mercredi 18 avril 2018

La CGT n’est qu'un syndicat politique rétrograde qui ratisse large pour perdurer !


Énergie, RATP... La CGT en ordre de bataille

La FNME-CGT, première organisation syndicale dans l'énergie, a annoncé une grève jusqu'à la fin juin. La CGT-RATP a déposé un préavis du 18 au 21 avril.


La FNME-CGT, première organisation syndicale dans l'énergie, a annoncé mercredi son intention de faire grève jusqu'à la fin juin pour « un nouveau service de l'électricité et du gaz », avec des actions comprenant « des coupures ciblées ». La fédération énergie souhaite mettre en œuvre la « convergence des luttes », a expliqué à l'Agence France-Presse Sébastien Menesplier, secrétaire général de la CGT Mines-Énergie, alors que la CGT organise au niveau national une journée de mobilisation interprofessionnelle jeudi. Des assemblées générales vont se tenir mercredi et jeudi avec les salariés, lors desquelles seront mises « en débat des interventions sur l'outil de travail », a-t-il dit. Ces actions peuvent être « des coupures ciblées, en direction des entreprises où les employeurs licencient » ou « criminalisent l'action syndicale », a-t-il avancé, citant Carrefour en exemple, ou encore « des actions de baisse de production de l'électricité et de gaz qui peuvent commencer dès » mercredi soir.
« Des actions en direction des usagers pour ceux qui ont subi des coupures d'énergie » sont également envisagées, ainsi que « des basculements d'heures pleines en heures creuses » pour faire baisser la facture des usagers, a-t-il ajouté. « Sur les coupures d'électricité pour des entreprises qui ne vont pas bien et donc qui licencient, je ne suis pas sûr que ça améliorera la situation », a critiqué mercredi Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, sur Franceinfo. « Ce n'est sans doute pas la meilleure des manières d'aider cette entreprise et d'aider ses salariés », a-t-il estimé. Fin mars, la FNME-CGT avait annoncé appeler à la grève à partir du 3 avril et jusqu'au 28 juin, soit sur la même période que la grève à la SNCF. « Les trains, pour qu'ils roulent, ils ont besoin d'énergie, donc on a aussi des actions à mener en ce sens », a averti M. Menesplier, alors que le quatrième épisode de grève des cheminots contre la réforme ferroviaire a débuté mardi soir.
Mais la fédération énergie porte également ses revendications propres. Alors que la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), déterminant la trajectoire énergétique de la France pour la période 2019-2023, est actuellement « débattue publiquement, on souhaite se faire entendre et peser dans le débat », a expliqué M. Menesplier. Il faut « commencer par faire un bilan de la déréglementation énergétique qui depuis quasiment 20 ans (...) n'a apporté que des effets dévastateurs tant pour les salariés que pour les usagers », a-t-il déclaré. D'autres « temps forts » sont prévus les 24, le 26 avril, le 1er mai, les dates suivantes restant encore à déterminer, a-t-il dit.

La CGT-RATP en grève

Dans le même temps, la CGT emboîte le pas aux cheminots, et s'engage contre la réforme de la SNCF en préparation par le gouvernement. « Dans ce contexte, la CGT-RATP a déposé un préavis de grève du mercredi 18 avril 2018 -22 heures au samedi 21 avril 2018 – 7 heures. Nous appelons l'ensemble des agents de la RATP à se mobiliser les jeudi 19 et vendredi 20 avril 2018 et à se rassembler le jeudi 19 avril au siège de la RATP à partir de 10 h 30 et à participer à la manifestation régionale qui sera organisée à partir de 14 heures devant la gare Montparnasse », est-il expliqué dans un communiqué publié sur le site du syndicat.

La CGT fait délibérément de la politique pas du syndicalisme comme pour remplacer les vieux partis politiques rejetés et leurs politiciens par les français lors des dernières élections !

Dans le seul but de faire la grève pour la grève et faire tomber le gouvernement et surtout le nouveau président MACRON qui veut réformer le pays, sans s’occuper de leurs états d’âmes anachroniques qui leur enlève indirectement ce pouvoir de trublions de fonctionnaires et service public qui sème le désordre et gênent les travailleurs du privé pour aller travailler tout en paralysant certaines PME et petites entreprises qui ont besoin que les moyens de transports marchent pour les clients voyageurs et pour le fret !

C’est irresponsable, car le président Macron est là encore pour 4 ans et indéboulonnable protégé par notre constitution et le monde du travail a changé  depuis l’après-guerre et même après 1968 !

Et une majorité de français voulaient le changement et l’ont montré et en ont marre de ses syndicats poussiéreux qui engraissent leurs leaders et sèment des désordres improductifs, ils fraudaient qu’ils changent, se rénovent ou disparaissent !

Car qui ils vont ennuyer (pour être poli) c’est d’autres travailleurs, mais pas eux-mêmes les quelques poignées de syndiqués qui ne font pas la majorité loin de là en France !

Il faut espérer que maintenant que ses conflits stériles sont lancés le gouvernement et le président ne cédera pas, car sans cela, il ne fallait pas qu’il se présente et prenne le pouvoir ?!

Si c’était pour faire la même chose, c’est-à-dire rien, et se dégonfler comme certain pleutre d’avant qui ont même lâché l’éponge sans se battre !

Il faudrait que les français puissent s’exprimer en protestant s’ils veulent que cela cesse ?!

Jdeclef 18/04/2018 17h04

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