Mali : un soldat français
a été tué au combat
Le caporal-chef de
34 ans, Maxime Blasco, est mort en combattant le terrorisme au Mali, ce
vendredi, sous les balles d’un tireur embusqué.
Un
soldat français a été tué au combat au Mali ce vendredi, a annoncé l’Élysée
dans un communiqué, alors que la France entame le désengagement partiel de la
force Barkhane au Sahel dans un contexte tendu entre Paris et Bamako.
Le caporal-chef, Maxime Blasco, du 7e bataillon de
chasseurs alpins de Varces (Isère), 34 ans, est mort au combat
« contre un groupe armé terroriste », a précisé le communiqué.
Selon l’état-major des armées, la victime a été tuée « au cours d’une
opération de reconnaissance et de harcèlement » dans la région de Gossi, à
proximité de la frontière entre le Mali et le Burkina Faso. « Des éléments
d’un groupe armé terroriste ont été détectés par un drone Reaper tôt dans la
matinée, dans la forêt de N’Daki », a ajouté l’état-major.
Touché par un tireur embusqué
En effet, Maxime Blasco avait reçu en juin la médaille militaire
« pour la valeur exceptionnelle de ses services », a précisé la
présidence de la République, évoquant « l’émotion particulièrement
vive » du président Emmanuel Macron.
Une pluie d’hommages
Le chef d'état-major a ainsi témoigné de sa « profonde
émotion » envers « un héros qui s’était brillamment illustré lors de
ses précédents engagements dans la BSS, en particulier lors de l’opération
Aconit en juin 2019. »
La ministre des Armées, Florence Parly, a également rendu hommage au
trentenaire. « […] Je m’incline devant son courage, son engagement
profond au service de notre pays. Mes condoléances à sa famille […] »,
a-t-elle écrit.
Son décès porte à 52 le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans
les opérations antidjihadistes Serval puis Barkhane. En 2021, deux soldats,
dont une femme, tous deux du 2e régiment de hussards de Haguenau
(Bas-Rhin), avaient été tués dans leur véhicule blindé léger (VBL) par un
« engin explosif improvisé », lors d’une mission de reconnaissance et
de renseignement.
Ce nouveau décès intervient peu de temps après que Paris ait
revendiqué la « neutralisation » en août au Mali du chef du groupe
djihadiste État islamique dans le Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid
al-Sahraoui, une opération qualifiée de « succès majeur » pour la
France.
Sur décision d’Emmanuel Macron, la France a entrepris de
réorganiser son dispositif militaire au Sahel, en quittant notamment les bases
les plus au nord du Mali (Kidal, Tombouctou et Tessalit) et en réduisant le
nombre de troupes dans la région d’ici 2023, à 2 500-3 000 hommes contre
plus de 5 000 aujourd’hui. Un défi logistique qui exige une coordination
étroite avec Bamako.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ou on lutte contres des barbares fantômes
illuminés terroristes djihadistes qu'on ne peut éliminer car connaissant les
pays où ils pratiquent leurs exactions à travers leurs multiples frontières
poreuses non protégées par les pays africains eux-mêmes incapables de gérer
leur sécurité et ayant recours à l'ancien vilain colonisateur français ou
autres européens qu'ils n'aiment pas car considérés comme des troupes
étrangères qui occupent leurs régions immenses !
Maliens entre autres et sa junte militaire qui
a pris le pouvoir en renversant leur président et ce n'est pas la première fois
dans ces pays gouvernés par des pseudos dictateurs totalitaires comme
d'ailleurs une partie de ces populations africaines de l'ex AOF/AEF ainsi que ceux de l'Afrique du nord du Maghreb qui préfèrent émigrer vers cette France qu'ils
critiquent d'ailleurs en défilant dans des manifestations, car selon eux pas correctement
traités, sauf que là, ils ont le droit de protester, car nous sommes dans un pays
libre ou se droit existe encore et ou on en abuse !
Ce pauvre caporal qui a fait son métier a donné
sa vie pour rien et a mis de la tristesse dans sa famille, comme d’autres avant
lui et notre président versera comme d’habitude des larmes de crocodile comme d’autres
présidents avant lui , les américains ont compris (ils y ont mis le temps) que
de faire les gendarmes du monde avec l’AFGHANISTAN depuis plus de 20 ans ne
servait à rien, la France en était déjà partie avant, alors pour l’Afrique, il
faut faire pareil car c’est une mission stérile sans fin avec perte de nos
soldats qui est gouffre sans fond financier en plus qui se vide comme le tonneau
des Danaïdes !
Jdeclef 25/09/2021 16h12LP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire