dimanche 7 octobre 2018

Je ne suis pas pro MACRON loin de là, mais tirer sur l'ambulance de la part de cet ex président :


La revanche du président normal

François Hollande n'en finit plus de se gausser des déboires d'Emmanuel Macron. Et pose ouvertement la question de sa succession à l'Élysée.


Quelle délicieuse période ! Quel exquis parfum de revanche ! Certes, l'ancien président François Hollande ne peut guère se réjouir ouvertement de la cascade de malheurs qui plombent son successeur. Ce ne serait guère raisonnable, et moins encore le jour où l'on célèbre le soixantième anniversaire de la Constitution française. Jeudi matin, donc, invité de l'émission Territoires d'infos, sur Public Sénat, François Hollande n'en fait pas trop : des crises, des démissions, même spectaculaires, il y en a déjà eu et il y en aura encore. En effet.
Le ton est patenôtre, n'était tout de même cette attaque sévère contre cet intérim, assuré par Édouard Philippe pour combler la carapate de Gérard Collomb, « qui n'est pas possible pour des questions de sécurité ». C'est pour le moins s'en prendre à l'improvisation du pouvoir, à sa légèreté quand les périls sont nombreux, et au manque de réaction appropriée de Macron.

Jupiter aux pieds d'argile

Mais, en son for intérieur, comment imaginer que François Hollande ne soit pas plus impitoyable encore dans ses jugements au point d'en jubiler ? Lui dont l'indécision fut jugée comme la marque de son quinquennat est trop content de renvoyer la balle à Macron, incapable de virer Benalla sans tergiverser, incapable d'anticiper le départ, pourtant annoncé, de Nicolas Hulot, incapable de trancher le sort ministériel de Gérard Collomb dès après son annonce de candidature lyonnaise (comme lui-même fut incapable, malgré tous les signaux, de se séparer d'un certain Macron…). À croire qu'il y aurait un peu de Hollande en Macron. C'était bien la peine que le jeune président élu fasse de l'anti-hollandisme sa méthode de pouvoir et de Hollande son anti-modèle ! Jupiter aux pieds d'argile, va !
Et s'il n'y avait que ça ! Mais il n'y a pas que ça. Jour après jour, François Hollande ne manque jamais de faire un pas supplémentaire dans la critique : les décisions prises sont injustes, les comportements présidentiels sont excessifs et les résultats sont absents. Ce réquisitoire, sans aucune retenue cette fois, c'est chez lui, à Tulle, devant les siens, qu'il le prononce le 23 septembre. Et il va plus loin : « Si ce pouvoir-là échoue, et c'est possible… Qui ? Qui sera là pour le rendez-vous démocratique ? Qui peut prendre sa place ? Qui peut offrir une perspective ? Comment être rassuré ? »

L'euphorie de l'auteur

Déjà, pour Hollande, l'échec semble avéré et la messe dite, au point qu'il faut sérieusement penser à la suite du macronisme, à peine plus d'un an après ses débuts. Qui pour l'après ? Qui pour offrir une perspective ? Subliminalement, il donne à penser que celui qui pose ces questions si perspicaces pourrait être le mieux placé pour y répondre. Officiellement, il n'en est pas là, mais seulement, pour l'heure, à l'euphorie d'un auteur qui signe son livre à tour de bras et au bonheur d'un homme qui s'affiche dans Paris Match avec sa compagne
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
F.HOLLANDE ce pleutre qui a jeté l'éponge avant la fin de son quinquennat, car ayant peur d'une défaite, c'est inconcevable, champion de l'indécision, élu comme d'autre par défaut à cause de ce système de cette V eme république obsolète faite pour ces politiciens professionnels qui ne correspond plus à notre époque ou tout va très vite depuis la venue d'internet et des réseaux sociaux poubelles  !

Mais qui trouble le vote des français qui sont obligés de choisir entre deux candidats au 2 eme tour par défaut pour éviter un mauvais choix pernicieux à causes de partis ringards et leurs leaders médiocres voire inutiles !

Et tant que ce système perdurera, cela ne plaira pas aux français déjà assez versatiles comme cela, car en plus avec des médias qui troublent leurs votes par un deuxième pouvoir virtuel avec leurs sondages pernicieux !

Jdeclef 07/10/2018 13h36

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire