mercredi 24 octobre 2018

Il n'a que ce qu'il mérite et ce ne sont des sondages, qu'il ne se plaigne pas cet élu politicien nanti !


Baromètre Ipsos-« Le Point » : la coûteuse colère de Mélenchon

VIDÉO. Après une semaine calamiteuse, rythmée par des perquisitions et ses excès de rage, le leader de La France insoumise chute de onze places dans notre baromètre.


«  Jean-Luc Mélenchon va-t-il payer les frais de son comportement envers les forces de police et les journalistes ?  » Telle était la question qui se posait au sortir de la semaine désastreuse vécue par le président du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Durant la perquisition de son appartement, des QG de son mouvement et du Parti de gauche, puis après les auditions des cadres de La France insoumise pour étayer l'enquête préliminaire sur le financement de sa campagne présidentielle, l'ex-candidat s'en était pris tour à tour aux forces de police et au magistrat qui avait mené les opérations. Et, enfin, aux journalistes de Franceinfo et Mediapart : les premiers, qu'il qualifie de «  menteurs  » et d'«  abrutis  » qu'il s'agit de «  pourrir  », et les seconds, coupables «  d'ignominie  » pour avoir révélé certaines conclusions de l'enquête. Le tout sous fond de complotisme, en affirmant que la manœuvre était purement politique et directement téléguidée par le pouvoir en place.
Contrecoup de cette séquence d'une rare violence : selon notre baromètre politique Ipsos-Le Point, la popularité de Jean-Luc Mélenchon en sort considérablement affaiblie, notamment chez ses électeurs du premier tour.
Le mois dernier – date du dernier baromètre –, le dirigeant de La France insoumise pouvait profiter d'une confortable 6e place dans le classement des leaders politiques les plus populaires : il disposait alors d'un total de 30 % d'opinions favorables sur l'ensemble du panel, et talonnait Jean-Yves Le Drian (31) et Nicolas Sarkozy (33), placés juste devant lui.

Derrière le duo Le Pen

Seulement, ses frasques sont passées par là et ont considérablement modifié le jugement que portaient les Français sur lui et son action. En l'espace de quelques jours donc, Jean-Luc Mélenchon a perdu pas moins de sept points d'opinions favorables : il n'en recueille plus que 23 %, et passe de la 6e à la 17e place du baromètre Ipsos-Le Point. Ainsi, il est désormais dépassé par l'un de ses rivaux à gauche, Benoît Hamon, 11e avec 26 % (+ 2), mais également par Marion-Maréchal Le Pen (9e avec 27 %, + 1) et la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen (13e avec 25 %, + 1).
Une lourde dégringolade, qui s'explique par une chute généralisée chez les sympathisants de tous les partis politiques, mis à part Debout la France. Jean-Luc Mélenchon perd notamment près de 20 points chez les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts, 17 points chez ceux du MoDem, et 10,2 chez ceux du Rassemblement national. Cependant, le chef de LFI réussit à limiter la casse chez ses propres sympathisants (La France insoumise/Parti communiste) avec seulement un point de perdu, et parvient à garder un matelas de 83,3 % d'opinions favorables.
En revanche, ceux qui se sont tournés vers lui lors du premier tour de l'élection présidentielle n'ont manifestement pas apprécié cette semaine faite de nombreux tumultes et fracas. Jean-Luc Mélenchon perd 9,3 points chez ceux qui ont mis son bulletin dans l'urne en mai 2017 : probablement, en grande partie, des sympathisants de Benoît Hamon ou d'Europe Écologie-Les Verts qui avaient considéré le vote Mélenchon comme «  le vote utile  » à gauche.
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Encore un de ces politiciens élus mal élevés qui a vu son égo démesuré lui revenir dans la figure !

En fait il traîne les mêmes tares des extrêmes qui crient au complot, il fait même penser au vieux J.M.LE PEN !

On aurait pu croire à un personnage intelligent, mais là, il a prouvé le contraire, que ce n’est qu’un aboyeur de foire tribun qui malheureusement entraîne des gogos à voter pour lui par ses diatribes déjantées et son parti LFI né du grand ménage dans les urnes dans les anciens partis de l’ex politique sclérosée après l’élection d’E.MACRON que MELENCHON a raté et le soi-disant changement et nouveauté…

Le problème étant que ces partis d’extrêmes gauche ou droite ne servent à rien, si ce n’est que concentrer une partie d’électeurs mécontents pour protester contre le pouvoir en place et qui ne les mettent jamais au pouvoir (heureusement !)

Mais qui font à contrario élire des présidents par défaut (sans véritable majorité) au 2eme tour et ce n’est pas la première fois avec ce système électoral désuet à deux tours de cette V eme république obsolète à fausse vraie démocratie qui fait le bonheur de nos politiciens professionnels chevronnés !

Jdeclef 24/10/2018 16h32

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