mercredi 29 janvier 2020

De toute façon, on ne veut pas se rendre compte que dans notre pays (encore) judéo/chrétien et catholique de par son histoire ancestrale !


Critiques contre l'islam : Schiappa s'en prend au délégué général du CFCM

VIDÉO. La secrétaire d'État a vivement réagi aux propos tenus par Abdallah Zekri dans l'affaire Mila, cette lycéenne menacée de mort sur les réseaux sociaux.

« Ce sont des propos criminels. » Marlène Schiappa n'a pas mâché ses mots au moment d'évoquer la réaction du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, dans l'affaire Mila. Cette lycéenne d'Isère a été menacée de mort sur les réseaux sociaux après avoir critiqué l'islam dans une vidéo. « Qui sème le vent récolte la tempête », avait estimé Abdallah Zekri, interrogé à ce sujet sur Sud Radio, ajoutant : « Elle l'a cherché, elle assume. Les propos qu'elle a tenus, les insultes qu'elle a tenues, je ne peux pas les accepter. » Il s'était toutefois dit « contre » le fait qu'elle ait été menacée de mort.

Ces propos ont vivement fait réagir Marlène Schiappa. « Je trouve que ce sont des propos criminels, ce sont des propos coupables, et je me bats contre cette idée selon laquelle une femme, une jeune fille en l'occurrence mais qui que ce soit, qui serait victime de violence, de cyberharcèlement, ce serait parce que cette personne l'aurait cherché », a déclaré la secrétaire d'État en charge de l'Égalité des hommes et des femmes mardi sur France Inter. Ces mots sont « indignes d'un responsable, qui est un leader d'opinion et qui a une parole dans le débat public », a-t-elle poursuivi, rappelant que « s'adonner à du cyberharcèlement en meute » constitue « un délit ».

Deux enquêtes ouvertes

Dans un message diffusé sur Twitter après les propos d'Abdallah Zekri, le nouveau président du CFCM, Mohammed Moussaoui, avait pour sa part souligné que « rien ne saurait justifier les menaces de mort à l'égard d'une personne ». « C'est la justice qui doit prononcer les sanctions prévues par la loi s'il y a provocation et incitation à la haine », avait-il ajouté. Le parquet de Vienne (Isère) a ouvert deux enquêtes dans l'affaire de la jeune Mila, qui a dû être déscolarisée après un déferlement de menaces de mort.
L'une, « ouverte du chef de provocation à la haine raciale », a pour but « de vérifier si les propos tenus sur la vidéo diffusée » par la jeune fille « sont de nature à recouvrir une qualification pénale ou s'inscrivent dans la liberté d'expression reconnue à chacun ». L'autre, « ouverte du chef de menaces de mort, menace de commettre un crime, harcèlement » notamment, s'attache à retrouver et poursuivre les auteurs de ces faits « gravement attentatoires à l'intégrité » de l'adolescente, selon le parquet.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Que bien que sommes au XXI eme siècle, et que les guerres de religions renaissent par les doctrines obscurantismes de fanatiques religieux dangereux qui lavent les cerveaux des plus faibles !

Et que le plus grave c'est que nos dirigeants bien-pensants donneurs de leçons s'y laissent prendre en pratiquant le politiquement correct hypocrite depuis déjà trente ans au moins !

Jdeclef 29/01/2020 13h03

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire