Marseille :
Emmanuel Macron fait sa rentrée ?!
Le
président sera accueilli dans une classe de cm2. Il va également
détailler, ce jeudi, un plan d’urgence pour la ville, intitulé « Marseille
en grand ».
Ce
jeudi 2 septembre, Emmanuel Macron poursuit sa visite à Marseille en
assistant à la rentrée dans une école. Après avoir plongé dans les problèmes
d’insécurité des cités du nord de la ville, le président détaillera un plan
d’urgence pour Marseille. Pour cette deuxième journée de visite, le chef de
l’État va retourner dans les quartiers nord, les plus populaires de la ville.
Le président sera accueilli à 9 h 30 dans une
classe de cm2 de l’école Bouge, dans le 13e arrondissement, le jour
de la rentrée scolaire avec le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer et
le maire socialiste Benoît Payan. Il fera le point sur le protocole sanitaire
mis en place pour cette deuxième rentrée affectée par la pandémie du Covid-19.
Plus spécifiquement, il s’entretiendra aussi avec les enseignants
et des parents d’élèves sur la nécessité de rénover cette petite école de
quartier, dont certains équipements, comme le gymnase, sont très dégradés, ce
qui est également le cas dans de nombreuses écoles de la ville. Cette
visite de terrain sera suivie par la présentation, dans l’après-midi au palais
du Pharo, du plan « Marseille en grand » qui comprendra une série de
mesures et de projets, « coproduits avec les collectivités », selon
l’Élysée, pour un montant qui n’a pas été dévoilé mais devrait dépasser le
milliard d’euros.
Rentrée scolaire et Covid : l’école en
sursis
Emmanuel Macron annoncera notamment que l’État
participera largement au vaste plan de rénovation, lancé par la municipalité,
de plus de 200 des 472 écoles de la ville. Préfabriqués
parfois installés depuis des années ou, dans certains établissements, rats dans
les salles de classe, toit qui s’effondre ou punaises de lit dans les
dortoirs : « Les écoles sont indignes de la République », résume
Benoît Payan, qui évalue à 1,2 milliard d’euros les besoins de
financement de la première tranche.
« Beaucoup de choses qu’on va lancer n’auront pas de
résultats tout de suite, je suis lucide »
L’éducation est l’une des trois priorités de ce vaste plan,
présenté comme « historique », pour permettre à la deuxième cité de France
– près de 900 000 habitants pour la ville et de 1,6 million pour
l’agglomération – de tenter de rattraper son retard. Les deux autres sont les
transports collectifs dans une ville qui ne compte que deux lignes de métro et
la réhabilitation des logements insalubres près de trois ans après le drame de
l’effondrement d’immeubles dans la rue d’Aubagne. Il devrait annoncer un
programme pour l’hôpital de la Timone.
Coignard – Marseille ou les ravages
de l’omerta
« Bien sûr que cela suscite de l’espoir. Après il ne faut pas
que ce soit un one-shot »,
a réagi le maire de Marseille concédant que « tout ne sera pas fait en six
mois, pas en un an ». « On va vous voir aujourd’hui et après on va
plus vous revoir, c’est pour cela qu’on vous demande de faire quelque chose
pour les cités de Marseille », a lancé Bilal, un éboueur de 32 ans
dans la cité populaire de Bassens.
Mélenchon dénonce « le pèlerinage des promesses » du
président
« Il est nécessaire que nous ayons des résultats » pour
que « nos habitants voient véritablement qu’il y a une différence »,
a reconnu de son côté la présidente LR de la métropole, Martine Vassal. Mais
Jean-Luc Mélenchon (LFI), présent comme député à une réunion avec les élus
locaux, a dénoncé « le pèlerinage des promesses » du président, qui
« est en campagne électorale », en pariant que « pas un euro de
ces promesses ne sera dépensé avant l’élection ».
À huit mois de la présidentielle, ce déplacement est largement
commenté sur la scène politique nationale, l’opposition de droite concentrant
ses critiques sur le bilan sécuritaire d’Emmanuel Macron à Marseille, et au-delà
au niveau national, tandis que la gauche demande que l’État mette plus de
moyens dans les services sociaux.
Après un dîner jeudi avec le chef du gouvernement italien Mario
Draghi, Emmanuel Macron consacrera la journée de vendredi à l’environnement,
avec une sortie en mer dans le Parc national des Calanques et l’ouverture du
Congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature
(UICN), qui se tient à Marseille jusqu’au 11 septembre.
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En
faisant de la mauvaise politique politicienne stérile !
Car
loin d'avoir été éliminée par les français lambda qui croyaient au changement
qu'ils réclament depuis 40 ans!?
Donc
E.MACRON ne fait pas sa rentrée politique à MARSEILLE qui nécessite un
traitement de choc en assainissant toutes ces habitations écoles ou quartiers
divers insalubres ou les rats et la vermine pullule parmi une population plus
pauvre qu’ailleurs en France !
Parce
que les municipalités de quelques bords que se soient, leurs maires, et nos
dirigeants au plus haut de l’état ont laissé tomber la 2eme ville de France pendant
des décennies entrainant bien sur une économie parallèle illicite, trafics, gangstérisme
et délinquance avec un clientélisme qui est devenu une particularité de
cette ville!?
Il
faut mettre au travail les habitants de cette grande ville, dans tous les corps
de métier, car c’est à eux de le faire, puisqu’ils y vivent en leur donnant les
moyens, la formation et la volonté de la reconstruire et en éliminant ceux qui voudraient
ne pas y participer ou préfèreraient continuer leurs trafics illicites ou
crimes divers pour s’enrichir sur le dos des plus faibles !
Car
le soleil du sud est et la plage, ça ne suffit pas, il faut que les marseillais
se secouent pour bénéficier de leur ville qui a du potentiel, mais il ne faut
pas hésiter à faire le ménage ou il faut en nettoyant avec force et volonté les
écuries d’AUGIAS et se retrousser les manches !
Et
il faut arrêter les discours creux et cette culture de bien-pensant donneurs de
leçons hypocrites qui n’aide personne, car E.MACRON en 8 mois ne fera rien de
plus, il fallait qu’il agisse au minimum au début de son quinquennat car rattraper
40 ans de laisser aller, çà prend beaucoup plus de temps !
Jdeclef
02/09/2021 15h06
Quand on critique MACRON sur le point ses modérateurs bornés ne peuvent s'empêcher de faire de la censure arbitraire stérile car la vérité et la simple logique les gênent pourtant al liberté d'expression existe et inscrite dans notre constitution et certains médias l'ignorent comme certains politiciens divers qui la voudrait plus rigide c'est pitoyable en FRANCE pays libre et démocratique !?
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