Mémoires
de Harry : le prince devenu tueur à gages
CHRONIQUE. Par
ses confidences et ses révélations, le fils cadet de Charles III assassine
la monarchie. Depuis sa cage dorée, sait-il ce qu’il fait ?
IL A PEUT ETRE BESOIN D’UNE BONNE PSYCHOTERAPIE
CE SOI-DISANT PRINCE MAL DANS SA PEAU ?!
Qui est celui qu'on appelle encore « le prince Harry » le
sait-il seulement ? L'a-t-il jamais su, lui, l'une des stars les mieux
payées au monde, qui passe son temps à négocier des contrats juteux pour lancer
des marques de vêtements, de cosmétiques et de parfums, à gérer ses placements
immobiliers et ses comptes en banque faramineux et à donner des conférences
facturées chacune un million de dollars pour raconter son enfance de pauvre
« petit chose » du palais, tenu dans ses bras par une mère
mélancolique, et projeté, plus tard, par un frère aîné brutal et jaloux, sur la
gamelle du chien ?
Le pays où il est né et où il possède encore au moins un château et
plusieurs comptes en banque, sans compter les 10 à 15 millions
d'euros hérités de Lady Diana, ce Royaume-Uni dont Winston Churchill incarna la
fierté et l'esprit de résistance, et Elizabeth II, la dignité, est
l'un des pays occidentaux où une vieille aristocratie possède encore, comme les
nouveaux milliardaires du monde de la finance, de fabuleux domaines, tandis que
la pauvreté du peuple atteint des records. Mémoires du
prince Harry : le déballage consternant d'un « enfant gâté »
17 millions de sujets pauvres
Certes, le chômage n'est pas élevé outre-Manche : il touche seulement
3,6 % de la population. Car si la famille royale compte parmi les plus
fortunées du monde, les Britanniques sont loin de bénéficier des aides sociales
versées aux chômeurs et modestes salariés dans les autres pays européens.
En ce mois de janvier où toute l'Europe se précipite à Londres pour profiter
des soldes de pulls en cachemire et se faire photographier devant Buckingham
Palace en espérant apercevoir le roi Charles et son épouse Camilla,
17 millions des sujets de Sa Majesté, soit un quart de la population,
vivent en dessous du seuil de pauvreté. Trois millions d'enfants ne mangent pas
à leur faim. Et l'espérance de vie, notamment dans les zones qui furent naguère
industrielles, régresse.
Mais à 38 ans, comment Harry, qui n'a jamais appris la devise transmise
par la reine Victoria à son fils héritier de dix ans, le futur Édouard VII
– « Never
complain, never explain » –, comment ce jeune homme ignorant et gâté,
qui a certes connu la douleur de perdre une mère très aimée et de voir son
père amoureux d'une Camilla qu'il déteste, mais qui se complaît aujourd'hui à
faire l'inventaire de blessures d'amour-propre apparemment plus
cruelles encore à ses yeux, aurait-il pu le comprendre ?
Affreux destin, croit-il, qui n'a pas fait de lui un futur roi, élevé pour
porter sur ses minces épaules le sort de la monarchie et lui consacrer jusqu'à
la mort chacune de ses années, chaque heure de ses journées, mais simplement
une star mondiale, mise en scène par la presse « people » et dirigée
par sa femme. Terrible condamnation des dieux, que celle qui l'a
obligé à marcher deux pas derrière son frère aîné détesté le 19 septembre,
jour des funérailles de leur grand-mère à l'Abbaye de Westminster, et à voir
son épouse Meghan Markle décidément traitée en superstar mondiale capricieuse
plutôt qu'en princesse et future reine consort.
Entre Shakespeare
et la presse people
Alors, comme dans une tragi-comédie de Shakespeare, le prince meurtri se
venge. Et d'abord contre lui-même et contre sa femme et leurs deux jeunes
enfants, qui porteront toute leur vie le poids de son acte
parricide. Harry est-il conscient de la gravité de ses actes ? Non,
les dieux l'aveuglent et c'est le destin qui le conduit. Le destin ou la haine.
Il publie un livre, Le
Suppléant, publié dans vingt-cinq pays à plus d'un million
d'exemplaires – dont 200 000 seront placés ce mardi en
vitrine dans les librairies françaises.
Trois mois avant la cérémonie du couronnement de son père, dont on prévoyait
qu'elle serait, le 6 mai prochain, un nouveau grand moment d'unité
nationale et de gloire mondiale, le fils cadet porte un coup fatal à l'image de
Charles III et, à travers lui, de la royauté britannique. Et cela, au moment
où, découragés par l'état de leur pays et lassés du culte que portent
encore leurs parents à une famille royale réputée la plus riche du monde,
37 % des jeunes Britanniques de 18 à 34 ans se prononcent
pour l'abolition de la monarchie. Harry commence-t-il à ouvrir les yeux et
à prendre peur ? Après avoir répété à plusieurs reprises :
« Notre espoir était de servir la reine et l'Angleterre », il assure,
dans sa première interview TV, le 8 janvier, à propos de son livre :
« Je n'avais aucune intention de blesser ma famille ! »
« Never
complain, never explain » : la stratégie gagnante de William face à
HarryC'est l'histoire d'un prince manipulé. Il ne savait
pas qu'on avait fait de lui un tueur à gages. Il s'en aperçoit trop tard.
: celui qu'on appelle encore « le prince Harry » le sait-il
seulement ? L'a-t-il jamais su, lui, l'une des stars les mieux payées au
monde, qui passe son temps à négocier des contrats juteux pour lancer des
marques de vêtements, de cosmétiques et de parfums, à gérer ses placements
immobiliers et ses comptes en banque faramineux et à donner des
conférences facturées chacune un million de dollars pour raconter son enfance
de pauvre « petit chose » du palais, tenu dans ses bras par une mère
mélancolique, et projeté, plus tard, par un frère aîné brutal et jaloux, sur la
gamelle du chien ?
Le pays où il est né et où il possède encore au moins un château et
plusieurs comptes en banque, sans compter les 10 à 15 millions
d'euros hérités de Lady Diana, ce Royaume-Uni dont Winston Churchill incarna la
fierté et l'esprit de résistance, et Elizabeth II, la dignité, est
l'un des pays occidentaux où une vieille aristocratie possède encore, comme les
nouveaux milliardaires du monde de la finance, de fabuleux domaines, tandis que
la pauvreté du peuple atteint des records.Mémoires du
prince Harry : le déballage consternant d'un « enfant gâté »
17 millions de sujets pauvres
Certes, le chômage n'est pas élevé outre-Manche : il touche seulement
3,6 % de la population. Car si la famille royale compte parmi les plus
fortunées du monde, les Britanniques sont loin de bénéficier des aides sociales
versées aux chômeurs et modestes salariés dans les autres pays européens.
En ce mois de janvier où toute l'Europe se précipite à Londres pour profiter
des soldes de pulls en cachemire et se faire photographier devant Buckingham
Palace en espérant apercevoir le roi Charles et son épouse Camilla,
17 millions des sujets de Sa Majesté, soit un quart de la population,
vivent en dessous du seuil de pauvreté. Trois millions d'enfants ne mangent pas
à leur faim. Et l'espérance de vie, notamment dans les zones qui furent naguère
industrielles, régresse.
Mais à 38 ans, comment Harry, qui n'a jamais appris la devise transmise
par la reine Victoria à son fils héritier de dix ans, le futur Édouard VII
– « Never complain, never explain » –, comment ce jeune homme
ignorant et gâté, qui a certes connu la douleur de perdre une mère très
aimée et de voir son père amoureux d'une Camilla qu'il déteste, mais qui se
complaît aujourd'hui à faire l'inventaire de blessures d'amour-propre
apparemment plus cruelles encore à ses yeux, aurait-il pu le comprendre ?
Affreux destin, croit-il, qui n'a pas fait de lui un futur roi, élevé pour
porter sur ses minces épaules le sort de la monarchie et lui consacrer jusqu'à
la mort chacune de ses années, chaque heure de ses journées, mais simplement
une star mondiale, mise en scène par la presse « people » et dirigée
par sa femme. Terrible condamnation des dieux, que celle qui l'a
obligé à marcher deux pas derrière son frère aîné détesté le 19 septembre,
jour des funérailles de leur grand-mère à l'Abbaye de Westminster, et à voir
son épouse Meghan Markle décidément traitée en superstar mondiale capricieuse
plutôt qu'en princesse et future reine consort.
Entre Shakespeare
et la presse people
Alors, comme dans une tragi-comédie de Shakespeare, le prince meurtri se
venge. Et d'abord contre lui-même et contre sa femme et leurs deux jeunes
enfants, qui porteront toute leur vie le poids de son acte
parricide. Harry est-il conscient de la gravité de ses actes ? Non,
les dieux l'aveuglent et c'est le destin qui le conduit. Le destin ou la haine.
Il publie un livre, Le
Suppléant, publié dans vingt-cinq pays à plus d'un million
d'exemplaires – dont 200 000 seront placés ce mardi en
vitrine dans les librairies françaises.
Trois mois avant la cérémonie du couronnement de son père, dont on prévoyait
qu'elle serait, le 6 mai prochain, un nouveau grand moment d'unité
nationale et de gloire mondiale, le fils cadet porte un coup fatal à l'image de
Charles III et, à travers lui, de la royauté britannique. Et cela, au moment
où, découragés par l'état de leur pays et lassés du culte que portent
encore leurs parents à une famille royale réputée la plus riche du monde,
37 % des jeunes Britanniques de 18 à 34 ans se prononcent
pour l'abolition de la monarchie. Harry commence-t-il à ouvrir les yeux et
à prendre peur ? Après avoir répété à plusieurs reprises :
« Notre espoir était de servir la reine et l'Angleterre », il assure,
dans sa première interview TV, le 8 janvier, à propos de son livre :
« Je n'avais aucune intention de blesser ma famille ! »
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Ce Prince mal élevé qui fait la une des tabloïd anglais ou hebdos spécialisés en Angleterre et ailleurs dans le monde pour une clientèle paparazzi ou autres friands de scandales divers scabreux ne peut qu'intéresser qu'une partie d'un certain public bobo qui n'ont pas d'autres soucis que leurs plaisirs de caniveaux et surtout trop gâtés !
En plus ce personnage riche profite de la
mauvaise santé économique de cette ANGLETERRE divisée dans ce marasme économique
par ce brexit que beaucoup de britanniques du peuple regrettent et souffrent !
Il veut peut-être mettre à bas la MONARCHIE
anglaise alors que la reine Elisabeth II qui est décédée faisait encore la cohésion
du peuple doit se retourner dans sa tombe et ce même avant que son fils le roi
Charles III ne soit couronné !?
Ce prince est vraiment un triste sire c'est aux
Anglais eux-mêmes à lui signifier leur désapprobation en le rejetant de leur société
qu'il n'aime pas d'ailleurs il vit ailleurs qu'il y reste !?
L'ANGLETERRE pays jadis si puissant dans le
passé est tombé bien bas elle n'avait pas besoin de cela avec les crises que le
peuple subit et traverse actuellement !?
L’Angleterre devient une monarchie anachronique
de plus avec des princes qui ne la soutienne plus s'en va en lambeau à un très
mauvais moment avec son Commonwealth ex-empire colonial qui se désagrège en
plus !
jdeclef 10/01/2023 13h56
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