mercredi 11 avril 2018

Il a confirmé sa médiocrité, d'ailleurs écrire des livres ne lui a pas porté chance il aurait dû comprendre ?!


Sur France 2, le JT pour rien de François Hollande

VIDÉO. Après les fuites de son livre et une grande interview à « L'Obs », la prestation de François Hollande a souligné que, pour lui, tout avait déjà été dit.


Président bavard, François Hollande n'a pas perdu ses – mauvaises – habitudes : au moment où commence le journal télévisé de France 2, ce mardi 10 avril, on sait déjà beaucoup du contenu de son nouveau livre, et des sentiments qui habitent son auteur. Le Parisien dimanche dernier, Le Figaro aujourd'hui, puis les journalistes ayant eu l'opportunité de débusquer son livre qui ne sort pourtant que demain, ont d'ores et déjà relaté ce que conte Les Leçons du pouvoir, paru chez Stock. L'Obs a également publié sur son site internet l'interview que l'on retrouvera dans sa version papier cette semaine. Comme au temps de son quinquennat, la parole paraît immédiatement désacralisée.
Après une rapide séquence du bilan de sa gestion du pays, dans laquelle le socialiste se satisfait des chiffres qu'il a obtenus pour l'économie française, Anne-Sophie Lapix invite l'ancien chef de l'État à commenter le tapis de réformes actuellement engagées par la nouvelle majorité. Conseils de l'ancien locataire de l'Élysée : « La leçon, c'est que s'il y a des réformes nécessaires à faire, il faut un temps de négociation », ou encore « On ne supprimera pas le statut des cheminots sans concertation ».
Après qu'Emmanuel Macron a parlé hier au cœur battant de l'Église catholique française au collège des Bernardins et déclenché, selon un de ses conseillers, « des réactions à la hauteur de la guerre menée par les idéologues officiels depuis longtemps contre le catholicisme », l'occasion était donnée à François Hollande ce soir sur France 2 de se poser en templier de la laïcité. Sa réponse, ni belliqueuse ni flatteuse, ne satisfera aucun des camps : « Parler aux cultes, ça fait partie de l'action du président de la République », entame-t-il avant d'égrener le mariage pour tous, le remboursement intégral de l'IVG, ou la réflexion autour de la fin de vie comme autant de moments, durant sa présidence, où « la loi a dit ce que devait être le droit ».

Une répudiation polie

Avec Emmanuel Macron, François Hollande a pour l'instant le droit à une répudiation polie, lui qui misait sur une forme de filiation. « Si je n'avais pas été séduit, je ne l'aurais pas choisi comme ministre », concède l'ancien président. S'il s'est retenu ce soir devant les caméras de France 2, François Hollande ne s'est jamais remis des propos tenus par Emmanuel Macron dans Le Point l'été dernier, où son successeur déclarait, devançant l'actuelle séquence de prise de parole : « Il serait étrange que l'impossibilité qui a été de défendre son bilan devant les Français puisse motiver une tentation, dans les années qui viennent, de le justifier devant des journalistes. »
Dans L 'Obs, le Corrézien se montre plus acerbe que face à Anne-Sophie Lapix. Après cette phrase qui barre le titre : « Un président travaille toujours pour son successeur », l'entretien est ponctué de remarques amères. « J'ai laissé la France à Emmanuel Macron dans une situation meilleure que celle que j'avais trouvée » ; « Je n'ai jamais adhéré à une conception monarchique des institutions » ; l'élection d'Emmanuel Macron « doit beaucoup à un jeu du destin et des autres forces politiques » ; ou encore : « Pour l'instant, l'idée la plus contestable, c'est de penser qu'il faut faire différent du passé . »
Ce soir, en à peine quelques minutes, le boomerang revient violemment à l'envoyeur : dans une interview où le temps pressait sûrement trop, les sujets désolants tels que sa séparation avec Valérie Trierweiler ou ses escapades en scooter obligent François Hollande à s'expliquer au premier degré. À la hâte, Anne-Sophie Lapix conclut son entretien par cette question tournée au désavantage de la personne interrogée : « Vous ne serez plus jamais candidat à l'élection présidentielle ? » François Hollande ne répond ni non ni oui. « Je ne suis pas un citoyen comme un autre » élude-t-il simplement.
Dans L'Obs, François Hollande a continué à défendre, post-mortem – politique – si l'on peut dire, ce qui aura provoqué sa chute : « La théorie de la rareté de la parole présidentielle ne tient plus. » Invoquant cette étrange injonction « du nouvel univers des réseaux sociaux ». Puisque ces derniers comptent tant pour lui, on ne saurait lui conseiller de trop les regarder, après cette prestation télévisée : ils étaient, comme souvent, d'une méchanceté absolue.
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Est-ce son orgueil, commun à bien de nos politiciens qui lui a fait écrire celui-ci de trop?!

« Les leçons du pouvoir » : la réponse est dans le titre
Il n’en n’a tiré aucune et a fait perdre 5 ans à la France et aux français !

Qu’il se fasse oublier, ce personnage indécis, sans courage !

Les français l’avaient élu par erreur et par défaut, çà s’est une certitude !
Il en a bien profité (comme d’autres !)

D’où, nous ne le ne diront pas assez de bien choisir notre président de la république, car il a trop de pouvoir en France, alors il faut y regarder à deux fois, quand on va voter !

Jdeclef 11/04/2018 11h58

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