dimanche 1 janvier 2023

Les Français lambda sont le meilleur public espéré par nos chefs d’états élus de tous bords à qui ils donnent trop de pouvoir depuis des lustres dans cette Vème république monarchique !?

 

Vœux de Macron : un discours prudent avant une rentrée agitée !?

À l’occasion de vœux pour 2023, Emmanuel Macron a prôné « l’impératif de l’unité de la nation », sans forcément fixer de cap clair pour son second mandat.

LES VŒUX AUSSI HYPOCRITES QUE LA DIPLOMATIE INTERNATIONALE UTILISEE PAR NOS CHEFS D’ETATS POUR FAIRE PASSER LEUR INUTILITE DANS UN MONDE INSTABLE QUI NE SE SOUCIE PAS DU BIEN DE LEURS PEUPLES QUI LES ONT ELUS POUR GERER LEURS PAYS ET LES PROTEGER CE QU’ILS FONT MAL DEPUIS DES DECENNIES NE PENSANT QU’A EUX !?

C’était le sujet sur lequel Emmanuel Macron était attendu, le dossier brûlant de cette rentrée 2023, l'un des rares thèmes politiques d'une allocution strictement codifiée : la réforme des retraites. S'exprimant devant une modeste bibliothèque du salon doré – cette pièce de l'Élysée lui tient lieu de bureau – le chef de l'État, qui n'avait pas évoqué la réforme des retraites depuis le 31 décembre 2019, s'est décidé ce samedi à remettre « la mère de toutes les batailles » en haut de la pile des priorités pour 2023… Sans prendre toutefois de grands risques.

Le président de la République, retiré pour quelques jours au fort de Brégançon, s'est rigoureusement gardé de dévoiler les grandes lignes de sa réforme ; la Première ministre, Élisabeth Borne, s'en chargera le mardi 10 janvier. Pas d'indice sur le report de l'âge légal de départ : 64 ou 65 ans, ni sur l'allongement de la durée de cotisation, point sur lequel Les Républicains (LR), avec lesquels la majorité espère faire passer le texte fin janvier, sont partout particulièrement attentifs. Le président a simplement rappelé ce que le candidat Macron mettait en avant lors de sa – brève – campagne pour sa réélection au printemps : « L'allongement de nos carrières de travail sera progressif il se fera par étapes sur près de dix ans. Il sera aussi juste en tenant compte des carrières longues, des carrières hachées et de la difficulté de certaines tâches de certains métiers. »

Dans la fabrique des vœux présidentiels

Les sixièmes vœux d'Emmanuel Macron ont été égrainés à « la cavalcade » – selon l'expression consacrée du locataire de l'Élysée – et placés sous le signe de la prudence. Aucune annonce dans cette allocution particulièrement longue (18 minutes 30, loin des 3 minutes 43 de Georges Pompidou), pas de phrase saillante ou d'inflexion notable. Avant une rentrée qui s'annonce agitée, riche d'incertitudes, le chef de l'État a voulu rassurer, appelant à plusieurs reprises les Français à « l'unité » afin de ne pas céder à « l'esprit de division ».

« Il fallait être honnête sans être trop audacieux, être franc sans arracher trop brusquement les Français aux douceurs des fêtes de fin d'année sur les sujets crispants », résumait, avant l'allocution, l'un de ses conseillers. Lequel souligne que l'un des enjeux de cette allocution était de ne pas céder aux « sinistroses » de cette fin d'année : absence de perspectives sur l'issue de la guerre russo-ukrainienne, hausse de l'inflation et, par conséquent, baisse du pouvoir d'achat, forte hausse de cas de Covid en Chine, où les restrictions ont été largement assouplies après une série de manifestations… Malgré cette accumulation de crises, « nous pourrons faire face », a insisté Emmanuel Macron.

« Unité de la nation »

Fidèle au « en même temps » qui lui est cher, le chef de l'État a consacré une bonne moitié de son intervention aux affaires intérieures, tout en se projetant à l'étranger. Ainsi Emmanuel Macron est-il, sans surprise, longuement revenu sur la guerre en Ukraine et ses conséquences pour la paix et la stabilité de l'Europe, cherchant à se positionner à la fois comme acteur et observateur d'une période de grands bouleversements. « Qui aurait imaginé à cet instant que, pensant sortir avec beaucoup de difficultés d'une épidémie planétaire nous aurions à affronter en quelques semaines d'inimaginables défis ? La guerre revenue sur le sol européen après l'agression russe jetant son dévolu sur l'Ukraine et sa démocratie, des dizaines, peut-être des centaines de milliers de morts, une crise énergétique une crise alimentaire menaçante, l'invocation des pires menaces y compris nucléaires ? », a-t-il développé, moins lyrique que d'ordinaire.

Hyperactif à l'international, Macron a-t-il un objectif caché ?

Emmanuel Macron a salué les efforts consentis par les Français – « des milliers d'entre vous ont fait œuvre de solidarité en accueillant dans nos villes et dans nos villages des réfugiés fuyant l'invasion russe » – avant d'adopter un ton plus solennel à la fin de son allocution, réassurant l'Ukraine du soutien sans faille de la France. « Mes chers compatriotes, je veux ici et ce soir en votre nom dire à nos amis ukrainiens que leur combat pour la défense de votre nation est héroïque et qu'il nous inspire. Durant l'année qui s'ouvre nous serons sans faillir à vos côtés », a promis le chef de l'État. Et de déclarer que « nous aiderons [les Ukrainiens] jusqu'à la victoire. »

Malgré ces réassurances et le ton « résolument optimiste » adopté, le président réélu a peiné à fixer un cap clair pour son second mandat. Six mois après sa réélection, le président, bousculé par la défaite des législatives, sans majorité absolue à l'Assemblée nationale, semble toujours à la recherche d'un « second souffle ». « Comment délivrer un message d'optimisme alors que le président est lui-même complètement dans le flou ? » s'interrogeait faussement un député Renaissance il y a quelques jours, dubitatif sur l'effet potentiel de ces vœux. Prôner « l'impératif de l'unité de la nation » est une chose. Être en mesure de la gouverner en est une autre…

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Un discours attendu sans couleur ni saveur déjà trop long par un panel de mesures à prendre ce qu'il ne fera pas étant donné son 1er quinquennat raté et le 2eme entamé de même mouture les Français pour ceux qui ont pris le temps de l'écouter (lui qui n'écoute personne et surtout pas les français) qui ne sait pas agir ni protéger la France et les Français qui l'ont réélu comme des naïfs incurables bon public qui vont continuer à râler et manifester celons leurs mauvaises habitudes pendant 4 ans car l’ayant réélu, car ne sachant plus choisir leurs dirigeants et politiciens de tous bords depuis + de 40 ans qui font le bonheur du monde politique Français et ses élus de tous bords !

Bonne année 2023 pour tous !

JDeclef 01/01/2022 13h05LP


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