mardi 5 février 2019

Ceci étant sans vouloir faire du catastrophisme de médias à scandale :


Incendie à Paris : « Elle est complètement folle, un jour il y aura un accident »

VIDÉO. La femme de 40 ans en garde à vue est retournée dans son immeuble du 16e (Paris) après avoir été hospitalisée plusieurs fois, notamment à Sainte-Anne.


Le profil de la principale suspecte dans l'incendie de l'immeuble du 16e arrondissement de Paris, qui a fait au moins 10 morts et plus d'une trentaine de blessés, se précise peu à peu. Les enquêteurs privilégient la piste criminelle. Une suspecte de 40 ans qui habitait l'immeuble est en garde à vue. Le procureur de la République Rémy Heitz l'a confirmé lors d'un point avec la presse. Le premier district de direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris (DPJ) a été saisi. Une enquête pour destruction volontaire par incendie ayant entraîné la mort et des blessures a été ouverte.
Selon des sources policières, la suspecte a eu un différend avec un voisin, notamment car elle écoutait sa musique à plein volume. Mécontent, ce voisin a demandé à sa petite amie de frapper à la porte. La discussion s'est ensuite envenimée. La mise en cause aurait jeté une bouteille en verre sur le volet de son voisin. Et elle n'aurait pas baissé le son de la musique. Après cet épisode, le voisin a appelé la police, qui est entrée chez elle. L'appartement était en désordre. Les gardiens de la paix ont noté qu'elle était confuse, mais calme à cette heure, aux alentours de minuit. Tour à tour, la suspecte s'est plainte que son voisin avait endommagé sa porte d'entrée puis elle a changé de version, assurant qu'elle avait été victime d'un cambriolage, qu'elle s'était cachée dans un couloir. Le voisin et sa petite amie ont alors indiqué aux policiers qu'ils quittaient leur appartement pour aller dormir ailleurs tout en les informant : « Elle est complètement folle, un jour il y aura un accident. »

« Elle faisait des histoires tout le temps »

Joint au téléphone par Le Point, le voisin qui a eu maille à partir avec la suspecte témoigne : « Ce n'est pas la première fois que la police venait chez elle. Je n'habite là que depuis trois mois, elle faisait des histoires tout le temps. J'ignore la raison pour laquelle la police n'a pas été plus ferme avec elle. J'ai quitté l'immeuble avec ma petite amie avant l'incendie. C'est dramatique. » Selon les policiers, qui ont informé leur hiérarchie, la voisine présentait des troubles psychologiques, bien qu'elle soit restée calme le temps de l'intervention. Selon eux, elle ne nécessitait pas, à ce moment précis, de mesures particulières. La chaîne d'information LCI précise que la femme « avait été hospitalisée plusieurs fois à Sainte-Anne et à l'institut psychiatrique de la préfecture de police de Paris ». De retour chez elle depuis le 23 janvier, elle n'était pas sous le coup de mesures coercitives, un « juge ayant estimé qu'elle ne présentait plus de danger pour elle ou pour les autres ».
Des riverains ont également évoqué une dispute, comme Nicolas, qui habite en face de l'immeuble ravagé par les flammes : « Au début, on a cru à une dispute, on entendait une femme crier. C'était vers 1 heure. Elle criait, elle criait. Là, on est sortis et l'immeuble était déjà très en feu », a-t-il expliqué à l’AFP

Le moment de l'interpellation

Toujours selon nos informations, après cet épisode entre voisins et une première venue de la police, la brigade anticriminalité a interpellé une femme un peu avant 1 heure du matin, soit quelques minutes après le déclenchement de l'incendie. Elle aurait été vue en train d'essayer de mettre le feu à un véhicule et aurait enflammé un tee-shirt dans une poubelle. Cette personne ne semblait pas jouir de toutes ses facultés mentales. Lors d'un point avec la presse vers 9 heures, le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, a confirmé que la suspecte présentait « des antécédents psychiatriques ».
« Les pompiers venaient d'arriver et ce qui était dingue, c'était leur impuissance. En fait, ils avaient les camions, les grandes échelles, mais ils ne pouvaient rien en faire. Après, ils ont mis des rallonges, des rallonges, des tuyaux, des tuyaux, que de petits moyens. Nous, on voyait les gens sur les balcons crier sans pouvoir rien faire », raconte-t-il encore. « On a tout de suite entendu par une voisine que c'était une dispute », affirme-t-il. Après plus de cinq heures d'intervention, les pompiers ont finalement réussi, vers 6 heures, à maîtriser le feu, qui a blessé six d'entre eux.

C'est le troisième incendie mortel dans la région Île-de-France en deux mois. Il y a d'abord eu l'incendie dans une tour HLM de la cité Paul-Éluard à Bobigny (Seine-Saint-Denis) qui avait tué deux femmes et deux fillettes. Puis, le 12 janvier, une explosion au gaz suivie d'un incendie avait fait quatre morts, dans le 9e arrondissement de Paris.

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Il y a semble-t-il ces derniers temps bien plus d'incendies « dit criminels" ?!

Bizarre autant qu'étrange ces accidents divers, explosion, incendies, voire effondrement d'immeubles vétustes ou autres etc. dans nos villes de FRANCE !

Le problème étant bien sur les victimes innocentes comme toujours dont les médias se complaisent à compter celles-ci pour amplifier ces drames en n'oubliant pas de mettre à jour leur nombre au fil des recherches en cours des secours !

Ceci étant il semble que cette personne interpelée soit très fragile psychologiquement et connue des service psychiatriques hôpital SAINT ANNE entre autres et aurait pu la garder pour mieux la soigner et éviter indirectement ce drame, ce qui souligne encore les faiblesses de la psychiatrie en général et le traitement des maladies mentales...

Jdeclef 05/02/2019 13h04 LP

Les gilets jaunes maintenant dérapent et se disperse suite au temps trop long de leurs revendications trop nombreuses et désordonnées !


Ces Gilets jaunes qui ont perdu le sens des mots et de l'Histoire

Les violences policières et les petites phrases présidentielles ne sauraient justifier les délires verbaux dans les cortèges et sur les réseaux sociaux.


E.MACRON dans la même séquence, promet d'en finir avec les saillies provocatrices et évoque « Jojo le Gilet jaune ». L'utilisation par les forces de l'ordre d'armes de défense contestées provoque, samedi après samedi, des blessures chez les manifestants. Ces sujets, anecdotique pour le premier, grave pour le second, posent question et méritent débat. Mais ils ne peuvent servir de prétexte aux délires verbaux, choquants pour ne pas dire obscènes, qui déferlent depuis quelques jours dans les rangs des Gilets jaunes. C'est leur faire trop d'honneur de les citer, mais les passer sous silence reviendrait à les banaliser, ce qui est encore pire.
L'« acte XII » du mouvement de contestation était donc dédié aux « gueules cassées ». Sans minimiser les souffrances des manifestants blessés les samedis précédents – mais en ayant à l'esprit celles que subissent, aussi, gendarmes et policiers –, l'analogie avec les soldats mutilés pendant la Grande Guerre est, au sens propre du terme, insoutenable. Ceux qui en douteraient devraient lire ou relire La Chambre des officiers, de Marc Dugain, ou Au revoir là-haut, de Pierre Lemaître, pour se remettre les idées en place.

Un minimum de décence !

L'emploi du terme « parqués » ou « gazés » est de nature à soulever la même indignation. Sans parler des révolutionnaires qui, bien au fond dans leur canapé, proclament sur les réseaux sociaux : « 1939-2019, juif ou gilet jaune, même combat. » Les mots ont un sens, et l'Histoire aussi. Du moins faut-il continuer de l'espérer. Dans la même veine, où le relativisme le dispute au révisionnisme, le chanteur Francis Lalanne, guitare dans le dos, assure que « Castaner et Macron sont à l'origine de tous ces crimes contre l'humanité qui sont perpétrés contre des gens innocents ». On ne saurait trop lui conseiller de voir ou de revoir les images du procès de Nuremberg pour renouer avec un minimum de décence.
Le procès en illégitimité fait à Emmanuel Macron, de même que les demandes de dissolution soutenues par les extrêmes, procède, sur un mode moins scandaleux, de la même logique délétère. « Les garçons de 68 ont compris qu'à un moment donné, s'ils continuaient, ils deviendraient des fascistes. Que quand on dit « élection, trahison », on met en question les fondements mêmes de nos libertés ». Ainsi parlait Raymond Aron, en 1983, dans l'émission Apostrophes de Bernard Pivot
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Avec des leaders inexistants ou pour ceux qui veulent l’être (sans citer de noms) déjantés illuminés dont certains versent dans la violence gratuite en se plaignant bien sur des violences policières (ce qui n’est pas nouveau, dans les manifestations depuis des décennies surtout quand ils vont au contact !)

Et qui mélange ou compare dans leurs propos des langages outranciers des évènements tristes de notre histoire contemporaine 1939/2019 qu’ils n’ont pas vécues pour la majorité d’entre eux et bien sûr n’ont qu’invectives et insultes déplorables à la bouche !

A part cela le jeune président MACRON bobo bienpensant et donneurs de leçons hypocrite(pour lequel je n’ai pas voté ceci en passant, n’ayant pas plus de choix comme en 2002 par exemple) reprend du poil de la bête avec ses sondages qui frémissent en sa faveur !

Car si depuis mai avec l’affaire déplorable BENALLA erreur impardonnable et trop de dédains des français lambda avec cette colère de ces gilets jaunes qu’il n’avait pas vu venir ou pas cru importante, il a pris un coup d’arrêt sérieux dans son quinquennat qu’il croyait facile suite au pouvoir qu’il croyait inaltérable comme un monarque de l’ancien régime !

Il est loin d’être stupide et espère rebondir avec son grand débat ou il parait dans ses réunions dans les villes ou il connait bien les sujets et les questions diverses qui lui sont posées et auxquelles il répond !

Il n’y avait qu’à voir celui d’hier en direct sur BFM TV intégralement à EVRY COURCOURONNES PREFECTURE DE L’ESSONNE ville populaire que je connais bien habitant près de celle-ci et qui parallèlement a émis la possibilité d’avoir recours à un référendum (peut être multiple) pour trouver et accepter des solutions à cette crise qui dure et dont il doit si possible mettre fin avant le printemps !

Dans cette crise, on aurait pu le croire perdant, mais si l’anarchie ambiante perdure les français de toutes opinions ne le voudront pas et ce ne sera pas le cas, car il est là jusqu’en 2022 et ce n’est pas un mou comme F.HOLLANDE !

Jdeclef 05/02/2019 12h29 LP

lundi 4 février 2019

MADURO n'est pas un saint loin de là, c'est un fait établi et CHAVEZ avant lui qui a ruiné son pays !


Venezuela : la France reconnaît Guaidó comme « président en charge »

Après l'Espagne et le Royaume-Uni, la France s'est ralliée à l'opposant de Nicolás Maduro. La Russie dénonce « une ingérence des Européens ».


S'apprête-t-on à entrer dans une nouvelle phase de la crise vénézuélienne ? Nicolás Maduro a rejeté dimanche soir l'ultimatum européen et ne compte pas faire preuve de « lâcheté face aux pressions ». Une sortie médiatique qui fait suite à une démonstration de force des soutiens de Guaidó ce week-end à Caracas. Trois pays européens, la France, l'Espagne et le Royaume-Uni se sont déjà prononcés en faveur de l'opposant.
Jean-Yves Le Drian a réagi le premier ce lundi matin à l'antenne de France Inter. La France considère que le président du Parlement vénézuélien Juan Guaidó « a la légitimité pour organiser des élections » présidentielles, a-t-il ainsi expliqué. Face au « refus du président Maduro d'organiser des élections présidentielles qui seraient de nature à clarifier, séréniser la situation au Venezuela [...] nous considérons que M. Guaidó a la capacité, la légitimité, à organiser ces élections », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron a affirmé la position française sur Twitter un peu plus tard dans la matinée. Le président de la République a défendu le droit des Vénézuéliens à « s'exprimer librement et démocratiquement ». « La France reconnaît @jguaido comme président en charge pour mettre en œuvre un processus électoral. »

Un front européen

Plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France, l'Espagne et le Royaume-Uni, avaient donné jusqu'à dimanche à Nicolás Maduro pour convoquer une nouvelle élection présidentielle, faute de quoi ils reconnaîtraient son rival Juan Guaidó comme président par intérim. Sur ce dernier point, « nous allons nous consulter avec nos amis européens aujourd'hui », a conclu le ministre. Le Royaume-Uni, par la voix du ministre des Affaires étrangères Jeremy Hunt, et l'Espagne à travers une allocution télévisée du chef du gouvernement espagnol Pedro Sánchez ont reconnu Juan Guaidó comme président du pays.
Une reconnaissance immédiatement suivie par celle du Royaume-Uni, de l'Autriche, de la Suède, du Danemark et de l'Allemagne.

« Rétablir la démocratie »

Le Kremlin s'est insurgé lundi contre une « ingérence » des Européens après la reconnaissance par plusieurs capitales de l'opposant Juan Guaidó comme président du Venezuela. « Nous percevons les tentatives de légitimer l'usurpation du pouvoir comme une ingérence directe et indirecte dans les affaires internes du Venezuela », a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. « Cela ne favorise en aucun cas le règlement pacifique, efficace et viable de la crise que traverse le Venezuela », a poursuivi Dimitri Peskov, estimant que « toute solution » devait « être trouvée par les Vénézuéliens eux-mêmes ».
« Ce pays est aujourd'hui exsangue, il y a de très nombreux réfugiés, il y a une oppression, il y a une inflation épouvantable, le peuple est dans la rue », a de son côté avancé le ministre français des Affaires étrangères. Jean-Yves Le Drian a récusé les accusations d'ingérence, formulées notamment par la Russie qui soutient le président Nicolás Maduro. « Ce n'est pas de l'ingérence, à partir du moment où il y a une crise dans un pays, qu'il y a un appel du président Guaidó à le soutenir pour rétablir la démocratie », a estimé Jean-Yves Le Drian. Juan Guaidó, qui s'était proclamé le 23 janvier président par intérim du Venezuela, a déjà été reconnu par les États-Unis, le Canada, l'Australie et de nombreux pays d'Amérique latine.

Jean-Luc Mélenchon soutient Maduro

Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a apporté lundi son soutien à Nicolás Maduro, qu'il considère toujours comme « président du Venezuela », et a condamné les « putschistes » de l'opposition. « Ce n'est pas la France qui soutient les putschistes au Venezuela. C'est seulement Macron », a tweeté Jean-Luc Mélenchon un peu avant le communiqué du président français, réagissant aux propos de Jean-Yves Le Drian sur France Inter. « Résistez ! Avec l'ONU nous disons : Nicolás Maduro est le président du Venezuela. Paix et liberté pour le Venezuela ! » a ajouté Jean-Luc Mélenchon.
« Je ne vais défendre ni Juan Guaidó ni Nicolás Maduro », a pour sa part déclaré la tête de liste LFI aux élections européennes Manon Aubry sur BFM TV/RMC lundi, estimant que le Venezuela était « divisé » en « deux camps » et que « ni l'un ni l'autre » n'était « aujourd'hui en capacité d'organiser des élections ». « Des pays tiers ont proposé une médiation, l'ONU aussi, c'est cette piste qui doit être privilégiée, sinon on va vers un drame humain, une guerre civile », a-t-elle dit.
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Mais de là à se mêler de ce qui ne nous regarde pas, il y a un pas à ne pas franchir ?!

Dire ce que l'on pense en France on a l'habitude dans notre pays des droits de l'homme et des dirigeants bienpensants hypocrites !

Notamment aussi avec nos ex colonies ex AOF et AEF africaines qui après leurs indépendances en ont fait naitre de nouveaux avec le blanc-seing de ce que l'on appelait la FRANCE-AFRIQUE !

Et ne parlons pas des dictateurs aussi élus démocratiquement (enfin presque) avec qui ont des relations commerciales ou autres politiques bien en place comme en TURQUIE ou dans des démocratures comme la RUSSIE POUTINIENNE etc !

Sans parler de la grande CHINE ou la petite COREE DU NORD bien sur...

Car des personnages pseudo dictateurs comme ce MADURO élu au départ démocratiquement d'ailleurs, le pays est séparé en deux populations entre pour ou contre ce président du VENEZUELA et l'autre  pseudo GUIADO qui s'est proclamé nouveau président sans élections ?!

Méthode typique de ces pays d'Amérique du sud qui enchaîne coups d'états et révolutions depuis des siècles comme par exemple le CHILI, l'ARGENTINE le BRÉSIL le MEXIQUE la COLOMBIE etc, et la liste n'est pas exhaustive !

Alors il serait mieux de laisser cela à TRUMP et aux USA du même continent,qui tirent les ficelles depuis des lustres dans cette Amérique du sud instable politiquement que de jouer au redresseurs de torts comme le fait notre président qui a déjà bien assez à faire chez nous en France !?

Jdeclef  04/02/2019 13h39LP

En fait le pari est de savoir si E.MACRON cédera à certains gilets jaunes pour décider de l'organisation d'un référendum ?!


Le référendum : une idée à haut risque

Un référendum le jour des élections européennes permettrait-il de sortir de la crise des Gilets jaunes ? Rien n'est moins sûr et rien n'est encore décidé.


E.MACRON porte lundi le grand débat en banlieue parisienne avec un déplacement à Évry-Courcouronnes, tout en multipliant les consultations pour sortir de la crise des Gilets jaunes. Selon le Journal du dimanche, le président de la République serait tenté de convoquer un référendum dès le 26 mai, jour des élections européennes. La – ou les – question(s) – proposée(s) aux Français lors de cette consultation pourrait notamment porter sur des sujets institutionnels, comme la réduction du nombre de parlementaires, la reconnaissance du vote blanc ou la limitation du cumul de mandats dans le temps.
« Tout est sur la table, mais rien n'est décidé », a réagi dimanche l'entourage du président auprès de l'AFP.
La concomitance d'un tel référendum et d'un scrutin européen jugé comme déterminant pour l'avenir de l'UE ne serait pas sans difficulté. Un ministre, favorable à un référendum à questions multiples, mais plutôt en juin ou en septembre, a insisté cette semaine sur le défi logistique que poserait ce double vote. Sans oublier qu'il risquerait d'éclipser les enjeux européens si chers à Emmanuel Macron. « Je souhaite qu'on parle d'Europe le 26 mai », a d'ailleurs insisté dimanche la ministre des Affaires européennes Nathalie Loiseau, assurant que le président Macron n'avait « pas encore pris sa décision ». « Il faut de la clarté et ne pas tout mélanger », a souligné le député LREM Matthieu Orphelin qui juge « pas du tout opportun » d'organiser scrutin européen et référendum en même temps.

Ball-trap

D'autres redoutent un vote sanction, voire un « ball-trap contre le président », selon l'expression de l'un de ses proches, l'avocat Jean-Pierre Mignard, quatorze ans après le non français au référendum de 2005 pour une Constitution européenne. Selon l'eurodéputé EELV Pascal Durand, un référendum le 26 mai est « le rêve de celles et ceux qui veulent renationaliser les élections européennes en un scrutin pro ou anti Emmanuel Macron ». « Oui, les élections européennes seront un référendum contre Macron et sa politique  ! » a confirmé en écho le député Insoumis Adrien Quatennens.


Le chef de l'État, lui-même, avait estimé dimanche dernier qu'un référendum risquait davantage de « déchirer » que d'« éclairer », lui préférant le concept de « délibération permanente ». Jeudi, il a cependant confié à plusieurs journalistes que la question « fera partie des sujets discutés » et « doit être cogitée ».
Selon un élu LR, la décision d'organiser une consultation dès le 26 mai doit être prise très rapidement, dès la semaine prochaine, « car il y a des délais incompressibles ».
Emmanuel Macron aura l'occasion d'aborder le sujet avec les chefs des groupes représentés à l'Assemblée nationale, au Sénat et au Parlement européen, qu'il recevra tout au long de la semaine. Gilles Le Gendre, patron des députés LREM, et Christian Jacob, président du groupe LR sont les premiers à être conviés l'Élysée lundi matin. Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Marine Le Pen (RN) seront reçus mercredi.

Stand-up

L'opposition, déjà, est très critique. La cheffe du Rassemblement national a vu dimanche une « manoeuvre » d'Emmanuel Macron pour « détourner l'attention » des élections européennes dans l'hypothèse d'un référendum organisé le même jour. « Tout cela est complément bidon. Il va recycler sa réforme constitutionnelle », a ajouté Mme Le Pen qui milite, une fois la proportionnelle instaurée, pour une dissolution de l'Assemblée nationale, un scénario écarté par Emmanuel Macron.
Benoît Hamon, chef du mouvement Génération·s, a estimé qu'on ne peut pas regretter qu'on ne parle pas assez de l'Europe « et organiser le jour de l'élection européenne un référendum qui escamotera les enjeux de cette élection ». Le patron des Républicains Laurent Wauquiez a lui jugé que M. Macron prend « un grand risque » s'il décide d'organiser un référendum portant sur des sujets « très coupés des préoccupations et des priorités des Français ».
En parallèle de ses échanges avec les responsables politiques, Emmanuel Macron tiendra cette semaine ses cinquième et sixième débats publics, après quatre premiers stand-up marathons en bras de chemise. Lundi à Évry-Courcouronnes, commune de 70 000 habitants située à une trentaine de kilomètres au sud de Paris, il échangera, pour son premier déplacement en banlieue dans le cadre de ce débat, avec environ 300 élus et représentants d'associations franciliens. Jeudi il ira en Saône-et-Loire à la rencontre des jeunes, grands absents du débat jusque-là.
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Fumisterie sans nom, tant les questions sont différentes et nombreuses et les réponses à donner avec après les éventuelles solutions à y apporter !

Alors « un oui ou un non » serait nettement insuffisant et ne servira qu’à noyer le poisson ?!

Et là cela divisera encore plus les français et augmentera le marasme dans lequel est le pays de par la faute de ce jeune président frais moulu qui voulait enfoncer une porte qu’il croyait ouverte pour lui et par trop de fautes et mauvaises attitudes qu’il a commise de par son caractère et surtout en ce croyant comme un monarque absolu !

(Comme d’ailleurs d’autres président de notre république avant lui par leurs égo démesuré...)

Et ce grand débat voulu par celui-ci qu’il réduira à la portion congrue en supprimant ce qu’il ne veut ou ne lui plait pas ce qu’il a déjà commencé à faire et dont le résultat sera édulcoré par ses soins !

Après diverses manifestations diverses et certaines violentes, comme d’habitude on bavarde pour ne rien dire, car on connait les grandes lignes des revendications de français de ces classes dites moyennes, enfin un grand nombre de citoyens de notre pays dans toutes les classes de notre société !

Ces électeurs par notre système électoral inefficace à 2 tours ont voté par défaut pour ce nouveau président et dans la foulée pour les élections législatives pour se débarrasser de cette ancienne classe politique qui sévissait depuis trente ans !

Mais hélas le changement attendu ne s’est pas produit et a même été amplifié par ce président bobo donneur de leçon et comme il ne veut rien changer sur le fond de cette V eme république obsolète il faudrait qu’il agisse vite et prenne une décision sans se tromper si possible et là on verra si cet apprenti politicien est un vrai réformateur qui va dans le sens de ce que réclame une majorité de français plus d’égalité et d’équité !

Jdeclef 04/02/2019 10h05 LP

dimanche 3 février 2019

DATI Maire de Paris pourquoi pas ce ne sera pas pire qu'HIDALGO....


Rachida Dati vise la Mairie de Paris

Dans une interview accordée au « Parisien », l'ancienne garde des Sceaux a confié être « intéressée par la candidature à la Mairie de Paris ».


R.DATI assume son ambition. Samedi 2 février, dans une interview accordée au Parisien, elle a confirmé son envie de conquérir la Mairie de Paris en 2020. « Je suis claire : bien sûr que je suis intéressée par la candidature à la Mairie de Paris », affirme l'ancienne garde des Sceaux. Avant d'ajouter : « De nombreux élus de Paris le sont aussi, mais personne n'ose le dire ! Eh bien, moi, je le dis. Et puis évitons pour une fois de tous nous nuire ! Car il y a urgence à répondre aux préoccupations des Parisiens : un Paris propre, attractif, un Paris en sécurité, un Paris où l'on circule, où l'on se loge. Bref, un Paris où l'on vit ! »
La maire du 7e arrondissement souhaite s'engager pour la capitale et ambitionne un réel projet pour la droite. « Quant à 2020, je veillerai avec force à ce que la droite ait un projet clair, assumé, terre à terre, pour améliorer concrètement la vie des Parisiens. Je constate seulement que la droite ne s'est jamais remise de sa défaite de 2001. »

« Paris se gagne ensemble »

Elle estime que la droite est « légitime pour s'adresser aux Parisiens ». Quant aux possibles élections municipales, Rachida Dati en a déjà une idée précise qu'elle détaille au quotidien : « Si je parviens à être candidate, je le ferai avec tous les élus parisiens. Nous avons un vrai vivier d'élus de qualité et combatifs ! (...) Paris se gagne ensemble, pas les uns contre les autres et encore moins les arrondissements de l'Ouest contre ceux de l'Est. »
Pour l'heure, elle figure sur la liste européenne conduite par François-Xavier Bellamy. Et si Rachida Dati est désignée par la droite pour briguer la Mairie de Paris, elle pourrait donc abandonner son mandat au parlement de Strasbourg. « Paris est un combat collectif. Alors, être engagée à Paris, c'est y être à 100 %. »
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Mais là on voit encore comme en France pour des postes importants de pouvoir que l'on n'a plus en réserve pour trouver des hommes ou femmes de grande compétence pour gérer la capitale !

Qui se réduit à faire de la politique politicienne de bas étages en oubliant les administrés du maire de PARIS et bien sûr encore plus faisant encore moins pour les villes de banlieues de la petite couronne séparées seulement de celle-ci par la pancarte de nom pour les désigner et le périphérique séparant de celle-ci pour les transports en commun surchargés de franciliens qui vont chaque jour par milliers travailler dans la capitale !

DATI est une arriviste bling bling de l'aire sarkozienne qui aime le luxe et l'argent pour elle, mais çà ce n'est pas nouveau chez certains politiciens élus et notamment comme notre bobo de président monarque E.MACRON qui ne déroge pas à cette règle et dit être près du peuple mais faisant le contraire car il le dédaigne en ne se retenant pas de le faire sentir !

La capitale n'est qu'un microcosme et reflet de notre pays où se trouve le pouvoir de notre république qui va mal et ou aboutit la colère « des gens de peu » comme a dit notre président irrespectueux des français et du pays qu'il a à gérer !

Jdeclef 03/02/2018 09h43LP

samedi 2 février 2019

Il y avait des zadistes comme à NDDL ou autres par exemple qui ont mis le désordre depuis des décennies ?!


FOG - Comment les démocraties finissent

À force de réclamer des RIC, RR, voire une nouvelle Constitution, pour remédier à la crise des Gilets jaunes, les Français mettent leur démocratie en danger.


La France est un pays étrange où, quand surviennent des crises économiques et sociales, il y a toujours des consensus pour… refaire les institutions ! Une manière d'ajouter encore plus de désordre aux difficultés du moment.
Quel est le rapport avec la choucroute ? Qui peut croire sérieusement que l'avènement d'une VIe République résoudrait la crise des gilets jaunes ? Tel est le dernier délire à la mode, comme s'il suffisait de rédiger une nouvelle Constitution (la quinzième, quatorze ayant été appliquées) pour que les contestataires quittent leurs ronds-points et retournent vaquer à leurs occupations.
Pour faire bon poids, les esprits faux, espèce en voie de prolifération, proposent aux Français de se vautrer dans une sorte de fébrilité « démocratique » en s'adonnant à la « référendite » grâce au référendum d'initiative citoyenne (RIC) et au référendum révocatoire (RR) qui nous permettraient de vivre sous le régime de la campagne électorale permanente en votant à tout bout de champ, matin, midi et soir. Avec, il va de soi, des taux d'abstention record.
La doxa nous interdit de dire du mal de ces débilités que sont le RIC et surtout le RR, machine à faire tomber les élus : elles sont dans l'air du temps où triomphe le populisme, c'est-à-dire la démagogie, et où l'on a oublié que trop de démocratie tue la démocratie. Démocratie, que de bêtises on commet en ton nom !
La Constitution de la Ve République est une magnifique construction qui fonctionnerait à merveille si nous ne l'avions pas saccagée en décidant notamment, par référendum, en 2000, de réduire le mandat du chef de l'Etat de sept à cinq ans : ainsi avons-nous abaissé la fonction présidentielle tout en américanisant notre système politique, désormais condamné au court-termisme.
Dans la foulée, notre société ne cesse d'affaiblir toutes les catégories d'élus, souvent considérés comme des « profiteurs », voire des « pourris. » D'où la proposition stupide du RR qui permettrait de les révoquer à tout moment, là encore par référendum, sacré solution miracle. Voilà le monde où nous allons, sous le signe d'Orwell : le samedi, c'est gilets jaunes ; le dimanche, référendum ; le lundi… RTT.
Un problème se pose ? Pour le régler, faisons un référendum ! À croire que le référendum permettra de relancer la croissance, créer des emplois, réformer l'école, supprimer les gaspillages, engager la baisse des dépenses publiques, réduire l'endettement du pays, remettre en état de marche un Etat obèse. On se pince.
La démocratie n'est pas un droit immuable, mais un combat de tous les instants. Nous autres Français, nous sommes convaincus que notre pays est la mère patrie de la démocratie et des droits de l'homme. A juste titre. Mais, par pitié, n'oublions pas que nous sommes aussi la mère patrie de la minorité agissante qui, avec l'aide de la populace, autrement dit quelques milliers de sans-culottes robespierristes et avinés, fut à l'œuvre pendant la Révolution française.
L'histoire de la Révolution française est l'histoire d'un rapt perpétré par un groupe préléniniste - la Montagne, aidée par les Jacobins - contre la Gironde, sorte de social-démocratie avancée et régionaliste avant l'heure. C'est un scénario que l'on a pu observer ensuite dans toutes les révolutions, en Russie et ailleurs : quand la machine est lancée, ce sont toujours les extrêmes qui gagnent, dans les flots de sang qu'ils n'hésitent pas à faire couler.
« Paris est opprimé par les tyrans. » Des « tyrans » : tel était le nom qu'avait osé donner aux Montagnards robespierristes le Rennais Jean-Denis Lanjuinais, un républicain libéral, à la tribune de la Convention nationale, électoralement dominée par les modérés, au milieu des coups de poing et de pistolet des extrémistes décidés à prendre le pouvoir par tous les moyens (justifiés par les fins, dirait plus tard Lénine).
Même avec ses beaux principes pleins la bouche, la Révolution française n'avait, hélas, que faire de la démocratie. La preuve : elle a fini par guillotiner les chefs des Girondins qui constituaient un groupe puissant à la Convention ! Dans son livre « Comment les démocraties finissent », paru en 1983, notre ami Jean-François Revel racontait le lent et lâche affaissement des démocraties devant la force brute de l'impérialisme soviétique. En perte de vitesse dans un monde fasciné par les populistes ou les tempéraments autoritaires à la Poutine, il est temps que la démocratie se reprenne et cesse de donner des gages à ses ennemis qui veulent, avec des référendums à tout-va et une assemblée constituante, la dépiauter vivante ! 




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C’était le début d’un malaise comme une maladie endémique rampante ou certains voulaient se mettre à la marge et faire leurs lois utopiques !

Maintenant il y a des gilets jaunes qui font cela sous d’autres formes, mais y ressemblant beaucoup car plus nombreux et partout en France qui se dispersent dans des idées désordonnées, car ils ne sont pas capables de se mettre d’accords entre eux pour preuve les samedis qui s’enchainent en manifestations stériles voire dangereuses !

Ce qui représente bien la mentalité des français lambda versatiles et individualistes et rend le pays difficilement gouvernable et çà le président MACRON s’en est rendu compte, bien avant, mais sans vraiment avoir de solution et qui maintenant est réduit à faire durer le temps espérant l’usure et le pourrissement d’une situation qu’il a lui-même amplifié par des erreurs qu’il a commises qui en fait que certains français de plus en plus nombreux le déteste, malgré que l’on veut nous faire croire à des sondages moins mauvais pour lui et son 1er ministre !

Ces gilets jaunes qui parlent de référendums comme une panacée dont les contenus sont mal définis et de démocratie qu’ils sont en train de détruire avec un président monarque qui leur refuse cela bien sûr en leur proposant un soi-disant grand débat sous contrôle dont peu de français croient aux résultats et s’il en ressortira quelque chose de concret !

Car il y a trop longtemps que nos dirigeants passés et présents leurrent le peuple depuis trente ans et maintenant que la pauvreté grandit parmi les français et classes dites moyennes les plus importantes en nombre dans la société de notre pays, cela devient insupportable, car les inégalités sont de plus en plus flagrantes !

Jdeclef 02/02/2019 13h11 LP

vendredi 1 février 2019

Il n'y a pas de 1ere dame appellation galvaudée que N. SARKOZY a voulu mettre à la mode par sa préférence des USA qu'il aimait !


Qui est la première dame préférée des Français ?

Un sondage dévoilé par « Closer » s'intéresse à la popularité des compagnes des présidents. Brigitte Macron n'arrive qu'en quatrième position.


Depuis la campagne présidentielle de 2017, Brigitte Macron est présentée comme la petite voix soufflant souvent à l'oreille de son époux. Pour certains, elle tient le rôle de première conseillère d'Emmanuel Macron. Mais les Français l'apprécient-ils réellement  ? Pas si sûr. La popularité de l'actuelle première dame n'est pas au firmament, à en croire les résultats d'un sondage Harris Interactive réalisé pour le magazine Closer . Dans le classement des premières dames préférées des Français, Brigitte Macron n'arrive ainsi qu'en avant-dernière position, avec 51 % d'opinions favorables.
C'est Danielle Mitterrand qui décroche la palme. Avec 71 % de bonnes opinions, l'épouse de l'ancien président socialiste François Mitterrand, décédée en 2011, occupe une place de choix dans le cœur des Français. Elle est suivie de Bernadette Chirac, avec 63 % d'opinions favorables, et de Julie Gayet, avec 56 % de bonnes opinions. La comédienne ne s'est que très rarement affichée avec François Hollande lors du mandat de celui-ci à l'Élysée. Lorsqu'elle a pris ses quartiers au palais présidentiel, au premier étage de l'aile ouest, certains la surnommaient le « fantôme de l'Élysée », rappelle Le Figaro. En mars 2018, Julie Gayet racontait dans Paris Match qu'elle estimait que « la fonction de première dame est sexiste ».

Brigitte Macron trop « Bling-bling »  ?

En quatrième position de ce classement arrive ensuite Carla Bruni-Sarkozy, avec 55 % d'opinions favorables. Brigitte Macron se trouve donc en cinquième position, devant Valérie Trierweiler, qui ne récolte l'approbation que de 34 % des Français. La cote de popularité de l'actuelle première dame en a pris un coup depuis son arrivée à l'Élysée. Selon le sondage Harris Interactive, réalisé entre le 25 et le 28 janvier sur un échantillon représentatif de 1 039 personnes selon la méthode des quotas, l'épouse d'Emmanuel Macron a vu sa popularité chuter après le début du mouvement des Gilets jaunes. Environ 60 % des Français estiment qu'elle est « bling-bling » et 79 % jugent qu'elle ne devrait bénéficier d'aucun financement public. Toutefois, 70 % des personnes interrogées se disent agacées par les critiques émises contre la première dame en raison de son âge.
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Les français lambda pour la majorité d'entre eux logiquement considère la personne vivant avec le président comme sa compagne, son épouse, voire même sa maîtresse prenant une importance dans leur vie privée, c'est tout !

Les médias donnent trop d'importance à ces femmes qui n'ont en principe aucune fonction politique ou autres dans la marche du pays dirigé par le président et son 1er ministre !

Le reste n'est que du blabla médiatique et pour certaines de montrer la compagne ou épouse cela fait bien à l'étranger pour faire tapisserie ne s'exprimant heureusement que très rarement car non élue par les français !

D’ailleurs depuis l'aire sarkozienne ces dames ont pris bien trop d’importance médiatique inutile pas toujours bienvenue (sans compter les frais d’établissement pour leur confort et sécurité oblige !)

Il faudrait cesser de copier les coutumes d'outres atlantiques, d'ailleurs d'autre pays occidentaux n'emploie pas ce type de qualification sur les compagnes ou compagnons de leurs chefs d'état comme l'Allemagne, l'Angleterre et d'autres pays d'Europe !

Cela éviterait les histoires scabreuses de la presse people et politique spécialisée, car il y a des choses plus importantes à traiter dans notre pays de la part de la présidence que cette presse pour bobos bien-pensant !

Jdeclef 01/02/2019 15h00 LP

Le cas de ce BENALLA n’est pas défendable, mais l’attitude du président non plus !


Affaire Benalla : de nouveaux enregistrements fragilisent sa défense

VIDÉO. Selon Mediapart, Alexandre Benalla était en discussions avec un homme d'affaires russe, et ce alors qu'il était chargé de mission à l'Élysée.


Ce sont de nouveaux éléments particulièrement troublants qui viennent s'ajouter à l'affaire Benalla. Dans des enregistrements audio obtenus et publiés par Mediapart, l'ex-chargé de mission à l'Élysée se vante du soutien d'Emmanuel Macron. On y apprend également que l'ancien chargé de mission maintenait le contact avec la présidence de la République depuis son licenciement.
 « Tu vas les bouffer »
C'est une conversation du 26 juillet qui se révèle riche d'enseignements. D'un côté, Alexandre Benalla, au cœur d'un tourbillon médiatique depuis l'affaire du 1er mai à la Contrescarpe. De l'autre, Vincent Crase, également mis en cause dans l'affaire. Les deux hommes ont été mis en examen quatre jours plus tôt pour « violences en réunion par personne chargée d'une mission de service public ». Leur contrôle judiciaire leur interdit normalement tout contact. Mais leur rencontre est enregistrée. Mediapart affirme avoir pu authentifier la bande sonore.

Alexandre Benalla semble prendre avec légèreté les accusations dont il fait l'objet et revendique le soutien du chef de l'État. « Truc de dingue, le patron [Emmanuel Macron], hier soir, il m'envoie un message, il me dit : Tu vas les bouffer. Tu es plus fort qu'eux, c'est pour ça que je t'avais auprès de moi. Je suis avec Isma [Ismaël Emelien, conseiller spécial du président], etc., on attend  Le Monde, machin, etc. » Un message dont l'existence a été démentie par l'Élysée.
Lire aussi Coignard –Le « Teorem » de Benalla
Là où Vincent Crase parle d'un « film d'horreur », Alexandre Benalla voit « une bonne expérience ». « À 26 ans, si tu veux, y a pas grand monde qui vit..., qui provoque deux commissions d'enquête parlementaires, qui bloque le fonctionnement du Parlement... » lance ainsi l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron.

Vincent Crase et le contrat russe

En revanche, un autre sujet semble préoccuper les deux hommes. Il s'agit du contrat russe. Comme Le Point le révélait en décembre, Vincent Crase a reçu près de 300 000 euros de la part d'un oligarque proche de Vladimir Poutine. Iskander Makhmudov a conclu un contrat avec la société de sécurité Mars conseil, pour la surveillance de ses propriétés situées en France et à Monaco. Pour réaliser son contrat russe, la société de Vincent Crase a eu recours à l'entreprise Velours, ancien employeur d'Alexandre Benalla. Selon un intermédiaire interrogé par Mediapart, des négociations sont engagées fin 2017 entre Iskander Makhmudov et Vincent Crase, comme ce dernier l'a confirmé au média. L'intermédiaire affirme toutefois qu'Alexandre Benalla a désigné Crase pour gérer le contrat. Un premier virement est effectué en juin 2018. À ce moment-là, Benalla est toujours chargé de mission à l'Élysée et Crase à la sécurité de LREM. « La question d'une éventuelle compromission, en tout cas d'une mise en danger des sommets de l'État français avec un homme, je le rappelle à cette époque M. Benalla est soumis au secret défense, proche de M. Poutine », estime Fabrice Arfi, auteur de l'enquête pour Mediapart.
Lors de son audition le 21 janvier devant la Commission d'enquête du Sénat, sous serment, Alexandre Benalla assurait n'avoir « jamais » contribué à la « négociation » ou à la « conclusion » de ce contrat. Mais selon Mediapart, ces déclarations ne résistent pas à l'épreuve des faits. Il a rencontré le représentant de l'oligarque, l'homme d'affaires Jean-Louis Hagenauer, à plusieurs reprises. Si un cliché daté d'août 2018 permet d'en attester, Alexandre Benalla y aurait pris part au mois de juin. Sollicités par le site d'investigation, les différents acteurs de ce dossier n'ont pas donné suite.

BENALLA avait dit qu'il parlerait alors il déverse sa rancœur par des propos tenu par le président s'ils sont avérés !

Quant au président monarque qui se croit intouchable son manque d'amour propre est consommé de toute façon semble-t-il, il ne peut nier les faits, car s'il le faisait il s'enfoncerait un peu plus dans des explications fumeuses dans ce caprice et choix qu'il a fait en engageant cet individu pour son plaisir de nanti parvenu !

Trop de pouvoir donné à un homme, ce président dans notre pays est une faille de plus dans notre démocratie pseudo monarchique ?!

Il faudrait que les français fassent confiance à E.MACRON grand bien leur fasse, à eux de juger ce sera toujours mieux que d'attendre une justice lente et médiocre comme d'habitude !

Justice qui est d'une inefficacité lamentable avec ses enquêteurs qui en savent moins que les médias spécialisés style MEDIAPART ?!

BENALLA, il devrait être incarcéré provisoirement depuis le début de cette affaire scabreuse dans l'attente de son procès !

Car un dialogue de sourds envers des commissions d’enquêtes de sénateurs a eu lieu entre cet individu dissimulateur et menteur qui se protège derrière des arguties judiciaires, car parfaitement conseillé par des juristes ou avocats patentés !?

C'est une honte du président donneur de leçons qui joue au professeur envers les français lambda dont il se moque, le retentissement de cette affaire BENALLA est la Bérézina de son quinquennat qui de par notre constitution hélas ne peut s'interrompre donc il ne dit rien !

Un scandale pareil ne devrait pas se produire, mais nous sommes en France république pseudo monarchique bananière dont un individu a semé le discrédit sur un président parvenu dont en fait les fonctions étaient floues chargé de mission fantomatique, garde du corps ou majordome de luxe, voire ami proche du président et de son épouse impliquée aussi semble-t-il dont on parle dans cette pitoyable affaire !

On peut se poser la question de par le langage de ce trop jeune président, il mérite ou est-il apte à exercer sa fonction de chef d’état ?!

Jdeclef 01/02/2019 10h26 LP