samedi 28 avril 2018

Chez ces fonctionnaires de police et des lieux où ils travaillent que l'on pouvait supposer surveillé sérieusement, c'est un capharnaüm et laxisme pas possible semble-t-il ?


Paris : quatre armes de poing ont disparu de la préfecture de police

Une enquête interne a été lancée par l'IGPN après la disparition des armes, dont un pistolet-mitrailleur, comme l'explique « Le Parisien »

En plein inventaire, les policiers de la Direction de l'ordre public de la circulation (DOPC) ont eu une bien mauvaise surprise, vendredi 27 avril. Ils se sont en effet rendu compte que quatre armes manquaient à l'appel, trois pistolets Sig-Sauer réglementaires, d'un calibre de 9 mm, et surtout un pistolet-mitrailleur Beretta, comme le révèle Le Parisien. L'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police des polices, s'est immédiatement rendue dans les locaux de la préfecture, situés dans le 13e arrondissement de Paris, et a ouvert une enquête interne.
La préfecture de police a confirmé cette disparition, sans pour autant faire le moindre commentaire, dans l'attente d'éléments supplémentaires sur les circonstances de cette affaire. L'hypothèse du vol est privilégiée, selon Le Parisien, qui évoque « l'anxiété » qui règne dans les couloirs de la préfecture. D'autres possibilités existent cependant, comme celles d'une erreur d'enregistrement ou d'une mauvaise affectation des pistolets.

Un vol l'an passé en Seine-Saint-Denis

L'accès au bâtiment de la préfecture de police parisienne étant particulièrement sécurisé, il semble peu probable qu'une personne extérieure à l'institution ait pu commettre un tel délit. Déjà, en septembre dernier, nous révélions le vol d'armes de service à la direction de la police de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. L'enquête de l'IGPN avait mené, en février 2018, à l'incarcération de quatre personnes, dont une adjointe de sécurité soupçonnée d'avoir dérobé deux pistolets automatiques à la demande de ses complices.
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On y entre et circule facilement et on y vole, ce dont on a besoin pour les malfrats de tous poils, car et ce n'est pas la 1ere fois, car au 36 il y avait eu aussi c’est affaire de stupéfiants volés qui a défrayé la chronique ?!

Le plus étonnant peut être, c’est que ce soit venu aux oreilles des médias, mais montre aussi que les services régaliens de l’état ont des failles préoccupantes !

Jdeclef 28/04/2018 09h10 LP

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