vendredi 31 janvier 2020

Un exemple de plus de la violence qui augmente dans la capitale et ailleurs dans les grandes villes de France !


Paris : un adolescent de 14 ans meurt après une rixe

La police avait été appelée pour un affrontement entre une trentaine de personnes armées de bâtons quand elle a découvert le jeune homme.

Un adolescent de 14 ans est décédé jeudi après avoir été poignardé dans une rixe à Paris, et un jeune de son âge a été placé en garde à vue, a-t-on appris de sources concordantes, confirmant une information du Parisien. Mercredi soir, la police, appelée dans le 10e arrondissement de la capitale pour une rixe sur la voie publique entre une trentaine de personnes armées de bâtons, a découvert un jeune homme blessé par arme blanche, selon une source policière. Transporté à l'hôpital, il est décédé de ses blessures jeudi matin, a indiqué le parquet de Paris.
Une enquête a été confiée au deuxième district de la police judiciaire parisienne et un jeune, lui aussi âgé de 14 ans, a été placé en garde à vue dans la matinée, selon le parquet. Cette garde à vue se poursuivait dans la soirée. D'après une source proche du dossier, cet adolescent a été interpellé après, notamment, l'exploitation des images enregistrées par la préfecture de police.

Les affrontements mortels s'accumulent dans l'Est parisien

Des rixes dans l'Est de Paris et la banlieue nord de la capitale ont été à l'origine de plusieurs décès de jeunes ces dernières années. En juillet 2018, un homme de 23 ans avait succombé à un passage à tabac et à une blessure à l'arme blanche, également dans le 10e arrondissement de la capitale, dans un règlement de comptes entre bandes du 10e et du 19e arrondissement qui avait impliqué une quinzaine de personnes. Six mois plus tard, le rappeur MHD avait été mis en examen et placé en détention provisoire dans le cadre de cette affaire, pour des faits qu'il conteste. Il est à ce jour toujours écroué. Huit autres personnes sont mises en examen.
En octobre 2019, un garçon de 17 ans avait succombé à ses blessures après avoir été poignardé lors d'une bagarre entre bandes rivales sur le boulevard Mortier, dans le 20e arrondissement. Dix jeunes ont été mis en examen pour meurtre. En septembre 2019, un lycéen de 15 ans était mort poignardé à l'entrée d'un stade aux Lilas (Seine-Saint-Denis), un an après le décès d'un collégien de 13 ans à l'issue d'une bagarre entre bandes dans cette commune limitrophe à l'est de la capitale. Au lendemain de la rixe mortelle du boulevard Mortier, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait annoncé une « remise à plat du plan d'action » contre les bandes, avec notamment l'instauration de « référents dans chaque commissariat » et une « cartographie » de ces groupes « cage d'escalier par cage d'escalier ». La préfecture de police de Paris a mis en place en 2009 une « cellule de suivi du plan bandes ».
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Le laxisme de nos dirigeants et notamment notre justice de bienpensant et son code pénal non adapté, car n'est plus au niveau de la vie quotidienne des français qui se dégrade ces phénomènes de rixes violents entre bandes de jeunes devenant plus fréquents !

Et ce malgré une mis en en place en 2009 une soi-disant « cellule de suivi du plan bandes ».

Un pétard mouillé qui a fait pschitt, comme beaucoup d’annonces du gouvernement !


Les laisser aller à vau l'eau de ces incidents graves de la part des autorités se voient de plus en plus partout, les manifestations et débordements divers en sont un exemple ou chacun veut faire sa loi (on ne sait d'ailleurs pas laquelle, car l'irrespect d'autrui, va jusqu’à tuer gratuitement pour rien !)

En ce qui concerne la jeunesse la responsabilité incombe aux adultes avant tout qui ne les encadrent plus !

Jdeclef 31/01/2020 09h21

jeudi 30 janvier 2020

Oui je suis âgé, mais je ne la déteste pas, mais elle m'indiffère, car utopique...


Vous détestez Greta Thunberg ? Vous êtes sans doute âgé (ou de droite)

EXCLUSIF. Une étude de la Fondation Jean-Jaurès montre que l'adolescente suédoise est une personnalité clivante en France. Aux États-Unis, elle reste méconnue…

C'est une notoriété à faire pâlir nos responsables politiques. Selon une enquête internationale de la Fondation Jean-Jaurès réalisée par l'Ifop, 84 % des Français déclarent connaître Greta Thunberg et 73 % savent précisément de qui il s'agit. Nos élus devraient-ils se mettre aux tresses ? Comme le rappelle Chloé Morin, experte associée à la Fondation Jean-Jaurès, « 34 % des Français ne connaissent pas assez Jean-Yves Le Drian pour se prononcer à son sujet dans le dernier baromètre Ifop pour Paris Match de janvier 2020, 39 % pour le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, 34 % pour Xavier Bertrand, 31 % pour Gérard Collomb, 30 % pour François Baroin… et jusqu'à 52 % pour la « star » de l'écologie politique française depuis les élections européennes, Yannick Jadot ». L'égérie de la lutte contre le réchauffement climatique est tout aussi célèbre dans d'autres pays européens, avec 95 % des Allemands, 93 % des Italiens et 74 % des Britanniques qui la connaissent. En revanche, celle qui l'année dernière a fait deux fois la couverture du magazine Time reste étrangement méconnue aux États-Unis. Seuls 49 % des Américains en ont entendu parler, et 36 % savent précisément de qui il s'agit, alors même que son périple à New York en septembre pour admonester l'Assemblée générale de l'ONU avait été très médiatisé.
On rappellera, certes, qu'un autre fleuron suédois, ABBA, a lui aussi eu du mal à s'exporter aux États-Unis dans les années 1970. Mais ce manque de popularité outre-Atlantique témoigne aussi d'une sensibilité bien moindre au réchauffement climatique dans le pays dirigé par Donald Trump. Il confirme également l'extrême polarisation du sujet chez les Américains (85 % des démocrates sont inquiets de l'impact du changement climatique sur leur avenir, contre seulement 55 % des républicains). Or Greta Thunberg, dans une tribune qu'elle a cosignée avec d'autres militants écologistes, a ancré son discours très à gauche, liant les émissions de CO2 à une remise en question de tout un système de « dominations » : «  C'est une crise des droits humains, de la justice et de la volonté politique. Les systèmes d'oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l'ont créée et alimentée. Nous devons les démanteler. Nos dirigeants politiques ne peuvent plus fuir leurs responsabilités. »

« OK boomer ? »

Cette enquête de la Fondation Jean-Jaurès montre qu'en France comme ailleurs la personnalité messianique et sévère de Greta Thunberg est très clivante. Si 54 % des Français déclarent en avoir une « bonne opinion », 46 % en ont « une mauvaise » et un Français sur cinq une « très mauvaise ». Et, si 32 % de nos compatriotes disent que l'adolescente les « fait réfléchir », 29 % d'entre eux répondent qu'elle les « énerve ».
Le sondage illustre aussi une vraie fracture générationnelle. Chez les moins de 35 ans, ils sont 60 % à avoir une « bonne opinion » de la jeune Suédoise, alors qu'ils ne sont que 51 % chez les 35 ans et plus, chiffre qui descend jusqu'à 42 % chez les 65 ans et plus. Les préférences partisanes sont, elles aussi, un facteur décisif dans l'image que l'on se fait de Greta Thunberg. 91 % des proches d'Europe Écologie-Les Verts et 75 % chez ceux de La France insoumise expriment une opinion positive sur elle, contre seulement 44 % chez les sympathisants de La République en marche, 45 % chez ceux des Républicains et 39 % du côté du Rassemblement national.
Finalement, 47 % des Français estiment que Greta Thunberg sert la cause de l'écologie et 42 % qu'elle la dessert. Pour Chloé Morin, cette personnalité urticante s'avère bénéfique dans une époque où les médias et les réseaux sociaux sont obsédés par le clash et les polémiques : « Quoi que l'on en pense, Greta Thunberg ne laisse pas indifférent : 18 % des Français, 21 % des Britanniques, 13 % des Allemands et 18 % des Italiens seulement déclarent qu'elle les laisse indifférents. Et c'est sans doute là la principale force de Greta Thunberg, dans la période : être clivante, donc faire parler et faire réfléchir, donc faire tourner les chaînes d'info et commenter les commentateurs, faire débattre les analystes et les responsables politiques ; susciter la vindicte ou l'admiration et donc générer du "contenu" sur les réseaux sociaux et les chaînes d'info… Bref, mettre le sujet climatique à l'agenda médiatique, de manière constante et répétée, malgré le brouhaha médiatique, et la compétition des sujets qui caractérisent l'ère de l'infobésité. Et cela, pour une cause dont le drame est qu'elle est de plus en plus consensuelle – en Europe, notamment, il existe une quasi-unanimité sur la nécessité d'agir pour le climat. Or le consensus n'est pas adapté au paysage médiatico-politique actuel. Pour faire parler, il faut du clash, il faut des confrontations, des débats. Les réseaux sociaux sont là pour relayer les désaccords, les indignations, les débats. Les dynamiques politiques se construisent sur la différenciation – les points d'accord ne permettent pas de se distinguer, et sombrent souvent au second plan des priorités politiques. »
Débat Bruckner-Shellenberger : « Greta Thunberg, c'est Jeanne d'Arc croisée avec Fifi Brindacier »
D'autres pensent qu'au contraire l'écologie ne doit surtout pas être un sujet polarisé associé à la gauche, voire à l'extrême gauche, et qu'il faut un consensus social pour répondre pragmatiquement à l'urgence climatique. Comme nous le confiait l'ingénieur suédois Staffan Qvist, coauteur de A Bright Future, « la concentration en CO2 est déjà passée de 280 ppm (partie par million) avant l'ère industrielle à 410 ppm actuellement. Au taux actuel, chaque année, le monde rajoute près de 35 milliards de tonnes de nouveau CO2 dans une atmosphère déjà surchargée. Hélas, le réchauffement climatique est aussi devenu un sujet partisan. Les conservateurs vont avoir tendance à nier le problème, alors qu'à gauche, trop souvent, on associe le réchauffement avec d'autres vieux objectifs politiques. Comme l'explique l'activiste Naomi Klein, c'est une "opportunité historique" pour mettre un terme au capitalisme, à la mondialisation et aux injustices. Mais, si les solutions au réchauffement climatique doivent attendre la fin du capitalisme, c'est que nous sommes vraiment dans une situation catastrophique »…
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Je trouve qu'il y a déjà trop de donneurs de leçons bienpensant, alors avec cette jeune fille, c'est peut-être un peu de trop, ces personnes de tout âge qui à force de nous saouler de paroles ne font qu'embrouiller la pensée des personnes lambda en les tenant responsables de tous les maux de la terre, alors que chacun commence toujours à penser d'abord à soi-même, ce qui en fait est humain !

Jdeclef 30/01/2020 17h31

Tant mieux car si cela avait été le contraire cela aurait déclenché encore des réactions violentes et une injustice de plus !


Mila, l'adolescente qui a critiqué l'islam, ne sera pas poursuivie pour « provocation à la haine »

Le parquet de Vienne estime que la jeune fille, qui a été insultée et menacée de mort, a seulement exprimé une opinion personnelle à l'égard d'une religion.

Affaire classée. Le parquet de Vienne a annoncé le classement sans suite de l'enquête pour « provocation à la haine religieuse » ouverte contre Mila, une adolescente qui avait diffusé sur les réseaux sociaux une vidéo dans laquelle elle critiquait violemment l'islam. En revanche, les investigations se poursuivent pour trouver les auteurs de menaces de mort à l'encontre de la jeune fille.
Il y a 10 jours, Mila, une jeune fille de 16 ans originaire de la région lyonnaise, avait envoyé une vidéo sur son compte Instagram pour discuter en direct avec ses abonnés. Un jeune homme de confession musulmane lui avait fait alors des avances et elle l'avait repoussé. L'adolescente revendique son homosexualité, ce qui lui a valu une « sale lesbienne » de l'individu. C'est dans ce contexte qu'elle s'était lancée dans une diatribe antireligieuse. Depuis, Mila a reçu plusieurs menaces de mort et a déposé une plainte. Elle a dû être déscolarisée.
Affaire Mila : retour sur dix jours de polémiques

Une « opinion personnelle »

« L'enquête a démontré que les propos diffusés, quelle que soit leur tonalité outrageante, avaient pour seul objet d'exprimer une opinion personnelle à l'égard d'une religion, sans volonté d'exhorter à la haine ou à la violence contre des individus à raison de leur origine ou de leur appartenance à cette communauté de croyance », a expliqué le procureur de la République Jérôme Bourrier. « Les investigations conduites aux fins d'exploitation des propos diffusés, d'analyse de leur dimension contextuelle, de la personnalité de leur autrice et des finalités poursuivies, n'ont révélé aucun élément de nature à caractériser une infraction pénale », a-t-il poursuivi.
Le parquet a donc procédé au classement sans suite de la procédure qui avait été ouverte le 23 janvier pour « provocation à la haine à l'égard d'un groupe de personnes, en raison de leur appartenance à une race ou à une religion déterminée ».

Blasphème

En revanche, la seconde enquête, « ouverte du chef de menaces de mort, menace de commettre un crime, harcèlement et usage de l'identité ou de données d'identification d'autrui en vue de porter atteinte à la tranquillité et à l'honneur », est toujours en cours. Les investigations confiées à la gendarmerie nationale et à ses spécialités en matière de lutte contre la cybercriminalité visent à « identifier et poursuivre les auteurs » des menaces. Ces menaces ont été « propagées de manière anonyme et révèlent pour certaines d'entre elles des données personnelles et intimes », avait précisé il y a une semaine le parquet de Vienne.
L'affaire a pris une ampleur considérable, suscitant un flot de réactions avec des pro et des anti et certaines personnalités politiques ont pris parti. La ministre de la Justice s'est elle-même enferrée dans cette affaire. Nicole Belloubet a plaidé la maladresse et assuré ne pas remettre en cause « le droit de critiquer la religion », après avoir assimilé mercredi matin la critique des religions à « une atteinte à la liberté de conscience ».
« Dans une démocratie, la menace de mort est inacceptable. (…) L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave, mais ça n'a pas à voir avec la menace (de mort, NDLR) », avait déclaré la ministre sur Europe 1.
Coignard – Nicole Belloubet, garde des sots
« Cela laisse perdurer l'idée qu'il y aurait un délit de blasphème en France, ce qui est totalement faux : on a le droit de critiquer une religion, et heureusement, ça s'appelle la liberté d'expression », a réagi le chef de file des députés LR Damien Abad sur France Inter jeudi.
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Il y a assez de sujets épineux concernant les religions sans en rajouter !

Jdeclef 30/01/2020 12h54

SARKOZY le sauveur ou le messie pauvres français sans courage qui voudraient re-prendre un des ex élus de cette V eme république usée obsolète qu'ils avaient rejetés !


Baroin, Le Pen, Pécresse, Sarkozy… Qui ferait mieux que Macron ?

« Le Point » et Ipsos ont testé 23 hypothèses alternatives au président de la République. Un sondage aussi surprenant qu'éclairant.

Voici les résultats d'un sondage que même dans leurs rêves les plus fous les stratèges de l'Élysée n'auraient pu imaginer. À la demande du Point, Ipsos a interrogé un panel de Français sur une question : « Qui, d'après vous, parmi ces personnalités, ferait un meilleur ou un moins bon président qu'Emmanuel Macron ? » Ils étaient vingt-trois sur la ligne de départ. À l'arrivée, sur le papier, aucun d'entre eux n'est jugé meilleur que l'actuel chef de l'État.
« Certes, Emmanuel Macron n'a pas une bonne image dans l'opinion, mais quand on le teste face à des rivaux possibles, il gagne à chaque fois, et le plus souvent de façon large, commente Federico Vacas, d'Ipsos. Le président tire sa principale force de la faiblesse de ses adversaires. Cette étude relativise son déficit de popularité. »
Rejet des populistes. Dans son camp, Emmanuel Macron n'est « challengé » par personne. Édouard Philippe ne ferait un meilleur président que pour 8 % des sondés - et 27 % jugent qu'il serait moins bon -, et ses ministres sont encore moins bien lotis, jusqu'à Gérald Darmanin, bon dernier de la liste - mais celui qui sera tête de liste aux municipales dans sa ville de Tourcoing n'a que 37 ans, et le temps de voir venir. Même l'indétrônable - et expérimenté - ministre le plus populaire, Jean-Yves Le Drian, ne figure pas dans la première partie du classement.
C'était attendu : Marine Le Pen est bien classée, puisque 24 % des sondés considèrent qu'elle ferait une meilleure présidente. Mais la présidente du Rassemblement national est récusée par près de la moitié des Français interrogés, rejet massif qui affecte tout autant sa nièce Marion Maréchal que le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. Les populistes ne convainquent pas comme potentielles forces d'alternance au pouvoir.
Détail croustillant : les scores de Nicolas Hulot. Sans grande surprise, celui qui reste l'une des personnalités les plus populaires arrive en troisième position. Il est crédité de très peu de points positifs (5 %) chez les partisans de Macron, mais atteint un soutien important non seulement dans « sa » famille écologiste, bien sûr, mais aussi chez les Insoumis - pour 43 % d'entre eux, il ferait mieux que Macron.
Sarkozy, le seul rival ? Notre sondage iconoclaste marque la revanche de l'« ancien monde ». Profitant d'un désert de « présidentiables » socialistes, Ségolène Royal, pourtant empêtrée dans des polémiques politico-judiciaires, ne se place pas trop mal ; et François Hollande bénéficie d'un - surprenant - regain de popularité, 20 % de nos sondés considérant qu'il serait meilleur que son successeur - ils sont tout de même 40 % à penser l'inverse (le différentiel, comme les autres, correspond à deux types de réponse : « ni meilleur, ni pire que Macron » et « je ne connais pas cette personnalité »).
Mais le « roi » de cette étude, qui confirme là son grand retour en force, c'est Nicolas Sarkozy. L'ancien président de la République est le seul à pouvoir rivaliser avec Emmanuel Macron. Le naguère impétueux Sarkozy incarnerait-il désormais, en ces temps chahutés, une certaine stabilité ? Ce leader expérimenté plaît aux jeunes de moins de 35 ans : ils sont majoritaires - 28 %, contre 24 % - à juger qu'il serait aujourd'hui un meilleur président qu'Emmanuel Macron. Il séduit les femmes : 26 % d'entre elles (contre 23 %) le préféreraient comme chef de l'État. Il bénéficie aussi d'une image positive, solide auprès des sympathisants lepénistes : pour 44 % d'entre eux, l'ex-président ferait mieux que Macron. Sarkozy, le recours en grâce 
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Ils ont rejeté en masse tous ces anciens politiciens, alors se sont des girouettes qui oscillent en fonction du vent médiatique !?

Ils ont voulu le changement, mais cela n'a pas été probant, car trop brusque avec le jeune MACRON qui a fait beaucoup d'erreurs et n’a pas compris les français !

Mais une partie de ce changement a débuté, qu’il ne le gâche pas, il y a encore à trouver l’homme ou la femme qui devra remplacer ce président actuel s’il n’est pas réélu !

Ceci étant connaissant les français et leur versatilité, il est à craindre qu’ils reprennent un(e) des anciens ou le même en place, et là le trop c’est trop, si c’est le cas au 2eme tour et si je suis encore là en 2022 car âgé je n’irais pas voter !

Jdeclef 30/01/2020 10h32

Il ne faut pas prendre parti pour n'importe quelle religion alors N.Belloubet ne prend pas de risque, elle botte en touche !


Nicole Belloubet, garde des sots

CHRONIQUE. Considérer l'insulte à la religion comme une atteinte à la liberté de conscience ne fait pas partie des missions gouvernementales !

En France, on a le droit d'être un peu bête, un peu abrupt, sans être pour autant poursuivi ni par la justice ni par la haine ordinaire. C'est un des grands acquis de la République. Cela porte un nom désuet mais ô combien précieux : la liberté d'expression. Une adolescente de 16 ans, Mila, a tenu, sur les réseaux sociaux, des propos sur l'islam qui ne brillent ni par leur génie ni par leur élégance, et c'est son droit le plus strict. La loi française le lui garantit.
Mais la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, en a décidé autrement : « L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave », déclare-t-elle ce mercredi matin au micro d'Europe 1. Ce qui est grave, c'est que la ministre de la Justice s'exprime ainsi. Le délit de blasphème n'existe pas en France, et c'est heureux. Madame Belloubet, professeure de droit, ancien membre du Conseil constitutionnel, semble l'ignorer, et c'est malheureux. Car il n'existe aucune jurisprudence, en France, qui aille dans ce sens. Aucune. S'en prendre à un culte est licite, s'attaquer à ses fidèles ne l'est pas. Voilà la ligne rouge clairement tracée par la loi. La garde des Sceaux, qui n'est pas censée l'ignorer, n'a pas hésité à sauter dessus à pieds joints.
« Si Belloubet veut réintroduire le délit de blasphème, qu'elle fasse une loi »

Atteinte au droit d'étudier

Une fois passé l'état de sidération, face à une réflexion officielle aussi déplacée, surgit inévitablement une question : à qui profite la déclaration de la ministre de la Justice, qui a reconnu elle-même, ce mercredi, que son « expression a pu être maladroite » ? Qu'en termes choisis !
Ce serait toutefois naïveté, pour ne pas dire sottise, de considérer qu'il suffit d'une excuse, d'une réserve, pour effacer la portée de propos irresponsables quand on occupe un poste régalien, tel celui de ministre de la Justice ! Tous les ennemis de la République, et les idiots utiles qu'ils manipulent, ont pu boire les paroles de Nicole Belloubet avec délectation. Pendant ce temps, une jeune fille de 16 ans ne peut plus se rendre dans son lycée. Une « atteinte » à son droit d'étudier qui ne semble pas avoir effleuré la ministre.

Pas étonnant de la part de cette ministre incapable de prendre des décisions utiles dans son ministère !

Ceci étant il faut savoir si une insulte envers une religion est pire que celle faite à une personne dénommée tout est là !

Mais dans cette période ou le mystique gagne du terrain avec ces religions diverses qui divisent les hommes, jusqu’à des conflits allant jusqu’à à la guerre, il est inutile de jeter de l'huile sur le feu !

Mais rappelons-nous quand même que les grands de notre monde de dirigeants s’insultent à qui mieux mieux, du moins certains mal élevés, on ne s’en émeut pas autant et même quelque fois on en rit !

C’est une question de simple éducation la politesse !?

Jdeclef 30/01/2020 09h32LP

mercredi 29 janvier 2020

De toute façon, on ne veut pas se rendre compte que dans notre pays (encore) judéo/chrétien et catholique de par son histoire ancestrale !


Critiques contre l'islam : Schiappa s'en prend au délégué général du CFCM

VIDÉO. La secrétaire d'État a vivement réagi aux propos tenus par Abdallah Zekri dans l'affaire Mila, cette lycéenne menacée de mort sur les réseaux sociaux.

« Ce sont des propos criminels. » Marlène Schiappa n'a pas mâché ses mots au moment d'évoquer la réaction du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, dans l'affaire Mila. Cette lycéenne d'Isère a été menacée de mort sur les réseaux sociaux après avoir critiqué l'islam dans une vidéo. « Qui sème le vent récolte la tempête », avait estimé Abdallah Zekri, interrogé à ce sujet sur Sud Radio, ajoutant : « Elle l'a cherché, elle assume. Les propos qu'elle a tenus, les insultes qu'elle a tenues, je ne peux pas les accepter. » Il s'était toutefois dit « contre » le fait qu'elle ait été menacée de mort.

Ces propos ont vivement fait réagir Marlène Schiappa. « Je trouve que ce sont des propos criminels, ce sont des propos coupables, et je me bats contre cette idée selon laquelle une femme, une jeune fille en l'occurrence mais qui que ce soit, qui serait victime de violence, de cyberharcèlement, ce serait parce que cette personne l'aurait cherché », a déclaré la secrétaire d'État en charge de l'Égalité des hommes et des femmes mardi sur France Inter. Ces mots sont « indignes d'un responsable, qui est un leader d'opinion et qui a une parole dans le débat public », a-t-elle poursuivi, rappelant que « s'adonner à du cyberharcèlement en meute » constitue « un délit ».

Deux enquêtes ouvertes

Dans un message diffusé sur Twitter après les propos d'Abdallah Zekri, le nouveau président du CFCM, Mohammed Moussaoui, avait pour sa part souligné que « rien ne saurait justifier les menaces de mort à l'égard d'une personne ». « C'est la justice qui doit prononcer les sanctions prévues par la loi s'il y a provocation et incitation à la haine », avait-il ajouté. Le parquet de Vienne (Isère) a ouvert deux enquêtes dans l'affaire de la jeune Mila, qui a dû être déscolarisée après un déferlement de menaces de mort.
L'une, « ouverte du chef de provocation à la haine raciale », a pour but « de vérifier si les propos tenus sur la vidéo diffusée » par la jeune fille « sont de nature à recouvrir une qualification pénale ou s'inscrivent dans la liberté d'expression reconnue à chacun ». L'autre, « ouverte du chef de menaces de mort, menace de commettre un crime, harcèlement » notamment, s'attache à retrouver et poursuivre les auteurs de ces faits « gravement attentatoires à l'intégrité » de l'adolescente, selon le parquet.
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Que bien que sommes au XXI eme siècle, et que les guerres de religions renaissent par les doctrines obscurantismes de fanatiques religieux dangereux qui lavent les cerveaux des plus faibles !

Et que le plus grave c'est que nos dirigeants bien-pensants donneurs de leçons s'y laissent prendre en pratiquant le politiquement correct hypocrite depuis déjà trente ans au moins !

Jdeclef 29/01/2020 13h03

Si on nomme ce communautarisme par son nom on est censuré dans les médias !


Quand l'école est assiégée par le communautarisme

VIDÉO. Les valeurs républicaines n'ont plus la cote dans certaines écoles. Choses vues et entendues.

Du haut de ses 9 ans, Aurélien ne s'est pas démonté. Scolarisé dans une école élémentaire de Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, le petit garçon a expliqué à son camarade de classe que chacun était libre de croire ce qu'il voulait. « Maman m'a emmené voir une exposition sur la création de l'Univers avec le big-bang et les météorites, se souvient Aurélien. J'en ai parlé à mon copain Medhi à la récré, mais il s'est énervé en m'expliquant que tout ça était faux, et que Dieu avait tout créé : la Terre, la nature, moi, lui, sa mère, la mienne et la mère de ma mère, etc. Moi, je crois en la science. Mais il ne voulait pas m'écouter. » Cette anecdote, ambiance « Guerre des boutons », traduit une réalité troublante : l'irruption du religieux jusque dans la sphère scolaire publique, pourtant censée être laïque. Si ces conversations de cour de récréation s'apparentent plus à des chamailleries qu'à des débats philosophiques sur Dieu et la république, ces échanges s'invitent dans le quotidien de l'Education nationale. Un constat partagé par Hayat, que nous avons rencontrée. Cette mère de deux enfants scolarisés à Saint-Denis (93) refuse de composer avec cet état de fait. « Entre les dealers et les religieux, je suis obligée de surveiller mes enfants de très près, explique Hayat. Une des copines de ma fille lui a offert… une burqa rapportée d'Arabie saoudite, ainsi que des livres religieux wahhabites. Quelle idée ! Elle n'aurait pas pu lui trouver un truc plus sympa ? A la maison, ma fille a commencé à imposer des interdits religieux, à édicter ce qui était haram (illicite) ou pas. J'ai compris qu'elle était sous l'influence de ses camarades. Je n'ai rien lâché. Ça va mieux maintenant. » Mais Hayat ne baisse jamais la garde et relate comment le communautarisme rattrape même le personnel éducatif de certaines écoles : « La dame de la cantine a refusé de servir du porc à mon fils alors qu'il en mange à la maison. Il lui a pourtant expliqué, mais elle ne voulait rien savoir. » Et l'agent de service de rétorquer à l'élève : « Non, j'ai vu ta mère, et elle est forcément musulmane. »« Je suis allée m'expliquer avec cette dame de la cantine, reprend Hayat, elle m'a sermonnée en m'expliquant que j'étais une mauvaise musulmane. J'étais furieuse. » 
UN RÉFÉRENT RADICALISATION DE L’ÉDUCATION NATIONALE « L’Education nationale, c’est 1 million de personnels, 12 millions d’élèves et 20 millions de parents d’élèves. Cela représente au total presque la moitié de la population française, et ça comprend les populations les plus jeunes et donc les plus susceptibles de commettre des attentats. L’Education nationaleest donc le premier service public en capacité de pouvoir détecter d’éventuels terroristes. » Documents. Extraits des auditions sur l’école conduites à huis clos par la mission parlementaire des députés Eric Diard (LR) et Eric Poulliat (LREM)
Des histoires de ce genre, on en ramasse à la pelle. En octobre dernier, une note confidentielle des services de renseignement pointait du doigt nombre de dérives communautaristes au sein des établissements scolaires. Les typologies d'incidents sont connues : des élèves qui refusent de dessiner des représentations humaines - un interdit religieux dans l'islam rigoriste - ou encore de s'asseoir à côté de leurs camarades de cantine qui ont du porc dans leur assiette.
EXCLUSIF. Le document-choc sur l'État face à l'islamisme
Dépassés. Le corps enseignant est-il outillé pour faire face à ces situations ? Certains profs reconnaissent être parfois dépassés : « Des faits religieux et communautaires, il y en a tout le temps et tous les jours, mais nous n'avons jamais été formés à régler ce genre de choses », raconte Alice. Professeure de collège à Evry, elle se sent quelquefois dépassée et un peu seule pour gérer ces questions, en dépit de la plateforme mise en place pour aider les enseignants.
Plus embêtant, il arrive que l'administration elle-même s'enlise dans des situations pour le moins maladroites, comme l'a fait le collège du Fort de Sucy- en-Brie (94) en diffusant un formulaire surprenant à l'attention des parents d'élèves avant le ramadan. Les parents qui attestaient que leur « enfant demi-pensionnaire au collège fera le ramadan cette année » avaient la possibilité de bénéficier d'une « demande de remise exceptionnelle au titre de la pratique d'un jeûne cultuel (…) si aucun repas n'est consommé durant cette période ». S'il semble peu probable qu'il s'agisse là d'un cas de prosélytisme ou de fichage de la part de l'administration de l'établissement, cette communication qui tend à banaliser la présence du phénomène cultuel dans l'enceinte de l'établissement semble peu conforme aux principes de laïcité qui prévalent dans les établissements publics. Contacté, l'établissement n'a pas donné suite pour le moment à nos sollicitations.
« Mon enfant (...) fera le ramadan cette année. Il ne déjeunera donc pas au collège pendant cette période. » « Je souhaite que ces repas soient déduits de ma facture de cantine du 3e trimestre 2018-2019 (avril-juillet 2019). » Exception. Un formulaire du collège du Fort de Sucy-en-Brie (94) donne la possibilité aux parents de bénéficier d’une « demande de remise exceptionnelle au titre de la pratique d’un jeûne cultuel (…) si aucun repas n’est consommé durant cette période de ramadan ».
« Portrait robot ». Autre témoignage que nous avons pu recueillir, celui de Farida, agent territorial des écoles maternelles, au sujet d'une école maternelle du nord de Paris. Elle raconte encore estomaquée cet épisode avec un enseignant remplaçant : « Dans sa classe, il a séparé les filles des garçons. Les toilettes sont mixtes, mais il interdit aux petites filles de s'y rendre quand des garçons y sont. Mais ils ont 3 ans ! » Zélé, l'enseignant a même empêché ses collègues féminines de s'occuper des garçonnets aux toilettes et s'est laissé aller à quelques conseils : « Il parlait de préceptes coraniques à une collègue très religieuse devant les enfants qui entendaient tout de la conversation. »
Les services publics face aux islamistes : le cas du sport
Dans les Bouches-du-Rhône, un cas de prosélytisme d'un enseignant de langue et culture d'origine - un contractuel nommé par un consulat ou une ambassade - est remonté jusqu'à la préfecture de police. Un référent radicalisation a dressé devant les députés le « portrait-robot » des personnels de l'Education nationale déjà signalés : « Homme, enseignant de mathématiques, non titulaire ou titulaire remplaçant, il change souvent d'affectation et se conforme le plus possible aux demandes de l'institution pour ne pas faire de vagues. »
Une fois encore, il ne suffit pas de savoir qu'un individu est radicalisé pour que le risque disparaisse. « Nous avons une difficulté : démontrer la matérialité des faits de radicalisation », explique ce référent académique, qui dit avoir signalé sur l'année passée « dix adultes, dont huit enseignants et deux personnels techniques. (…) La difficulté est que le gros du travail porte sur la laïcité et sur des pratiques éventuellement rigoureuses qui peuvent parfois être prises pour de la radicalisation ». Radicalisation, prosélytisme, communautarisme, laïcité bousculée… Les frontières entre ces différents phénomènes sont bien souvent brouillées, mais une chose est certaine : l'école reste encore le rempart le plus efficace face aux obsessions du repli !
UN RÉFÉRENT RADICALISATION DE L’ÉDUCATION NATIONALE « Sur la question des minutes de silence, j’ai connu en 2001 une situation où elle a été refusée par l’ensemble des élèves dans un établissement des quartiers Nord de Marseille. C’était un mouvement de fond, un sentiment d’exclusion des élèves par rapport à la société occidentale, et pas seulement une provocation. Une partie de la population, au sein de ces quartiers, considérait qu’elle n’était pas membre à part entière de la société française. »
Activités culturelles, animations, aide aux devoirs, cours d’arabe dispensés au sein des mosquées… Les religieux, dans certains quartiers, multiplient les offres à travers différentes structures pour occuper ou éduquer les plus jeunes. Une situation dénoncée par Salima, une militante associative féministe basée en Seine-Saint-Denis. Elle souhaite rester anonyme à cause des multiples pressions venant des religieux, mais ne décolère pas. « On voit des offres en tout genre fleurir dans les quartiers, explique la jeune femme. Elles concurrencent directement celles du service public. Certaines associations communautaristes proposent de l’aide aux devoirs. Mais, dans les faits, on bourre le crâne des enfants avec la religion. Des mosquées dispensent, au sein de leurs locaux, des cours d’arabe. Tous les jours, après l’école, les enfants s’y rendent, kamis pour les garçons et voiles pour les filles, parfois très jeunes. Le problème, selon moi, ce n’est pas d’apprendre l’arabe, mais ce qu’on enseigne véritablement aux enfants durant ces cours de langue qui sont, en réalité, l’apprentissage d’un islam rigoriste qui enferme ces enfants dans un schéma communautariste, les menant à l’impasse d’une assignation identitaire. » N. C. 
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Car nous sommes dirigés par des kyrielles de bien-pensants hypocrites donneurs de leçons !

Pour le reste il n'y a qu'à vivre dans les grandes villes de France et surtout dans les départements connus comme en IDF par exemple qui sont fréquentés dans les écoles publiques de France par des enfants qui y habitent et qui sont bien sûr éduqués religieusement par l'origine de leurs parents et qui souvent vivent dans des citées les regroupant, ceux-ci par communautés connues !

Inutile de faire comme si on ne le voulait pas le voir, en pratiquant le politiquement correct la pire hypocrisie qui soit !

Cela fait trente ans que ça existe et augmente, alors il ne faut pas se plaindre après, car c'est déjà trop tard !
Puisque l'on n'a rien fait pour assimiler ces gens et leurs enfants français correctement !

Jdeclef 29/01/2020 12h38LP

Ça suffit qu'ils laissent les salariés travailler sereinement, ils ont assez semé le souk comme cela !


Grève SNCF-RATP : ce qui vous attend mercredi 29 janvier

Les syndicats vont se mobiliser une nouvelle fois contre la réforme des retraites. Quelques perturbations sont à prévoir dans le métro parisien.

Pour cette nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, quelques perturbations sont à prévoir dans les transports franciliens, mercredi 29 janvier. Selon les premières prévisions de la RATP, 12 lignes de métro vont fonctionner normalement durant toute la journée. Des dérangements sont à prévoir sur les lignes 5, 6, 8, où entre trois trains sur quatre et quatre trains sur cinq vont circuler. La ligne 13 est aussi touchée : deux trains sur trois sont à prévoir durant la journée.
Du côté du RER, la régie indique des perturbations sur la ligne B : quatre trains sur cinq circuleront durant les heures de pointe et trois trains sur quatre durant les heures creuses. L'interconnexion est maintenue à la gare du Nord. Le trafic sera normal sur le RER A.
RATP : la grève illimitée est « derrière nous »

Le trafic TGV sera normal

Par ailleurs, la RATP précise que des manifestations se dérouleront sur la voie publique durant cette journée du mercredi 29 janvier et que, par conséquent, la préfecture de police a ordonné la fermeture de stations. Ainsi Champs-Élysées-Clemenceau (lignes 1 et 13), Varenne (ligne 13), Invalides (lignes 8 et 13) et Miromesnil (lignes 9 et 13) seront fermées à partir de 14 heures. Les trains ne marqueront pas l'arrêt et les correspondances ne seront pas assurées.
Du côté du réseau SNCF, la compagnie prévoit trois trains sur quatre sur le RER C, et deux trains sur trois sur le RER D. L'interconnexion entre les gares du Nord et de Lyon sera maintenue. Le trafic sera normal sur le RER E.
Retraites : le projet de réforme devant le Conseil des ministres
Pour les Transiliens, il faut prévoir deux trains sur trois pour la ligne H et J et trois trains sur quatre sur la ligne N. Sur la ligne K, il n'y aura aucune circulation ferroviaire. Des bus de remplacement seront mis en place uniquement entre Mitry-Claye et Crépy-en-Valois et entre Aéroport CDG1 et Crépy-en-Valois. Le trafic est annoncé normal sur les lignes L, P, R et U. Idem sur le Tramway 11. Sur le Tramway 4, prévoir 12 minutes entre deux trams.
Au niveau national, la SNCF prévoit un trafic normal sur les réseaux TGV et Intercités. Pour les TER, huit trains sur dix circuleront. « Le plan de transport sera renforcé par la commande d'autocars complémentaires. Les clients sont invités à se renseigner sur la circulation de leur train sur l'Assistant SNCF et le site TER », indique la compagnie.
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Surtout à cause de ces jusqu'aux boutismes de la CGT qui ne savent que faire cela bloquer pour empêcher la liberté de ceux qui veulent pouvoir se servir de leurs services publics, qu'ils paient en plus !

Car ils se fichent totalement des français lambda et ne pensent qu'à eux et à leurs glorioles personnelles de leaders qui ne sont pas dans le besoin !

Jdeclef 29/01/2020 10h43LP

Comme d'habitude ce sondage ou statistique est sujet à caution bien que réconfortant !


Éducation : les élèves français adhèrent largement à la laïcité

82 % des lycéens de terminale estiment que les lois de la République sont plus importantes que les règles religieuses, d'après une étude inédite.

Les collégiens et les lycéens sont des champions de la laïcité. Une étude publiée mercredi 29 janvier révèle que les élèves adhèrent très majoritairement à ce pilier de l'école républicaine. Un bémol existe toutefois dans l'éducation prioritaire ou en lycée professionnel.
Cette étude « inédite » a été réalisée entre mars et mai 2018 auprès de 16 000 élèves de troisième et terminale d'établissements publics et privés sous contrat, 500 enseignants et 350 chefs d'établissement par le Conseil national d'évaluation du système scolaire (Cnesco).
Coignard – Macron : la laïcité à (très) petits pas

Principes fondamentaux

Pour 90 % des collégiens et lycéens, les élèves doivent être tolérants entre eux s'ils n'ont pas les mêmes croyances. Par ailleurs, 82 % des lycéens de terminale estiment que les lois de la République sont plus importantes que les règles religieuses. Enfin, ils sont deux tiers à penser que la religion ne doit pas être du tout visible à l'école, indique le Cnesco.
Selon Nathalie Mons, présidente de cette instance d'évaluation, « si ces jeunes adhèrent majoritairement à ces valeurs, c'est en grande partie grâce à l'enseignement qu'ils ont reçu ». « L'école réussit à inculquer les principes fondamentaux de la laïcité, avec des élèves qui font preuve d'une grande tolérance », assure-t-elle.
Coignard – La laïcité instrumentalisée

Connaissances civiques

L'étude montre aussi que les élèves qui ont le plus de connaissances civiques sont aussi ceux qui sont le plus attachés à la laïcité. Et il y a également moins de problèmes au niveau du collège, même pour les établissements difficiles qui consacrent à ce sujet plus d'intervention et de temps. Mais des difficultés se concentrent dans certains types d'établissements.
Selon le Cnesco, 28 % des élèves en lycée professionnel estiment que les règles de vie prescrites par la religion sont plus importantes que celles de la République, contre 14 % dans les lycées généraux. Enfin, dans les collèges d'éducation prioritaire, 15 % des profs chargés de cet enseignement constatent des atteintes à la laïcité, contre seulement 1 % hors de l'éducation prioritaire.
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Car il faudrait déjà expliquer par un ou des cours adéquates ce qu'est la laïcité, car elle est souvent interprétée de différente façon et peut être dévoyée de ce qu'elle représente vraiment !

D'ailleurs ce point informatif devrait être aussi donné aux parents lambda ou éducateurs et notamment dans les écoles laïques de la république qui enseigne à de nombreux élèves qui sont élevés par leurs parents sous multiples religions ou même athée !

Et surtout en laissant de côté la politique politicienne qui s'infiltre partout !

Jdeclef 29/01/2020 10h25LP

mardi 28 janvier 2020

Le président parle en aparté pendant ses voyages sur ces sujets importants que les français subissent au quotidien !


Sébastien Le Fol – Communautarisme : Macron plane-t-il à dix mille ?

ÉDITO. À bord de son Airbus, Emmanuel Macron a une nouvelle fois fustigé l'islamisme et le séparatisme. Mais sa majorité le suivra-t-elle sur ces sujets ?

Quand Emmanuel Macron monte dans un avion, on peut désormais prévoir une traversée de turbulences... À l'instar du pape François, le président de la République a pris goût aux causeries en altitude. À bord de la salle de réunion de l'Airbus présidentiel, vêtu d'un sweat, un verre de whisky à la main, le stewart en chef de la France délivre ses bulles du moment. Se sent-il plus libre à 10 000 mètres d'altitude pour évoquer les sujets qui froissent sa majorité ? Sans tabou, un peu stratosphérique parfois (ses références aux concepts d'identité narrative et de « mêmeté » de son cher Paul Ricœur), il parle d'immigration, de communautarisme, d'islamisme.
Tels furent les thèmes de son entretien à Valeurs actuelles, à l'automne dernier, lors du vol Mayotte-Paris. Il récidive en ce début d'année, cette fois entre Jérusalem et Orly. La polémique sur la guerre d'Algérie, qu'il n'a d'ailleurs pas comparée à la Shoah, a quelque peu occulté le reste de ses propos aériens. Macron revient sur le « communautarisme » et le « séparatisme ». « J'ai une volonté de traiter le sujet, martèle-t-il, parce que je suis convaincu que si on ne le traite pas… […] Il faut essayer de dire sans diviser. Il faut accepter, en disant, de parfois bousculer. Mais il faut accepter qu'il y a, dans notre République aujourd'hui, ce que j'appellerais un séparatisme. » 
Sébastien Le Fol – Gilets jaunes : comme une envie de dictature

Deux visions difficilement conciliables au sein de la macronie

Remarques frappées au coin du bon sens, une nouvelle fois. On se demande néanmoins à qui elles s'adressent. Aux Français, qui le jugeraient flou sur ces questions sensibles ? Au très frileux groupe parlementaire LREM, pas vraiment sur sa ligne autour de ces questions-là ? En septembre 2019, au sol cette fois (à Paris), Macron avait secoué sa majorité : « Devons-nous être le parti bourgeois ou pas ? Les bourgeois ne croisent pas l'immigration. Ce sont les territoires les plus pauvres qui sont le réceptacle. Les classes populaires, elles, subissent le chômage, la pauvreté, mais elles subissent aussi ce sujet. » Quel a été l'effet concret de ce discours ? On le cherche encore. Aussitôt ouvert, le débat sur l'aide médicale d'État a été refermé. Une poignée de Marcheurs s'est fendue d'une tribune indignée. Une partie du gouvernement freinait des quatre fers.
La lutte contre le communautarisme et l'islamisme n'était pas la priorité du candidat Macron. Cela devient aujourd'hui un des sujets prioritaires du président sortant. Or, dans cette matière explosive, il n'a pas de doctrine. Au sein de la macronie existent deux visions difficilement conciliables. On l'a vu il y a quelques mois encore après l'attaque de la mosquée de Bayonne par un ancien militant du Front national. Tandis que le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner exprimait dans un tweet sa solidarité et son soutien à « la communauté musulmane », celui de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, évoquait dans un autre tweet « nos compatriotes musulmans ». Entre ces deux approches, il faudra bien trancher.
Le même Blanquer, lorsqu'il a déclaré que « le voile n'était pas souhaitable dans notre société », a été peu soutenu au gouvernement à l'exception de Gérald Darmanin, Bruno Le Maire et Marc Fesneau. Emmanuel Macron ne pourra longtemps se contenter d'envoyer des ballons d'essai. À un moment, même les idées les plus brillantes ont besoin de revenir sur terre.
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Mais pour le reste, il ne décide pas, après tout dans sa tour d’ivoire, il ne subit rien !?

Alors il attend, on ne sait pas trop quoi et ne fait rien son prédécesseur faisait pareil et ceux d’avant pas mieux, çà fait trente ans que ça dure ?!

Pourtant les tensions dans le pays ne s’améliorent pas et les violences gratuites qui vont avec et la crise des régimes des retraites et grèves diverses n’arrive même pas à cacher ces problèmes de religions ou communautaires sous-jacents qui s’amplifie au fil des années !
Le plus préoccupant semble-t-il, c’est que tous nos dirigeants passés ou présent bien pensant donneur de leçon hors pairs n’ont rien fait aussi ?!

Alors de quoi ont-ils peur en pratiquant ce politiquement correct hypocrite de bien pensant cela devient désespérant !

Jdeclef 28/01/2020 10h58