lundi 30 avril 2018

Il semble que ce projet de service national si cher au président soit un peu utopique !


Service national universel : Les Républicains déjà inquiets du projet

VIDÉO. Alors que les modalités précises que prendra ce service national universel ne sont pas connues, Les Républicains mettent en garde contre son financement.

Les Républicains ont dénoncé, lundi, le flou autour du projet de service national universel (SNU) souhaité par Emmanuel Macron, alertant sur un dispositif « très cher » et qui nécessiterait « un déploiement humain important ». « Emmanuel Macron ne sait pas comment se dépêtrer d'une promesse de campagne qui [...] lui a permis assurément de gagner quelques points, et il se rend compte maintenant qu'on ne lance pas ça au hasard », a critiqué Laurence Saillet, porte-parole de LR, sur Sud Radio. « Le principe d'un service national oui, mais quelque chose de sérieux qui soit utile et budgété, pas un rassemblement à un mois juste pour dire qu'il fait ce qu'il a dit », a-t-elle plaidé, mettant en garde contre « un déploiement humain important » et des forces armées qui « n'ont absolument pas envie de s'engager là-dedans ».
Le 16 février, le président de la République s'était prononcé en faveur d'un service national obligatoire, d'une durée de trois à six mois, qui pourra prendre une « forme civique ». Mais la mesure suscite des doutes en raison de son coût et des capacités d'accueil des armées, réduites depuis la suppression en 1997 du service militaire. Selon des informations du Journal du dimanche, un service national obligatoire d'un mois, pour tous les jeunes d'une certaine classe d'âge, dont une partie en internat, serait désormais le scénario privilégié par le groupe de travail en charge du dossier.

Le financement en question

« Ce n'est pas forcément une mauvaise idée en soi, mais la question, c'est de savoir combien de temps ? Comment est-ce qu'on le finance ? Est-ce que c'est les crédits de l'armée qui vont être amputés pour une solution qui forcément va être coûteuse », a demandé sur LCP Gilles Platret, également porte-parole de LR. De son côté, le député PS Régis Juanico y voit « une idée farfelue et impraticable ».
« Aucune institution de notre pays n'a aujourd'hui la capacité matérielle et humaine d'encadrement pour accueillir des jeunes en internat pendant un mois (le nombre de places vacantes en internat de l'Éducation nationale est de 48 000...) » et « la durée d'un mois serait un facteur de désorganisation majeure dans la vie étudiante ou professionnelle des jeunes », fait valoir l'élu de la Loire dans un communiqué. « Plutôt qu'un moment limité d'un mois, à partir de 16 ans, soit très tard, mieux vaut renforcer comme nous l'avons fait ces dernières années, par exemple, dans la loi égalité et citoyenneté en 2015, un parcours citoyen de l'école à l'université en favorisant et en reconnaissant l'engagement dès le plus jeune âge, avec une montée en puissance du service civique, mission d'intérêt général au service d'une collectivité ou association, d'une durée moyenne de huit mois, comme étape-clé pour le plus grand nombre », ajoute Régis Juanico.
Selon les options retenues, la facture – évaluée à deux ou trois milliards d'euros par an initialement par le candidat Macron – variera de « un à dix », souligne-t-on au ministère des Armées.

Avec le recul quand CHIRAC a supprimé le service militaire national, il aurait été plus judicieux de le réduire en durée et moyens en le transformant plutôt que de le supprimer !

Car E.MACRON veut refaire un service national ersatz de l’ancien et surtout pour un mois ce qui est bien trop court, même si l’idée peut paraître bonne pour une certaine jeunesse désœuvrée ou en décrochage scolaire, voire en primo délinquance ?!

Mais bien sûr comme les casernements et encadrements ont été dissous remettre cela en place coûtera fort cher et pour 1 mois c’est du temps et de l’argent perdu, six mois au minimum serait plus utile !

Et en cette période ou l’état a toujours besoin d’argent, la France et donc l’état en ont-ils les moyens, car il y a d’autres priorités plus urgentes dans les réformes que le président veut réaliser ?!

Il est à craindre que ce désir (ou plaisir) d’un président monarque de refaire ce qui existait avant sur une forme édulcorée ne soit qu’une chimère et peut être sa 1 ere erreur difficile à faire comprendre aux français lambda qui ont d’autres besoins plus urgents ?!

Jdeclef 30/04/2018 14h43

Toujours les mêmes polémiques logiques pour de tels prédateurs malades...


Nord : l'homme interpellé a avoué le meurtre d'Angélique

L'homme de 45 ans interpellé par la police, qui a « avoué les faits », avait déjà été condamné en 1996 pour des faits de viol avec arme.

L'homme de 45 ans soupçonné d'avoir tué Angélique, l'adolescente de 13 ans retrouvée morte dans la nuit de samedi à dimanche à Quesnoy-sur-Deûle (Nord), a « avoué les faits », a affirmé ce dimanche 29 avril le parquet de Lille. Placé en garde à vue la veille « en fin de journée », cet habitant de Wambrechies, commune proche de Lille où l'adolescente a disparu le mercredi 25 avril, « a très rapidement avoué les faits, et a emmené » les enquêteurs à « l'endroit où il avait abandonné le corps de la jeune fille », ajoute le parquet dans un communiqué.
Le parquet de Lille a précisé que l'homme avait déjà été condamné pour viol. « Sur le casier judiciaire de l'homme mis en cause est mentionnée une condamnation datant de 1996 pour des faits commis en 1994, qualifiés de viol avec arme, attentats à la pudeur aggravés et vol avec violence », a indiqué le parquet dans un communiqué. Selon cette source, le suspect « était inscrit au fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ». Selon les informations du Parisien, les faits concernaient une mineure de 13 ans à La Madeleine, dans le département du Nord. Le meurtrier présumé d'Angélique avait alors été condamné à neuf ans de prison et était sorti en 2000, après avoir purgé quatre ans, comme le permet la loi. Selon le quotidien, l'homme de 45 ans est père de deux enfants et travaille pour une entreprise de transport.
Le corps d'Angélique a été découvert « dans la nature » par la police, avait précisé une source. Angélique avait disparu dans la commune voisine de Wambrechies, alors qu'elle avait laissé un mot dans lequel elle disait rejoindre des copines. Elle n'était jamais rentrée. La police, jugeant la disparition « inquiétante », avait diffusé un avis de recherche vendredi. Samedi 28 avril, les policiers avaient entendu un jeune garçon de 10 ans qui affirmait avoir vu Angélique rejoindre un homme dans un parc près de son domicile. Une battue avait été organisée à Wambrechies vendredi après-midi rassemblant une centaine de personnes, dont des proches de la jeune fille. Une autre était prévue dimanche après-midi à Marquette-lez-Lille, commune voisine de Wambrechies.
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Une peine pas assez sévère, une surveillance inefficace malgré un fichage qui permet de les retrouver, mais insuffisant à la sortie de prison, un suivi médical laxiste etc…

Les pédophiles meurtriers sont plus nombreux que l’on croit et difficiles à découvrir car ce sont souvent des messieurs lambda comme tout le monde et souvent mariés avec famille !

La psychiatrie médecine aléatoire ne permet pas de les guérir efficacement et se trompe souvent et la castration chimique ou même chirurgicale ne garantit pas leur instincts meurtriers !

Il faudrait les enfermer très longtemps pour se garantir contre les récidives, quand ils ont des casiers chargés comme celui-là !

Car cela se termine sur des drames d’enfants innocents et ne pas les relâcher en les oubliant car eux n’oublient pas leurs instincts de prédateurs !

Et après « une marche blanche ou tout le monde dit plus jamais ça » et puis on oublie, sauf pour les parents de cette pauvre petite fille qui a souffert, tout cela pour donner bonne conscience !

Aux bien-pensants hypocrites donneurs de leçons de notre justice laxiste et code pénal inadapté pour ces types de crimes odieux !

La France est un pays trop libre car sans gardes fous efficaces !

Jdeclef 30/04/2018 10h07 LP

C'est de l'affichage et de la mauvaise communication pour médias et gogos qui si laissent prendre…


Taxe d'habitation, courses... le couple Macron règle ses dépenses personnelles

Depuis son arrivée à l'Élysée, le couple présidentiel prend grand soin de régler la quasi-totalité de ses frais personnels, selon « Le Parisien ».


Croquettes pour Némo, dentifrice, chambre d'hôtel lors des déplacements... Brigitte et Emmanuel Macron mettent un point d'honneur à payer eux-mêmes leurs dépenses personnelles. Tout comme François Hollande le faisait, le couple Macron a choisi de sortir le chéquier et la carte bleue pour régler la quasi-totalité de ses frais, révèle Le Parisien. Normal ? Certes. Mais pas forcément toujours pratiqué...
Alors qu'il ne débourse aucun centime pour vivre dans les appartements du palais de l'Élysée, il s'acquitte toutefois d'une taxe d'habitation. Les frais liés à sa sécurité sont également pris en charge par l'État, mais il adresse un chèque au ministère de la Défense dès lors qu'il utilise un avion ou un hélicoptère de la République, selon Le Parisien, payant la somme équivalant à celle qu'il aurait déboursée pour un vol commercial. Une somme tout de même bien inférieure à celle que coûte en réalité un Falcon. « C'est autour de 170 euros, comme un billet Air France », indique un expert au Parisien, qui précise qu'une heure de Falcon coûte tout de même… entre 5 000 à 6 000 euros.

La première dame se fait prêter ses tenues

L'article précise que Brigitte Macron ne profite pas de son statut pour se faire offrir des tenues de créateur. En effet, lorsqu'elle est en représentation, ses vêtements lui sont prêtés, quant à ceux de tous les jours, elle les paye de sa poche. Dans ses appartements, le couple présidentiel a, précise-t-on, seulement changé le matelas, mais gardé tous les meubles déjà présents, dans un souci d'économies. À l'Élysée, Brigitte Macron a seulement voulu apporter sa touche personnelle en ôtant les lourdes tentures et en puisant dans le mobilier national. Alors que, fin août, son rôle a été clarifié dans une « charte de la transparence », la première dame dispose de quatre collaborateurs au sein de l'Élysée, tandis que Valérie Trierweiler en avait cinq et Carla Bruni-Sarkozy, huit.
Le couple Macron espère également faire des économies en utilisant le même prestataire pour se faire coiffer et maquiller. Tout le monde se souvient de la polémique autour du salaire que percevait le coiffeur de François Hollande, à savoir 9 895 euros brut par mois. Selon un proche de Brigitte Macron, les frais de beauté sont largement inférieurs. C'est le rapport de la Cour des comptes, mi-juillet, qui dressera un premier bilan des dépenses du couple présidentiel.
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On compare cela au Général de Gaulle cela n’a rien à voir lui, car malgré sa grandeur et sa notoriété historique était un homme simple !

Eux sont des bourgeois riches qui essaient de faire croire qu’ils sont comme le peuple lambda, dont ils oublient une bonne partie, notamment les plus pauvres trop nombreux qui ont du mal à vivre ou se loger et travailler en France, ce qui est une honte et dont on ne peut pas être fier !

Alors que ces bobos donneurs de leçons, bien-pensants hypocrites arrêtent ce cinéma médiatique de surface qui n’apporte rien !

Jdeclef 30/04/2018 09h24 LP

dimanche 29 avril 2018

De toute façon si les hommes pouvaient comprendre que Les religions qu'elle qu’elles soient sont synonymes de division de conflits et guerres meurtrières de par le monde !


Tunisie : polémique autour d'un candidat juif sur une liste islamiste

Simon Slama fait partie des candidats de la liste islamiste du parti Ennahda. Une candidature qui divise l'opinion, certains dénonçant un coup de « com ».

Endimanché aux couleurs du parti Ennahda, Simon Slama se fond parmi les autres membres de la liste islamiste dans la ville de Monastir. Sa présence est toutefois singulière, puisqu'il s'agit du seul candidat de confession juive des municipales en Tunisie. Coup de « com » pour les uns, preuve d'ouverture du mouvement islamiste pour d'autres : même s'il n'arrive qu'en 7e position d'une liste qui ne part pas favorite, sa candidature a fait couler beaucoup d'encre à l'approche du scrutin du 6 mai.
Dès le premier jour de campagne, cet artisan de 54 ans s'est joint aux autres candidats pour taper joyeusement des mains sur des rythmes orientaux, lors d'une réunion publique à Monastir, ville côtière de l'Est tunisien. « Toute ma famille était contre mon choix. Mon frère était en colère et ma femme est restée des jours à ne pas m'adresser la parole, mais j'ai su les convaincre », affirme à l'Agence France-Presse Simon Slama en souriant timidement et en serrant nerveusement ses mains.
Le symbole est fort, venant de l'une des dernières familles juives de la région. « Il est issu des anciennes familles, il a ses racines à Monastir (...) et il connaît les problèmes de la ville », argue Chokri ben Janet, la tête de liste d'Ennahda à Monastir, la ville du père de l'indépendance, Habib Bourguiba. Simon Slama assure avoir choisi par conviction Ennahda, qu'il qualifie de « mouvement le plus actif et le plus sérieux sur la scène politique ».

« Strip-tease politique »

« Ennahda a changé de stratégie, ce n'est plus un parti religieux, c'est un parti civil », poursuit ce réparateur de machines à coudre, costume bleu et chemise blanche, les couleurs du parti. De fait, après une première expérience mitigée au pouvoir dans le sillage de la révolution de 2011, le mouvement n'a de cesse de faire valoir sa modération. Associé au sein de l'actuel gouvernement à son grand rival d'hier – Nidaa Tounes, le parti créé par le président Béji Caïd Essebsi –, Ennahda n'a pas soutenu un projet de loi criminalisant la normalisation avec Israël, qui n'a finalement pas été soumis au vote cet hiver.
 En Tunisie, dans la couveuse salafiste
Dans le cadre de ces premières élections locales depuis la chute de la dictature, il a promu comme têtes de liste des femmes ne portant pas le voile. En écho à cette stratégie politique, les adversaires d'Ennahda accusent le parti d'« exploiter » la candidature de Simon Slama. Ce parti « fait du strip-tease politique », a lancé à la radio Borhane Bssaïs, chargé des affaires politiques à Nidaa Tounes. Mais, pour d'autres, cette candidature marque aussi la volonté des Tunisiens de confession juive d'exister politiquement à l'occasion de ces municipales, qui seront suivies en 2019 des législatives et de la présidentielle. « Cette candidature est une fierté pour la communauté » juive, affirme René Trabelsi, organisateur du pèlerinage juif de la Ghriba, du nom de la plus célèbre synagogue de Djerba (sud). « Elle a donné une belle image de la Tunisie ouverte qu'on veut partager », ajoute cet homme d'affaires, dont le nom avait un temps circulé en 2013 pour le poste de ministre du Tourisme.

« Le Coran et la Torah »

Par sa candidature, Simon Slama juge pour sa part avoir « enlevé une angoisse aux citoyens juifs tunisiens », en les incitant à « vivre leur vie normalement ». S'il est élu, il affirme qu'il prêtera serment « sur deux livres », le Coran et la Torah. En Tunisie, si cette candidature témoigne du fait que les citoyens de confession juive peuvent pratiquer librement leur religion, elle ne masque pas un manque d'intégration dans la vie politique. Dans son histoire, la Tunisie a connu des ministres et députés de confession juives. Mais depuis l'ère Bourguiba, leur participation politique est restée minime.
Forte de plusieurs centaines de milliers d'âmes avant l'indépendance, la communauté juive en Tunisie est de seulement 1 200 de nos jours, qui vivent notamment sur l'île de Djerba. Certains responsables politiques et associatifs regrettent par ailleurs que la confession d'un candidat soit à ce point mise en exergue. Cette médiatisation témoigne de « cette obsession que nous avons tous de juger sur une chose aussi intime que la conviction religieuse », dit Yamina Thabet, responsable de l'Association tunisienne de soutien des minorités. Elle déplore en outre que la Constitution tunisienne de 2014, tant louée à l'étrange, interdise « à ce même candidat juif de se présenter à l'élection présidentielle » (article 74). Candidat en 2011 sur une liste pour l'Assemblée constituante, Jacob Lellouche, président d'une association militant pour la sauvegarde du patrimoine judéo-tunisien, renchérit : « La sexualité et la religion, ce sont des choses personnelles. »

Et ce depuis la nuit des temps, ils arriveraient à se comprendre et s’entendre !

Là c’est en TUNISIE, mais cela pourrait être chez nous….On n’en n’est pas loin, un parti religieux émerge déjà en Belgique !

Mais certains s’en servent pour prendre le pouvoir et asservir les plus faibles en les abêtissant avec des dogmes religieux extrémistes moyenâgeux !

C’est même pire que le racisme que l’on dénonce pourtant tout aussi insupportable !

Alors en France on a encore notre laïcité, mais qui est attaquée, même par ceux qui ne croient à rien, dont c’est le droit pourtant !

Nous sommes au XXI eme siècle on ne le dirait pas, mais sur ce sujet du mysticisme religieux on est en pleine régression partout dans le monde et aussi dans nos pays civilisé libres et démocratiques !

Moi qui suis âgé, quand j’étais jeune dans mon pays, il n’y avait pas ses problèmes de religions que l’on voit de plus en plus, çà c’est un fait préoccupant !

Et ce n’est pas nos dirigeants bienpensants pleutres et hypocrites donneurs de leçon qui font quelque chose pour améliorer les choses, bien que cela se dégrade toujours, il n’y a pas de quoi être fier !

Jdeclef 29/04/2018 13h10 LP

TRUMP semble avoir gagné trop facilement, mais il faut modérer l'optimisme de la communauté mondiale !


La Corée du Nord offre de fermer son site atomique en mai

Séoul a annoncé ce 29 avril que la Corée du Nord a proposé de fermer son site d'essais nucléaires en mai et d'y inviter des experts américains.

le dirigeant nord-coréen a proposé de fermer son site d'essais atomiques en mai et d'inviter dans le pays reclus des experts américains, a dit Séoul ce dimanche 29 avril, alors que Donald Trump se montrait optimiste sur la possibilité d'un accord nucléaire avec Pyongyang. Cette promesse relayée par la présidence sud-coréenne est la dernière illustration en date du tourbillon diplomatique qui s'est emparé ces derniers mois de la péninsule, avec vendredi 27 avril un sommet intercoréen historique.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un et le président sud-coréen Moon Jae-in sont convenus à cette occasion de parvenir via la « dénucléarisation totale » à « une péninsule coréenne non nucléaire ». Pendant des années, Pyongyang a soutenu qu'il ne renoncerait jamais à l'arme atomique, indispensable selon lui pour le protéger d'une invasion américaine. « Kim Jong-un a dit, au cours du sommet avec le président Moon, qu'il procéderait à la fermeture du site en mai et qu'il allait bientôt inviter des experts de Corée du Sud et des États-Unis ainsi que des journalistes pour révéler le processus à la communauté internationale de manière transparente », a déclaré Yoon Young-chan, le porte-parole de la Maison bleue, la présidence sud-coréenne.
 Corée : Kim Jong-un brise la glace
« Kim Jong-un a déclaré Les États-Unis nous trouvent repoussants, mais une fois que nous parlerons, ils se rendront compte que je ne suis pas quelqu'un qui va tirer une arme nucléaire sur le Sud ou les États-Unis ou viser les États-Unis », a poursuivi le porte-parole. « Si nous nous voyons souvent (avec Washington), si nous construisons la confiance, mettons fin à la guerre et finalement qu'on nous promet qu'il n'y aura pas d'invasion, pourquoi vivrions-nous avec des armes nucléaires ? » Il est vraisemblable que ces déclarations soient perçues comme une carotte avant un autre sommet très attendu, entre Kim Jong-un et le président américain Donald Trump, lequel a fait montre d'un optimisme prudent.

« Pressions maximum »

La rencontre aura lieu « dans les trois ou quatre prochaines semaines », a dit le chef de la Maison-Blanche lors d'un rassemblement de ses partisans dans le Michigan, et elle sera « très importante ». Donald Trump a promis de « rendre un grand service à la planète » en parvenant à un accord sur le nucléaire avec Pyongyang. Le président américain a été prompt à mettre son rôle en exergue dans la détente en cours, via ce que la Maison-Blanche qualifie de « campagne de pressions maximum », soit des discours très durs, le renforcement des sanctions et l'isolement diplomatique de la Corée du Nord.
« Vous vous rappelez ce qu'ils disaient ? Il va nous plonger dans une guerre nucléaire », a lancé Donald Trump. « Non, la force va nous préserver de la guerre nucléaire, elle ne va pas nous y plonger ! » Mais il a également prévenu que le sommet pourrait tourner court. « Ce qui arrivera arrivera. Je peux y aller. Ça peut ne pas marcher. » Dans ce cas, « je pars », a-t-il déclaré. D'après CBS News, la rencontre pourrait se tenir en Mongolie ou à Singapour. Le nouveau secrétaire d'État américain Mike Pompeo a de son côté déclaré à ABC News qu'il avait eu « une bonne conversation » avec Kim Jong-un lors de sa visite secrète à Pyongyang le week-end de Pâques. Le Nord-Coréen « est prêt (...) à dresser une feuille de route qui nous aidera à parvenir » à la dénucléarisation, a-t-il assuré.

« En bon état »

On ignore si le Nord propose d'accueillir des spécialistes américains sur son site d'essais souterrains de Punggye-ri avant ou après le sommet. Kim Jong-un a également balayé durant sa rencontre avec Moon Jae-in l'idée que le site soit hors d'usage, comme l'ont suggéré certains experts, après le dernier test atomique en septembre. « Certains racontent qu'on ferme un site d'essais qui est déjà inutilisable mais, comme ils le constateront lors de leur visite, il y a deux tunnels supplémentaires encore plus grands (...) et ils sont en bon état », a déclaré le dirigeant nord-coréen, cité par la présidence sud-coréenne.
 Kim Jong-un, nouvel acteur du troisième âge nucléaire
En 2017, le Nord a procédé à son sixième essai nucléaire, le plus puissant à ce jour, et testé des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) mettant à sa portée la partie continentale du territoire des États-Unis. Les tensions avaient atteint des sommets tandis que Kim Jong-un et Donald Trump échangeaient menaces apocalyptiques et insultes personnelles. Washington exige que le Nord renonce à ses armes nucléaires et réclame que la dénucléarisation soit totale, vérifiable et irréversible. Pyongyang demande pour discuter de son arsenal des garanties de sécurité non précisées.
Le concept de « dénucléarisation » de la péninsule est sujet à des interprétations contradictoires. Le Nord réclame le départ des 28 500 militaires américains stationnés au Sud et le retrait du parapluie nucléaire américain. Mais il a envahi son voisin en 1950 et c'est la seule Corée à posséder des armes nucléaires. La guerre s'est achevée en 1953 sur un armistice qui n'a pas été suivi d'un traité de paix, si bien que les deux pays sont toujours techniquement en guerre. Durant leur sommet, Kim Jong-un et Moon Jae-in se sont engagés à rechercher une paix « permanente » sur la péninsule.

Ces marques de bonne volonté de la part de KIM JONG UN semblent bien rapides ?!

D’un seul coup le dictateur coréen s’achète une conduite pacifique peut être par ce que  simplement il a terminé ses essais atomiques réussis (mais dont le stock doit être en réserve ?!)

Cela parait trop rapide et exagéré voire artificiel surtout après la visite de KIM JONG UN avec l’allié historique chinois ?!

Car pourquoi le dirigeant NORD COREEN  se serait lancé dans cette course à l’arme nucléaire, si ce n’est que pour pouvoir parler en égal avec les ETATS  UNIS ennemi historique qui a bloqué la guerre des deux Corée en 1953 !

Ces marques de bonne volonté de la part de KIM JONG UN et ses visites guidées sur un site peut être obsolète semblent « trop belles pour être prises pour argent comptant » !

(Exemple : faisons un parallèle avec la destruction des armes chimiques sous contrôle d’expert mandatés à peu près inutile, de BACHAR AL HASSAD un dictateur lui aussi et bien plus meurtrier et pas avec des essais, car lui s’en est servi plusieurs fois après et notamment dernièrement !)

On comprend la méfiance du JAPON, logique en tant que voisin des Corée qui a subit le feu nucléaire pendant la 2eme guerre mondiale et que comme par hasard on a mis de côté!

Seul point positif, peut-être, le rapprochement des deux Corée, s’il est effectif, et aussi attendre la rencontre D.TRUMP et KIM JONG UN, deux dirigeants aussi orgueilleux l’un que l’autre !

Espérons pour la paix du monde que ces gesticulations diplomatiques ne soient pas hypocrites comme d’habitude ?!

Jdeclef 29/04/2018 10h11

C'est logique en FRANCE les juifs partent en ISRAËL mais par pour des raisons d'insécurité !


Partir pour ne plus subir l'antisémitisme : le choix résigné de Jacki et Nathalie

Face à un antisémitisme qu'il juge de plus en plus présent, Jacki a décidé de partir en Israël. Nathalie, victime d'un acte antisémite, a déménagé.

À la tête d'une petite entreprise, époux et père comblé, Jacki Tordjman avait tout pour être heureux. Mais ce propriétaire d'un pavillon à Drancy n'en peut plus des insultes et regards malveillants qui pourrissent son quotidien. Au point que ce juif natif de Seine-Saint-Denis envisage d'émigrer en Israël. « Pas par lâcheté, car je n'ai pas peur. Mais parce que je ne peux pas laisser grandir mes enfants ici, malheureusement », dit ce plombier de 45 ans dans le salon de son pavillon moderne, aux murs tapissés de photos de mariage.
Jacki est un dur. Il a grandi dans une cité du Blanc-Mesnil, la ville voisine. « Avec les Maghrébins et les Noirs, on se tapait dessus, mais on se respectait. » Le problème vient pour lui de « la nouvelle génération ». « Des petits jeunes de 14 ans qui comprennent rien, qui mélangent tout et qui veulent se faire du juif car le juif, il a de l'argent. » À l'en croire, le climat a commencé à changer au début des années 2000, lors de la seconde Intifada, et s'est nettement détériorié ces dernières années. Le vendredi soir, quand il se rend à la synagogue, kippa sur la tête, ce sont des regards malveillants et des injures sifflées entre les dents. Quand il dépose ses trois enfants à l'école juive à Sarcelles, dans le département voisin, il lui arrive d'essuyer des insultes antisémites parce qu'il s'est garé en double file. Il décrit des jeunes qui passent et repassent devant l'établissement, faisant patiner les roues de leur voiture avant d'accélérer brutalement.
L'Allemagne se mobilise contre une résurgence de l'antisémitisme
Si ça ne tenait qu'à lui, il resterait en France. Sa petite entreprise tourne bien, alors qu'en Israël, il lui faudra tout recommencer à zéro. Mais au moins, là-bas, « on se sentira chez nous, on pourra porter une kippa sans avoir des regards de travers ». Pourquoi ne pas déménager dans un autre département d'Île-de-France, où réside la moitié de la communauté juive française, forte d'un demi-million de personnes ? « La France entière est touchée. Les endroits comme Créteil ou Sarcelles sont ciblés. Et Le Raincy ou Saint-Mandé, c'est trop cher. »

« Antisémitisme étouffé »

Nathalie (nom d'emprunt) a déménagé d'une ville à l'autre de Seine-Saint-Denis après le cambriolage de son pavillon. Suivi, peu de temps après, d'une expérience traumatisante : un jour, elle a trouvé sa voiture couverte de tags antisémites. Le mot « juif » gravé sur la portière, des étoiles de David et « Israël » peints à la bombe sur la carrosserie. Après avoir vécu un temps chez ses parents, cette mère de trois enfants occupe un F3 en HLM, ce qu'elle vit comme un déclassement.
Elle n'est pas la seule. « Sur une quinzaine d'années, des effectifs de populations ou de familles juives se sont effondrés dans toute une série de communes » du nord-est de Paris, selon Jérôme Fourquet, de l'institut de sondages Ifop. « Une épuration ethnique à bas bruit » que dénonçait récemment un manifeste « contre le nouvel antisémitisme », signé notamment par l'ancien président Nicolas Sarkozy.
Huit mois après son installation, Nathalie n'a toujours pas défait ses cartons. Pour ne pas alarmer ses enfants, elle « étouffe » sa peur et pleure quand elle est seule. C'est un « antisémitisme étouffé », dit-elle. Pour autant, elle ne ressent pas de haine. « On continue à vivre comme avant, à côtoyer nos petits commerçants qu'on adore, notre boulanger qui est Tunisien, mon primeur qui est Turc. Et je ne veux pas que ça change », dit cette quinquagénaire qui se définit comme une « Française d'origine juive ».
 Quand la communauté juive a peur pour ses enfants
Jackie, lui, a la haine. Et c'est aussi la raison qui le pousse à partir. « Je sais qu'un beau jour, cette haine, je ne pourrai plus la contrôler. Alors il vaut mieux partir. Mais qu'ils le sachent : on part pas par lâcheté. » L'Agence juive, organisme public israélien chargé d'accompagner l'aliyah, l'émigration vers Israël, a estimé à 45 000 les départs de France vers Israël en une décennie, même si un recul a été constaté ces deux dernières années.
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Mais par un antisémitisme grandissant dans notre pays, et en Europe car dans l'état HÉBREU en guerre larvée depuis 1947 touché par le terrorisme et entouré de pays arabes hostiles et anti israélien ne sont pas plus protégés des attentats ni de la guerre à leurs frontières!

Et Israël défend ses frontières et son pays avec force et volonté des éléments extérieurs voulant sa perte pour sa survie !

A la différence des pays de l’Union Européenne avec ses frontières poreuses et sa politique de bienpensant hypocrite donneur de leçon partisan du politiquement correct !

De plus, ils ont subi la Shoah en Europe pendant la dernière guerre mondiale et cela est gravé dans leurs mémoires, cela peut se comprendre, ils ne peuvent que compter sur eux-mêmes!

C'est un petit pays entouré d'ennemis potentiels ?!

Jdeclef 29/04/2018 09h05 LP

samedi 28 avril 2018

LOUIS est un prénom de roi célèbre, même s'il n'est pas celui des rois d'Angleterre !


Louis, un prénom inattendu pour le royal baby

Aucun Louis ne fut roi d'Angleterre, sauf… un Français au XIIIe siècle. Kate et William ont surpris tout le monde avec le prénom de leur 3e enfant.

On s'attendait à Albert, en souvenir de l'époux tant aimé de l'impératrice Victoria. C'est finalement Louis qui a été choisi par Kate et William pour nommer leur second fils. Il n'avait pas la préférence des bookmakers, ceux-ci pariant plutôt sur des prénoms anglais plus traditionnels. En effet, Louis est avant tout un prénom à consonance française, dérivé de Clovis, premier roi chrétien du royaume des Francs… Il sera porté 18 fois par les souverains de notre histoire, c'est dire s'il est attaché à notre monarchie, à l'inverse de celle de nos voisins.
En cherchant un peu, on trouve bien un roi d'Angleterre portant le nom de Louis, mais il est français et son règne fut extrêmement bref… Il s'agit de Louis VIII, fils de Philippe Auguste, qui tenta de s'emparer de la couronne d'Angleterre au début du XIIIe siècle. Les barons anglais se sont révoltés contre le fameux Jean sans Terre, ils cherchent un prince. Louis pousse ses pions, fait valoir qu'il a épousé Blanche de Castille, la petite-fille d'Henri II Plantagenêt. Il débarque en 1216 avec 1 200 chevaliers, avant d'être proclamé roi, mais pas couronné… Un an plus tard, il doit renoncer : les barons ont finalement reconnu le fils de Jean sans Terre, Henri III. C'est la fin des prétentions françaises. Il s'en est fallu d'un cheveu pour qu'un prince français monte sur le trône…

Coup de canif au Brexit ?

C'est dire si Louis rappelle plus Paris que Londres. Alors, pourquoi un tel choix de la part de Kate et William ? On sait qu'ils apprécient la France et, en ces temps de Brexit, un petit coup de chapeau au continent pourrait être perçu comme un clin d'œil politique à nos destins communs européens… Mais, pour les Britanniques, Louis fait d'abord référence à Louis Mountbatten, le dernier vice-roi des Indes, arrière-petit-fils de la reine Victoria, neveu du tsar Nicolas II et oncle du prince Philip, mari de la reine Elisabeth II. « Louis Mountbatten a quasiment adopté le prince Philip, explique l'historien Jean des Cars, auteur de La Saga des Windsor (Tempus). Il l'a pris sous son aile et a favorisé sa rencontre avec la princesse Elizabeth, future reine. Il était également très proche de leur fils Charles, qui s'entendait mieux avec son grand-oncle que son père. Charles vivra d'ailleurs son assassinat par l'IRA en 1979 comme une véritable tragédie… »
En son hommage, Louis est ainsi régulièrement repris lors des naissances royales : Charles l'a donné à son fils William comme quatrième prénom, qui lui-même l'a transmis à George en troisième position, avant de le donner aujourd'hui pleinement à son second fils.

Arthur, héros médiéval

Quant au choix d'Arthur et Charles, deuxième et troisième prénoms du dernier-né, ils appartiennent tous deux à la tradition britannique. Charles fait évidemment référence au prince héritier, fils aîné de la reine et héritier direct du trône d'Angleterre, ainsi qu'aux différents monarques qui se sont succédé sur le trône. Arthur, l'un des prénoms préférés des bookmakers, renvoie directement à la reine Victoria, une époque où l'Angleterre dominait le monde : Arthur était son septième enfant et son fils préféré. Certains y verront également une référence à la légende du fameux roi entouré de ses preux chevaliers en quête du saint Graal, une figure majeure de la littérature médiévale...
Verra-t-on un jour un Louis Ier d'Angleterre monter sur le trône ? L'hypothèse est peu vraisemblable puisque le dernier-né des Cambridge n'arrive que cinquième dans la course à la couronne, à moins que la lignée ne soit décimée dans les années qui viennent, ce que personne ne souhaite… Louis est donc appelé à vivre un destin oisif, avec certaines contraintes protocolaires, loin du trône et en bordure des photos officielles. Il entre cependant dans l'histoire en étant le premier prince britannique à être devancé par une femme – sa sœur Charlotte – dans l'ordre de succession, où prévalait jusqu'ici le droit de primogéniture masculine. Maigre lot de consolation.
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D’ailleurs si la reine mère et (grand-mère régnante) a donné son accord, c’est que ce n’était pas anti anglais ?!

Et puis ce n’est qu’un prince et il est loin dans le droit de succession alors qu’elle importance ?!

Tout cela n’est là que pour alimenter les médias people britanniques spécialisés dans la noblesse, après tout, c’est les parents qui l’ont choisi et c’est bien normal !

La monarchie anglaise si rigide est une des dernières grandes familles régnantes mais constitutionnelle sans pouvoir par tradition et qui se modernise contraint et forcé par le mariage de ses princes et princesses qui ne choisissent plus des conjoint(es) issues de la noblesse, car on est au XXI eme siècle !

Et après la disparition de la reine ELYSABETH II, là, ce sera un vrai changement surement dans des traditions vieillottes qui ont déjà évoluées depuis le début de son règne !

Jdeclef 28/04/2018 13h11

Il est certain qu'avec la montée des extrêmes droite et extrémistes de tous poils en Europe ?!


L'Italie embarrassée par le tourisme en chemise noire

Le projet d'un musée du fascisme dans la ville natale du Duce divise. Ce « lieu d'étude » ne va-t-il pas devenir un haut lieu du « Mussolini Tour » ?

C'est comme en France, la bûche de Noël, le muguet du premier mai ou le bal du 14 Juillet : trois fois par an, pour la commémoration de la naissance et de la mort de Mussolini et pour l'anniversaire de la marche sur Rome, des dizaines de milliers de nostalgiques du Duce débarquent à Predappio, la ville natale du dictateur. Des centaines d'autobus venus toute la péninsule convergent vers la petite ville de 6 000 habitants, à 50 km au sud de Bologne, avec à leur bord des skinheads à tête rasée, mais aussi des sexagénaires bedonnants qui ont du mal à boutonner leur chemise noire d'ordonnance ou des petits couples anodins.
La visite commence par la maison natale du dictateur puis se poursuit par l'ancien siège du parti fasciste bâti sur ordre de Mussolini qui avait, dans les années 30, reconstruit sa ville dans le style moderniste, l'architecture en vogue sous le régime. Le moment fort est certainement la visite de la crypte gardée par des cerbères au garde à vous et vêtus d'une cape noire. Après l'émotion, shopping obligatoire dans les nombreux magasins de souvenirs où, entre les piles de livres de CD de DVD, on peut se fournir de nouveau en gadgets et tee-shirts à l'effigie de Benito ou en bouteilles de vin à étiquettes mussoliniennes. Enfin, dans les restaurants où sont organisées de grandes tablées, il n'est pas rare, après les multiples tournées de pousse-café, d'entendre résonner les chansons du répertoire fasciste, de « Giovinezza » (jeunesse) à « Faccetta nera » (petit visage noir).
Un tourisme embarrassant que le maire de gauche Giorgio Frasinetti voudrait amender en construisant un musée du fascisme dans l'immense bâtisse en marbre de 2 000 m2 ou le Duce avait installé son parti. « La culture est une arme contre l'ignorance et Predappio, justement parce que c'est encore un symbole fasciste, est le lieu idéal pour étudier cette période de notre histoire », a déclaré Frasinetti qui a participé avec le maire de Braunau am Inn, la ville natale d'Hitler, à un congrès sur les « patrimoines difficiles ».

Ambiguïté dans la péninsule

Difficile, c'est un euphémisme. Car l'Italie est loin d'avoir accompli un travail de mémoire sur le fascisme. Casa Pound, qui a obtenu 20 % lors d'une élection dans la banlieue de Rome, revendique ouvertement de former les « fascistes du 3e millénaire ». Des partis comme la Ligue ou Frères d'Italie, en ce moment en pleines tractations pour former le gouvernement italien, tiennent des discours ambigus préférant « regarder vers l'avenir que vers le passé ». L'idée selon laquelle le fascisme fut, jusqu'à l'adoption des lois raciales et l'entrée en guerre aux côtés de l'Allemagne, le meilleur gouvernement de la péninsule est largement répandue dans la population. En 2017, aux termes d'un débat très âpre, le Parlement a adopté une nouvelle législation contre l'apologie du fascisme. Le Mouvement 5 étoiles a voté contre.
La création d'un musée du fascisme à Predappio est loin de faire l'unanimité. L'association nationale des partisans (l'équivalent des compagnons de la Libération) y est opposée. De nombreux spécialistes redoutent que, dans un environnement aussi imprégné de nostalgie fascisante, le musée devienne un lieu de pèlerinage, le clou du « Mussolini tour » sur laquelle se base déjà l'économie de la ville avec 50 000 visiteurs par an. Le maire a déjà trouvé la moitié des 7 millions nécessaires à son projet, mais il n'est pas certain qu'il réussisse à boucler son budget.
Et le 28 avril, date anniversaire de la mort du Duce, des milliers de chemises noires envahiront encore une fois Predappio, pour le plus grand bonheur des commerçants locaux.

Cela ne peut que déclencher une polémique, ce musée sur le fascisme et la commémoration de Mussolini ce dictateur allié de l’Allemagne et ami d’Hitler avec de même  lois raciales !

Là, on a un passé nostalgique qui remonte à la surface d’une certaine extrême droite dans certains pays européens et qui n’est pas morte loin de là !

C’est préoccupant surtout que l’on tolère trop bien des dictateurs bien présents dans le monde !

L’union européenne de bien-pensants hypocrite partisans du politiquement correct donneurs de leçons est bien trop laxiste un exemple de plus !

Jdeclef 28/04/2018 09h56 LP

Puisqu'on parle de guerres dans le monde et quelque fois de paix !?


Frappe aérienne israélienne sur le port de Gaza

L'aviation israélienne a effectué un raid sur le port principal de la bande de Gaza le 27 avril. Il visait « six cibles militaires », selon l'armée israélienne.

L'aviation israélienne a annoncé avoir effectué un raid vendredi 27 avril au soir sur le principal port de la bande de Gaza, des responsables palestiniens évoquant une attaque de drones qui a endommagé deux bateaux sans faire de victimes. Il pourrait s'agir de la première frappe menée par des aéronefs israéliens sur ce territoire depuis la guerre de 2014 qui a opposé Israël à diverses forces paramilitaires palestiniennes.
Les drones ont « visé deux navires dans le port de Gaza », a déclaré dans un communiqué le ministère de l'Intérieur de la bande de Gaza, qu'administre le Hamas. De son côté, l'armée israélienne a indiqué que son aviation avait « visé six cibles militaires appartenant aux forces navales de l'organisation terroriste Hamas dans la bande de Gaza ». Elle n'a pas précisé dans son communiqué à quel endroit précisément ces frappes avaient eu lieu.

D'importants dommages

Des témoins ont raconté que d'importants dommages avaient été infligés à deux navires, tandis que les forces de sécurité du Hamas ont empêché les journalistes de se rendre sur place. Le même jour, quatre Palestiniens ont été tués par des tirs de soldats israéliens dans la bande de Gaza le long de la frontière israélienne où un mouvement de contestation massive baptisé « la grande marche du retour » a été entamé le 30 mars.
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ISRAËL : ce pays depuis la création de son état en 1947 continue à la faire, jusqu’à aujourd’hui pour se protéger de ses voisins !

Ça, c’est à souligner quel que soit les raisons de belligérants et cela ne s’améliore pas !

(On parlait de l’hypothétique paix des deux Corées que l’on salue bien vite en espérant la réalité enfin…)

Mais avec l’état Hébreu entouré de voisins hostiles on en est où ?!

Jdeclef 28/04/2018 09h30 LP

Chez ces fonctionnaires de police et des lieux où ils travaillent que l'on pouvait supposer surveillé sérieusement, c'est un capharnaüm et laxisme pas possible semble-t-il ?


Paris : quatre armes de poing ont disparu de la préfecture de police

Une enquête interne a été lancée par l'IGPN après la disparition des armes, dont un pistolet-mitrailleur, comme l'explique « Le Parisien »

En plein inventaire, les policiers de la Direction de l'ordre public de la circulation (DOPC) ont eu une bien mauvaise surprise, vendredi 27 avril. Ils se sont en effet rendu compte que quatre armes manquaient à l'appel, trois pistolets Sig-Sauer réglementaires, d'un calibre de 9 mm, et surtout un pistolet-mitrailleur Beretta, comme le révèle Le Parisien. L'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police des polices, s'est immédiatement rendue dans les locaux de la préfecture, situés dans le 13e arrondissement de Paris, et a ouvert une enquête interne.
La préfecture de police a confirmé cette disparition, sans pour autant faire le moindre commentaire, dans l'attente d'éléments supplémentaires sur les circonstances de cette affaire. L'hypothèse du vol est privilégiée, selon Le Parisien, qui évoque « l'anxiété » qui règne dans les couloirs de la préfecture. D'autres possibilités existent cependant, comme celles d'une erreur d'enregistrement ou d'une mauvaise affectation des pistolets.

Un vol l'an passé en Seine-Saint-Denis

L'accès au bâtiment de la préfecture de police parisienne étant particulièrement sécurisé, il semble peu probable qu'une personne extérieure à l'institution ait pu commettre un tel délit. Déjà, en septembre dernier, nous révélions le vol d'armes de service à la direction de la police de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. L'enquête de l'IGPN avait mené, en février 2018, à l'incarcération de quatre personnes, dont une adjointe de sécurité soupçonnée d'avoir dérobé deux pistolets automatiques à la demande de ses complices.
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On y entre et circule facilement et on y vole, ce dont on a besoin pour les malfrats de tous poils, car et ce n'est pas la 1ere fois, car au 36 il y avait eu aussi c’est affaire de stupéfiants volés qui a défrayé la chronique ?!

Le plus étonnant peut être, c’est que ce soit venu aux oreilles des médias, mais montre aussi que les services régaliens de l’état ont des failles préoccupantes !

Jdeclef 28/04/2018 09h10 LP