mercredi 11 avril 2018

F.HOLLANDE avec son livre et son autosatisfaction de politicien borné et pleutre s'enfonce :


François Hollande, accident de l'Histoire

Dans un livre désolant, il prétend qu'Emmanuel Macron a été élu sur un malentendu, raille d'anciens amis, se pose en victime et ignore le sens de l'Histoire.


Le sommaire du livre ressemble à une vieille publicité du Club Med qui alignait les verbes pour tenter de restituer l'intensité d'une expérience : « Présider, décider, voyager, vivre, choisir, parler, regretter, punir, faire confiance, espérer… » L'auteur n'a pas peur des lieux communs : « La décision, c'est la vie quotidienne du président. » Il se justifie, règle ses comptes, mais ne parvient pas à élever le débat ni à faire monter le lecteur dans le train de l'Histoire. Non, il excelle, comme toujours, dans la petite blague, la petite phrase, la petite pique. Jean-Yves Le Drian ? Il « a rejoint le Quai d'Orsay au risque d'y être oublié. » Richard Ferrand et les députés socialistes qui ont les premiers rallié Emmanuel Macron ? « Ils se situaient jusque-là, avec une grande rigueur doctrinale, à la gauche du Parti socialiste. »
Emmanuel Macron est le premier destinataire de ces flèches qui se veulent empoisonnées. Son nom est cité pas moins de 84 fois au fil des pages. Aucun détail de leur tumultueuse relation ne nous est épargné. La première rencontre au bar du Bristol, en 2008, sous la houlette de Jacques Attali, où François Hollande découvre « un homme souriant, vif, rapide, cultivé, qui sait séduire son interlocuteur en devinant vite ce qui sera agréable à son oreille ». Les circonstances de la nomination de son ex-conseiller au ministère de l'Économie (quand il rentre du Touquet à Paris, Emmanuel Macron va dormir chez Bernard Cazeneuve, au ministère de l'Intérieur, pour échapper aux journalistes qui campent devant sa porte) : « À cette époque, le vieux monde était pour lui accueillant et fraternel », écrit-il, avant de tremper de nouveau sa plume dans l'acide : « Il croit volontiers que tout dossier peut être réglé dès lors qu'on s'y attaque avec fougue, que tout risque de conflit peut être surmonté par un dialogue direct entre personnes de bonne foi, que toute difficulté peut être dépassée par une forme d'impétuosité. Il est sûr que le réel se pliera de bonne grâce à sa volonté dès lors qu'elle s'exprime. La vie est parfois plus décevante. »

Pauvre ancien président incompris !

Mais, surtout, l'ex-président empêché de se représenter veut croire que son successeur est arrivé à l'Élysée grâce à un concours de circonstances. Ne devrait-il pas commencer par balayer devant sa porte ? N'est-il pas, lui, devenu président par une sorte d'accident de l'Histoire, la collision entre la montée du « tout sauf Sarkozy » et l'arrestation à New York de Dominique Strauss-Kahn rattrapé par ses démons ?
Lire également : «  Sur France 2, le JT pour rien de François Hollande »
Mais non, François Hollande ne voit que la paille dans l'œil de son voisin, pas la poutre dans le sien. « Au fond de moi, je fulminais, écrit-il à propos de la campagne présidentielle de 2017. Les Français méritaient mieux que cette succession d'affaires judiciaires, ces rebondissements jusque-là réservés aux séries télévisées, de meetings en hologrammes et en débats pléthoriques, indignes de l'enjeu. Mais je n'étais pas dans la course : avais-je le droit d'en juger ? » Rebondissements jusque-là réservés aux séries télévisées ? Comment ose-t-il, après avoir infligé au pays pendant cinq ans les méandres de sa vie privée, en plusieurs saisons de plusieurs épisodes ?
Faute d'avoir le sens de l'Histoire, il a celui, aigu, de la victimisation jusque dans les détails les plus insignifiants. Est-ce sa faute si ses prédécesseurs ont laissé le fort de Brégançon en mauvais état et qu'il lui faut changer ses coussins avant de s'y installer pour ses premières vacances d'été ? Et, quand il descend, avec sa compagne, sur la plage pour se mêler au peuple, on le lui reproche : « De nombreuses photos sont prises. Qu'avions-nous fait là ? J'avais abandonné sur le sable mon magistère. Je m'étais trempé dans une eau qui n'était pas la mienne. J'avais préféré les châteaux de sable aux palais de la République. Que mes prédécesseurs aient cédé aux mêmes rites ne comptait pour rien. »
Pauvre ancien président incompris !
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Après l'affaire DSK :

Lui aussi a été élu par défaut en 2012 car N.SARKOZY avait beaucoup déçu une majorité de français qui n'avaient pas d'autres choix que de le mettre au pouvoir !

Mais F.HOLLANDE ne manque pas d'air, ce dégonflé, que l'on veuille excuser ma vulgarité, car il a jeté l'éponge sans combattre une honte de tous les présidents passés de la France !

Quant à E.MACRON bien sûr, il n'a eu qu’à ramasser, ce qu'il a laissé tomber, un FN avec M.LE PEN qui n'aurait pas été élu, car les français ne veulent pas de l’extrême droite lepeniste ou autres !

Et une droite qui pouvait espérer, mais qui s'est ramassée avec l'affaire douteuse FILLON et qui n'a pas su se réunir derrière un nouveau candidat, tant elle était divisée!

Et pour finir les français se sont débarrassés enfin de cette ancienne classe politique sclérosée SARKOZY et Cie !

Alors que F.HOLLANDE ex président, poussa repu comprenne enfin, que ce n'est pas pour reprendre les mêmes leaders de vieux partis et donc qu'il poursuive sa retraite dorée avec sa "JULIE" car il a été un président plus que médiocre !

Jdeclef 11/04/2018 11h17

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire