dimanche 14 octobre 2018

Il avait l'interdiction d'enseigner depuis 2016....Merci à nos autorités d'avoir agi !


Toulouse : le directeur d'une école privée musulmane placé en garde à vue

Imam salafiste, hostile à la violence, Abdelfattah Rahhaoui, fondateur du groupe scolaire Al-Badr, avait été interdit d'enseigner « pour enseignement non conforme » en 2016.

C'est un nouvel épisode de l'affrontement qui dure depuis 2013 entre l'école religieuse du quartier Bellefontaine, à Toulouse, d'une part, le parquet et l'Éducation nationale d'autre part. Le fondateur du groupe scolaire a été placé en garde à vue jeudi matin. Il a été déféré devant le parquet de Toulouse après 36 heures de retenue. Il a été placé sous contrôle judiciaire en attendant une audience correctionnelle convoquée en janvier prochain. L'information a été confirmée au Point par le parquet de Toulouse et par maître Samim Bolaky, l'avocat du mis en cause.
La justice lui reproche de ne pas s'être soumis à une interdiction d'enseigner prononcée par jugement en 2016. Il est également poursuivi pour travail dissimulé. Le jugement de 2016 est frappé d'appel, mais une QPC plaidée devant le Conseil constitutionnel a ralenti la procédure. L'appel doit finalement être jugé en novembre. « Nous contestons fermement ces accusations et nous nous en défendrons à l'audience du 29 janvier prochain. Nous nous opposons à l'interdiction d'enseigner et de diriger » plaide la robe noire. Selon le créateur d'Al-Badr, il ne serait plus que bénévole au sein de l'association. C'est une vengeance du ministre de l'Éducation nationale qui avait indiqué que « tout serait mis en œuvre pour que l'école ferme ».
Abdelfattah Rahhaoui est une figure du salafisme local. En 2012, il avait participé à l'enterrement du terroriste Mohammed Merah tout en se démarquant publiquement et fermement de ses meurtres. Les services de renseignements locaux le considèrent comme un prosélyte du salafisme. Il n'a jamais fait l'objet de poursuites liées au terrorisme

Même si c’est un peu tardif…

Car « qui a bu boira, comme dit le proverbe » il a passé outre, car ne respecte pas les lois de la république française !

C'est un salafiste qui fait du prosélytisme que fait-il en France qui réprouve cet extrémisme sectaire ?!

Il sème le trouble à l'ordre public !

Quand fera-t-on un ménage salutaire dans cet islam qui se dit tolérant, mais dont certains veulent imposer des dogmes extrémistes moyenâgeux !

A noter que cette action de justice protège aussi les musulmans qui pratiquent un islam tolérant comme l'indique leur coran

(Mais surtout sur la façon que l'on veut bien le lire et ne se référant pas à l’âge des ténèbres !)

C'est préoccupant dans notre pays démocratique libre et laïque !

Cela prouve, s'il le fallait, que notre justice et notre état et son gouvernement doivent être très ferme et vigilant sur de tels faits pseudo religieux contraire aux valeurs de la FRANCE !

Jdeclef 14/10/2018 14h42

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