mardi 31 janvier 2023

Les guerres de religions et cultures moyenâgeuses d’un autre âge des ténèbres sont les pires tares qui peuvent détruire les hommes et l’espèce humaine !?

 

Quand le Mossad frappe l’Iran en pleine nuit !?

Trois drones ont visé samedi un site militaire à Ispahan, dernière illustration de la nouvelle doctrine israélienne contre la République islamique.

LES HOMMES SONT PLUS INVENTIFS A SE DETRUIRE QUE D’AMELIORER LEURS VIES DANS L’OCCIDENT QUI SE DEFEND DE L’ORIENT SANS COMPTER L’ASIE QUI SE RENFORCE AUSSI MENACANT DANS NOTRE MONDE INSTABLE SI MAL GOUVERNE ?!

Les explosions ont retenti dans la nuit, alors qu'Ispahan n'était pas encore tout à fait endormie. « C'est un drone ! C'est un drone ! » s'est exclamé avec son accent caractéristique un habitant de la ville millénaire du centre de l'Iran qui filmait la scène.

L'homme disait vrai. Trois quadricoptères, des appareils munis de quatre rotors, ont visé samedi à 23 h 30 une usine de fabrication de munitions, a annoncé à peine quelques heures plus tard le ministère iranien de la Défense, précisant que l'un des drones avait été détruit par le système de défense antiaérienne du site, tandis que les deux autres avaient explosé. N'ayant fait aucune victime, l'incident a entraîné des « dégâts mineurs à la toiture » du bâtiment et n'a « pas provoqué de perturbation dans le fonctionnement du complexe », assure le ministère de la Défense.

Rarissime, cette attaque de drones en territoire iranien n'est pas la première du genre. Déjà, en février 2022, six quadrirotors avaient frappé une base située dans la ville kurde de Kermanchah, dans l'ouest de l'Iran, endommageant des dizaines de drones iraniens qui y étaient entreposés. D'après le quotidien Haaretz, les appareils étaient israéliens. De la même manière, l'État hébreu est fortement soupçonné d'être derrière l'attaque au drone perpétrée en mai 2022 contre un site iranien de développement de drones et de missiles à Parchin, au sud-est de Téhéran.

Guerre secrète

Huit mois plus tard, l'ombre d'Israël plane à nouveau sur les explosions qui ont secoué samedi le complexe militaire d'Ispahan. D'autant que les fuites organisées dans la presse américaine vont toutes dans le même sens. Le New York Times a ainsi indiqué dimanche que le Mossad, les services secrets extérieurs de l'État hébreu, était bel et bien derrière la dernière attaque qui a frappé l'Iran. Citant de hauts responsables du renseignement, au fait du dialogue entre Israël et les États-Unis au sujet de l'incident, le quotidien américain a rappelé que la ville d'Ispahan abritait de nombreux sites de production, de recherche et de développement de missiles, notamment des usines d'assemblage de missiles iraniens à moyenne portée Shahab, en capacité d'atteindre le territoire israélien.

Guerre secrète : l'Iran et Israël jouent avec le feuL'État hébreu n'a pas pour habitude de laisser filtrer les opérations que ses services mènent à l'extérieur de ses frontières, à l'exception notable de la guerre secrète dans laquelle il est engagé contre l'Iran. Celle-ci avait jusqu'ici pour théâtre principal la Syrie, où trois salves de frappes aériennes réalisées à l'aide de drones ont encore visé dimanche soir et ce lundi des milices pro-iraniennes qui transportaient des convois d'armes dans l'est du pays, faisant au moins onze morts selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme. Depuis le début du conflit syrien en 2011, Tsahal a mené des centaines de frappes contre les positions des Gardiens de la révolution et des groupes qui lui sont inféodés (Hezbollah, milices chiites afghanes, irakiennes et pakistanaises…), faisant des dizaines de morts, dont des haut-gradés de l'armée idéologique du régime iranien. La République islamique assure pour sa part être présente en Syrie à l'invitation de Damas, qui a fait appel aux Pasdarans (Gardiens, en persan) dès le début du soulèvement pour mater les manifestations pacifiques antirégime, puis pour combattre les groupes rebelles opposés à Bachar el-Assad.

« Tête du serpent »

Mais cette présence militaire iranienne inquiète l'État hébreu, qui estime que l'Iran cherche en réalité à s'implanter à sa frontière nord dans le but de préparer un nouveau front contre Israël en cas de conflit ouvert. « L'Iran est la pierre angulaire de nos problèmes, la tête du serpent qui parraine les groupes terroristes autour de nous, d'Irak au Liban, en passant par le Yémen et Gaza », souligne un haut responsable militaire israélien sous le couvert de l'anonymat. « En Syrie, les Iraniens tentent de créer un Hezbollah II », ajoute-t-il en référence au mouvement islamiste armé, créé par les Gardiens de la révolution en 1982 au lendemain de l'invasion israélienne du Liban, et qui domine aujourd'hui la vie politique libanaise au nom de la lutte contre l'État d'Israël.

L'ombre d'Israël derrière l'explosion d'un site nucléaire en Iran Régulièrement visés en Syrie, avec l'accord tacite de la Russie, pourtant alliée de l'Iran aux côtés de Bachar el-Assad, les Gardiens de la révolution ont jusqu'ici frappé par leur retenue, ne se contentant en guise de représailles que d'opérations en dehors des frontières israéliennes : des frappes de missiles contre des « centres stratégiques » israéliens situés dans le Kurdistan irakien en mars 2022, une attaque dans le Golfe persique contre un pétrolier appartenant à un homme d'affaires israélien en novembre de la même année ou une cyberattaque contre des installations hydrauliques de l'État hébreu en avril 2020. Un ancien ambassadeur israélien et sa femme, ainsi que des touristes de l'État hébreu ont également fait l'objet en juin 2022 d'une tentative d'enlèvement ou d'assassinat alors qu'ils se trouvaient en Turquie, mais celle-ci aurait été déjouée à la dernière minute par le Mossad, en collaboration avec les services turcs.

Doctrine « Octopus »

L'absence de riposte directe de Téhéran est en tout cas interprétée comme un signe de faiblesse à Tel-Aviv, qui a depuis étendu ses opérations au territoire iranien (Israël agissait jusqu'ici en Iran exclusivement pour saboter le programme nucléaire iranien et assassiner des scientifiques). Outre l'attaque contre une base de drones de Kermanchah en février 2022, Israël est ainsi fortement soupçonné d'être derrière le meurtre en mai 2022 à Téhéran de Sayyad Khodaï, un responsable des Gardiens de la révolution accusé de diriger une unité d'enlèvements et de meurtres de ressortissants israéliens à l'étranger.

Qui a assassiné le père du nucléaire iranien ? La nouvelle doctrine israélienne vis-à-vis de l'Iran a un nom : « Octopus » (Pieuvre), ainsi que l'a révélé en juin 2022 à l'hebdomadaire britannique The Economist l'ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett. « Nous ne jouons plus avec les tentacules, avec les [groupes armés] affiliés à l'Iran : nous avons créé une nouvelle équation en optant pour la tête », expliquait à l'époque l'ancien chef du gouvernement. « Naftali Bennett a opté pour un changement de stratégie car il a compris qu'il n'était pas suffisant de frapper le Hezbollah au Liban ou l'Iran en Syrie pour lui faire payer le prix de ses actions déstabilisatrices dans le monde », explique Ely Karmon, chercheur en problématique stratégique et en contre-terrorisme au centre interdisciplinaire de Herzliya, en Israël. « Le seul moyen de dissuader l'Iran d'agir à sa guise est de le frapper sur le territoire iranien, d'autant que le régime est très sensible aux menaces directes qui visent ses intérêts. »

Capacité nucléaire

Coutumier des diatribes contre la République islamique mais en réalité peu enclin à faire parler les armes contre l'Iran lorsqu'il est aux affaires, le nouveau Premier ministre Benyamin Netanyahou s'inscrit donc dans les pas de son prédécesseur en validant la première opération anti-iranienne de son mandat. Elle pourrait en entraîner d'autres, le régime étant actuellement lancé à pleine vitesse dans la course à l'obtention de la capacité nucléaire, sans que l'Europe ni les États-Unis ne puissent y faire obstacle.

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ISRAEL fait le travail que les bienpensant hypocrites Européens et USA  ne veulent pas faire car eux sont au milieu d'états islamiques belliqueux alors ils agissent contre des états islamiques qui veulent la disparition de l'état hébreu d'ISRAEL car ils se souviennent de l'aulocauste et la disparition des juifs durant la dernière mondiale à cause d'un dictateur et ses sbires d'une barbarie sans nom qui ont voulu les éliminer à l'échelle industrielle dans leurs camps de la mort et depuis 1948 et la création de l'état d'ISRAEL créé en Palestine par le partage de l'ex empire OTTOMAN en 1920 entre la FRANCE et surtout l'ANGLETRRE qui l'occupait ils ont chassé le britanniques par une résistance acharnée et repris en 1966 la partie est de JERUSALEM EST dont il ont fait leur capitale bien que multi confessionnelle de par son histoire ancienne et il se protège militairement avec leur armée efficace des agressions arabes qui les entoure en Cisjordanie palestinienne et surtout de la bande de GAZA et son HAMAS extrémiste anti israélien qui leur envoie des missile ou attentats divers!

L'IRAN  faisant partie de ses ennemis islamiques qui les détestent car voulant acquérir l'arme nucléaire et qu'ils ne sont pas loin d'y arriver à noter qu'ISRAEL possède l'arme nucléaire et s'en servirait surement car n'accepteraient plus d'être éliminés par des pays délibérément anti juif (car ils ont fini d'errer depuis de millénaires de l'histoire biblique !?)

Quand on voit en Europe occidentale et USA comment leurs dirigeants essaient de régler depuis 1 an le problème Ukrainien agressé militairement par ce dictateur RUSSE qui menace de frappe nucléaire on comprend mieux que ce petit pays Hébreu ISRAELIEN prenne sa défense en main car mieux servi par lui-même car la politique internationale est fluctuante de ses allies qui bavardent qui les aident bien sur financièrement en fournissant des armes de protection anti missiles mais n'intervenant pas mais eux subissent çà depuis + de 70 ans !?

Jdeclef 31/01/2023 17h11 LP

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Les régimes spéciaux sont des furoncles sur les fesses des Français qui développent une maladie l’inégalité avec les salariés du privé et les divisent entre eux ce qui arrangent nos dirigeants de tous bords (surtout que certains n’ont même pas le droit de faire grève ?)

 

Retraite : la disparition des régimes spéciaux validée en commission ?!

La commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale a validé ce lundi la disparition de la plupart des régimes spéciaux défendue par la majorité.

LES ENSEIGNANTS OU CERTAINS SERVICES PUBLICS SNCF PAR EXEMPLE SONT LES CHAMPIONS DE LA GREVE CHAQUE ANNEE AU POINT QUE L’ON DISE A L’INTERNATIONAL QUE LA FRANCE EST LE PAYS OU L’ON FAIT LE PLUS GREVE L’ASSIMILANT A NOTRE CULTURE DE PAYS LIBRE ET DEMOCRATIQUE CAR DROIT CONSTENTITIONNEL ?!

L'article 1er sur la disparition de la plupart des régimes spéciaux validé en commission, au bout de sept heures d'échanges : venus en nombre, les députés ont démarré lundi l'examen du très contesté projet de réforme des retraites. La plupart des régimes spéciaux existants, dont ceux de la RATP, des industries électriques et gazières et de la Banque de France, seront mis en extinction, prévoit le projet gouvernemental.

La majorité présidentielle a défendu un principe « d'équité entre régimes » tandis que la Nupes critiquait un « nivellement par le bas » et une « brutalité » envers les personnels concernés. « Venez aux piquets de grève » pour évaluer la pénibilité de ces métiers, a invité Danielle Simonnet (LFI). Ces élus de gauche ont cherché en vain à retarder cette disparition ou à préserver certains régimes.

7 000 amendements déposés

Le communiste Sébastien Jumel s'est attiré les foudres de nombreux collègues lors de la discussion sur le régime des industries électriques et gazières : « Si on vous coupe le jus 2-3 heures dans vos permanences, je ne veux pas vous entendre pleurer », a déclaré l'élu de Seine-Maritime. « Ne provoquez pas », lui a intimé la présidente de commission Fadila Khattabi (Renaissance), quand une autre macroniste lui reprochait de « chauffer à blanc l'opinion publique ».

Réforme des retraites : l'ultime combat de Berger et Martinez

Dans la matinée, le socialiste Arthur Delaporte avait d'emblée demandé des « jours supplémentaires » d'examen du projet de réforme, alors que quelque 7 000 amendements ont été déposés – dont 6 000 par la gauche et 1 200 irrecevables – et que la commission achèvera ses travaux mercredi soir. Mais 28 heures au total en commission, c'est « un temps considérable », avait rétorqué Mme Khattabi. Que le texte soit adopté ou non en commission, il sera examiné dans l'hémicycle à partir du 6 février, pour deux semaines.

« Chacun sait ce qui se passera, y compris en séance publique », a soufflé Charles de Courson (groupe Liot), en regrettant le vecteur choisi par l'exécutif, un projet de budget rectificatif de la Sécu. Le gouvernement pourra en effet transmettre le texte au Sénat au bout de ces deux semaines même si l'Assemblée ne l'a pas adopté. Au total, le Parlement dispose de 50 jours pour se prononcer.

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Sauf pour une majorité des Français qui ne sont pas encore assez pressurés dans les classes moyennes encore majoritaires retraités actuels y compris pour conserver leurs petits conforts qui deviennent étriqués ou on a  presque supprimé le vilain impôt sur le revenu prélevé à la source pour le remplacer par des multitudes de taxes indirectes indolore en plus de la TVA appliquée sur tout produit ou services !?

Les régimes spéciaux sont le symbole de l’inégalité corporatiste et étatique des salariés français qui organise leurs divisions notamment quand se déclenche des mouvements de protestations car pouvant bloquer les services publics contre les gouvernements de tous bords par les avantages qu'ont les fonctionnaires par rapport aux salariés du privé très appréciable ne serait-ce déjà que leur garantir un emploi pérenne et ne pas craindre d’être licencié à cause d'une entreprise qui décline ou fait faillite ajouté à bien d'autre très favorable qu'il serait trop long de nommer tant ils sont nombreux avec en plus des niches fiscales diverses si nombreuses que l'on ne peut compter ?!

La FRANCE et ses citoyens vivent dans un pays de donneurs de leçons de poignées de politiciens de tous bords qu'ils ont élu et réélu comme le président de notre V eme république et d'autres avant lui car on en a changé après notre révolution de 1789 et les empires Napoléoniens pour en revenir à nos républiques jusqu'à celle-ci devenue monarchique comme l'ancien régime qui nous colle aux basques dont on arrive pas à se débarrasser car bien plus ancien et culturel car millénaire comme notre religion et notre laïcité que ne nous protège pas!?

Les Français actuels sont devenus apathiques résignés en moutons près à être mangés par l'ogre étatique Français (fausse démocrature) et ils ont perdu depuis longtemps leurs libertés égalités et fraternité gouverné par un petit bourgeois pas de leur monde et ses gouvernements de pattes cassées de ministres serviles !?

La 1ere ministre intelligente fonctionnaire inféodée à son patron a essayé de faire comprendre cette réforme de plus par ces retraites à des Français ne l'ayant pas compris et ne voyant que ce qu'ils perdront ce qui est logique et humain chez nos concitoyens frondeurs par leur histoire ancienne qui subissent leurs dirigeants et faux monarques ils votent et revotent pour les mêmes car incurables tant pis pour eux car c'est de leur faute !?

Jdeclef 31/01/2023 11h45

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lundi 30 janvier 2023

Notre président chef des armées titre galvaudé car n’y connaissant rien en matière militaire a toujours beaucoup de mal à décider en procrastinateur incurable bavard donneur de leçons bienpensant fat de la diplomatie hypocrite internationale de petit four autour d’un thé n’est pas à la hauteur de la défense de notre pays dans notre monde instable !?

 

« Ce ne serait pas une bonne idée de livrer des chars Leclerc à l’Ukraine »

(C'est déjà une mauvaise idée de faire la ou les guerres dans notre monde !)

ENTRETIEN. Ancien officier commandant un escadron de chars Leclerc, Yann Boivin anime le blog Blablachars. Il a répondu aux questions du Point.

LA FRANCE EST MALHEUREUSEMENT SOUVENT EN RETARD EN POLITIQUE INTERNATIONALE ET PIRE EN MATIERE MILITAIRE A CAUSE DE NOS DIRIGEANTS QUI CROIENT TOUT SAVOIR ET VEULENT TOUJOURS DONNER DES LECONS CAR SE PRENANT POUR LES MEILLEURS CE QU’ILS NE SONT PAS HELAS POUR NOUS FRANÇAIS QUI LES ELISONS ET REELISONT ?!

L'Allemagne n'a pas affiché de volonté explicite et ferme de fournir des chars Leopard 2 à l'Ukraine et d'autoriser ses clients à les rétrocéder. De son côté, Emmanuel Macron ne se mouille pas en se contentant de la formule « rien n'est exclu » à propos de la livraison de chars Leclerc. Ancien officier commandant un escadron de chars Leclerc, Yann Boivin est une encyclopédie vivante des matériels blindés et anime le blog Blablachars. Il a répondu aux questions du Point.

Le Point : Nous nous étions rencontrés en 1997 au camp de Mourmelon [Un reportage publié par Le Point en juin 1997], lorsque vous étiez commandant de l'un des tout premiers escadrons de chars Leclerc. Où en était alors le Leclerc dans l'armée de terre ?

Yann Boivin : L'armée de terre disposait à cette époque de ses quatre premiers escadrons, tous affectés au 501e/503e régiment de chars de combat, commandé par le colonel Vincent Desportes et formé sur le modèle RC 80, avec 80 chars. Les chars n'étaient pas encore opérationnels, puisque nous préparions leur mise en service opérationnel intervenue en 1999. Nous en expérimentions les tactiques adaptées ainsi que les différentes possibilités de tir en liaison avec l'école de Cavalerie, les industriels et toutes les parties prenantes au programme.

Ukraine : la Pologne va demander à Berlin son accord pour livrer des chars Combien de chars l'armée de terre envisageait-elle d'acquérir à cette époque ?

Après avoir fixé la cible à 1 200 chars, celle-ci avait été réduite et nous en escomptions 800. Les commandes ont été passées en neuf tranches successives. Globalement, aucune évolution fondamentale n'a été introduite. Le Leclerc est demeuré quasiment tel quel depuis sa sortie. L'optronique et la conduite de tir sont inchangées, Seul le système d'Information Terminal (SIT) a été intégré aux engins existants. La rénovation de 100 exemplaires du char, le Leclerc XLR, commandée par la Direction générale de l'armement (DGA) fin décembre, à raison de 50 en 2021 et les suivants en décembre dernier, compte plusieurs innovations. Grâce à cette rénovation, le Leclerc sera doté des outils de combat collaboratif identiques à ceux des nouveaux véhicules du programme, comme le Jaguar.

À ce stade, la France n'a pas décidé de livrer des chars Leclerc à l'Ukraine. Sur le plan technique, notamment celui de sa maintenance, cette livraison serait-elle une bonne idée ?

Non, ce ne serait pas une bonne idée. Au plan strictement français, ce serait une décision particulièrement difficile, car il ne reste que 225 exemplaires en parc. Il peut en exister d'autres conservés sous cocon, mais sur cette question, les versions diffèrent : si d'éventuels anciens chars Leclerc étaient stockés, il est certain qu'ils auraient déjà été largement mis à contribution pour fournir des pièces aux chars en service. Il ne saurait être question de livrer plus que l'équipement d'un escadron, soit quatorze chars. Ceux-ci ne pèseraient pas dans le schéma global des opérations et ne seraient pas un apport efficace à l'armée ukrainienne. Trop de difficultés devraient être surmontées. Pour une si faible quantité, les défis logistiques seraient vraiment considérables. Sur le fond, les arguments contre l'envoi du Leclerc ne sont pas très différents de ceux qu'opposent les Américains à la livraison de leur M1 Abrams. Dans les deux cas, le « maintien en condition opérationnelle » (MCO) et la formation des équipages constituent des obstacles bien réels.

Ukraine : pourquoi la France ne livre pas ses chars Leclerc

Vous avez été officier de chars, notamment des AMX 30-B2 et des Leclerc, et savez donc ce qu'est la formation d'un équipage. Si on vous donnait aujourd'hui trois jeunes femmes ou hommes venant du monde civil pour former l'équipage d'un Leclerc, combien de temps de formation serait nécessaire avant qu'ils puissent combattre ?

Avec un engin fonctionnant parfaitement, le minimum minimorum, c'est six à huit mois de formation technique. Mais, pour que des personnes soient capables de faire la guerre dans leur char, je ne vois pas comment cela serait possible en moins de dix mois, voire un an.

Le char Leclerc a-t-il déjà tiré au combat depuis son entrée en service ?

À ma connaissance, non. Mais il a été déployé au Kosovo en 1999 et au Liban en 2007. En revanche les Leclerc émiriens ont été engagés au Yémen et ont donné entière satisfaction.

Vous n'avez pas manqué de l'écrire sur votre blog Blablachars, vous estimez que la meilleure solution pour aider les Ukrainiens consisterait à leur fournir une quantité cohérente et suffisante de chars Leopard 2. Pourquoi ?

Le Leopard 2 qui fait l'objet de l'attention générale est le seul char de combat existant en Europe en nombre suffisant pour être livrable à l'Ukraine. Les qualités de ce char – très bon engin au demeurant – sont moins concernées que sa présence dans une quinzaine d'armées européennes, dans des versions différentes. C'est donc une voie intéressante.

Les Polonais et d'autres ont livré des chars russes, capables de provoquer de gros dégâts chez les adversaires, comme le démontre cette année de guerre. Ne serait-il pas plus simple de poursuivre dans cette voie ?

Ces livraisons de chars d'origine russe se poursuivent, à partir des parcs abondants des anciens pays membres du Pacte de Varsovie. Beaucoup d'entre eux ont été rénovés par la société spécialisée tchèque Excalibur avant de partir pour l'Ukraine. Les Tchèques ont été les premiers à effectuer des livraisons, les Polonais et les Slovènes, la Hongrie ont suivi. L'Allemagne pratique une politique de substitution en acceptant de remplacer les matériels ainsi livrés par des Leopard neufs ou d'occasion. Tout récemment, Chypre s'est déclaré prêt à une telle substitution, en proposant de livrer à l'Ukraine des chars russes T-80 UD, qui sont des engins efficaces et connus des Ukrainiens. Mais ils souhaitent franchir un pas qualitatif et technologique avec des chars occidentaux.

Avant que ne survienne l'invasion de l'Ukraine, les opinions publiques – et les décideurs – ont souvent pensé que les chars de combat sont une arme dépassée. Qu'en pensez-vous ?

Depuis la fin de la Guerre froide, en 1989, les chars de combat ont été utilisés très souvent dans des conditions opérationnelles et au combat. Dans la première guerre du Golfe, en 1991, il y avait de nombreux chars, dont 40 AMX-30 B2 français, en Bosnie, les Danois avaient des chars, tout comme il y en avait en Somalie en 1993, en Afghanistan. Plus récemment en Syrie, au Yémen, les chars sont très présents.

Le gouvernement français a décidé de livrer des AMX-10 RC à l'Ukraine et les présente comme des « chars de combat légers ». Qu'en pensez-vous ?

Les chars légers existent dans de nombreux pays, qui ont pour point commun d'être chenillés. Les Philippines ont acquis l'année dernière des chars Sabrah basés sur un châssis développé par GDELS (General Dynamics European Land Systems) équipé d'une tourelle produite par Elbit Systems et armée d'un canon de 120 mm.

L'armée américaine a choisi de doter ses unités d'intervention du MPF (Mobile Protected Fire) armé d'un canon de 105 mm pour appuyer l'entrée en premier des unités d'infanterie, ainsi que vous le détaillez dans une note de blog.

Les Russes avaient développé le SDM1 Sprout équipé d'un canon de 125 mm. Le char léger existe, mais l'AMX-10 RC n'en est pas un. C'est un engin de reconnaissance à roues, c'est aussi simple que ça. L'Ukraine pourra les utiliser dans des missions de reconnaissance et d'appui comme l'Armée de terre le faisait au sein des régiments blindés de brigade d'infanterie, capable de fournir des feux aux fantassins, soit dans un régiment de reconnaissance de corps d'armée. Cette dernière conception est typiquement française : il s'agit du « renseignement par le feu ». Les engins de ce type engagent le combat pour mesurer les contours de l'ennemi. Mais surtout pas pour conduire des offensives contre des chars de bataille ! Ce n'est pas fait pour… et les résultats seraient désastreux !

La France a-t-elle eu raison d'abandonner les engins chenillés légers ?

En son temps, elle disposait d'un véhicule de transport de troupes à chenilles, l'AMX-10 P, armé d'un canon de 20 mm. Il a été retiré du service dans les années 2000. Après l'opération Daguet en Arabie saoudite, tous les engins français ont été conçus sur roues, pour être projetés facilement. Le Serval comme le Griffon et le Jaguar ont été conçus pour être embarqués dans un A400-M. On a donc « sacrifié » la composante blindée mécanisée, sur chenilles, et le seul engin de cette famille en dotation, le char Leclerc, ne dispose pas d'un engin chenillé pour l'accompagner. C'est un choix unique au monde !

Est-ce la raison pour laquelle vous paraissez partisan de l'achat sur étagère par la France de ce petit blindé suédois, le CV-90 ?

C'est un engin à la carrière longue, qui a beaucoup évolué et qui est à mes yeux ce qui se fait de mieux au monde dans cette catégorie des véhicules de combat d'infanterie. La Suède en livre d'ailleurs 50 à l'Ukraine, dans une version de base équipée d'un canon de 40 mm qui fera sans doute de l'effet.

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Si on n'en n'a pas assez il faut soit en construire plus a marche forcée ou laisser ceux que l'on possède rouiller dans nos entrepôts ou casernes qui nous restent et enfin ne pas faire comme notre président procrastiner tergiverser car déjà envoyer ce type de matériel prend déjà du temps de l'argent et de la logistique importante et plus on attend l'armée Russe reprend du terrain contre l'UKRAINE !?

Car si on en envoie c'est que nous serons encore plus effectivement entrés en guerre autrement que par procuration !

Là on voit la faiblesse de notre armée de terre suite au laxisme de nos dirigeants passés et présents depuis des décennies confirmant que nous sommes mal protégés par leur optimisme niais de dirigeants arrogants donneurs de leçons croyant à une paix éternelle d'après-guerre mondiale et guerre froide et devront subir les  crises internationales induites économiques et énergétiques suite à une guerre déclenchée par un dictateur dérangé nostalgique de son ex empire Russe et ex URSS qui veut raser l'UKRAINE !?

Car il ne faut pas que l'Europe unie ses alliés US et son OTAN épouvantail fasse un concours mortifère de ceux qui enverrons le plus d'armes de plus en plus puissante à l'UKRAINE alors que nos dirigeants ne sont pas capables ou ne veulent pas éliminer ce fou qui terrorise des civils innocents dans leurs villes ou villages qu'il pilonne avec l'aide de ses mercenaires sans foi ni loi Wagner associée à l'armée Russe !?

Car les menaces nucléaires de Poutine sont à double face pour le monde démocratique libre occidental et USA qui lui opposerait une force équivalente ce qui mettrait fin au monde civilisé instable que nous connaissons !?

Il est inconcevable depuis des décennies d'après guerres mondiales de ne pouvoir arrêter définitivement cet individu et se protéger efficacement d'autres de même acabit qui perdure dans notre monde instable !?

Car on se rend compte que nos dirigeants élus ne servent à rien pour protéger leurs peuples efficacement !?

Jdeclef 30/01/2023 14h36

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E. BORDE née en 1961 aura 62 ans en avril donc même si son gouvernement capote elle pourra la prendre sa retraite confortable elle est encore dans les clous !?

 

Réforme des retraites : la menace d’un gouvernement par la minorité !?

LES CARNETS DU DIMANCHE. Les opposants n’avaient que le parlementarisme à la bouche. Faute de s’imposer à l’Assemblée, ils s’en remettent aux sondages et à la rue.

MME LA 1ERE MINISTRE PEUT BIEN FAIRE LA MATAMORE ABSOLUE QUE CRAINT-ELLE COMME D’AUTRES DE SES PREDESCESSEURS QUI N’ONT FAIT QUE PASSER QUANT A MACRON IL EST LA JUSQU’EN 2027 IL CHANGERA DE PREMIER MINISTRE ET GOUVERNEMENT D’AILLEURS IL Y PENSAIT SUREMENT DEPUIS QUELQUE TEMPS ?!

QUELLE FUMISTERIE DEPLORABLE QUE CETTE POLITQUE POLITICIENNE DANS CETTE VEME REPUBLIQUE MONARCHIQUE AVEC SON ROITELET SANS COURONNE A QUI LES FRANCAIS ONT DONNE TROP DE POUVOIR !?

Regardons les choses en face : la réforme des retraites n'est pas seulement un tournant pour la pérennité de notre système par répartition, ni même pour la viabilité du fameux modèle social français ; dans cette bataille se jugera l'aptitude de notre pays à se réformer et, au-delà, sa capacité à admettre le fonctionnement d'une démocratie normale. Car oui, sur ces graves questions, le doute est permis. J'ai été frappé d'entendre cette semaine deux personnalités de la macronie, dont un ministre important, s'inquiéter des retombées politiques du combat qui s'engage plus encore que de son résultat. En clair : tous deux pensent que la réforme « peut passer » (et non pas « va passer », notez la nuance) mais qu'elle risque d'« aggraver le climat politique » – et il est déjà passablement « déréglé », comme dirait le Giec.

C'est ainsi que, huit mois après une réélection somme toute confortable (58,5 % des suffrages exprimés au second tour, rappelons-le), un président se retrouve accusé de brutaliser l'opinion parce qu'il souhaite faire adopter le seul point de son programme que tout le monde avait perçu. Et encore, il s'était engagé à reculer l'âge de départ à 65 ans ; il a baissé pavillon pour s'arrêter à 64 ans. Où est le coup de force ?

Le « travailler moins » a perdu au printemps

Les opposants à la réforme objectent – je le sais, j'en connais – que Macron n'a pas été élu sur son projet mais pour faire barrage à Marine Le Pen. C'est tenter de nous faire prendre des vessies politiciennes pour des lanternes constitutionnelles. Nul ne peut s'arroger le monopole de la vérité dans l'interprétation du vote, mais il est indéniable que Macron avait promis la réforme et qu'il a remporté l'élection ; il est donc fondé à passer de la promesse aux actes. Sa réforme n'est sûrement pas parfaite – qui le croit ? – mais elle est légitime.

À tous les prestidigitateurs qui font passer la minorité pour la majorité « On n'a pas su s'appuyer sur l'appel à la raison pour contrecarrer l'offensive des démagogues », se désolait le ministre cité plus haut. Il n'a sans doute pas tort. Observons néanmoins que les deux principaux adversaires de Macron au printemps tenaient un discours opposé au sien sur la question des retraites : Marine Le Pen prônait le statu quo sur l'âge légal de départ (62 ans) tout en rendant possible la retraite à 60 ans à taux plein pour ceux qui ont cotisé quarante ans ; Jean-Luc Mélenchon, lui, militait pour le retour de la retraite à 60 ans pour tous. Quoi que l'on pense de leurs arguments, nul ne peut soutenir que ce débat a été éludé durant la campagne présidentielle. Dès lors, peu importe la motivation individuelle de l'électeur ; ce qui est incontestable, c'est que le tenant du « travailler plus » a gagné, et que les tenants du « travailler moins » ont perdu.

De quelle « majorité » Mélenchon serait-il le nom ?

Je vais un peu plus loin : si la question des retraites est aussi primordiale pour leurs électeurs respectifs qu'ils cherchent à le faire croire (toujours cette prétention de parler au nom du « peuple »), pourquoi Mélenchon et Le Pen n'ont-ils pas su s'entendre entre les deux tours pour faire battre celui dont ils rejetaient le projet ? La réponse est simple, et ils la connaissent : oui, un grand nombre de Français refusent l'idée de travailler plus longtemps, mais, non, pas au point d'en faire le critère numéro un de leur vote – surtout quand l'alternative s'appelle Marine Le Pen. Au passage, rafraîchissons la mémoire au chef autoproclamé de la gauche radicalisée : son projet de retraite à 60 ans, même assorti d'autres promesses mirobolantes, n'a pas suffi à lui ouvrir les portes du second tour. Par quelle magie porterait-il aujourd'hui la voix de la majorité, fût-elle silencieuse ?

Ainsi arrive-t-on au cœur du problème : ce que les opposants à la réforme proposent (je devrais dire : tentent d'imposer) n'est rien d'autre que le gouvernement par la minorité. Passons rapidement sur le fait que tous les pays comparables à la France ont reculé l'âge de départ à la retraite à mesure que la vie s'allongeait, si bien que l'Allemagne a déjà voté la retraite à 67 ans – qui entrera en vigueur en 2029 – et que l'Italie et la Grèce, qui ne passent pas pour plus industrieuses que nous, l'appliquent déjà… Cela suffit à conclure que le bon sens n'est pas de réduire la quantité de travail dans un pays qui veut sortir de ses difficultés (sans vous assommer de chiffres, les experts estiment à 85 milliards d'euros par an le coût d'un retour à la retraite à 60 ans).

Âge, pension, … où la retraite est-elle la meilleure en Europe ?

Le Parlement fera sa loi

Le gouvernement Borne ayant présenté sa copie, c'est donc maintenant au Parlement de s'en saisir, et de trancher. En bonne logique, les tenants du parlementarisme, apôtres du grand rééquilibrage des pouvoirs et contempteurs du présidentialisme vertical devraient se réjouir : après les dernières législatives, ils triomphaient de voir Macron privé de majorité absolue à l'Assemblée nationale, juraient que désormais il devrait en rabattre, qu'enfin les oppositions auraient leur mot à dire… Seulement voilà, mélenchonistes et lepénistes enragent. Pourquoi ? Parce que ce qu'ils aiment dans le parlementarisme, ce n'est pas le rééquilibrage, c'est l'impuissance. Et là, patatras : la Première ministre ayant réussi (pour l'instant) à s'accorder avec les Républicains, dans la plus pure tradition des régimes parlementaires, une majorité de circonstance se dessine et c'est tous leurs rêves d'immobilisme qui s'envolent.

Bernard Accoyer : « Oui, la droite doit voter la réforme des retraites »

Si la droite, comme c'est probable, accepte de voter un texte qui ressemble à son propre programme, quel argument restera-t-il aux contestataires ? Ils réclamaient que le Parlement fasse la loi – au sens propre comme au sens figuré. Ce sera chose faite.

C'est pourquoi les adversaires de la réforme n'espèrent plus qu'en la rue, les syndicats et les sondages. La pluie d'enquêtes d'opinion déversée depuis quelques semaines est sûrement de nature à faire pousser la contestation, et inversement. Pas un jour sans qu'une chaîne d'info continue ne souligne « l'impopularité croissante de la réforme », souvent même en rapportant que le gouvernement considère avoir « perdu la bataille de l'opinion ». Rien de surprenant : il n'existe guère de pays où les citoyens applaudissent quand on les oblige à travailler davantage. Rien de catastrophique non plus : l'essentiel est que les députés et les sénateurs votent le texte, après l'avoir amendé et modifié. Les réformes difficiles ne se font pas contre le peuple, mais il arrive qu'elles se fassent malgré lui.

Toujours contestées, jamais abrogées

En 2003 (sous Chirac), en 2010 (sous Sarkozy), en 2014 (sous Hollande) et en 2019 (sous Macron, la fameuse retraite par points), aucune réforme n'a été populaire. Et seule la réforme Touraine (du nom de Marisol Touraine, ministre de François Hollande) ne s'est pas heurtée à un mouvement social – sans doute parce qu'elle émanait d'un gouvernement de gauche, mais Olivier Faure et les siens devraient se rappeler qu'elle consistait, déjà, à augmenter la durée de cotisation pour percevoir une retraite à taux plein, donc à reculer de facto l'âge de départ – cherchez l'erreur. En tout cas, malgré les contestations qu'elles ont soulevées, aucune de ces réformes n'a été abrogée par la suite ; au contraire, elles ont été prolongées et amplifiées.

À présent que le Parlement a la main, certains opposants font également de la durée du débat un sujet de polémique : en invoquant l'article 47.1 de la Constitution, le gouvernement chercherait à « censurer » les oppositions pour mieux « passer en force ». Outre que l'application de la règle n'est jamais un coup de force, et que la plupart des Français sont en droit de penser qu'on a largement assez débattu des retraites depuis trois ans, la présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet, a bien fait de rappeler que les neuf jours prévus pour l'examen du texte dépassent nettement le temps consacré en séance aux deux réformes précédentes : c'était soixante-cinq heures en 2010 pour la réforme Woerth, quarante-cinq heures en 2014 pour la réforme Touraine. Je ne me souviens pas que la gauche de l'époque ait dénoncé une forme d'oppression. Ainsi va la démocratie version Olivier Faure (il en était), on en voit l'application au sein du PS : pas besoin de longs débats quand on est d'accord avec lui ; la majorité doit gouverner… à condition que ce soit la sienne.

Post-scriptum à propos de la « grève forcée » à la mairie de Paris

Sur une idée de Fabien Roussel, le communiste qui aime la viande rouge, Anne Hidalgo a annoncé que l'hôtel de ville et son administration seraient fermés mardi en soutien aux opposants à la réforme des retraites. Les cantines scolaires et le service de l'état civil fonctionneront, a-t-elle promis, mais l'essentiel des agents seront dispensés de travail ce jour-là, ce qui revient à faire d'eux des grévistes forcés. À une différence près tout de même : eux seront payés, puisque l'arrêt de travail est décidé par la municipalité. Sans entrer dans de longues considérations sur les pouvoirs des maires, la neutralité des services publics et le respect du contribuable, je voudrais poser cette question à l'élue de la capitale, à qui il m'arrive de trouver de l'habileté et du courage : si Louis Alliot décidait urbi et orbi de fermer la mairie de Perpignan pendant une journée pour que ses employés municipaux puissent manifester contre la future loi sur l'immigration, quelle serait sa réaction ?

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Ces grèves répétitives en France sont l’ADN des Français qui sont divisés en travailleurs qui s'opposent par des différences importantes entre les salariés du privés et les fonctionnaires avec leurs multiples caisses de retraites sans oublier les professions dites libérales !

Étant donné que l'état ne peut et ne veut pas intervenir sur les salaires ce qui l'arrange bien en fait il renvoi à dos les salariés de toutes professions avec en plus les syndicats rarement unis pour soi-disant les défendre ou soutenir qui font indirectement de la mauvaise politique ce qui n'est pas leur rôle qui est de défendre et soutenir les salariés!

Moi comme d'autres qui ont travaillé longtemps ayant commencé jeune car mes parents voulaient que je travaille le plus tôt possible car semble-t-il je leur coutaient cher ce qui leur a permis de me prendre la moitié de ma 1ere paye comme pension car me logeant et me nourrissant habitant dans l'appartement familial j'ai accepté c'était l'habitude et la règle pour les jeunes de ma génération !

Quand on voulait sortir sa petite copine l'emmener au cinéma ou au resto c'est le garçon qui payait, pas la fille !

Revenons à ces grèves surtout dans les transports et services publics de fonctionnaires j’ai travaillé + 44 ans et j'ai eu ces fameuses annuités requises pour avoir une retraite complète à 65 ans car on y était habitué et faisions plus d'heures ramenées à 60 ans en 1981 et création des RTT après et pour la SNCF qui chaque année à la rentrée d'automne nous gratifiait de grèves au point que dans mon entreprise ont prévoyait à l'avance des organisations d'effectifs pour palier à celles-ci!?

Le seul mouvement de grève et manifestation dure qui a marché c'est en 1968 car elle a duré 1 mois et le gouvernement a cédé !

La liberté égalité fraternité n'existe plus seul l'argent roi du « quoi qu'il en coute » et le chacun pour soi individualiste attisé par un pouvoir monarchique qui divise pour régner sur un peuple râleur mais résigné car apathique  !?

jdeclef 30/01/2023 12h15

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dimanche 29 janvier 2023

MACRON/BORDE et CIE avait dit d’abord 65 ans 1ere erreur viscérale il ont commencé à reculer à 64 ans donc les FRANÇAIS et syndicats veulent plus de reculs donc et pour les mesures annexes et comme le peuple s’est beaucoup mobilisé avec l’union des syndicats il faut qu’ils confirment leurs oppositions le 31/01 contre cette reforme trop dure et contre MACRON qui l’a initié pour espérer le faire céder et si cela est le cas c’est la 1ere ministre fusible qui fera disjoncter son gouvernement !?

 

Retraites : l’État intransigeant sur le report de l’âge de départ à 64 ans

Sur France Info, Élisabeth Borne a affirmé dimanche que cette mesure contestée du projet de réforme des retraites « n’est plus négociable ».

SI E.BORDE VEUT JOUER A « MEREGRAND » FOUETARDE INTRANSIGEANTE ELLE RISQUE DE PERDRE BIEN PLUS GROS QUE SON PATRON MACRON !?

Le gouvernement se montre inflexible sur le sujet. Le report de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans, contesté par les syndicats et l'essentiel des oppositions, « n'est plus négociable », a affirmé Élisabeth Borne dimanche 29 janvier, à la veille du début de l'examen du projet en commission à l'Assemblée.

« Ça n'est plus négociable, la retraite à 64 ans et l'accélération [de l'allongement de la durée de cotisation, NDLR] de la réforme Touraine », a affirmé sur France Info la Première ministre. « C'est le compromis que nous avons proposé après avoir entendu les organisations patronales et syndicales, après avoir échangé avec les différents groupes parlementaires […] C'est nécessaire pour assurer l'équilibre du système. »

« Si on n'avait qu'un seul paramètre, alors ça ne serait pas quarante-trois ans de cotisation et 64 ans pour pouvoir partir à la retraite, ça pourrait être quarante-cinq ans de durée de cotisation, ce qui nous semble impossible de demander aux Français », plaide-t-elle dans cet entretien réalisé samedi, en marge d'un déplacement dans la circonscription du Calvados dont elle a été élue députée.

Quand la réforme des retraites vire au concours de bobards

Une meilleure utilisation des trimestres

La cheffe du gouvernement se montre ouverte, en revanche, à une discussion au Parlement sur une meilleure utilisation des trimestres « éducation » et « maternité » obtenus par les femmes au cours de leurs carrières. « Dès aujourd'hui, il y a beaucoup de femmes qui ne peuvent pas les utiliser à plein, on est en train d'analyser la situation de ces femmes qui […] pourraient ne pas les utiliser à plein demain, donc cette analyse est en cours », a-t-elle précisé.

Bernard Accoyer : « Oui, la droite doit voter la réforme des retraites »

Les députés s'emparent lundi en commission du très contesté projet de réforme des retraites pour un galop d'essai sur 7 000 amendements, sous l'œil des opposants qui organisent mardi un temps fort de mobilisation dans la rue.

Dans un entretien au Parisien samedi, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, dénonce « le profond mépris de la valeur travail » d'une partie de la gauche, qu'il accuse de chercher « à bordéliser le pays ».

Roussel accuse le gouvernement de « provocation »

Élisabeth Borne et le gouvernement font une « provocation » en affichant leur « intransigeance » à l'avant-veille de la mobilisation contre les retraites, a jugé dimanche le dirigeant communiste Fabien Roussel, visant les derniers propos de la Première ministre. « Ceux qui ont les positions les plus dures, les plus radicales, les plus intransigeantes aujourd'hui, ce sont ceux du gouvernement. […] La Première ministre a fait le choix du chaos social », a estimé le député du Nord invité de CNews, Europe 1 et Les Échos.

Coignard – Retraites : face à Macron, des frondeurs toujours moins discrets

« Elle fait le choix de l'affrontement dur, et moi je demande à la Première ministre de respecter la liberté des Français de dire non à cette réforme », a commenté Fabien Roussel. « Si le gouvernement s'entête, comme il le fait aujourd'hui, c'est vraiment une provocation à 48 heures de la manifestation », estime-t-il. Le candidat du PCF à la présidentielle 2022 appelle en réponse les Français « à se mobiliser et à montrer pendant une journée, tous – que l'on soit dirigeants d'entreprise, artisans, salariés, ouvriers, élus locaux –, une détermination sans faille, pacifique ».

« Ça peut craquer » : les états d'âme des macronistes sur les retraites

« Quels sont les outils, quels sont les moyens pour le peuple d'empêcher la mise en œuvre d'une réforme qu'ils ne veulent pas ? » a-t-il interrogé alors qu'il était interpellé sur les blocages de raffineries. « Ils ont en face une Première ministre bornée, un gouvernement dur, droit dans ses bottes à la Juppé, et qui dit : “Nous ne céderons pas” », a encore regretté Fabien Roussel.

Mme la maire illuminée de PARIS est à l’image de cette gauche caviar et ce PS ex parti gagnant devenu perdant avec ses querelles de chefs lamentable c’est d’autant plus déplorable car la capitale est le phare de la France avec sa tour EIFFEL qui brille de mille feux la nuit son symbole plus solide que ces dirigeants de tous bords !?

 

L’utopie urbaine d’Anne Hidalgo

Commerces, parcs, bureaux… La maire socialiste veut faire de Paris une « ville du quart d’heure ». Quel est donc ce projet qui plaît tant aux bobos ?

Mais on risque sa vie à PARIS en circulant à 2 roues, vélos, trottinettes, scooter, motos, roller etc… ?!

LA « BOBOISATION » DE NOTRE MONDE POLITIQUE FRANÇAIS ET SES PARTIS ET LEADERS RINGARDS POLITICIENS ET DIRIGEANTS BIEN PENSANT DONNEURS DE LECONS DE TOUS BORDS QU’ILS N’APPLIQUENT PAS À EUX-MÊMES AVEC LEURS GOUVERNEMENTS PLUS QUE MEDIOCRES DEPUIS CES DERNIERS QUINQUENNATS SONT DES BOULETS QU’ON TRAINE ET DES PLAIES QUI NE SE REFERMENT PAS !?

CAR LES FRANCAIS QUI VEULENT DU CHANGEMENT S’ENFERMENT DANS LEUR PASSE QUI LEUR COLLE A LA PEAU MAIS IL FAUT DU COURAGE POUR CHANGER ET ILS NE SEMBLENT PAS PRES CE QUI FAIT LE BONHEUR DE CEUX QUI NOUS GOUVERNENT SI MAL ET AUTRES ELUS POLITICIENS DIVERS ?!

Vous n'en pouvez plus de ces heures perdues dans les transports pour vous rendre au bureau, au supermarché, chez le médecin, au parc ou au cinéma ? Si oui, fermez les yeux et imaginez une ville dans laquelle ces lieux du quotidien se situeraient tous dans un rayon de quinze minutes, à pied ou à vélo, autour de votre domicile. Ouvrez maintenant les yeux : vous avez voyagé, le temps d'un songe, dans la « ville du quart d'heure ».

Cette utopie urbaine, qui séduit les milieux intellectuels, doit sa paternité à l'universitaire franco-colombien Carlos Moreno. Cet expert en ville a imaginé un concept pour rendre du « temps disponible » aux citadins, contribuer à la « sobriété énergétique » et à la « lutte contre le réchauffement climatique ». Son idée séduit aux quatre coins du monde. Milan, Dublin, Valence ou encore Ottawa se transforment. En France, c'est à Nantes et à Paris que l'hyperproximité fait des émules. Anne Hidalgo, maire PS de la capitale, a récemment rappelé dans une interview au Parisien avoir « travaillé sur la ville du quart d'heure », dont c'était d'ailleurs l'une des promesses de campagne aux municipales de 2020.

Quartier « tout-en-un »

Le modèle imaginé par Carlos Moreno défend une vision « polycentrique » de l'aménagement urbain. Fini, la ville découpée en zones, qu'elles soient résidentielles, commerciales ou destinées à l'activité de bureau. La ville du quart d'heure, c'est la ville dans laquelle chaque quartier répond à plusieurs besoins sociaux, à savoir se loger, produire, accéder aux soins, s'approvisionner, apprendre et s'épanouir.

Anne Hidalgo, la « reine maire » dans la tourmente

Comment ? Les municipalités activent deux leviers pour redessiner la ville. Soit-elle partent d'une feuille blanche : c'est le cas à Paris, où le nouveau quartier des Batignolles, situé sur d'anciennes friches de la SNCF, et qui a mis plus de 10 ans à sortir de terre, coche toutes les cases avec son parc, ses commerces, ses bureaux, ses logements… Soit les villes développent « un urbanisme à multiservice », comme on dit dans le jargon. Formulé autrement : elles proposent plusieurs services dans un seul et même lieu. Toujours à Paris, certaines cours d'école (lieu d'apprentissage) sont ouvertes au public le samedi et deviennent ainsi des parcs pour enfants (épanouissement).

Environ 1,3 million de personnes traversent chaque jour la capitale d’est en ouest pour aller travailler.

Les mauvaises langues diront que Paris était déjà une ville du quart d'heure avant même qu'Anne Hidalgo ne s'empare de ce concept très bobo. Piscines, épiceries, hôpitaux… La Gazette des communes, après avoir passé au crible la capitale en 2020, confirme cette intuition : « La forte densité de Paris en fait une ville très accessible et la ville du quart d'heure semble déjà là. » Il y a en revanche un point noir : la distance qui sépare les habitations des lieux de travail. « Environ 1,3 million de personnes traversent chaque jour la capitale d'est en ouest pour travailler », explique Carlos Moreno. L'histoire de la capitale fait que les bureaux se sont implantés dans l'ouest parisien, jusqu'à la Défense, et les logements, à l'inverse, plutôt à l'est. Entre ces deux extrémités, il n'y a pas un, mais trois quarts d'heure…

Inégalités sociales

Malgré ses vertus, la ville du quart d'heure fait débat. On reproche parfois à ce concept urbain de creuser les inégalités. Cela est vrai entre les adeptes du travail à distance et ceux dont le métier ne le permet pas. À Paris, les télétravailleurs, qui occupent bien souvent une profession dans le tertiaire supérieur, vivent à peu de chose près le rêve du quart d'heure, puisque débarrassés de certains trajets domicile-travail et déjà à proximité des équipements urbains. Ce n'est en revanche pas le cas des personnes obligées de se rendre chaque jour sur leur lieu de travail.

Anne Hidalgo, la maire climaticide

Une autre inégalité est financière. Les villes denses sont aussi des villes où l'immobilier est inaccessible pour les travailleurs modestes, comme les caissiers ou les agents du ménage. Le mètre carré parisien dépasse en moyenne les 10 000 euros ! Pour atténuer cette inégalité, et ainsi permettre aussi bien aux personnes modestes qu'aux personnes aisées d'habiter la ville du quart d'heure, Carlos Moreno plaide pour une part plus significative de « logements à vocation sociale ». Pour l'heure, c'est 25 % du parc parisien. Anne Hidalgo se fixe pour objectif d'atteindre 40 % de logements publics d'ici à 2035.

Cette mixité urbaine artificielle arrange surtout les urbains aisés, d'autant plus à l'heure des applications numériques qui livrent vos courses et votre plat préféré à domicile. C'est la troisième critique adressée à la ville du quart d'heure. « Les bobos ont besoin de domestiques. Ils ne les sollicitent plus avec une clochette, mais avec une application sur smartphone », grince le sociologue Julien Damon, qui dénonce une forme de « larbinat numérique ».

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A. HILDALGO est surement la plus mauvaise maire qu'est eu la capitale et une politicienne de cette gauche caviar bobo qui n'a fait qu'accumuler ces échecs depuis sa réélection par défaut grâce au Covid et le président qui a reporté les élections municipales en hésitant et tergiversant comme à son habitude et qui elle avait bénéficié de son élection après DELANOE facilement car étant son adjointe !

La conséquence c'est que PARIS est devenue une capitale siège de nos gouvernements très mal gérée sale mal entrevue insécuritaire avec une circulation automobile anarchique un manque de transport car insuffisant en privilégiant en plus les déplacements en vélos mais aussi inadaptés car n'ayant pas assez de pistes cyclables dédiées protégées sans compter les fameuses trottinettes dangereuses pour les piétons et leurs utilisateurs circulant de façon anarchique représentant bien l'indiscipline de nos concitoyens et Parisiens et habitants de la couronne de PARIS d'IDF ce qui a d’ailleurs décidé la maire à supprimer celles-ci en libre-service tout comme AUTO LIB qui devrait être remplacée par des voitures en libres services mais électriques car Mme HIDALGO de ce PS se dit écolo quand on voit la construction de la grande tour triangle inutile !?

Avec en plus l’impudence de cette politicienne médiocre qui a concouru à la présidence de la république avec un résultat si faible lanterne rouge !?

« Cerise sur ce gâteau » devenu immangeable la situation financière catastrophique de la ville qui devrait être sous tutelle de la préfecture mais qui ne l’est pas encore car peut-être parce que siège du gouvernement de notre monarque président ?!

Il faudrait que cette Dame « BOBO » à la tête qui enfle par son égo démesuré apprenne que l’on ne dirige pas la capitale de la France comme le pays mais grâce à des Parisiens qui votent aussi mal que tous les Français qui élisent leurs dirigeants et ne représentent pas la majorité des habitants d’IDF indirectement impliqués qui vont travailler à PARIS chaque jour ou quelque fois pour se distraire les week-end (ce qui devient plus difficile et hasardeux !?)

Jdeclef 29/01/2023 11h03

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samedi 28 janvier 2023

Ces guerres larvées avec des hauts et des bas violents et ses attentats dure depuis + de 60 ans et même indirectement depuis la création de l’état Hébreu d’ISRAEL sans en voir la fin par sa situation géographique comme une ile au milieu d’un océan arabe et sa capitale Jérusalem contestée par ceux-ci !?

 

Israël : deux blessés après une nouvelle attaque à Jérusalem

Au lendemain d’une fusillade qui a fait au moins 7 morts près d’une synagogue, 2 personnes ont été blessées par balle samedi à Jérusalem-Est.

HISTOIRE D’UNE GUERRE SANS FIN DE DEUX CULTURES RELIGIEUSES ET LEUR SYMBOLE EQUIVALENT QUI S’AFFRONTENT POUR JERUSALEM ?!

Vives tensions à Jérusalem. Deux personnes ont été blessées par balle samedi 28 janvier lors d'une attaque dans un quartier de Jérusalem-Est, a rapporté le Magen David Adom (MDA), équivalent israélien de la Croix-Rouge, au lendemain d'une fusillade ayant fait sept morts près d'une synagogue. « À 10 h 42, nous avons reçu un appel […] faisant état d'une attaque terroriste […], deux victimes sur les lieux », a indiqué le MDA dans un communiqué. L'attaque a eu lieu à Silwan, un quartier palestinien en bordure de la Vieille ville.

« Un homme de 23 ans dans un état grave et un autre de 47 ans dans un état de modéré à grave, avec des blessures par balle dans le haut du corps », a déclaré un porte-parole du MDA. « Nous étions vite sur les lieux et avons vu deux victimes d'une attaque armée », a déclaré dans un communiqué Fadi Dekidek, médecin au MDA.

Il a précisé que les victimes étaient « conscientes » et avaient été conduites à l'hôpital. La police a indiqué que le suspect avait été « neutralisé », sans préciser s'il était blessé ou mort. Dominique Moïsi : « Le mot d'apartheid appliqué à Israël est problématique »

42 arrestations après la fusillade de vendredi

En outre, quarante-deux personnes ont été arrêtées en vue d'être interrogées après l'attaque meurtrière perpétrée vendredi près d'une synagogue à Jérusalem-Est, a annoncé samedi la police israélienne. Vendredi soir, un Palestinien de 21 ans a tué par balle sept personnes près d'une synagogue à Jérusalem-Est pendant les prières du shabbat, avant d'être abattu à l'issue d'une course-poursuite.

Israël : comment Netanyahou prépare son retour

« La police a arrêté 42 suspects pour les interroger, certains font partie de la famille du terroriste », a indiqué la police dans un communiqué. D'autres personnes parmi les suspects arrêtés habitent son quartier à Jérusalem-Est, a-t-elle ajouté. Dans un communiqué séparé, la police a indiqué que les forces israéliennes avaient été placées en état de « plus haute alerte ».

Cette attaque, l'une des plus sanglantes à Jérusalem depuis des années, a été condamnée par l'ONU, les États-Unis, la France, la Turquie, la Jordanie ou encore les Émirats arabes unis.

« L'une des pires attaques » subies par Israël

La fusillade est survenue à Neve Yaakov, quartier de colonisation juive à Jérusalem-Est, partie de la Ville sainte annexée par Israël. Le chef de la police, Kobi Shabtai, a parlé de « l'une des pires attaques » subies par Israël ces dernières années.

Gérard Araud – Le conflit israélo-palestinien, un problème sans solution ?

Après l'attaque vendredi soir, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, avait promis « des mesures immédiates », sans plus de précisions, et a appelé les Israéliens à ne pas se faire justice par eux-mêmes mais à s'en remettre à l'armée et à la police. La fusillade est survenue au lendemain d'un raid de l'armée israélienne à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie occupée, qui a coûté la vie à neuf Palestiniens.

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Ces attentats ne sont que les suites d'une guerre sans fin historique et épouvantable pour les juifs israéliens et les arabes car elle dure depuis la nuit des temps mais surtout depuis 1948 et la création de l'état hébreu territoire que l'on a accordé sur le partage de l'ex empire Ottoman en 1920 entre la France et l'ANGLETERRE qui a récupéré cet état créé de toute pièce en Palestine à majorité arabe comme une ile au milieu d’une région arabisante et que les ISRAELIENS ont chassé pour leur indépendance en 1948  ce qui est le 1er épisode de vrai création de l'état actuel mais incomplet car Jérusalem en 1966 qu'ils ont déclaré comme leur capitale avait la zone est encore arabe jordanienne dans la zone est de la ville ce qui a déclenché la guerre des 6 jours et aidé par les européens notamment la France militairement avec des avions ou ils ont récupéré cette partie est de leur capitale auto proclamée rejetant les égyptiens qui leur était opposés militairement jusqu'à leur frontière à la mer rouge vers port SAID et aussi réservant une enclave palestinienne libre avec la bande de GAZA sur la méditerranée et en créant une zone à l'est de Jérusalem que l'on nomme cis Jordanie car séparée par le mer morte en face de la Jordanie ancien occupant de Jérusalem EST ou ils ont accordé l'implantation des colons israéliens qui s'y développent jusqu'à ce jour malgré les villages palestiniens arabes !

Donc ce contentieux territorial historique et religieux car Jérusalem est multi confessionnelle judéo chrétienne et islamique ou elles sont présentes depuis la nuit des temps perdure et le fait d'avoir déclaré JERUSALEM comme leur capitale les hébreu ont créé de fait un casus belli dont les 2 parties ne veulent pas en démordre avec en plus cette zone de CISJORDANIE ou les israéliens ont construit un mur gigantesque en béton tout le long de cette région pour empêcher les palestiniens de passer et qui aboutit à des guerres sans fin ponctuées d'attentats sans solution de paix à terme !?

Il faut aller en ISRAEL pour comprendre ce conflit territorial et biblique ubuesque et voire ce que peuvent produire des cultures religieuses différentes moyenâgeuses remontant à l’an mille de nos croisades européennes bien qu’étant au XXI eme siècle !?

Jdeclef 28/01/20223 12h37

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