés par les membres du groupe terroriste. Des documents destinés à favoriser le retour en Europe de terroristes formés au sein de l’EI en zone irako-syrienne.

8. Yassine Atar

Yassine Atar est le frère cadet d’Oussama Atar, dit « Abou Ahmad », commanditaire supposé des attentats de Paris, qui aurait dirigé toute l’opération depuis la Syrie et qui est présumé mort depuis 2017. Les frères Atar sont par ailleurs les cousins des frères El Bakraoui, logisticiens des attentats du 13 Novembre, qui se sont fait exploser dans la capitale belge. Yassine Atar sera interpellé quelques jours après le double attentat commis à Bruxelles, en possession d’une clé de l’appartement de Schaerbeek ayant servi de planque à Salah Abdeslam, de retour de Paris après les attentats.

9. Ali El Haddad Asufi

Ali El Haddad Asufi est considéré comme l’un des logisticiens de la cellule djihadiste franco-belge, proche des El Bakraoui. Né en 1984 à Bruxelles, Ali El Haddad Asufi était, selon l’accusation, « de façon récurrente » en contact avec les membres de la cellule franco-belge responsable des attentats de Paris. Les investigations démontrent notamment qu’il a fréquenté des planques utilisées par les djihadistes pour préparer les attaques. Le suspect a plus particulièrement été en contact, à plusieurs reprises, avec Ibrahim El Bakraoui, qui s’est fait exploser à l’aéroport de Zaventem. Cet accusé est par ailleurs soupçonné d’avoir été en contact avec des individus soupçonnés de trafic d’armes. Il a été remis à la France par la Belgique en juin 2019.

10. Osama Krayem et 11. Sofien Ayari

Sofien Ayari pendant le procès d'Abdeslam à Bruxelles.

Osama Krayem, 29 ans, originaire de Suède, et Sofien Ayari, un Tunisien de 28 ans, ont séjourné dans les rangs du groupe État islamique en Syrie dès 2014, avant de revenir en Europe en septembre 2015, infiltrés parmi les migrants avec d’autres futurs terroristes. Ils auraient vécu dans diverses planques avec tous les membres des attentats de Paris et de Bruxelles, où leurs empreintes ont été retrouvées. Osama Krayem devait vraisemblablement participer aux attentats de Paris puis Bruxelles, mais aurait renoncé à se faire exploser à deux reprises. Il est désigné comme étant celui qui discute avec Khalid El Bakraoui juste avant que celui-ci ne se fasse exploser dans une rame du métro à Bruxelles. Les enquêteurs les soupçonnent tous les deux d’avoir voulu commettre ou préparer un attentat à l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol parallèlement aux attaques parisiennes. Osama Krayem sera arrêté le 8 avril 2016 avec Mohamed Abrini tandis que Sofien Ayari avait été interpellé quelques jours avant, en compagnie de Salah Abdeslam.

Les accusés sous contrôle judiciaire

12. Hamza Attou

Hamza Attou, né en 1994 à Bruxelles, fait partie du convoi – avec Mohammed Amri – venu chercher Salah Abdeslam au petit matin du 14 novembre à Châtillon (Hauts-de-Seine). Ils seront d’ailleurs tous les trois contrôlés par des gendarmes français à hauteur de Cambrai, sans être interpellés. Selon les déclarations de Hamza Attou, c’est dans la voiture direction la Belgique que Salah Abdeslam leur aurait confié avoir participé aux attentats du 13 Novembre. Il affirme qu’avec Mohammed Amri, ils ont accompagné Salah Abdeslam dans un marché à Laeken, où le survivant des commandos aurait acheté des vêtements, un téléphone et une carte SIM. Il en profitera également pour se raser la tête et la barbe. Après cet épisode, Mohammed Amri repart, tandis qu’un troisième homme rejoint Hamza Attou et Salah Abdeslam. Il s’agit d’Ali Oulkadi.

13. Ali Oulkadi

Appelé par Hamza Attou à la demande de Salah Abdeslam, Ali Oulkadi, 37 ans, débarque le 14 novembre pour rejoindre les deux hommes. Ali Oulkadi est le meilleur ami de Brahim Abdeslam, le frère de Salah. Tous les trois se rendent dans un café. C’est, selon Ali Oulkadi, à cet instant que Salah Abdeslam l’informe de ce qu’il s’est passé à Paris. En sortant du café, Ali Oulkadi et Salah Abdeslam déposent Hamza Attou sur la route puis prennent la direction de Schaerbeek, où Salah Abdeslam disposera d’une cache. Aux enquêteurs, Ali Oulkadi a précisé qu’après avoir déposé le seul survivant des commandos, les deux hommes s’étaient dit qu’ils ne se reverraient jamais. Selon lui, c’est pour être déposé dans une voiture différente de celle qui l’a récupéré que Salah Abdeslam aurait décidé de le faire appeler.

14. Abdellah Chouaa

Fils d’un imam controversé de Molenbeek, Abdellah Chouaa se voit essentiellement reprocher d’avoir apporté son aide à Mohamed Abrini, dont il était très proche, à l’occasion du voyage que ce dernier avait fait en Syrie puis en Angleterre en juillet 2015. C’est Abdellah Chouaa qui, notamment, aurait déposé Abrini à l’aéroport pour que ce dernier rejoigne l’EI en zone irako-syrienne.

Les accusés qui font l’objet de mandats d’arrêt

15. Oussama Atar, dit « Abou Ahmad »

Le frère aîné de Yassine Atar est un vétéran du djihad. Parti en Syrie en 2003 pour y suivre des cours d’arabe, il avait rejoint Falloujah en Irak en 2004 pour prendre part aux combats contre les troupes américaines. Fait prisonnier puis condamné à 20 ans de prison par un tribunal irakien, Oussama Atar est détenu de 2005 à 2012. C’est pendant ce séjour dans les geôles irakiennes qu’il se lie avec « Abou Mohammed al-Adnani », futur porte-parole de l’État islamique, qui l’introduira à « Abou Bakr al-Baghdadi », calife autoproclamé de l’EI. Après un court séjour en Belgique, il part pour la Syrie, devient en 2014 « émir » et dirige la cellule des opérations extérieures. Les enquêteurs le soupçonnent aujourd’hui d’avoir coordonné les attentats de Paris et Bruxelles depuis la Syrie. Il a été désigné comme le recruteur des deux kamikazes irakiens ayant déclenché leurs ceintures piégées aux abords du Stade de France, à Saint-Denis, le 13 novembre 2015, et est soupçonné d’être l’homme à qui les terroristes ont soumis leur plan d’action avant de se faire exploser dans la capitale belge. D’après des renseignements concordants, Oussama Atar aurait été tué par une frappe de drone le 17 novembre 2017, même s’il n’existe aucune certitude de son décès.

13 novembre 2015 : comment les attentats ont-ils été préparés par l’EI ?

16. X… se disant Ahmad Alkhald (pouvant être Omar Darif)

Il est considéré comme le seul acteur majeur des commandos du 13 Novembre parvenu à prendre la fuite. Sous ce nom d’emprunt se cacherait Omar Darif, Syrien à la date de naissance inconnue. Pour les enquêteurs, il est l’un des principaux artificiers de Daech, missionné pour fabriquer les explosifs utilisés lors des attentats du 13 Novembre. Son ADN a été retrouvé sur des ceintures d’explosifs utilisées à Paris et dans plusieurs planques belges des commandos. Arrivé en Europe en septembre 2015, il regagne la Syrie deux semaines avant les attentats, continuant de donner des consignes aux futurs terroristes. Après les attentats de Paris, la cellule belge continuera de le solliciter pour des conseils techniques en matière d’explosifs. Il aurait été tué lors d’un bombardement aérien en février 2016.

17. Ahmed Dahmani

Incarcéré en Turquie, ce Belge de 26 ans, intime de Salah Abdeslam, est au cœur des investigations sur les attaques du 13 Novembre. Il devra cependant être jugé en son absence. Aucun accord n’a été trouvé avec les autorités turques pour permettre sa comparution en France. Il était, selon l’accusation, en relation téléphonique avec deux commandos de Daech en Europe. Il pourrait être celui qui a aidé les terroristes à entrer en Europe.

18. Fabien Clain et 19. Jean-Michel Clain

Ils sont les « voix de Daech ». Ces deux vétérans du djihad français, notamment connus pour avoir revendiqué les attentats du 13 Novembre au nom de l’État islamique, s’étaient radicalisés au contact d’Olivier Corel, alias « l’émir blanc » et à l’origine de la filière dite d’Artigat, du nom d’une commune d’Ariège où il a dispensé un enseignement fondamentaliste à de nombreux jeunes. L’aîné, Jean-Michel, est le premier à quitter le territoire national, en 2014, accompagné de sa femme, Dorothée Maquere, et de leurs cinq enfants. Fabien Clain ne tardera pas à lui emboîter le pas. En février 2015, il part avec Mylène Foucre, sa femme, leurs enfants et sa mère, Marie-Rosanne Grosset. Pour les enquêteurs, Mylène Foucre tient un rôle important dans l’enquête sur les attentats de Paris : elle serait celle qui a permis d’établir un lien matériel entre les frères Clain et les attentats de novembre 2015. Sa photo figurait en effet sur une carte d’identité belge falsifiée et utilisée, avec d’autres papiers frauduleux, pour louer des planques aux membres du commando.

Djihadisme : la sœur aînée des frères Clain de nouveau devant la justice

En Syrie, les frères Clain sont « les voix françaises du djihad ». Le 14 novembre 2015, un message intitulé Communiqué sur l’attaque bénie de Paris contre la France croisée est publié sur le site de propagande de l’EI. Dans ce communiqué audio, l’anasheed « Avance, avance » démarre ainsi : « Huit frères portant des ceintures d’explosifs et des fusils d’assaut ont pris pour cibles des endroits choisis minutieusement à l’avance au cœur de la capitale française […] ; le bilan de ces attaques est de minimum 200 croisés tués et encore plus de blessés. » Des propos immédiatement attribués à Fabien Clain. Spécifiquement visés par une frappe aérienne, les deux propagandistes ont été tués en février 2019 à Al-Baghouz, dernier bastion de l’État islamique dans l’Est syrien.

Procès Clain : le djihad, une affaire de famille

20) Obeida Aref Dibo

Surnommé Abou Walid al-Souri, il aurait occupé de hautes fonctions au sein de l’EI et est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation des attentats du 13 Novembre. Il était un cadre de la cellule des opex et travaillait sous les ordres directs d’Oussama Atar. Il aurait également été sollicité pour contrefaire de faux passeports syriens pour quatre des djihadistes ayant quitté la Syrie le 1er octobre 2015. Il aurait été tué par une frappe aérienne en février 2016.

--------------------------------

Qui ne veulent pas adhérer à leurs dogmes obscurantistes moyenâgeux et qui continuent toujours leurs exactions depuis plus de 20 ans en occident et partout dans le monde !

A l’image de cet état islamique DAESH qu’ils ont créé et avant AL QUAIDA spécialiste des attentats terroristes islamiques et BEN LADEN leur leader parmi d’autres qui a été éliminé avec difficulté par les USA !

Etant donné que nos états démocratiques libres occidentaux et autres n’ont pas été capables de s’unir rigoureusement pour lutter et éradiquer ce fléau !

Ce procès fleuve coute une fortune et est bien trop long, car pour les victimes et les familles de celles décédées on peut douter que les peines encourues soient assez sévères et de l’application de celles-ci avec rigueur dans notre justice française et son code pénal inadapté pour ce type de crime terroristes ces individus sont coupables alors qu’ils prennent tous le maximum et soient contents de ne pas avoir été abattu lors de leurs arrestation !

Pour ce type de crime terroriste islamique, il faut une justice d’exception, car « ces fous de dieu » barbares ne respectent pas les droits de l’homme, encore moins ceux de la femme et n’ont aucun respect de la vie humaine, donc quand on arrive à les arrêter, il ne faut plus qu’ils ressortent et donc subissent une vraie prison à vie !

Jdeclef 04/09/2021 10h47LP


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire