RATP :
fin de la grève lundi sur la majorité des lignes du métro parisien
Les
conducteurs vont suspendre le mouvement. Il a coûté plus de 200 millions
d'euros à la RATP. Et valu de nombreuses galères aux usagers…
Les conducteurs du métro parisien en grève contre la réforme des
retraites ont voté vendredi dans la plupart de leurs assemblées générales la
suspension de leur mouvement à partir de lundi, a annoncé samedi le syndicat
Unsa, qui se dit pour autant toujours « déterminé à poursuivre la
lutte ». Pour les grévistes, il s'agit de « reprendre des
forces » avant la prochaine mobilisation, prévue vendredi 24 janvier,
a précisé Laurent Djebali, représentant des conducteurs de métro et RER à
l'Unsa RATP, premier syndicat de la régie.Pour beaucoup de grévistes, cette décision a été décidée « pour des raisons pécuniaires » : « On peut comprendre que certains collègues aient besoin de se renflouer », a précisé à l'Agence France-Presse Laurent Djebali. Pour autant, « dès que les collègues sont prêts, on repart en illimité, en espérant une convergence des luttes ». « Il est hors de question qu'on appelle à cesser la grève illimitée, bien au contraire », a-t-il insisté.
Nouailhac – Question privilèges, c'est la RATP qui bat tous les records !
Retour à un trafic normal sur douze lignes de métro
Le trafic devrait donc reprendre normalement sur douze lignes
de métro, ainsi que sur le RER A. Les lignes du métro 5 et 13,
ainsi que le RER B, pourraient rester perturbés. À la tête du syndicat non
représentatif Unsa, Laurent Escure s'est affiché comme l'un des interlocuteurs
clés de l'exécutif, entre tête à tête avec Emmanuel Macron et multilatérales et
bilatérales à Matignon.Réforme des retraites – Éric Woerth : « La créature a échappé à ses créateurs »
Mercredi dernier, Édouard Philippe avait estimé que la grève à la RATP et à la SNCF contre la réforme des retraites était « sans issue » et « n'avait que trop duré », au terme d'un séminaire gouvernemental à l'Élysée. « Je ne serai satisfait qu'au moment où l'ensemble des usagers de la SNCF au niveau national et l'ensemble des usagers des transports en public, au niveau de l'Île-de-France, auront retrouvé le cours d'une vie normale », avait lancé le Premier ministre. Mercredi, Matignon a estimé à un montant « proche de 200 millions d'euros pour la RATP » les « conséquences financières » de la grève.
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Et surtout de son leader MARTINEZ
qui ne roule que pour lui par gloriole personnelle en se servant de son
syndicat la CGT pour bloquer les transports publics (SNCF/RATP ou autres) en entraînant leurs agents qui se laisse prendre à ses diatribes creuses ou discours
totalement négatif de basse politique !
C'est un malade qui s'ignore petit
chef qui ne sait que dire non à tout qui parle de négociation, mais qui ne veut
rien entendre, bien que le gouvernement ait lâché du lest sur cette réforme !
Un aboyeur de foire comme on en voit
dans les syndicats ou chez certains politiciens élus qui pollue la marche de
notre pays et la vie de nos concitoyens !
jdeclef@19/01/2020 10h59CLP
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