Critiques
contre l'islam : Schiappa s'en prend au délégué général du CFCM
VIDÉO. La
secrétaire d'État a vivement réagi aux propos tenus par Abdallah Zekri
dans l'affaire Mila, cette lycéenne menacée de mort sur les réseaux sociaux.
« Ce sont des propos criminels. » Marlène Schiappa n'a
pas mâché ses mots au moment d'évoquer la réaction du délégué général du
Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, dans l'affaire Mila.
Cette lycéenne d'Isère a été menacée de mort sur les réseaux sociaux après
avoir critiqué l'islam dans une vidéo. « Qui sème le vent récolte la tempête »,
avait estimé Abdallah Zekri, interrogé à ce sujet sur Sud Radio,
ajoutant : « Elle l'a cherché, elle assume. Les propos qu'elle a
tenus, les insultes qu'elle a tenues, je ne peux pas les
accepter. » Il s'était toutefois dit « contre » le
fait qu'elle ait été menacée de mort.Ces propos ont vivement fait réagir Marlène Schiappa. « Je trouve que ce sont des propos criminels, ce sont des propos coupables, et je me bats contre cette idée selon laquelle une femme, une jeune fille en l'occurrence mais qui que ce soit, qui serait victime de violence, de cyberharcèlement, ce serait parce que cette personne l'aurait cherché », a déclaré la secrétaire d'État en charge de l'Égalité des hommes et des femmes mardi sur France Inter. Ces mots sont « indignes d'un responsable, qui est un leader d'opinion et qui a une parole dans le débat public », a-t-elle poursuivi, rappelant que « s'adonner à du cyberharcèlement en meute » constitue « un délit ».
Deux enquêtes ouvertes
Dans un message diffusé sur Twitter après les propos d'Abdallah
Zekri, le nouveau président du CFCM, Mohammed Moussaoui, avait pour sa part
souligné que « rien ne saurait justifier les menaces de mort à l'égard
d'une personne ». « C'est la justice qui doit prononcer les sanctions
prévues par la loi s'il y a provocation et incitation à la haine »,
avait-il ajouté. Le parquet de Vienne (Isère) a ouvert deux enquêtes dans l'affaire
de la jeune Mila, qui a dû être déscolarisée après un déferlement de menaces de
mort.L'une, « ouverte du chef de provocation à la haine raciale », a pour but « de vérifier si les propos tenus sur la vidéo diffusée » par la jeune fille « sont de nature à recouvrir une qualification pénale ou s'inscrivent dans la liberté d'expression reconnue à chacun ». L'autre, « ouverte du chef de menaces de mort, menace de commettre un crime, harcèlement » notamment, s'attache à retrouver et poursuivre les auteurs de ces faits « gravement attentatoires à l'intégrité » de l'adolescente, selon le parquet.
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Que bien que sommes au XXI eme
siècle, et que les guerres de religions renaissent par les doctrines
obscurantismes de fanatiques religieux dangereux qui lavent les cerveaux des
plus faibles !
Et que le plus grave c'est que nos
dirigeants bien-pensants donneurs de leçons s'y laissent prendre en pratiquant
le politiquement correct hypocrite depuis déjà trente ans au moins !
Jdeclef 29/01/2020 13h03
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