mercredi 25 avril 2018

Ce personnage fait partie d'une société que l'on ne voudrait plus voir mais que l'on doit supporter !


Jawad Bendaoud en garde à vue : son ex-compagne a porté plainte

Le « logeur de Daech » est accusé d'avoir proféré des menaces de mort à l'encontre de la mère de son fils. Il sera jugé mercredi en comparution immédiate.


Jawad Bendaoud, qui avait été surnommé « le logeur de Daech » pour avoir hébergé les terroristes responsables des attaques du 13 novembre 2015, avait été relaxé lors de son procès. Il est depuis ce mardi matin en garde à vue pour avoir proféré des menaces de mort sur son ex-compagne. Jawad Bendaoud sera jugé ce mercredi en comparution immédiate au tribunal de Bobigny.
Son ex-compagne, originaire de Saint-Denis, avait déposé une plainte quelques jours plus tôt pour menaces de mort. La jeune femme de 29 ans est la mère de deux enfants, une fille handicapée de 12 ans et un garçon de 7 ans qu'elle a eu avec Jawad Bendaoud. Outre ses multiples condamnations, notamment pour meurtre en 2006, celui qui avait été surnommé « le logeur de Daech », 31 ans, avait déjà été mis en cause en août 2015 pour des violences commises à son encontre.

« C'est une boule de nerfs »

Au moment de son interpellation peu après l'assaut de Saint-Denis, Jawad Bendaoud et sa compagne partageaient leur vie depuis six ans. Ils se sont connus au collège au début des années 2000. Ils ont commencé à se fréquenter en 2005, un an avant que Jawad soit incarcéré pour le meurtre de son meilleur ami. Elle l'a décrit comme étant quelqu'un de nerveux. Pendant sa détention, sa compagne est restée proche et lui a rendu visite. Néanmoins, une fois sa peine purgée, il n'était pas immédiatement revenu vivre avec elle. « Je me méfiais. C'est une boule de nerfs. Il croyait que je voyais des hommes et restait devant ma porte pour ne pas que je sorte », avait-elle confié aux policiers.
La procédure a révélé que Jawad Bendaoud entretenait simultanément de multiples relations intimes en même temps. « Des fois, il vient juste ouvrir la porte de chez moi voir si je suis bien toute seule, referme la porte et s'en va. Je ne veux pas qu'il revienne car j'ai peur de lui. »
Entendue après les attentats de novembre 2015, l'ex-compagne avait déclaré l'avoir réveillé après avoir été prévenue que des coups de feu étaient tirés dans la rue de Saint-Denis où Jawad avait logé Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attentats du Bataclan. Lors de son procès, qui s'est tenu pendant trois semaines, le dealer de Seine-Saint-Denis avait « fait le show », enchaînant les « punchlines » : « Je suis fini, s'est-il lamenté. Je fais quoi dehors ? Qui va m'embaucher ? J'avais pour projet d'ouvrir un nouveau point de vente de cocaïne. Qui va vouloir s'associer avec moi ? » En mars, il avait fait amende honorable sur BFM TV : « La veille du verdict, je n'étais pas préparé dans ma tête à sortir de prison. Ça a été un choc. » Il avait assuré vouloir « rester au calme ». Une promesse qu'il semble avoir du mal à tenir. Le parquet ayant fait appel du jugement, Jawad Bendaoud attend un nouveau procès qui doit se tenir le 21 novembre.
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Mais qui a profité de notre justice compatissante laxiste qui l'avait libérée, et que fait-il maintenant, des actions répréhensibles !

« Qui a bu boira » comme dit le proverbe, ce personnage infréquentable logeur de terroriste par inadvertance ?!

Qui s'est bien moqué de l'état républicain, on ne voit cela qu’en France pays qui défend si bien les accusés, plus que les victimes !

Qu'il retourne faire un stage en prison, cela le fera peut-être réfléchir sans garantie ce triste sire bavard et médiatique à l’extrême dont il se sert si bien, que ce taire et se faire oublier soit à peu près impossible pour lui !

Jdeclef 25/04/2018 09h00 LP

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