vendredi 31 mai 2019

Un des derniers dictateurs très durs qui ne change pas à moins d'être renversé par le peuple qu'il tyrannise et surement qu'il effraie par son emprise !


Selon un journal sud-coréen, Kim Hyok-chol, qui avait réalisé le travail préparatoire du sommet Trump-Kim, a été abattu avec quatre autres responsables.


Pyongyang a exécuté l'un de ses responsables, après le fiasco du second sommet entre Kim Jong-un et Donald Trump, en février dernier à Hanoï, rapporte, vendredi, le Chosun Ilbo. Le journal sud-coréen affirme que Kim Hyok-chol, l'émissaire spécial de la Corée du Nord pour les États-Unis, qui avait notamment participé à l'organisation du sommet dans la capitale vietnamienne et voyagé à bord du train privé Kim Jong-un, a été retourné par les États-Unis en amont de la rencontre entre les deux chefs d'État et finalement fusillé pour avoir « trahi le leader suprême ».
Sommet Trump-Kim : échec des négociations, mais le dialogue reste ouvert ?
« Kim Hyok-chol a été exécuté en mars à l'aéroport de Mirim avec quatre hauts responsables du ministère des Affaires étrangères après une enquête », assure le quotidien en citant une source non identifiée. Le journal ne donne pas le nom des autres personnes qui auraient été exécutées. Kim Hyok-chol était l'homologue de l'émissaire américain Stephen Biegun dans les discussions préparatoires au sommet de Hanoi.

Une traductrice envoyée dans un camp de prisonniers

Le ministère sud-coréen de l'Unification, qui s'occupe des questions intercoréennes, s'est refusé à tout commentaire sur l'article du Chosun Ilbo. Le quotidien rapporte en outre que l'interprète de Kim Jong-un, Shin Hye Yong, a été envoyée dans un camp de prisonniers en raison d'une erreur lors du sommet. Elle n'a pas traduit la nouvelle proposition de Kim Jong-un quand Donald Trump a déclaré qu'il n'y avait « pas d'accord » et a quitté la table, selon le Chosun Ilbo, qui cite une source diplomatique.
Donald Trump et Kim Jong-un avaient écourté leur sommet de Hanoi sans aucun accord, et sans même de déclaration commune, en raison de leur incapacité à trouver une entente sur le démantèlement des programmes nucléaires de Pyongyang en échange d'une levée des sanctions. Depuis lors, le Nord a fait monter la pression en procédant notamment à deux tirs de missiles de courte portée. Kim Yong-chol, haut responsable du parti unique au pouvoir, et pendant nord-coréen du secrétaire d'État américain Mike Pompeo dans les discussions sur le nucléaire, a également été envoyé dans un camp de travail, selon le journal.
En avril, la commission parlementaire sud-coréenne sur le Renseignement avait affirmé que Kim Yong-chol avait été sanctionné pour sa gestion du sommet de Hanoi, en dépit du fait qu'il a récemment été nommé au sein de la Commission des affaires de l'État, le premier organe de l'État, qui est présidée par Kim Jong-un. Il est arrivé que des informations de la presse sud-coréenne sur des purges et des exécutions au Nord se révèlent fausses. Les informations sur cette purge présumée sont publiées alors que le Rodong Sinmun, organe officiel du parti au pouvoir en Corée du Nord, a averti jeudi que les responsables qui commettraient des actes hostiles au parti ou antirévolutionnaires seraient confrontés au « jugement sévère de la révolution ».
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En EUROPE on en a eu deux très durs avant et pendant la dernière guerre et après HITLER et STALINE qui avait anesthésiés leur populations jusqu’à les asservir pour les mettre à leurs bottes, et jusqu'en 1975 avec FRANCO ou jusqu'en 1953 pour STALINE  sans oublier MUSSOLINI et après en URSS avec une suite jusqu'à la fin de la chute du mur de BERLIN pour poursuivre après par une démocrature Poutinienne !

Et l'on voit bien que malgré les faux accords bidons très médiatiques fait avec Donald TRUMP « le matamore », KIM JONG-UN ne change en rien à sa ligne de conduite !

Car Hélas avec l'ouverture de la boite de pandore et l'utilisation de l'arme atomique en 1945 par les USA, on n'est plus à l'abri avec ces hommes dangereux !

Et « cerise sur le gâteau empoisonné » on a le terrorisme islamique rampant à cause de fanatiques religieux incontrôlables qui est venu se rajouter !

Et d'autres dictateurs, ne les citons pas on les connait, il y en a d'autres en gestation ou en simili démocrature, il faut croire que dans certains pays les peuples ont besoin d’être dominés par des dirigeants forts pour se sentir protégés bien qu'ils aient eu dans le passé de par l'histoire du monde des exemples à ne pas suivre !

C'est préoccupant, mais difficile à faire comprendre dans un monde ou l'argent roi et le profit et la puissance est prioritaire avant tout !

Et on nous dit que l'Europe est en paix fragile depuis 75 ans, car incapable de s'unir vraiment pour conserver cet équilibre de paix alors que le monde est toujours en guerre larvée et ou on se bat toujours dans certains pays !

Jdeclef 31/05/2019 17h20

JADOT joue à la grenouille qui se veut aussi grosse que le bœuf ?!


Popularité : chassé-croisé Macron-Jadot après les européennes

Le leader des écologistes prend la tête du classement devant Marine Le Pen et tire les bénéfices de son bon résultat aux élections du 26 mai.


Conséquence logique des élections européennes, Yannick Jadot, la tête de file des écologistes, se hisse au sommet du classement des personnalités politiques préférées des Français. Emmanuel Macron, de son côté, rechute, avec 30 % (- 2) seulement des Français qui considèrent qu'il est un bon président, selon un sondage Odoxa diffusé jeudi. Le chef de l'État retrouve son niveau de janvier, en pleine crise des Gilets jaunes, et 70 % (+ 3) des personnes interrogées jugent négativement son action.
Avec 34 % de bonnes opinions, Édouard Philippe reste stable pour le deuxième mois consécutif, selon cette enquête pour France Inter, La Presse régionale et L'Express, réalisée au lendemain du scrutin remporté par le Rassemblement national devant La République en marche.

+ 20 points pour Jadot

Après le succès de la liste Europe Écologie-Les Verts, arrivée en troisième position dimanche, Yannick Jadot bondit de 20 points au classement des personnalités qui suscitent l'adhésion des Français. Avec 32 % d'opinions favorables, il s'installe en tête du classement, devant Marine Le Pen (+ 2) et le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian (+ 3), tous les deux à 28 %.
Laurent Wauquiez, président des Républicains, perd pour sa part 5 points à 13 %, après le mauvais score de la liste LR dimanche, Jordan Bardella, tête de liste RN, en gagne 8 à 18 %, et Jean-Luc Mélenchon en perd 2 à 20 %.
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Mais là, c'est l'effet, que çà fait après chaque élections européennes de nos écolos VERT EELV souvent empêcheurs de tourner en rond reprennent des couleurs en plus c'est un nouveau leader (mais qui est déjà en désaccord avec D.COHN BENDIT qui avait ressourcé ce parti ceci en passant !)

Car c'est après que l'on voit "le maçon au pied du mur" l'écologie est à la mode chez les bien-pensants bobo, çà fait bien, du pouvoir qui servent de ses écologistes (plutôt politiciens comme les autres) et c'est là que le bas blesse !

Et l'on verra la baudruche gonflée artificiellement par les votes de français déçu par la REM de MACRON et son pouvoir monarchique se soit tourné vers ces verts pour ne pas voter pour le vilain RN de M.LE PEN !

Hélas ces écologistes politiques font souvent des promesses totalement utopiques, voire irréalisables et en plus n'arrivent pas à s'entendre entre eux on en a eu l'exemple par les ministres ou leurs leaders dans les gouvernements passés gauche/droite à qui l'ont a donné ces postes par leur inutilité et incompétence flagrante et ce n'est pas N.HULOT qui a fait mieux, car il faudrait déjà que ces écolos de tous poils redescendent de leur petit nuage chimérique !

Car personne n'est contre l'écologie, l’environnement la lutte contre la pollution et le dérèglement climatique etc, c'est normal !

Mais personne ne veut de ses politiciens qui se regardent le nombril, ne pensant qu'à eux, comme d'autres politiciens classiques que nous supportons depuis des décennies (style SÉGOLÈNE ROYAL par exemple) dont on a vu les résultats plus que médiocres, voire catastrophiques, à sa décharge chez ces écolos, il n'y a pas qu'elle !

Jdeclef 31/05/2019 11h26LP

jeudi 30 mai 2019

Attentat de LYON suite et fin la cause est entendue et avérée


Lyon : le mis en cause déclare avoir fait allégeance à Daech

Mercredi, le principal suspect de l'explosion survenue à Lyon le 24 mai est passé aux aveux. Il sera déféré vendredi pour être mis en examen.


Depuis mercredi, Hichem M., principal suspect de l'explosion d'un colis piégé à Lyon, est passé aux aveux circonstanciés et assume son action. Il doit être déféré demain devant un juge d'instruction antiterroriste pour être mis en examen. L'étudiant né à Oran en Algérie, en garde à vue depuis lundi matin, a craqué après plus de 48 heures de rétention judiciaire. Jusqu'à mercredi, il ne parlait que pour évoquer sa vie outre-Méditerrannée. En France, il était en situation irrégulière mais tentait de se maintenir sur le territoire. « Il a commencé à s'expliquer sur les faits », confirme une source proche de l'enquête. Selon nos informations, il a détaillé la façon dont il a confectionné son engin explosif dans sa cuisine. Ses déclarations corroborent les éléments des enquêteurs de la police judiciaire. Dans sa cuisine, trois bouteilles d'amoniaque, d'acide chlorhydrique et d'eau oxygénée avaient été retrouvées. La sous-direction antiterroriste a aussi placé sous scellé judiciaire un appareil de mesure de l'ampérage.

 
L'étudiant a retracé les étapes de son acte qui semblerait prémédité. Fin mars, il achète de l'acétone et des billes airsoft en acier. Début avril, il acquiert des piles, du fil de câblage et un téléphone. À la mi-avril, il se procure un commutateur à télécommande. Début mai, il commande sur la plateforme Amazon des piles alcalines et des billes en acier.

Dès mercredi, il a également déclaré son allégeance à l'organisation État islamique, information dont Le Point a obtenu confirmation le lendemain.
Les enquêteurs ignorent toujours la cible visée par le suspect. Mais selon nos informations, confirmées à Lyon, un rassemblement de soutien à la liste de Nathalie Loiseau devait se dérouler à deux cents mètres de La Brioche dorée à l'heure de l'explosion. Cette rencontre avait été annulée la veille en raison « de risques avérés de troubles à l'ordre public et à la sécurité des personnes », selon des informations de la préfecture du Rhône relayées par les responsables locaux de LREM.
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Pauvre France et ses dirigeants bien-pensants !

Cet individu que l’on ne voulait pas étiqueter terroriste islamique a avoué semble-t-il, car il a confectionné cette bombe télécommandée pour tuer, çà c’est un fait, pourtant il ne disait rien au départ, on a dû le convaincre de dire la vérité !

Arrêtons les arguties creuses et les bla-bla habituels de nos autorités incapables de dire simplement la vérité et appeler « un chat un chat » au lieu de faire de cet acte criminel lâche autre chose que du terrorisme habituel hélas d’individus déjantés voire radicalisés !

Pour le reste on attend toujours les conclusions de ce nouveau procureur qui s’est vexé que l’on divulgue certains détails ...

Car ce criminel a avoué avoir commis cet attentat et en plus déclare avoir fait allégeance à DAESH !

Qu'il est dur dans notre France de dire la vérité, quand elle est évidente, par des bien-pensants qui se noient dans le politiquement correct hypocrite, croyant en plus que les français lambda avalent tout, car en fait çà change quoi pour les pauvres victimes d'essayer de minimiser les faits ?!

Car au final terrorisme ou pas, c’est un acte criminel lâche et toujours par les mêmes!

jdeclef 30/05/2018 18h52


Le fantasme d'un attentat politique sur le parcours de la candidate de la REM à l'élection européenne est digne des "fakes new" dont on est abreuvé sur les réseaux sociaux poubelles ?!


Lyon : le suspect avoue être à l'origine de l'explosion

Un rassemblement de soutien à la liste de Loiseau devait avoir lieu tout près de l'explosion. Il avait été annulé la veille pour des raisons de sécurité.


Principal suspect de l'explosion d'un colis piégé à Lyon, l'étudiant né à Oran en Algérie est finalement passé aux aveux. En garde à vue depuis lundi matin, il a craqué après plus de 48 heures de rétention judiciaire. Jusqu'à présent, il ne parlait que pour évoquer sa vie outre-Méditerrannée. En France, il était en situation irrégulière mais tentait de se maintenir sur le territoire. « Il a commencé à s'expliquer sur les faits », confirme une source proche de l'enquête. Selon nos informations, il a détaillé la façon dont il a confectionné son engin explosif dans sa cuisine. Ses déclarations corroborent les éléments des enquêteurs de la police judiciaire. Dans sa cuisine, trois bouteilles d'amoniaque, d'acide chlorhydrique et d'eau oxygénée avaient été retrouvées. La sous-direction antiterroriste a aussi placé sous scellé judiciaire un appareil de mesure de l'ampérage.
L'étudiant a retracé les étapes de son acte qui semblerait prémédité. Fin mars, il achète de l'acétone et des billes airsoft en acier. Début avril, il acquiert des piles, du fil de câblage et un téléphone. À la mi-avril, il se procure un commutateur à télécommande. Début mai, il commande sur la plateforme Amazon des piles alcalines et des billes en acier. Les enquêteurs ignorent la cible visée par le suspect. Mais selon nos informations, confirmées à Lyon, un rassemblement de soutien à la liste de Nathalie Loiseau devait se dérouler à deux cents mètres de La Brioche dorée à l'heure de l'explosion. Cette rencontre avait été annulée la veille en raison « de risques avérés de troubles à l'ordre public et à la sécurité des personnes », selon des informations de la préfecture du Rhône relayées par les responsables locaux de LREM.

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Tout cela pour ne pas nommer cet attentat en terrorisme islamique, alors qu'il s'en produit partout dans le monde ?!

Il aurait fait péter cette bombe simplement sans savoir, sans motif contre cette boulangerie par une pulsion soudaine ?!

Jusqu’à faire croire dans des médias de 1er plan dans notre pays que l’on avait retardé l’arrestation de ce minable terroriste criminel pour ne pas interférer dans les élections européennes, car bien sur mauvaise coïncidence !

Pauvre France et ses dirigeants bien-pensant hypocrites donneurs de leçons !
Cet individu que l’on ne veut pas étiqueter terroriste islamique a avoué semble-t-il, car il a confectionné cette bombe télécommandée pour tuer, çà c’est un fait, pourtant il ne disait rien au départ, on a dû le convaincre en lui permettant quelques avantages à le faire ?!

Arrêtons les arguties creuses et bla-bla habituels de nos autorités incapables de dire simplement la vérité et appeler « un chat un chat » au lieu de faire de cet acte criminel lâche autre chose que du terrorisme habituel d’individus déjantés voire radicalisés !

Pour le reste on attend toujours les conclusions de ce nouveau procureur qui s’est vexé que l’on divulgue certains détails peut-être en attendant les instructions qu’on lui communiquera venant d’en haut ?!

(Entre parenthèse ce personnage issu de l’immigration et sa famille aussi çà gêne encore nos bienpensants et donne du grain à moudre à notre droite extrémiste...)

Jdeclef 30/05/2019 12h36

Au cas où certains croyaient aux belles paroles de MACRON et à ses discours alambiqués :


Emmanuel Macron ne réunira pas le Congrès en juillet

Emmanuel Macron réunira le Congrès à une date « ultérieure ». Édouard Philippe fera une déclaration de politique générale le 12 juin, a annoncé Sibeth Ndiaye.


Le Premier ministre Édouard Philippe fera une déclaration de politique générale le 12 juin et le président Emmanuel Macron ne réunira pas le Congrès « en juillet », mais plutôt à une date « ultérieure », a annoncé la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye. Le chef du gouvernement tiendra « un discours de politique générale », a-t-elle annoncé mercredi dans son compte rendu du conseil des ministres. La déclaration du chef du gouvernement sera suivie, comme il est de tradition, d'un vote de confiance de l'Assemblée, a précisé Matignon à l'Agence France-Presse. La prééminence du groupe La République en marche, associé au MoDem, avec plus de 350 députés sur 577, fait cependant courir très peu de risque de vote négatif.
L'objectif de cette déclaration sera « d'expliquer ce que sera la mise en œuvre de l'acte II par le gouvernement » et « l'occasion pour le Premier ministre à la fois de fixer le calendrier politique, mais également les chantiers législatifs » pour atteindre les objectifs de l'exécutif, a-t-elle ajouté. « Le président de la République ne prendra pas la parole devant les parlementaires réunis en congrès au mois de juin. Il le fera ultérieurement », a-t-elle poursuivi avant de corriger son propos et de préciser qu'elle voulait parler du « mois de juillet ». « Ça n'est qu'un report », a-t-elle souligné, interrogée sur une date précise.

« Emmanuel Macron a beaucoup rendu compte devant les Français »

Emmanuel Macron avait réuni les parlementaires en congrès en juillet 2017, deux mois après son élection. Le lendemain, Édouard Philippe avait prononcé une déclaration de politique générale le 4 juillet 2017. Elle avait été suivie d'un vote lors duquel 370 députés, sur 577, lui avaient accordé leur confiance.
 « Emmanuel Macron a beaucoup rendu compte devant les Français : dans le grand débat, lors de sa conférence de presse. Chaque année il s'est fait taper dessus lors des congrès : il est toujours le roi, toujours en train de parler. Donc il peut déroger cette année », a justifié auprès de l'Agence France-Presse une source parlementaire dans la majorité présidentielle. Par ailleurs, et pour justifier un congrès, « pas sûr que la révision constitutionnelle soit prête. Le texte est quasi prêt, mais c'est mieux d'avoir un accord » avec le Sénat, fait valoir cette source.
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Depuis l'affaire des gilets jaunes et après ce grand débat qui a soûlé ceux qui ont assisté à ces discours et surtout qui y ont crus comme des gogos !

Ce président monarque sans couronne, selon son bon plaisir décide, tergiverse et fait ce qu'il veut et rien d'autre !

Ces élections européennes ne sont pas vraiment une défaite d'ailleurs il n'a pas été déçu sur le fond...

Pour ce président, même si élu par défaut par peu de majorité comme son prédécesseur a repris du poil de la bête a su faire traîner ce long épisode de crise sociale gilets jaunes et autres diverses...

Ce jeune président frais moulu sans expérience a appris, car assez intelligent pour cela il a réussi à laminer les vieux partis de cette ancienne classe politique de tous bords !

Il fera tout ce qu'il voudra car cette V eme république lui donne trop de pouvoir défaut de ce système de vraie démocratie qu'on a perdue !

Certains français croyaient au changement qu’ils croyaient avoir obtenu après la présidentielle et les législatives qui ont suivi mais cela n’a pas suffi !

Car le président n’a plus de vraie opposition politique solide en France et même le RN de M.LE PEN n’y arrivera pas, car on s’ingénie avec le concours de médias de faire peur aux français à cause de cette vilaine extrême droite !

Certains disent qu’en 2022, il ne serait pas réélu, même çà, ce n’est pas sûr, du tout, car les français votent toujours aussi mal, versatiles et partisans du chacun pour soi !

D’ici là, il aura le temps de renforcer son clan en étrillant ces gens de peu français lambda qu’il méprise, il le prouve encore par ses tergiversations sur ce qu’il avait annoncé après son discours sur le grand débat qui en fait devient un pétard mouillé !

Mais les français n’ont que ce qu’ils méritent, c’est eux qui votent et élisent ce genre de dirigeant, qu’ils ne se plaignent pas, comme les autres, il fera ces 5 ans (au moins et voire plus !)

Et çà fait plus de trente ans que cela dure, depuis le mitterrandisme, car cela fait le bonheur de ces politiciens médiocres, mais professionnels qui en profitent !

Jdeclef 30/05/2019 10h30LP

mercredi 29 mai 2019

MELENCHON ce vieux tribun représentant de l'ancienne classe politique sclérosée :


Mais où sont passés les électeurs de Jean-Luc Mélenchon  ?

Entre démobilisation électorale et désaveu politique, la sentence infligée à La France insoumise est terrible. Simple accident ou crépuscule du mouvement ?


Plus qu'un doute, c'est un désaveu clair et massif. Avec seulement 6,31 % des suffrages exprimés (soit 1 428 386 votes), La France insoumise n'arrive qu'en cinquième position de ces élections européennes, derrière les listes RN, LREM-MoDem, Europe Écologie et Union droite-centre. Il s'agit là d'un coup dur à encaisser pour un mouvement politique qui aimait jusqu'alors se présenter comme la première force d'opposition à Emmanuel Macron – en dépit d'un groupe de parlementaires restreint. Même sur ses terres marseillaises, le leader de La France insoumise n'a pas su convaincre : sa liste conduite par Manon Aubry ne récolte qu'un petit 8,2 %, guère plus convaincant que son score national. Qu'est-il arrivé à La France insoumise  ? L'électorat de Jean-Luc Mélenchon se serait-il évaporé  ? Les Insoumis seraient-ils lassés  ?
D'après l'étude Ifop-Fiducial du 27 mai 2019, près de 53 % des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle sont restés chez eux dimanche dernier, un record de démobilisation électorale, à rebours de la forte mobilisation hexagonale. Cette démotivation des électeurs insoumis pourrait s'expliquer par la mauvaise séquence politique spectaculaire que vient de traverser Jean-Luc Mélenchon, perquisitionné dans le cadre de l'enquête sur le financement de sa campagne.
L'électorat de Jean-Luc Mélenchon s'est transféré vers d'autres listes de gauche.
Si la passion des électeurs insoumis semble s'étioler, elle n'explique qu'en partie l'effondrement du mouvement dans les urnes, dont le score de la présidentielle de 19,58 % des suffrages exprimés a été divisé par trois (7 059 951 électeurs votant pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle). Chez les électeurs de La France insoumise de la présidentielle au premier tour, « seuls 36 % ont reconfirmé leur choix aux européennes, c'est un niveau très faible », commente Fédérico Vacas, directeur adjoint du département politique chez Ipsos. « La France insoumise n'est pas le seul parti touché par ce désaveu ; seuls 34 % des électeurs de François Fillon ont voté pour Les Républicains à ces européennes. » Pour ce spécialiste de l'opinion, il faut aussi prendre en compte l'éclatement de la gauche en quatre listes contre seulement deux lors de la présidentielle de 2017 : « Sans surprise, l'électorat de Jean-Luc Mélenchon s'est transféré vers d'autres listes de gauche. »
Comment Mélenchon peut invectiver impunément sur son blog


Enfin, le profil de l'électorat de La France insoumise évolue. Les jeunes, qui représentaient 30 % des voix LFI en 2017, se sont massivement transférés vers la liste écologiste menée par Yannick Jadot, arrivé en troisième position. « L'électorat de La France insoumise s'est rétréci vers son noyau dur. Les classes populaires semblent moins séduites et la liste réalise ses meilleurs scores avec les professions intermédiaires et employés », commente Fédérico Vacas. Reste que la sentence infligée à La France insoumise est terrible.
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Vient de payer ces diatribes déjantées voire irrévérencieuses quelquefois et souvent utopiques et son manque de franchise voire, mêmes certains mensonges ce profiteur et devrait en tirer les conséquences en prenant sa retraite du fait de son âge, car de toute façon, il ne roule que pour lui personnellement avec son égo de vieux politicien professionnel, se fichant de ses électeurs qu’il a roulé dans la farine avec son cinéma, lors de ses meetings spectaculaires, comme ces extrémistes gauche/droite incapables de prendre le pouvoir (heureusement !)

Ces électeurs de la 1ere heure lui ont permis de créer son parti LFI qui ne sème que le souk à l’assemblée de par ses députés ont peut-être compris, c’est tout ce qu’on leur souhaite, car c’est un inutile ce leader d’extrême gauche « empêcheur de tourner en rond » !

Il est dommage que ces partis extrêmes empêchent de gouverner correctement le pays, car inutiles et faussant indirectement les élections, car beaucoup de français simples lambda ont peur d’eux et donc s’abstiennent ou votent pour le pouvoir en place lors d’élections nationales !
Un peu comme WAUQUIEZ à droite LR, qui s’est pris aussi une claque à cette élection européenne qui aura au moins servi à cela qui permet comme d’habitude aux français de régler leurs comptes avec leurs partis et ces leaders (surtout les anciens de cette vieille classe politique ringarde)

Il y a encore des progrès à faire en matière de vote pour un vrai changement de la part des français, mais c’est un début et une suite de l’après présidentielle de 2017 !

Jdeclef 29/05/2019 13h14LP

On voit depuis déjà longtemps que le secret des instructions est bafoué par de la communication à tout va !


Colis piégé à Lyon : Castaner et Collomb recadrés par le procureur de Paris

Le ministre de l'Intérieur et son prédécesseur ont communiqué des informations sur l'enquête en cours sur le colis piégé qui a explosé à Lyon vendredi.


Rémy Heitz tape du poing sur la table. Le procureur de la République de Paris, chargé des investigations sur l'attaque au colis piégé de Lyon, a publié mardi une rare réaction aux déclarations répétées du ministre de l'Intérieur et du maire de Lyon en rappelant qu'il était « le seul » autorisé à rendre publics des éléments couverts par le secret de l'enquête. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, qui avait déjà annoncé lundi l'arrestation du suspect, a affirmé mardi n'avoir « pas de doute » quant au fait que ce dernier était « le responsable » de cette attaque qui a fait 13 blessés vendredi à Lyon, dans une interview matinale sur CNews.
Le procureur de la République de Paris, dont la section antiterroriste s'est saisie de l'affaire, « rappelle que l'enquête (...) est couverte par le secret et qu'en application de l'article 11 du Code de procédure pénale, il est le seul à pouvoir rendre publics des éléments objectifs tirés de la procédure ne comportant aucune appréciation sur le bien-fondé des charges retenues contre les personnes mises en cause », indique son communiqué. Ce recadrage à peine voilé du ministre, accompagné d'un rappel implicite au principe de la présomption d'innocence, vise également les commentaires du maire de Lyon, Gérard Collomb, qui avait notamment annoncé en direct lundi sur BFM TV une nouvelle arrestation.

Déjà des tensions ces derniers mois Une sortie qui a fait réagir Christophe Castaner, qui a taclé son prédécesseur au ministère de l'Intérieur, dont les déclarations ont été jugées précipitées chez les policiers et au sein du ministère de l'Intérieur. « Il y a quelques semaines, Gérard Collomb m'avait adressé un conseil : celui de ne jamais trop parler. Il avait raison », a taclé Christophe Castaner.


« Les policiers viennent de procéder à l'interpellation d'un second individu, mais je n'ai pas plus d'information en ce moment », avait déclaré l'ancien ministre de l'Intérieur, qui a également dévoilé plusieurs éléments de l'enquête mardi matin sur Franceinfo. « Donc, dorénavant, le maire d'une ville peut faire le point sur une enquête criminelle en cours, donner les avancées et le résultat des investigations dans les médias. Il faut qu'on pense à préciser dans le Code de procédure pénale que le maire dirige la police et fait la com », a ironisé dans la foulée le porte-parole du ministère de la Justice, Youssef Badr, dans une réaction inédite sur Twitter.
La communication du ministère de l'Intérieur a fait à plusieurs reprises l'objet de tensions avec le parquet de Paris, notamment lors de l'attentat de Strasbourg en décembre ou après l'explosion de gaz mortelle de la rue de Trévise en janvier à Paris.
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De la part des médias qui courent après l'information à divulguer le plus rapidement même si quelque fois, elles sont erronées ou imprécises !

Car depuis qu’internet est partout avec les réseaux sociaux poubelles ou les journalistes à l’affut, voire même certains politiciens ou élus ministres et autres divers parlent trop sans se retenir, puisque tout le monde peut se renseigner assez facilement pour ceux que çà intéressent !

Il y a même une rumeur complotiste qui fait courir le bruit que l’on a retardé l’arrestation du terroriste jusqu’à après les élections (pour ne pas influencer celles-ci, pas si stupide que cela, ceci en passant !?)

Le procureur sur le fond à raison, mais cela ne change rien, il est un peu niais et a été simplement vexé de ne pas avoir été le 1er à révéler les faits précisément, car il a été lent à réagir peut-être à dessein, car il a oublié simplement que les médias sont libres (heureusement) dans notre pays et qui ont tous les outils pour tout savoir, même si elles arrangent quelque fois la vérité par manque d’élément, cela s’appelle la liberté d’expression droit fondamental en France !

D’ailleurs ces mêmes médias une sorte de 2 eme pouvoir virtuel, nous apprennent quelquefois des scandales politiques divers que l’état voudrait bien taire !

Jdeclef 29/05/2019 09h42 LP

L'exemple parfait de l'usage de la violence inqualifiable pour des motifs futiles en plus !?


Paris : un homme meurt après une dispute avec un chauffeur de bus touristique

L'automobiliste est mort percuté par un bus touristique après un différend avec le chauffeur mardi 28 mai. Ce dernier a été placé en garde à vue.


Un automobiliste est mort mardi 28 mai à Paris, percuté par un bus touristique, après un différend avec son chauffeur qui a été placé en garde à vue, a-t-on appris de sources concordantes. Les faits sont survenus quai Voltaire, dans le 7e arrondissement : à la suite d'une dispute entre un automobiliste et le chauffeur d'un bus touristique, l'automobiliste qui, vraisemblablement, était descendu de son véhicule, a été percuté par le bus. Il est décédé, a-t-on appris auprès de la préfecture de police.

Ouverture d'une enquête pour homicide volontaire

Selon Europe 1, le chauffeur de bus aurait légèrement percuté la voiture de l'automobiliste qui se trouvait devant lui. C'est lorsque ce dernier est sorti de son véhicule que les choses auraient dégénéré : les deux hommes se seraient échangé des coups à travers la vitre du bus. Le chauffeur aurait alors redémarré en tournant vers la gauche, écrasant l'automobiliste contre un bus parallèle au sein. D'après les informations de la radio, la victime était âgée de 56 ans et le chauffeur de bus est âgé de 46 ans. Les tests d'alcoolémie se seraient révélés négatifs.

Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée au 3e district de police judiciaire, a-t-on appris auprès du parquet de Paris. Le chauffeur de bus a été interpellé et placé en garde à vue. Une cellule psychologique a été ouverte pour les passagers du bus.
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Ou chacun veut faire sa loi en réglant ses désaccords ou conflits mineurs par la violence !

Cela montre bien le manque d’éducation et le non-respect d’autrui à la base et prouve que notre société a besoin d’être mieux encadrée et mieux éduquée car elle a perdu ses repères moraux minimum !

Par manque de garde-fou efficace associé à des sanctions judiciaires pénales bien plus importantes qu’elles ne sont, car des individus qui se croient tout permis n’arrivent plus à contrôler leurs colères diverses inadmissibles en réglant leurs comptes par des actes allant jusqu’à l’homicide et notamment quand ils sont dans leurs véhicules !

Car certains français n’ont plus conscience de la gravité de leurs actes et çà c’est préoccupant !

Jdeclef 29/05/2019 08h38

mardi 28 mai 2019

Il a perdu WAUQUIER et pas qu'un peu, qu'il en prenne conscience et en tire les conséquences !


Wauquiez propose des « états généraux » pour sortir LR de la crise

VIDÉO. Le chef de file des Républicains veut rapidement rebondir après les chiffres catastrophiques de son parti lors des élections européennes.

L'union sacrée est demandée du côté des Républicains. Laurent Wauquiez a proposé lundi soir la tenue à la rentrée « d'états généraux » pour conjurer le risque d'une « disparition » de son parti, au lendemain d'une déroute historique aux élections européennes qui l'a fortement fragilisé. Après avoir réalisé le plus mauvais score de la droite sous la Ve République (8,48 %), le patron de LR devait « absolument prendre une initiative politique », selon un de ses soutiens. Lors d'un bureau politique réuni au siège du parti, il a mis sur la table sa proposition d'organiser des « états généraux » lors desquels il entend « tout remettre à plat sur les valeurs, le projet, le fonctionnement et la stratégie d'alliance ».
Sa proposition n'a « pas rencontré d'objections », selon son entourage. Quelques participants, dont Éric Woerth et Valérie Pécresse, ont posé la question de « l'incarnation », c'est-à-dire du maintien de Laurent Wauquiez à la tête du parti, mais en laissant « juge » l'intéressé. La tête de liste LR François-Xavier Bellamy a « demandé pardon » pour le résultat catastrophique réalisé dimanche. Lors de ces états généraux, « chaque sensibilité devra pouvoir s'exprimer, il faut pouvoir associer tous ceux qui le souhaitent, même ceux qui sont extérieurs aux Républicains », a assuré Laurent Wauquiez, souvent critiqué depuis son élection, en décembre 2017, pour sa ligne droitière et sa gouvernance jugée « solitaire ».

 « Il faut que tout change pour que ne rien ne change »

« C'était un bureau politique en forme de trêve. Chacun a compris que le danger était mortel pour le parti », a expliqué un dirigeant. La pression était maximale sur les épaules du chef du parti. Valérie Pécresse avait déclaré dans la matinée qu'à la place de Laurent Wauquiez elle démissionnerait de la présidence. Mais, à la sortie du bureau politique, Valérie Pécresse a simplement évoqué « une plateforme commune de la droite et du centre », appelant Gérard Larcher à être un « trait d'union ». Le président du Sénat était absent, de même que le président des sénateurs LR Bruno Retailleau.
« Il faut que tout change pour que ne rien ne change », a ironisé l'ancien patron du parti Jean-François Copé, qui dans la journée avait jugé « intenable » la situation et évoqué un « rejet massif » des dirigeants du parti. Le président de la région Sud Renaud Muselier a de son côté proposé une « commission de rénovation » qui serait dirigée par Gérard Larcher. Fin de non-recevoir au sommet de LR. « Un modèle façon triumvirat 2014 (lors du départ de François Copé, NDLR) a déjà prouvé sa nocivité », a réagi un soutien du patron de LR auprès de l'Agence France-Presse.
Quatrième, et sous la barre des 10 %, l'héritier du parti gaulliste est à son étiage le plus bas. En dessous des 12,84 % réalisés par Nicolas Sarkozy lors des européennes de 1999, qui avait quitté son poste le lendemain du scrutin. La débâcle est nette dans des bastions de droite. Dans le 16e arrondissement de Paris, où François Fillon avait réalisé 58,45 % en 2017, LR a rassemblé 24,22 % des suffrages exprimés, contre 46,10 % pour La République en marche.

Une primaire pour la présidentielle ?

« On a une droite qui est prise en étau, dans l'amplification du big bang électoral de l'élection présidentielle », a relevé le directeur général adjoint de l'Ifop Frédéric Dabi sur CNews. « Il y a eu une sorte de vote utile ou efficace d'électeurs de centre droit soutenant Emmanuel Macron et Édouard Philippe. (...) D'un autre côté, malgré la ligne droitière, il y a presque un électeur sur cinq de François Fillon qui a choisi le vote RN. »
« Le risque, c'est la disparition », a jugé Bruno Retailleau au moment où le ministre LREM Gérald Darmanin, un transfuge de LR, appelle « tous les électeurs de droite, tous les élus locaux de droite à rejoindre le président de la République ». Les langues se sont déliées également au sein de la direction. Directeur de campagne de François-Xavier Bellamy, Geoffroy Didier a imploré la droite d'« abandonner son conservatisme sociétal ». « L'avenir de la droite, ça ne peut pas être d'être contre l'IVG », a-t-il lancé dans une claire critique des positions conservatrices de la tête de liste LR, choisie pour cibler l'électorat de François Fillon.
Sollicité par l'Agence France-Presse, un autre membre de la direction a critiqué le « discours surréaliste » dimanche soir de Laurent Wauquiez, qui est toujours « dans sa présidentielle » de 2022. La question de la désignation du candidat du parti à la présidentielle risque de se poser rapidement. Une primaire ouverte aux sympathisants figure toujours dans les statuts. Mais, échaudés par l'expérience Fillon et consultés dès l'été 2017, les militants la rejettent majoritairement.
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Un certain SARKOZY était parti après une défaite similaire !

Si WAUQUIEZ en a « entre les jambes » qu'il fasse pareil de toute façon, il n'a jamais été apprécié dans les rangs des cadres LR/UMP c'est un fait !

Et puis simplement, les français de droite, comme les autres en ont marre de l’ancienne classe politique sclérosée, alors ils terminent le dégagisme de ces vieux partis qui changent de noms, mais cela ne suffit pas !

Jdeclef 28/05/2019 12h55LP

Ça, c'est une bonne nouvelle, même si ce n'est que le coté honorifique qui est sanctionné !


Claude Guéant perd sa Légion d'honneur après sa condamnation

L'ancien ministre de l'Intérieur a vu sa condamnation à un an de prison ferme être confirmée par la Cour de cassation en janvier dernier.

Les mauvaises nouvelles s'accumulent pour Claude Guéant dans le dossier des primes en liquide du ministère de l'Intérieur. L'ex-secrétaire général de l'Élysée est désormais privé de sa Légion d'honneur et de l'ordre national du Mérite, selon le Journal officiel de mardi. Ce retrait, acté par deux arrêtés en date du 17 mai parus au JO, prend « effet au 16 janvier 2019 », date de la condamnation de l'ex-ministre de l'Intérieur et ancien bras droit de Nicolas Sarkozy.
La Cour de cassation avait alors rejeté son pourvoi dans l'affaire des primes en liquide du ministère de l'Intérieur, rendant définitive la condamnation de Claude Guéant. Ce dernier avait été condamné en raison de primes en espèces que se versaient chaque mois des membres du cabinet de Nicolas Sarkozy à l'Intérieur. Ces primes étaient prélevées dans l'enveloppe destinée aux frais d'enquête et de surveillance des policiers. Le maire de Chantilly, dans l'Oise, aurait reçu 210 000 euros entre 2012 et 2014, à raison de 10 000 euros par mois, de la part de Michel Gaudin, directeur de la police nationale. Il aurait conservé la moitié de cette somme, reversant le reste à trois collaborateurs (Daniel Canepa, Michel Camux et Gérard Moisselin), qui ont également été condamnés en appel.
Claude Guéant avait été nommé chevalier de la Légion d'honneur le 10 mars 1992 en qualité de préfet des Hautes-Alpes et commandeur de l'ordre national du Mérite en 2001.
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Après le coté judiciaire confirmé, ce magouilleur éminence grise de N.SARKOZY, car il n'est pas à plaindre, il n'est surement pas dans le besoin !

Et servira peut-être de leçon à ceux de ces politiciens élus au plus haut de l'état de ne pas mettre les mains dans le pot de confiture se croyant éternellement protégé !

Jdeclef 28/05/2018 12h38CLP

E.MACRON a gagné quoi pas grand-chose, le droit d'être toujours là grâce au RN :


Européennes : et le vainqueur est... Emmanuel Macron

CHRONIQUE. Le chef de l'État peut se réjouir du résultat des européennes. En talonnant le Rassemblement national, Emmanuel Macron confirme sa légitimité.

Le vote des européennes a vu trois vainqueurs : Marine Le Pen, Yannick Jadot et Emmanuel Macron. Des miettes ont été laissées aux 31 autre concurrents. Grâce à la liste de Jordan Bardella (23,31 %), Marine Le Pen a pris sa revanche sur son échec à la présidentielle de mai 2017 face à Emmanuel Macron. Victoire symbolique d'une courte tête, mais victoire qui lui assure selon toute vraisemblance d'être l'adversaire d'Emmanuel Macron à la présidentielle de 2022 et, en attendant cette éventuelle et probable échéance, d'être sa principale opposante. Relativisons cette victoire : la présidente du Rassemblement national a fait mieux à plusieurs reprises dans le passé.
Le score inattendu de Yannick Jadot (13,47 %) est un événement politique d'importance. Il replace l'écologie dans le paysage pour les années à venir, l'écologie comme force à la fois politique, idéologique, électorale, force d'appoint comme de gouvernement et force d'avenir indiscutable.

Un encouragement à l'ambition réformatrice

Quant à Emmanuel Macron, ce n'est ni un défi, ni une provocation, ni un contresens que de considérer que son résultat (22,41 %), s'il n'est pas triomphal, est un authentique succès dont les conséquences politiques vont déjouer les prévisions de ses adversaires. Ceux-là mêmes dont, depuis deux ans, la coalition de fait n'avait pour objectif que de prendre sur lui la revanche de l'élection de 2017. En réalisant, après une année d'épreuves et de menaces nourries par la haine et tout en menant à bien une partie des réformes auxquelles il s'était engagé, un score égal à celui de son élection. Il confirme une légitimité qu'on était allé jusqu'à lui refuser scandaleusement et une solidité capable de libérer son action. Le voilà même dispensé d'un remaniement. Mieux encore, la déroute de la plupart des candidats à la consultation d'hier marque le succès de la stratégie initiée lors de son élection par le président de la République, que l'on a pris l'habitude de définir comme une recomposition du paysage politique et dans laquelle Macron lui-même voyait une révolution. De fait, le scrutin d'hier confirme l'affaissement des forces politiques traditionnelles, celles de l'ancien monde, comme disait le candidat Macron. Le paysage politique français sort indemne de l'épreuve d'hier, deux ans après le coup de force du jeune président. C'est un encouragement qui lui est donné à poursuivre son ambition réformatrice.
Ces effets positifs ne doivent pas toutefois cacher les difficultés qui l'attendent dans le parachèvement de son œuvre. L'élection de dimanche est de nature à apaiser le climat de haine que, à droite comme à gauche, les forces politiques de l'ancien monde ont entretenu contre le président et son gouvernement. Ce scrutin révèle que l'opposition à leur politique n'est pas aussi radicale que certaines expressions de la démocratie directe peuvent le laisser penser depuis quelques mois. Marine Le Pen va un peu vite lorsqu'elle demande la dissolution. On aimerait que la démocratie reprenne ses droits. Le démocratie a parlé hier, dans sa majorité. Elle n'a pas voté en majorité pour le pouvoir de la rue.
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ex FN épouvantail que les médias ou autres bien-pensants hypocrites agitent devant les français lambda à chaque élections en rejouant la présidentielle pour leur faire peur et ça marche !

De toute façon le président n'a rien perdu, c'était le principal pour lui et il a indirectement épongé la droite divisée de WAUQUIEZ leader mal aimé dans les rangs de LR depuis le début dans ce parti, car mauvais choix des membres cadres de ce parti de droite classique qui si elle s'en débarrasse peut renaître...

C'est la seule vraie surprise, car la chute est vertigineuse et quand on voit ce qui reste de la gauche qui était déjà tombée, cela ne fait que confirmer le dégagisme amorcé des vieux partis de l'ancienne classe politique sclérosée de 2017, alors on peut considérer, que oui,c'est une victoire pour lui !

Quant aux VERTS EELV « les empêcheurs de tourner en rond » ce sera comme d’habitude, « un pétard mouillé qui fera pschitt », et pas étonnant il suffit de voir les précédentes élections Européennes ou il faisait des scores équivalents et qui après ne se transformait en rien! 

Car ne s’entendant pas entre eux dans le paysage politique national et à qui on donnait des postes de ministre de l’écologie ou équivalent plus médiocres les uns que les autres dans les précédents gouvernements et donc pour les français qui croient à cette écologie (hélas politique) votent dans ce type d’élection internationale pour se donner bonne conscience, car n’ayant que peu de choix dans cette classe politique au pouvoir, car c’est bien moral et la mode bobo, l’écologie utopique dont nos dirigeants bien-pensants hypocrites se targue d’en vouloir faire à chaque élection, (car ça fait des voix électorales, mais qui s’en fichent après leurs élections !)

Jdeclef 28/05/2019 12h13LP