Macron et
Scholz tentent d’afficher l’unité franco-allemande retrouvée !?
Les deux
dirigeants européens se retrouvent dimanche à Paris. Une cérémonie à la
Sorbonne et un conseil des ministres franco-allemand sont au programme.
LE PROBLEME ETANT QUE NOUS FRANÇAIS NOUS
DEPENDONS DE TELS DIRIGEANTS POUR NOUS DEFENDRE OU NOUS PROTEGER DES EPEES DE DAMOCLES
SUR NOS TETES ?!
Après l'étalage des différends, la tentative de relance… Emmanuel Macron
reçoit Olaf Scholz dimanche 22 janvier à Paris pour afficher une certaine
unité retrouvée, à l'occasion du 60e anniversaire solennel du traité
de réconciliation entre l'Allemagne et la France. Après une cérémonie à la
Sorbonne à 11 heures, le président français et le chancelier allemand
réuniront à la mi-journée à l'Élysée un conseil des ministres franco-allemand.
En octobre, ce rendez-vous annuel avait dû être reporté en raison de
dissensions sur une série de sujets clés, de l'énergie à la défense. Résultat,
la rencontre entre les deux premières puissances de l'Union européenne sera
cette fois scrutée de près pour déceler leur degré d'entente.
La date des retrouvailles est hautement symbolique et intervient soixante
ans jour pour jour après la signature du traité de l'Élysée par Charles de
Gaulle et Konrad Adenauer. Celui-ci « a marqué la fin de décennies, si ce
n'est de siècles, de rivalités féroces et de guerres sanglantes »,
écrivent les deux dirigeants dans une tribune publiée par le quotidien Frankfurter
Allgemeine Zeitung et LeJournal du dimanche.
Traité de
l'Élysée : les arrière-pensées de De Gaulle et Adenauer
Une Europe plus « souveraine »
Alors que la guerre a fait son retour sur le continent depuis onze mois,
Olaf Scholz et Emmanuel Macron ont affirmé leur volonté que « l'Europe
devienne encore davantage souveraine », en investissant plus dans la
défense et en se dotant « d'une stratégie de renforcement de la
compétitivité industrielle européenne ».
France-Allemagne :
un mythe plombé
La France met en garde contre une « désindustrialisation » si l'UE
ne riposte pas de manière musclée, avec un financement important, au plan
massif américain de subventions en matière d'énergies renouvelables,
l'Inflation Reduction Act (IRA). À l'unisson avec le Premier ministre
espagnol Pedro Sanchez jeudi à Barcelone, le président français espère rallier
le chancelier allemand à sa cause. Une source gouvernementale allemande prédit
« un accord », « même si les points de départ sont
différents ».
Entre la France et
l'Allemagne, une brouille à contretemps
Les deux voisins doivent également tenter de s'accorder sur les réformes
européennes pour endiguer l'envolée des prix de l'énergie liée notamment à la
guerre en Ukraine, et mettre en avant des projets communs en matière
d'innovation. Un billet de train destiné à favoriser les voyages des jeunes
entre les deux pays va par ailleurs être lancé.
La guerre en Ukraine au cœur des débats
En matière de défense, si le Système de combat aérien futur (Scaf) a fait
des progrès récemment, la défense antimissile reste une pierre
d'achoppement : Berlin promeut un projet de bouclier comprenant une
composante israélienne auquel veulent se joindre 14 pays européens,
alors que Paris travaille sur son propre système, avec l'Italie, au nom de
« l'autonomie stratégique » de l'Europe.
Comment terminer la
guerre d'Ukraine
Les deux dirigeants pourraient discuter de l'opportunité d'envoyer des chars
lourds à Kiev – qui bute sur les réticences de Berlin à livrer ses tanks
Leopard. « Soyons à l'initiative », a lancé samedi sur Twitter le
député du parti présidentiel français Benjamin Haddad, prônant l'envoi par la
France d'un « nombre limité de chars Leclerc pour créer une
dynamique ».
De quoi donner du grain à moudre aux observateurs qui raillaient la panne du
moteur franco-allemand, souvent jugé indispensable aux avancées de l'UE ?
À l'Élysée comme à la chancellerie, on se refuse en tout cas à dramatiser
la crise au sein du tandem.
Deux personnalités différentes
Une source diplomatique française relève que le gouvernement s'abstient
désormais de parler de « couple » franco-allemand, un terme dans un
registre trop affectif. « Ce n'est pas un amour romantique, mais une vraie
responsabilité politique », abonde-t-on de source diplomatique allemande.
C'est donc avec réalisme que les deux alliés abordent cette nouvelle phase,
même si un parfum d'incompréhension flotte entre eux depuis qu'Olaf Scholz a
succédé à Angela Merkel fin 2021, chacun s'agaçant des initiatives prises par
l'autre sans consultation préalable.
Michel Richard –
L'Allemagne n'est pas la fourmi que l'on croit
Le chancelier et le président affichent des tempéraments aux antipodes, qui
compliquent cette relation particulière où les liens personnels font souvent la
différence. « Pour les Allemands, Macron est un Français tel qu'ils les
imaginent, il parle énormément, aime le verbe », relève Maurice
Gourdault-Montagne, conseiller diplomatique de Jacques Chirac en 2002-2007.
« Scholz est à première vue un homme froid, c'est comme si cela lui
faisait de la peine de devoir parler, il réfléchit trois fois avant
d'agir », dit pour sa part Joachim Bitterlich, conseiller du chancelier
Helmut Kohl de 1987 à 1998.
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L'Allemagne n'est pas un allié si fiable que
cela déjà du temps de MERKEL (pro russe) par sa puissance au niveau économique
et industriel européen dans ce faux couple franco-allemand trop ancien n'étant
plus d'actualité sauf de façade depuis les derniers quinquennats français ou
nos derniers présidents devenus médiocres car sans amour propre elle avait
toujours le "NON" à la bouche pour les accords à obtenir avec la
France et autres des 27 membres de l'U.E.!?
L'épisode de livraison de chars léopard
allemand n'est qu'un exemple de caractère de la mentalité allemande par son
individualisme hypocrite de fausse diplomatie affirmé que bien de grands pays
libres ou totalitaires utilisent sans vergogne malgré les erreurs commises par
sa précédente chancelière après avoir mis ses œufs dans le même panier Russe
car étant elle-même née élevé et éduquée dans cette Allemagne ex RDA ce qui
avait laissé des traces indélébiles dans sa façon de gouverner mais qui n'avait
pas prévu semble-t-il la réaction de Poutine et son agression guerrière envers
L'Ukraine qui dure depuis 1 an !?
Et coïncidence cet épisode diplomatique intervient
60 ans après celui de CHARLES DE GAULLE ET KONRAD ADENAUER !?
Qu’ils nous excusent nos amis allemands : Mais
un certain de leur ancien chancelier dictateur (Hitler) avait aussi
signé des accords de non-agression divers qu’il a considéré après comme des
chiffons papiers lors de la 2eme guerre mondiale !?
Comme nous n’avons qu’un beau parleur de
président il ne faut pas attendre de miracle de sa part pour convaincre le
chancelier allemand qui a la mémoire courte sur l’histoire de son pays pas si
ancienne !?
Car les hommes sont d’incurables malades avec
leurs mémoires défaillantes et de leurs histoires mondiales qu’ils veulent oublier
!?
Jdeclef 22012023 14h54
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