mercredi 31 octobre 2018

Pas étonnant pour ce magouilleur tout aussi emporté que son patron MELENCHON !


Alexis Corbière a bénéficié d'aides sociales pour rénover son appartement

Le député La France insoumise s'est justifié en précisant avoir « suivi scrupuleusement [la] procédure très stricte » pour obtenir l'aide.

Dans son édition à paraître mercredi 31 octobre, Le Canard enchaîné affirmé que Raquel Garrido et son compagnon Alexis Corbière, député de La France insoumise ont reçu une aide de l'Agence nationale de l'habitat. Une aide réservée aux ménages « très modestes », indique le journal qui précise que la démarche est légale.
Un article jugé « infamant » par le député de La France insoumise qui a dit, dans un communiqué publié via Twitter, réprouver « absolument le procédé du Canard qui consiste à jeter le discrédit sur un citoyen, une famille, qui respectent la loi ».
Après une demande le 15 mai, avec un devis de près de 20 000 euros de travaux de rénovation énergétique (chaudière, radiateurs, menuiseries), le député LFI et la chroniqueuse TV, parents de trois enfants, ont reçu un peu plus de 12 000 euros de remboursement de l'Agence nationale de l'habitat (Anah), écrit le journal. Selon le Canard enchaîné, Alexis Corbière et Raquel Garrido ont envoyé leur déclaration de revenus de 2016 en l'absence, à ce stade de l'année, d'une communication du fisc sur leurs revenus de 2017, qui avaient alors nettement augmenté en raison de l'indemnité parlementaire du député et du salaire de chroniqueuse sur C8 de Raquel Garrido, ancienne porte-parole de LFI. Rien d'illégal, précise cependant l'hebdomadaire satirique.

Des travaux en raison d'un incendie

« Je ne suis pas responsable ni du nom de ces catégories ni des plafonds retenus. [...] Je n'ai fait que respecter les règles qui régissent ce dispositif », a réagi Alexis Corbière, soulignant que les revenus de son foyer en 2016 étaient de 37 451 euros, donc considérés comme « très modestes » pour un couple avec trois enfants. « Les travaux ont été rendus indispensables par un grave incendie à mon domicile en février 2018 provoqué par un poêle à bois qui était auparavant l'unique source de chauffage », a-t-il assuré. « Il m'est donc particulièrement insupportable de lire, dans ce journal satirique, que les travaux étaient en quelque sorte une filouterie préméditée de ma part. »
Le député de Seine-Saint-Denis estime avoir « suivi scrupuleusement » la « procédure très stricte » requise pour obtenir l'aide de l'Anah, dont « l'obligation de passer par un architecte-conseil » ou encore « un bilan énergétique par un organisme indépendant ». Une polémique concernant le couple avait éclaté en octobre 2017 lorsqu'avait été révélé par BuzzFeed qu'il occupait depuis plusieurs années un logement social situé dans le 12e arrondissement de Paris pour 1 200 euros. Il avait déménagé en décembre de la même année pour le logement actuellement occupé en Seine-Saint-Denis.
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C’est un profiteur de plus à petit pied dans ces cadres de la F.I. qui entraîne les gogos qui se laissent prendre par leurs diatribes !

Hurler en critiquant à tout va, çà ils savent bien faire, mais balayer devant leur porte, ils oublient !

Pauvre FRANCE entichée de politiciens élus médiocres qui ne servent à rien, empêcheurs de tourner en rond et pas nets en plus !

Jdeclef 31/10/2018 11h08

Le contrôle judiciaire cela évite provisoirement la prison à certains ?!


Rixe mortelle à Paris : le mineur mis en examen était sous contrôle judiciaire

Mardi dernier, un adolescent a perdu la vie dans des affrontements entre bandes. L'un des mis en cause était interdit de sortie après 21 heures.


Trois personnes de 17, 18 et 20 ans ont été interpellées après la tragique altercation entre bandes, qui a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi dernier, dans le 20e arrondissement de Paris. Ces dernières ont été mises en examen ce week-end pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences », un second pour « participation à un groupement en étant armé » et « port d'arme », et un troisième pour « participation à un groupement en étant armé », « port d'arme » et « fourniture d'une identité imaginaire ». Toutes trois ont été laissées libres et placées sous contrôle judiciaire. Le parquet de Paris avait réclamé le placement en détention provisoire du mineur de 17 ans mis en cause.
Au moment de son interpellation, juste après la rixe mortelle, le jeune homme, connu défavorablement des services de police pour vols avec violences, faisait déjà l'objet d'un contrôle judiciaire ordonné par le tribunal pour enfants. Il devait respecter quelques obligations, parmi lesquelles celle de ne pas sortir de son domicile entre 21 heures et 6 heures du matin, sauf accompagné d'un représentant légal majeur. La bagarre qui a conduit à la mort d'un adolescent de 16 ans dans la nuit de mardi à mercredi s'est pourtant déroulée entre 23 heures et minuit. Il a donc contrevenu à son contrôle judiciaire.
Interrogé, le parquet de Paris n'a pas souhaité commenter une décision qui relève de la seule appréciation des magistrats du siège. Néanmoins, des juges interrogés par Le Point considèrent que si on contrevient à son contrôle judiciaire pour des faits particulièrement graves, celui-ci devrait être révoqué. « Dans la mesure où ce mineur n'est pas mis en examen pour des coups mortels, mais qu'il est suspecté d'avoir participé à un groupement armé, le juge de la liberté et de la détention a pu considérer qu'il n'avait pas assez d'éléments à ce stade de l'enquête pour prononcer une mise en détention provisoire », tempère une source judiciaire parisienne.
Le parquet de Paris avait ouvert vendredi une information judiciaire, notamment contre X, pour les faits d'homicide volontaire, de tentative d'homicide et de dégradations en réunion. L'auteur principal de l'homicide est toujours recherché.
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Mais cela n’empêche pas à des délinquants récidivistes de recommencer !

Et surtout trop utilisé pour des faits graves nécessitant des sanctions appropriées plus sévères !

Mais il faudrait vraiment revoir cette loi de 1945 et rabaisser la majorité judiciaire, car les jeunes de 15/16/17 ans sont souvent parfaitement responsables de leurs actes comme les jeunes adultes de 19/20/21 ans !

Et ces jeunes instables et influençables quand ils sont adolescents, mais pour autant assez intelligents pour se servir de cette protection de minorité !

Et surtout ils savent bien qu'ils ne risquent rien du fait de n'avoir pas la majorité judiciaire dont ils se servent notamment pour les trafics illicites ou délits divers !

Je suis âgé et dans ma jeunesse la majorité était à 21 ans et d'ailleurs, cela ne gênait personne pour nous envoyer à l'armée à 19 ans (ceci en passant…)

Notre code pénal est de plus en plus inadapté à la délinquance violente et à la jeunesse avec notre justice et ses magistrats trop laxistes associés à des ministres de la justice médiocres qui ne font que de la politique politicienne creuse comme nous avons eu ces dernières années !

Alors on s'étonne de cette violence criminelle dans cette jeunesse et aussi pour les adultes qui se développe dans notre société trop libre sans garde-fou ou tout le monde en vient à régler ses comptes de n’importe quelle façon en voulant faire sa loi!

Alors nos bien-pensants donneurs de leçons se lamentent, dénoncent, font des discours alambiqués ou lénifiants qui endorment la vigilance, mais au final ne font rien depuis plus de trente ans dans ce monde qu'ils croient de « Bisounours ou tout le monde est beau et gentil » !

Jdeclef 31/10/2018 10h44

mardi 30 octobre 2018

Cette politicienne ex élue spécialiste des erreurs grossières qu'elle a accumulées !


À quoi joue Ségolène Royal ?

Dans son livre « Ce que je peux enfin vous dire », l'ancienne candidate socialiste tacle durement Emmanuel Macron et prépare un retour. En retraite ? Jamais !

« La politique, vous n'en voulez plus ? » S'agitant sur son fauteuil, elle rit nerveusement. Voilà sa réponse. Ainsi fonctionne Ségolène Royal quand elle préfère éviter questions gênantes et souvenirs douloureux. Ce mercredi matin de juin, Nicolas Hulot est encore ministre et l'ambassadrice des pôles Arctique et Antarctique se concentre sur la naissance de son ONG Désirs d'avenir pour la planète, et noircie secrètement encore les pages d'un livre intitulé Ce que je peux enfin vous dire (Fayard). La marque d'un retour en politique ? Un manifeste pour la campagne européenne ? Un bilan politique ? À cette dernière question, le rire disparaît, le regard s'assombrit et la réponse poignarde : « Vous me croyez à la retraite ? J'ai l'air si vieille ? » Silence. On insiste, flatteur : «  avec un Parti socialiste moribond et des écologistes quasi inexistants, n'est-ce pas à vous de remodeler un espace politique à gauche ?  » Le sourire revient. Démasquée. L'ancienne candidate à la présidentielle ose enfin se confier. Oui, elle sait – comme beaucoup – que «  l'expérience Hulot  » ne durera pas, alors elle pourrait sans doute rempiler au gouvernement si Emmanuel Macron «  a l'audace de lui proposer  ». Oui, on la consulte depuis plusieurs semaines pour mener une liste aux européennes, «  mais avec qui et sur quelle ligne ?  » Eh oui, le contact avec Emmanuel Macron s'est dégradé, «  au bord de la rupture  », admet-elle. À la rentrée, il est même rompu, et François Hollande le regrette en petit comité : «  Ségolène a le sentiment d'avoir été maltraitée par le pouvoir.  » À l'un de ses visiteurs qui lui rapporte ce propos, elle acquiesce : «  Rien n'a vraiment changé pour nous, les femmes en politique. Pas même l'arrivée d'Emmanuel Macron.  »

« Il y a bien plus progressiste qu'Emmanuel Macron »

Ségolène Royal a tant d'anecdotes sur le machisme en politique à raconter. Assez pour en coucher sur le papier et d'en faire l'un des thèmes majeurs de son ouvrage en librairie mercredi. Seule, elle griffonne dans les avions, sur son iPad et longuement cet été en Italie. 292 pages de « vérités accumulées depuis tant d'années en politique, chuchote un proche. C'est un livre personnel. Personne n'a pris la plume pour elle. Elle évoque beaucoup #MeToo et la libération de la parole des femmes ». Au Figaro , la socialiste se confie : « Je dis aux femmes que j'ai vécu, au niveau où j'ai évolué, les mêmes discriminations et mêmes violences qu'elles connaissent. » Une catharsis, disent certains. « Un livre de combat », préfère son entourage, où elle réglera quelques comptes. Elle mordille Emmanuel Macron et son excès de verticalité. Elle mitraille le « ni droite ni gauche » macronien qui « fait le terreau des extrêmes » et torpille ceux qui entretiennent le clivage entre les populistes et les progressistes. À un pèlerin socialiste parti en macronie, elle assurait récemment : « il y a une alternative à cette dualité artificielle : la sociale-écologie. C'est un sujet qui transcende les mouvements politiques ». À une autre écolo avant l'été, elle abattait : «  Il n'y a pas qu'Emmanuel Macron chez les progressistes. D'ailleurs, il y a bien plus progressiste que lui, ne serait-ce qu'en matière de transition écologique.  ».
La sociale-écologie. Voilà l'engagement de la présidente de la COP21. «  Et le renoncement d'Emmanuel Macron  », à ses yeux. Dans son viseur, « l'écologie punitive » menée par l'exécutif qui accentue le contraste entre « les cadeaux » faits aux plus riches et les « coups » donnés aux petits contribuables. Au micro de RTL la semaine dernière, la socialiste chargeait le ministre de l'Économie Bruno Le Maire qui, selon elle, « cherche à justifier un matraquage fiscal par l'écologie. Ce n'est pas honnête ». Et l'ancienne ministre n'a guère apprécié que la jeune secrétaire d'État Brune Poirson monte au créneau pour défendre le gouvernement en taclant les 10 milliards d'euros de manque à gagner dû à la suppression de l'écotaxe en 2017. «  La petite sort les crocs quand on le lui demande, mais que pense-t-elle vraiment ? Est-elle vraiment écolo ? Nicolas Hulot n'avait pas la réponse, et il en doutait même  », rétorque un fidèle de Ségolène Royal. «  De la petite phrase sur Ségo, on peut en faire tous les jours, mais nous sommes dans une urgence environnementale majeure, riposte un conseiller du ministère de la Transition écologique. Tous les signaux sont au rouge et nous avons besoin d'emmener tout le monde avec nous. Il y aura des mécontents à convaincre, et on devrait en plus avoir Ségolène Royal dans les pattes ? Que veut-elle faire ? Attiser les rancœurs et voiler la face de ceux qui doutent du bien-fondé de ce combat ? Veut-elle casser la dynamique ? Elle fait partie des assassins de la cause qu'elle prétend défendre.  »

Grain de folie

Que cherche donc Ségolène Royal ? La question interpelle en macronie, mais encore plus chez les socialistes. Tous croient avoir la réponse, comme le résume un député socialiste : «  Ségo, c'est Ségo. Elle veut son morceau de pain. Si ce n'est pas au gouvernement, ce sera donc aux européennes.  » Dans ses bureaux du 15e arrondissement, celle qui n'est plus encartée au PS reçoit régulièrement la visite d'élus qui tentent de la convaincre de mener une liste au scrutin de 2019. François-Michel Lambert, ancien EELV réélu député en 2017 sous l'étiquette LREM – et aujourd'hui très critique envers la majorité –, fut l'un des premiers quémandeurs. Et aussi Olivier Faure qui, par deux fois, lui a proposé de prendre la tête de liste socialiste, en vain. Non, «  Mémère  » comme la surnomme affectueusement Michel Sapin a d'autres idées en tête. « Elle met en place une stratégie de différenciation par rapport à Emmanuel Macron, commente l'ancien ministre au Point. Il y a chez Ségolène ce petit grain de folie qui avait fait la réussite du macronisme au départ ».
Via une plateforme – Peps – lancée en juin par son ancienne directrice de cabinet adjointe, la dame de la COP21 tisse ses liens au sein des ONG environnementales et des réseaux de chercheurs rencontrés pendant l'élaboration de l'accord de Paris. Elle renoue aussi avec des amis de la social-démocratie : Luc Carvounas, Guillaume Garot, Michel Sapin, Patrick Kanner ou encore le secrétaire général de l'UDE Christophe Madrolle. « Elle a même eu Jean-Louis Borloo au téléphone ! » assure un écolo qui rêve d'une alliance entre les deux. Elle pourrait même compter sur le soutien de l'ancienne ministre de Jacques Chirac, Corinne Lepage : « Je ne sais pas ce qu'elle compte faire, elle ne m'en a pas parlé, mais je crois qu'elle peut jouer un rôle. Nous avons besoin d'une telle personnalité pour fonder une liste écolo ouverte et pro-européenne. » Et qu'importe si sa candidature fait de l'ombre à Olivier Faure et aux nouveaux caciques socialistes prévient Christophe Madrolle : « Une campagne européenne de rassemblement portée par Ségolène sur la thématique de la justice environnementale devrait faire réfléchir le PS et EELV de présenter des listes concurrentes. »
Il y a les envies des uns et les doutes des autres, qui s'interrogent sur la volonté de Ségolène Royal. Député européenne ? Très peu pour elle. «  Même un siège à la Commission ne pourrait la convaincre  », murmure un invité régulier qui assure qu'elle «  jauge l'espace qui s'ouvre à elle  » et promet : «  Elle prendra sa décision en janvier.  » Une éternité politique, mais une aubaine médiatico-littéraire. Car comme un François Hollande en plein tour de France des dédicaces pour son livre Les Leçons du pouvoir (Stock) aux airs de campagne de retour en politique, Ségolène Royal ne pouvait rêver meilleure promotion.
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Ne manque pas d'air, un peu comme son ex compagnon ex président de notre république !

Le scandale de l'éco taxe poids lourds en étant « la cerise sur le gâteau pièce montée » de ses incompétences avec en plus les indécisions cumulées et changement d'avis dont elle est coutumière !

A son âge, elle devrait être à la retraite à 65 ans, cette nantie qui a largement de quoi vivre et là encore, il est dommageable que pour ces politiciens élus il n'y ait pas une limite d’âge obligatoire pour que l'on ne puisse pas les revoir et se représenter envers et contre tous !

On a déjà eu du mal à se débarrasser de cette ancienne classe politique sclérosée mais hélas ils y en a, encore qui s'accrochent « comme des poux sur la tête des enfants à chaque rentrée scolaire » !

Dans les avatars qu'elle accumule (mais qui ne semble pas le gêner) en tant que présidente de la région Poitou Charente, elle s’est distinguée par sa gestion chaotique et des investissements hasardeux qui ont ruiné cette région avec 132 millions de retard de paiement entre autres !

Cette ex ministre est une catastrophe financière à elle toute seule, si elle avait été à la tête d'une entreprise comme PDG on l'aurait virée, mais nos chers élus sont intouchables comme d'habitude !

Et puis on ne va reprendre les mêmes à moins d’être des masochistes incurables ?!

Il faut être en France pour voir cela ?!

Jdeclef 30/10/2018 10h08LP

Oui c'est gênant comme chaque année en début de période hivernale mais pas exceptionnel !


Haute-Loire : 800 véhicules bloqués par la neige

Un épisode neigeux s'est brutalement abattu sur le département ce lundi, paralysant la circulation et privant une partie de la population d'électricité.

La neige a semé la pagaille aujourd'hui en Haute-Loire. En fin de journée, 1 350 personnes étaient privées d'électricité, selon la préfecture. Sur les routes du département, 800 véhicules étaient bloqués, certains abandonnés.
Après les importantes chutes de neige qui ont touché le département, la préfecture a décompté au total 800 véhicules bloqués, dont certains abandonnés, sur plusieurs routes départementales (RD500, RD15, RD44, RD46 et RD105) ainsi que sur une partie de la RN88. Ces véhicules « non équipés bloqués au bord de la route empêchent ou contrarient l'accès des moyens de déneigement et de secours », déplore la préfecture dans un communiqué.
Des hébergements d'urgence ont été ouverts pour accueillir les personnes dont les véhicules ne sont pas en état de circuler. 192 personnes étaient prises en charge en début de soirée dans différentes structures communales, selon la préfecture. 1 350 personnes étaient également privées d'électricité, essentiellement dans les communes de Retournac, Saint-Pal-de-Chalencon et Beaux.
« Les précipitations, parfois soutenues, vont persister tout au long de la nuit. La limite pluie-neige peut s'abaisser jusqu'à 400 m d'altitude », précise la préfecture, qui s'attend pour mardi matin à de « petites précipitations » avec une limite pluie-neige vers 650 mètres. La Haute-Loire fait partie de la petite trentaine de départements placés en alerte orange neige-verglas.
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Surtout en haute Loire ou le froid et ce genre de conditions hivernales avec épisode neigeux sont courantes !

Mais néanmoins météo France avait prévenu à l'avance de ses conditions climatiques notamment des chutes de neiges !

Et malgré cela les automobilistes prennent leur sacro-sainte voiture dont ils ne peuvent se passer et sont réduits pour certains à dormir dans leur véhicule car bloqué sur la route ?!

Pour les transporteurs routiers, c'est pareil, il eut été préféré retarder leurs transports plutôt que de se trouver bloqué sur les routes de certains départements en gênant en plus la circulation des autres véhicules légers, les automobiles particulières et en empêchant aussi les déneigeuses de passer !

Il y a une part d'indiscipline bien française dans l'attitude de certains !

Jdeclef 30/10/2018 09h06LP

lundi 29 octobre 2018

L'usure du pouvoir en Allemagne comme partout, où elle croyait pouvoir tout faire…


Allemagne : Merkel renonce à la présidence du CDU

Au lendemain d'un nouveau vote sanction en Hesse, la chancelière allemande confirme qu'elle quittera la présidence de son parti en décembre prochain.


C'est une page qui se tourne dans la vie politique allemande. Angela Merkel va quitter la présidence de son parti chrétien-démocrate (CDU) en décembre, a appris l'Agence France-Presse auprès d'un responsable de la formation, au lendemain d'un cuisant revers électoral. «  Elle ne se représente plus à la présidence du parti  », a indiqué un responsable du parti sous le couvert de l'anonymat, confirmant une information des éditions en ligne du magazine D er Spiegel et du quotidien Handelsblatt.
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Sa décision d’accueillir trop de migrants vient de causer sa perte...

Il faut qu'elle passe la main, il semble qu'elle vient de le comprendre, mais trop tard !

Le mal est fait dans son pays, mais aussi en Europe, il ne faut pas se voiler la face par des postures de bien-pensants donneurs de leçons hypocrites de certains de nos dirigeants comme elle, que nous ne citerons pas !

Jdeclef 29/10/2018 11h38

Quand un pays va à vau l’eau et que les peuples ont peur ils se retournent vers des hommes qui leurs promettent la sécurité et l’ordre !

Brésil : « On n'attend pas de Bolsonaro un grand projet, mais du respect et de l'ordre »

REPORTAGE. Les partisans du candidat d'extrême droite, élu avec 55 % des voix, ont fêté sa victoire dimanche soir devant son domicile de Rio de Janeiro.


« C'est un jour historique. Le Brésil a besoin de se réveiller et, pour ça, il fallait quelqu'un avec de la poigne. » La nuit est tombée depuis une bonne heure à Barra da Tijuca, quartier résidentiel de l'ouest de Rio. Marcelo et Pedro, étudiants de 22 et 20 ans, sont venus hurler leur joie après la victoire de Jair Bolsonaro à la présidentielle brésilienne avec plus de 55 % des suffrages exprimés, face à Fernando Haddad, le candidat du Parti des travailleurs (PT). Devant la propriété sécurisée où l'ancien militaire a élu domicile, des milliers de Cariocas ont afflué toute la journée, pour célébrer une victoire qu'ils sentaient à portée de main. Et depuis l'annonce des premiers résultats officiels, arrivés dès 19 heures grâce au vote 100 % électronique, la fête bat son plein.
Des feux d'artifice sont tirés depuis la plage. Et comme en plein carnaval, des vendeurs ambulants sortent bières fraîches et caïpirinhas de grosses glacières qu'ils portent au milieu d'une foule habillée de maillots auriverde (jaunes et verts, couleur de l'équipe de football du Brésil) et de tee-shirts blancs ou noirs à l'effigie de Jair Bolsonaro. On entonne l'hymne brésilien à tue-tête, on danse devant un camion sonorisé qui diffuse des chansons composées à la gloire du Mito (le mythe), comme l'ont surnommé ses partisans. Ce qui n'empêche pas Marcelo et Pedro de garder la tête froide : « On n'est pas d'accord avec tout ce que Bolsonaro dit. Il parle sans filtre et ça attire l'attention. Mais il y a beaucoup à faire au Brésil, on a besoin d'une réforme fiscale et d'une réforme des retraites, et il va s'y mettre, avec l'aide de Paulo Guedes, son conseiller économique. »
Avec Jair Bolsonaro, le Brésil bascule à l'extrême droite

« Notre drapeau ne sera jamais rouge »





Au cœur de la foule, Saulo et Lucia, couple de quinquagénaires venus en voisins, n'arrivent pas à entendre le discours du vainqueur, diffusé sur écran géant. Bolsonaro y cite la Bible, la Constitution brésilienne, s'en prend à la gauche et demande l'union du Brésil. Saulo et Lucia scandent à pleins poumons « Notre drapeau ne sera jamais rouge », un des cris de ralliement préféré des Bolsonaristes. « On est venu pour notre Mito, on ne pouvait pas perdre », expliquent-ils alors qu'un hélicoptère de la police militaire survole la plage sous les vivats de la foule. « C'est le leader du moment, le mieux préparé, parce qu'il est militaire. On n'attend pas de lui un grand projet, on attend qu'il ramène au Brésil du respect et de l'ordre. » Et le couple de fustiger le bilan des deux derniers présidents du Parti des travailleurs. « On a vraiment perdu 16 ans avec Lula et Dilma Rousseff. La violence a augmenté, l'économie s'est effondrée, l'éducation s'est dégradée. Si le PT était revenu au pouvoir, le destin du Brésil, c'était de devenir un nouveau Venezuela. »
Il est 21 heures. Certains partisans commencent à lever le camp, tandis que d'autres continuent d'arriver devant le domicile de Jair Bolsonaro. Luisa, 62 ans, est attablée avec trois amies dans un bar du front de mer. Elle écoute Fernando Haddad reconnaître sa défaite à la télévision et inviter ses électeurs à ne pas avoir peur : « Comptez sur nous, courage, la vie est faite de courage. Vive le Brésil », lance le candidat du PT. « Voleur, tu iras en prison comme Lula », lui répond Luisa, pour qui Bolsonaro n'était « peut-être pas le candidat idéal, mais bien le candidat qu'il fallait pour en finir avec le système au pouvoir ». Et la sexagénaire de reprendre une fake news propagée par le camp Bolsonaro : « Le peuple brésilien est chrétien, et le PT ne le respectait pas », assure-t-elle. D'après le nouveau président, son adversaire Fernando Haddad envisageait de « donner des cours d'éducation sexuelle à des enfants de 5 ans  ».

Familles ébranlées

Le genre de discours qui fait bondir Rafael, 29 ans, attablé avec trois amis dans un petit restaurant de sushis d'Ipanema, à quinze kilomètres du fief bolsonariste de Barra. Le calme règne dans ce quartier d'ordinaire si animé le dimanche soir. Les quatre jeunes Cariocas ont tous voté pour Fernando Haddad, alors qu'ils avaient choisi le candidat de centre-gauche Ciro Gomes au premier tour. Cette campagne présidentielle a ébranlé de nombreuses familles brésiliennes, rapporte Rafael, qui ne parle plus à son père depuis trois semaines : « Le PT a des failles morales incroyables, mais on n'avait pas d'autre choix que de voter pour eux. » Le jeune homme est dépité. « Ce soir, c'est la victoire du candidat qui a menacé ouvertement certaines communautés ou minorités au Brésil. On parle quand même de quelqu'un qui a déclaré que les Africains organisaient eux-mêmes leur propre esclavage, rappelle-t-il. Et son premier acte comme président élu, c'est de prier à la télé avec des évangéliques. Ça promet. » Jair Bolsonaro parviendra-t-il à réveiller le Brésil, lorsqu'il sera officiellement investi président le 1er janvier 2019 ? Pour Rafael et ses amis, « il va plutôt l'envoyer au précipice ».
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L'histoire est un éternel recommencement il serait temps pour nos dirigeants d'en prendre conscience !

Avec ces nouvelles dictatures ou démocratures genre fausses dictatures les peuples ont élu des hommes qui leur promette la sécurité en 1er, de l'ordre et du travail !

Donc si l’extrême droite promet çà, la sécurité policière et l’ordre à tolérance zéro sans contestation c’est que les peuples lambda ont besoin d’être encadré sérieusement ?!

Un certain HITLER a fait cela avec l'Allemagne qu'il a relevé après une crise économique désastreuse ou on allait acheter son pain avec des brouettes de Marks qui ne valait même pas le papier pour les imprimer dans les années 1930 naturellement après cela a dérapé et amené la guerre mondiale, car sans garde-fou des pays qui aurait pu le stopper !

Dailleurs d’autres pays européens ont pris le même chemin des dictatures, L’Italie, l’Espagne Le Portugal jusque dans les années 1970 pour les dernières…

Les brésiliens ont appelé au secours, après des années de gabegies et de crimes dans leur société minée par la corruption, l'insécurité et la pauvreté d'une grande partie du peuple malgré le fait qu'il avait déjà subi une dictature militaire pas si ancienne que cela, défaut bien connu des pays d’Amérique du sud, car dans leur culture !

Mais il n'y pas que ce pays : la Turquie par exemple ou le président régulièrement élu se prend pour un sultan ottoman a été plébiscité par son peuple ou la Russie totalitaire pour les mêmes raisons de sécurité et de puissance protectrice !

Ou alors par la peur des autres par l’immigration galopante que nos dirigeants n’arrivent pas à réguler comme la Hongrie et son 1er ministre qui ferme ses frontières ou l’Italie en déconfiture économique qui se raidit par la voix de ses dirigeants sur ce sujet, voir aussi l’Autriche qui a subi l’Anschluss en 1938 rattachement d’office à l’Allemagne nazie et qui voit une montée de l’extrême droite etc. !

S’en parler en plus de ce proche orient totalitaire avec leurs religions moyenâgeuse et royauté féodales ou république islamiques riches, mais dangereuses !

Alors oui il faudrait que nos bien-pensants hypocrites de dirigeants donneurs de leçons européens se réveillent de leurs léthargies de fausse paix d’après guerres mondiales, car le monde va mal et coure à la catastrophe assis sur une poudrière !

Jdeclef 29/10/2018 09h56

dimanche 28 octobre 2018

On n'a pas changé la ministre de la justice dans le gouvernement, lors du remaniement ministériel ?


Seine-et-Marne : un homme tué par une dizaine d'individus

Un homme de 43 ans est mort samedi soir après avoir été agressé par une dizaine d'individus qui l'ont frappé à la tête et lui ont donné un coup de couteau.

Le drame s'est déroulé samedi soir à Villeparisis, en Seine-et-Marne. Aux alentours de 21 h 30, l'homme, qui est en soirée avec des amis dans un appartement, reçoit un appel sur son téléphone portable. Après avoir raccroché, il descend au pied de son immeuble et est pris à partie par « une dizaine d'individus », a indiqué une source policière. Les agresseurs le frappent avec des bâtons et des barres de fer.

Le règlement de comptes privilégié

Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime a reçu « un coup de couteau à la cuisse qui l'a grièvement blessé, entraînant une lourde hémorragie », a indiqué de son côté une source proche de l'enquête. L'hypothèse d'un règlement de comptes est privilégiée, mais « le mobile reste à déterminer », selon cette même source. La victime a également « été frappée sur le corps et à la tête, visiblement à coups de barre de fer », a précisé la source policière.
Encore conscient à l'arrivée des pompiers et du Samu, l'homme est décédé sur place « des suites de ses blessures » aux alentours de 22 h 30. Une autopsie sera pratiquée mardi. La police judiciaire de Versailles a été saisie de l'affaire. Pour l'heure, aucun suspect n'a été interpellé.
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Oh ! Ce n'est pas utile, car des ministres incompétents, on en a déjà eu, même certains qui ont annulé ce qui avait été fait par leurs prédécesseurs pourtant quelque fois utile et puisque :

Et Que tout va bien, car rien n'évolue dans notre société à part des individus qui sont trucidés presque chaque semaine en France ?!

Avec notre justice laxiste et notre code pénal inadapté à cette délinquance violente et criminelle !

Oui mais on fait de la politique politicienne, pas de la justice, comme il faudrait la faire avec rigueur ?!

Mais du moment que nos dirigeants dans leurs tours d'ivoire grands donneurs de leçons bien-pensants n'osent pas mettre en place une tolérance zéro pour ces faits de notre société où il fait de moins en moins bon vivre dans notre belle France ?!

Il n'y a pas de quoi être fier dans un pays libre (peut-être trop) qui n'est pas capable de remettre de l'ordre avec fermeté ou l'insécurité gagne du terrain chaque jour !

A chaque fois que l'on lit ou regarde les médias, il y a une kyrielle de faits divers dangereux, voir criminels partout dans notre pays !

On n'est plus vraiment en sécurité et moi qui suis âgé comme d'autres, j'ai vu évoluer notre société urbaine et même régionale vers beaucoup de violences graves diverses malgré les statistiques que l'on arrange pour minimiser les faits au ministère de l’intérieur sous les divers gouvernements de tous bords en FRANCE !

Cela devient préoccupant n'en déplaisent à nos élites (nom galvaudé car immérité) comme on les appellent !

Jdeclef 28/10/2018 15h58

Mais le ministre du budget DARMANIN ne l’a pas caché avec une bonne dose d’hypocrisie assume les taxes sur les carburants :


Le gouvernement en difficulté après la flambée des prix du carburant

Matignon a augmenté en 2018 les taxes sur l'essence et sur le diesel de 4 et 7 centimes d'euro par litre pour favoriser la transition énergétique.

La montée plus rapide que prévu des prix du pétrole met en difficulté l'exécutif. La loi qui a été votée pour une forte hausse des taxes sur le carburant afin de favoriser la transition énergétique s'expose à de nouvelles critiques sur le pouvoir d'achat. « Une bombe atomique », selon le député LR Marc Le Fur. Une « flambée dangereuse », pour l'association 40 Millions d'automobilistes... Les mises en garde et les reproches se sont multipliés ces derniers jours, dans les médias comme à l'Assemblée nationale, sur l'envolée des prix à la pompe. Un phénomène lié à la hausse mondiale des cours du pétrole qui dépassait mercredi matin les 80 dollars le baril contre à peine 57 dollars voilà un an, mais aussi à la hausse de fiscalité qui pèse pour près de 60 % des prix des carburants.
L'exécutif a en effet augmenté en 2018 les taxes sur l'essence et sur le diesel, respectivement de 4 et 7 centimes d'euros par litre, pour favoriser une convergence fiscale entre ces deux carburants et lutter contre le réchauffement climatique. Cette politique fiscale devrait être renforcée en 2019, avec des hausses de 6 centimes pour le diesel et 3 centimes pour l'essence, puis à nouveau jusqu'en 2022, l'objectif étant de rendre le diesel jugé plus néfaste pour l'environnement plus onéreux que l'essence. « Le fait qu'il y ait un rattrapage du diesel sur l'essence pour des raisons de santé publique ne nous pose pas de problème, c'est même assez logique », estime auprès de l'AFP François Carlier, délégué général de l'association de consommateurs CLCV. « Le problème, c'est qu'aujourd'hui on cumule de fortes augmentations de taxe et la flambée des prix du pétrole », ajoute M. Carlier, qui appelle l'exécutif à geler les hausses prévues l'année prochaine pour éviter de pénaliser le porte-monnaie des Français, « notamment dans les zones rurales ».

Quelle est la solution ?

Pour le gouvernement, englué depuis plusieurs mois dans une polémique sur le pouvoir d'achat et accusé de négliger les populations rurales, le sujet est sensible d'autant que le prix du pétrole devrait rester élevé au cours des prochains mois, selon certains spécialistes. « Il y a une vraie difficulté, je le reconnais », a souligné mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, disant « entendre » les problèmes rencontrés par « les personnes qui prennent leur véhicule diesel pour se rendre au travail le matin ». Mais il a exclu de revenir sur la trajectoire fiscale prévue par le gouvernement au nom de la « lutte contre le réchauffement climatique ».
Comment, dans ces conditions, atténuer l'effet des hausses de taxe ? Ces derniers jours, plusieurs pistes ont été avancées, notamment parmi les parlementaires de la majorité, confrontés aux critiques des électeurs dans leurs circonscriptions. Lors des débats en commission sur le projet de loi de finances pour 2019, le député LREM Mathieu Orphelin a proposé un amendement finalement rejeté visant à aider les ménages ruraux en cas de forte hausse des prix sur une période de plusieurs mois. D'autres ont suggéré d'utiliser le gain de TVA lié à la hausse du prix du pétrole pour financer des dispositifs de soutien à la transition énergétique, comme la prime à la conversion automobile. Une proposition à laquelle Bruno Le Maire s'est dit « favorable ».
La prime à la conversion, instaurée le 1er janvier, prévoit le versement de 1 000 euros voire 2 000 euros pour les ménages non imposables en cas de mise au rebut d'un vieux véhicule. Elle connaît un net succès, avec plus de 170 000 dossiers déposés à la mi-septembre. « C'est une mesure qui irait dans le bon sens », mais cela « resterait largement insuffisant » pour compenser les pertes de pouvoir d'achat, a réagi M. Carlier, appelant à « aller plus loin ». Ces derniers jours, le prix du diesel est passé au-dessus de celui de l'essence dans une partie des stations-service françaises. Le gazole représente près de 80 % des volumes de carburant vendus en France.
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Citons le : de défendre "les mesures courageuses" du gouvernement, essentielles pour ne « pas être complice d'un scandale sanitaire». Alors que c’est les précédents gouvernements qui avaient fait la promotion du diesel par exemple !?

Les augmentations des carburants ont toujours existé et la crise pétrolière de 1973 a été le mouvement déclencheur qui n'a jamais cessé depuis avec des hauts et quelques baisses mais une manne financière qui a toujours profité à l'état par ses taxes qui elles aussi augmentent selon tous les gouvernements quel que soit leur couleurs politique !

Une escroquerie gouvernementale logique, car comme il y a de plus en plus de voitures particulières 2 par ménages en moyenne c’est vraiment facile de ponctionner les automobilistes et avec un code de la route sévère avec les radars et autres contraintes de taxes sur l'automobile inutile de les énumérer !

Parallèlement à cela suite à l’augmentation du pétrole (et des taxes), c’est aussi le prix du fuel domestique dont beaucoup de français en habitation individuelle se servent pour se chauffer !

Et puis bien sur la répartition de ces charges énergétiques sont inégales entre les français qui habitent en grandes villes et y travaille et les provinciaux qui sont obligés de prendre leur voiture obligatoirement par manque de transport en commun ou dans le nord et sud de la France par les conditions climatiques pour le chauffage etc…

Tout ça pour dire que le gouvernement et le président MACRON ont besoin d’argent (pas toujours bien utilisé d’ailleurs) avec ses réformes à marche forcée appuie sur le champignon pour pressurer les français et ne cédera rien, qui peuvent peut être se consoler en ce disant qu’avec FILLON par exemple, cela aurait pu être pire .. ?!

Et ce n’est pas la protestation d’automobilistes faisant les escargots sur la route par exemple qui changeront quelque chose, seuls les poids lourds savent faire cela !

Jdeclef 26/10/2018 13h06LP

C'est malheureux pour les victimes quel quelles soient mais la violence par armes à feu est dans les gènes des USA hélas !


États-Unis : plusieurs morts dans une fusillade contre une synagogue

Une fusillade a eu lieu dans un quartier de Pittsburg, en Pennsylvanie. Selon les médias, il y aurait plusieurs morts. Le tireur a été arrêté.


Selon les médias américains, il y a eu des échanges de tirs dans un quartier de Pittsburgh, en Pennsylvanie, près d'une synagogue, où des fidèles étaient rassemblés pour un office. La fusillade aurait fait plusieurs morts. Plusieurs médias américains évoquent onze morts et de nombreux blessés dont quatre policiers. Le drame a eu lieu près de la synagogue « Arbre de vie » (Tree of Life) où une trentaine de fidèles étaient rassemblés pour un office.

« Tous ces juifs devaient mourir »

La police a confirmé que le tireur s'était rendu. « Le suspect de la fusillade est en garde à vue. Nous avons de nombreuses victimes à l'intérieur de la synagogue, il y a trois officiers qui ont été touchés », a indiqué aux médias sur place un porte-parole de la police. D'après Steve Herman, le chef du bureau de la Maison-Blanche de Voice of America (média du gouvernement), le tireur seraitun homme de 46 ans, nommé Rob Bowers qui aurait déclaré au moment de son arrestation : « Tous ces juifs devaient mourir. » Selon la chaîne NBC, le suspect était armé d'un fusil d'assaut AR-15, et de plusieurs revolvers. Ses motivations n'étaient pas connues dans l'immédiat.
Wendell Hissrich, le patron des services de police de Pittsburgh, a annoncé aux médias qu'il ne commentera pas le nombre de victimes ou les armes utilisées par le suspect. Il décrit juste « une des pires scènes de crime que j'ai jamais vu » et explique qu'il y a six blessés, dont quatre policiers, à l'hôpital. Le tireur présumé s'y trouve également.

Donald Trump prône un retour de la peine de mort

Donald Trump a dénoncé la « haine » après la fusillade. Il a déclaré que le bilan serait « plus dévastateur » que prévu initialement. Il a encore déclaré qu'il avait « beaucoup de morts » et « beaucoup de blessés graves ». Aucun bilan officiel n'a été communiqué, mais les médias américains évoquent de quatre à huit morts. « Cela ressemble définitivement à un crime antisémite », a encore dit à la presse le président américain en arrivant à Indianapolis pour une rencontre avec des agriculteurs.
Il a également souhaité renforcer la législation sur la peine de mort. « Quand des gens font ce genre de chose, ils devraient se voir infliger la peine capitale », a-t-il déclaré. Il a également émis l'idée que des gardes armés pourraient assurer la sécurité des offices, à l'image de son idée d'armer les professeurs pour sécuriser les écoles. « Mon cœur saigne après les nouvelles venant de Pittsburgh. La violence doit s'arrêter », a de son côté écrit sur le réseau social, la première dame Melania Trump.
Tout a commencé peu après 10 heures (16 heures en France) quand la police locale a appelé les habitants du quartier à rester chez eux, évoquant un « tireur » à proximité de la synagogue. « Il y a un tireur dans la zone de Wilkins et Shady. Éviter le quartier », ont tweeté les services de sécurité publique de la ville, qui ont déployé d'importantes forces sur place. L'agence fédérale chargée du contrôle des armes, tabac et explosifs, ATF, a précisé que des agents spéciaux se rendaient à leur côté.

« Ça ne devrait pas arriver dans une synagogue »

« Il y a de nombreuses victimes », a rapidement expliqué à la presse locale Jason Lando, le commandant de la police de Pittsburgh. Cette attaque, dont les motivations n'étaient pas immédiatement claires, a jeté la consternation dans la ville. « Je suis juste triste. Je ne sais pas quoi vous dire (...) ça ne devrait pas arriver, point. Ça ne devrait pas arriver dans une synagogue », a déclaré sur CNN, Jeff Finkelstein, le président de la Jewish Federation of Greater Pittsburgh.
La police de New York a de son côté fait savoir qu'elle renforçait la sécurité autour des lieux de culte de la ville, avec notamment des patrouilles supplémentaires. « À la suite de cette tragédie, nous devons nous rassembler et prendre des mesures pour empêcher ces tragédies dans le futur. Nous ne pouvons accepter comme normale cette violence », a tweeté le gouverneur de Pennsylvanie Tom Wolf, précisant avoir mis à disposition tous les moyens nécessaires pour les premiers secours.
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Quand ce grand pays pourtant libre et démocratique ne prendra pas des mesures drastiques pour mette des gardes fous efficaces et réglementer la possession d'armes et le port de celles-ci avec une grande rigueur avec des peines très importantes pour les contrevenants qui passe outre, cela continuera !

Car bien sûr, il est difficile d’empêcher des illuminés ou déséquilibrés de commettre de tels actes criminels, mais si l'on supprime ces outils de mort avec une extrême rigueur on diminuera ces drames !

Mais pour cela il faut changer les mentalités de certains américains en leur faisant comprendre que la conquête de l'ouest du 18 eme siècle est finie et qu'ils soignent leur paranoïa du manque de sécurité et de la nécessité d'avoir des armes pour se défendre ou régler leur compte !

Et surtout fermer le robinet de l'argent roi qui finance la fameuse NRA La National Rifle Association (NRA) est une association à but non lucratif américaine de protection des droits civiques, ayant pour but de promouvoir les armes à feu aux États-Unis et la défense d'une interprétation non restrictive du deuxième amendement de la Constitution des États-Unis !

Une vaste escroquerie intellectuelle inscrite dans leur constitution qui sert d'alibi hypocrite et qui en plus finance les élections américaine pour désigner les présidents U.S.!

Ce pays riche immense et puissant démocratique à peut-être trop de liberté mal contrôlée et le président actuel n'arrange pas cela par ses diatribes, mais ses prédécesseurs n'avaient guère fait mieux pour ces problèmes et pourtant ils sont grands donneurs de leçons aux autres pays même démocrates et libres comme eux !

Ils ne sont pas à plaindre hélas, (l'assassin était issu de l’extrême droite antisémite) et depuis qu'il y a ces crimes de masse les raisons invoquées sont multiples et diverses mais se règlent toujours de la même façon à coups d'armes à feu de guerre extrêmement meurtrières !

Jdeclef 28/10/2018 08h56

samedi 27 octobre 2018

Il faut réinstaurer la discipline perdue en 1968 qui a continué à se dégrader au fil du temps avec une accélération depuis plus de trente ans !


Violences à l'école : le gouvernement cède-t-il au «  y'a qu'à, faut qu'on  » ?

La presse s'interroge sur le plan de lutte contre la violence scolaire dégainé par le gouvernement. Passe-t-il à côté des maux profonds de l'école ?


Des faits divers particulièrement violents ont remis le sujet de la violence scolaire sous les projecteurs de l'actualité. Résultat, un arsenal de mesures pour endiguer le phénomène a été immédiatement dégainé par le gouvernement. Une rapidité qui laisse les éditorialistes circonspects
Ainsi de Gilles Grandpierre dans L'Union-L'Ardennais : « Sur le grand air des indignés, le chœur des "y'a qu'à, faut qu'on" a donc intimé au ministre de l'Éducation l'ordre de se ressaisir et dénoncé son "laxisme". Le mot était lâché. On en sourirait si l'affaire n'était si préoccupante. Après un an rue de Grenelle, Jean-Michel Blanquer est donc censé avoir tout compris, mesuré, corrigé, organisé, de telle sorte que notre école soit définitivement débarrassée de ses cancres, dysfonctionnements et déficiences », ironise l'éditorialiste.

Artillerie

Dans Midi libre, c'est le nouveau ministre de l'Intérieur Christophe Castaner qui s'attire les piques de Jean-Michel Servant : « Dans cette histoire, on a surtout le sentiment que le nouveau va-t-en-guerre de la place Beauvau cherche à marquer son territoire. Il sort les muscles et dégaine l'artillerie lourde pour caresser dans le sens du poil les tenants du tout sécuritaire. Une sorte de rugissement en forme de cris d'orfraie. »
Dans La Nouvelle République du Centre-Ouest, Olivier Pirot souligne que la lutte contre ce phénomène ne peut-être que de longue haleine : « Nul ne peut cependant ignorer que la montée de la violence à l'école est un mouvement de fond, complexe. Pour y répondre, les personnels et les enseignants doivent être aidés et soutenus : au cours de leur formation, tout au long de leur carrière et par des équipes complémentaires. Des mesures qui pèsent sur un budget, qui n'ont d'effet que dans le temps... et qui, bien évidemment, n'ont pas l'impact politique immédiat de celle de Christophe Castaner. »

« Un législateur qui vote plus vite que son ombre »

Même constat dans La Montagne/Centre France où Bernard Stéphan rappelle les maux profonds à l'origine des incidents graves de ces derniers jours et met en garde contre les lois de circonstances : « Il avait été reproché à Nicolas Sarkozy de pratiquer la législation du fait divers parce que dès qu'un crime était commis, il préparait une loi de circonstance. Il ne faudrait pas que l'affaire du pistolet factice au lycée de Créteil réactive ce filon du législateur qui vote plus vite que son ombre. Car les maux sont connus depuis longtemps, ils s'appellent désenchantement des enseignants, dévalorisation du statut, dévaluation de l'image du maître, quasi-fin de la sanctuarisation de l'espace scolaire, défaut de confiance dans la capacité des études à faire marcher l'ascenseur social.(...) »
Plus indulgente, Michele Cotta juge qu' « il est impossible de ne rien faire : qu'il s'agisse de policiers en faction ou de commandos mobiles, capables de se déplacer lorsque éclatent à l'intérieur des établissements des bagarres, il faut, en effet, se donner les moyens d'éradiquer la violence à l'école. » Même si, elle aussi souligne que le phénomène plonge ses racines dans une dégradation profonde de l'école républicaine : « Ah ! elle est bien loin, l'école publique, laïque, gratuite et obligatoire de Jules Ferry ! Elle a été le meilleur moyen d'intégration entre élèves riches et pauvres au début du XXe siècle. Aujourd'hui, au XXIe, c'est tout notre modèle éducatif qui est touché. Il faut lui donner les moyens de survivre. »

Avec les enseignants

De même, dans L'Éclair des Pyrénées, Michel Bassi se garde d'accabler le gouvernement, même s'il juge que l'essentiel est ailleurs : « Quant aux sanctions à appliquer aux coupables, l'arsenal actuel de mesures est probablement suffisant, pourvu que les chefs d'établissement aient les moyens de les faire appliquer, s'agissant par exemple de la surveillance des travaux d'intérêt général. Tant mieux si les démonstrations gouvernementales donnent un coup d'arrêt aux incivilités, et répondent aux préoccupations des enseignants. Mais c'est avec ces derniers, et sur le terrain, que cette bataille se gagnera. »
Des enseignants qui se sentent méprisés comme l'a montré le hashtag #PasdeVague qui « dit le désarroi d'équipes pédagogiques trop souvent confrontées au silence coupable de leur hiérarchie », rappelle Xavier Brouet dans Le Républicain lorrain. Un hashtag venu rappeler un constat connu depuis longtemps et « trop vite oublié » : « Quelques signes, quelques mots, une formule de ralliement concentrent aujourd'hui plus de force qu'une manifestation ou qu'une pétition. Il a suffi d'une consigne répétée "ad nauseam" dans les salles de professeurs, "pas de vagues", ironiquement détournée de son sens et envoyée sur les réseaux sociaux, pour faire naître non seulement un vaste et incernable mouvement, mais la réaction de trois ministres réunis », constate quant à lui Yves Harté dans Sud Ouest. Une réaction qui ranime des mesures anciennes qui n'ont pas fait la démonstration de leur efficacité.
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Il faut redonner plus de pouvoir aux enseignants sur leurs élèves dans leurs classes en cours comme cela l'était du temps où nous allions à l'école ou au collège avant 1968 pour les gens âgés comme moi qui l'ont connu nous n'étions pas malheureux en tant qu’élèves ou adolescents !

Il faut aussi que les enseignants enseignent et rien d'autres en laissant la politique politicienne de leurs syndicats de côté et en cessant de se regarder le nombril en pleurant sur leur sort en faisant de multiples grèves ou absentéismes trop nombreux!

Et qu'ils n'oublient pas qu'ils ont la garantie de leur emploi et qu'ils cessent de refuser systématiquement toutes réformes dont certaines ne sont pas forcément inutiles et qu'ils prennent conscience pour certains que c'est l’éducation des enfants qu'on leur confie avant tout !

Et aussi qu'ils se fassent respecter auprès des parents qui n'ont pas à interférer dans l’enseignement de leurs enfants à l’intérieur des établissements scolaires !
Et s'ils arrivent à cela au lieu de dire non à tout ce qu'on leur demande de faire, là ils mériteront d'avoir une revalorisation de leurs salaires au mérite qu'ils auront bien gagné !

Le métier d'enseignant est un beau métier, mais il a ses contraintes et devoirs lié à celui-ci, car s'occuper d'enfants de 3 à 16 ans n'est pas facile, alors si l'on n'aime pas faire cela, il ne faut pas le faire et il faut aussi aimer les enfants (pas que les tout petits!)

Jdeclef 27/10/2018 15h19