Coignard –
Vœux 2023 : les toutes petites transformations d’un président ?!
CHRONIQUE. Entre
les premiers vœux des deux quinquennats, peu de différences, si ce n’est la fin
de l’enthousiasme pour le président de la République…
QUI SE SENT MORVEUX CE MOUCHE MAIS CE PRESIDENT
FAT EST AU DESSUS DE CA IL N’EST PAS DU MEME MONDE DE LA PLEBE DES GENS DE PEU
DANS CETTE V EME REPUBLIQUE MONARCHIQUE ?!
Après ces longs vœux adressés par le chef de l'État depuis le fort de
Brégançon, dans un décor assez minimaliste – une bibliothèque des plus
quelconques –, comment ne pas céder à la tentation de revoir ceux de 2017, ses
premiers en tant que jeune président habité par le « nouveau
monde » ? L'atmosphère, alors, est plus solennelle : le bureau
de l'Élysée avec, au fond, les jardins à peine illuminés. Mais, surtout, il y a
la fraîcheur du débutant. Emmanuel Macron semble alors presque intimidé. Il ne
bafouille pas, mais « savonne » un peu, comme disent les
professionnels, dit « aussui » au lieu d'aussi, se trompe dans une
liaison. Au nom de l'authenticité, sûrement, ces petites imperfections n'exigent
pas de tourner à nouveau la séquence. Rien de tel en 2022. C'est maîtrisé, plus
« pro », mais moins spontané.
Même longueur, en revanche, dans les deux cas : près de
vingt minutes. Et, en 2017 déjà, il y en a un peu pour tout le
monde : agriculteurs, territoires ruraux, quartiers difficiles,
personnel de santé, outre-mer, indépendants, entrepreneurs, salariés,
fonctionnaires, militaires, policiers… Comme si n'oublier personne donnait une
force particulière au message.
Le travail est mis à l'honneur, dans les deux cas : « Il est au
cœur de notre société, je le défendrai sans relâche » (2017). « Il
nous faudra travailler davantage. […] C'est par notre travail et notre
engagement que nous bâtirons une société plus juste […], une nation productive
et écologique […], que nous restaurerons une société de la confiance »
(2022).
Vœux de Macron : un discours prudent avant une rentrée
agitée
Un discours de politique générale
La grande différence, en vérité, réside dans la conviction évidente qu'avait
le président il y a cinq ans de réformer le pays de la cave au
grenier, avec la description d'un grand dessein qui ne s'attarde guère sur les
détails. Le Macron du 31 décembre 2017, tout juste quadragénaire, assure
que « les transformations profondes se poursuivront avec la même
force ». « Je continuerai à faire ce pour quoi vous m'avez élu […],
assure-t-il, et toujours à la fin je ferai. » Pas une fois, cependant, la
question des retraites n'est évoquée, alors qu'il s'agit d'un des grands
engagements de campagne. Le jeune président fait un long plaidoyer pour l'Europe
et, peu visionnaire, parie que 2018 sera « l'année de la
cohésion sociale ». Les Gilets jaunes ne feront leur apparition que
quelques mois plus tard…
Dans la fabrique des vœux présidentiels
Cinq ans plus tard, la réforme des retraites est bien mentionnée, mais au
milieu d'un interminable catalogue qui ressemble un discours de campagne ou de
politique générale : l'épidémie de Covid, l'accueil des réfugiés, le
soutien à la croissance, les aides adaptées aux artisans boulangers, la hausse
des prix de l'énergie, la réduction de moitié des gaz à effet de serre pour
2030, la lutte contre l'évasion fiscale, la guerre en Ukraine, la loi sur
l'immigration, la réforme du lycée professionnel, la réindustrialisation, le
service national universel, le meilleur fonctionnement des services publics, la
protection de l'information, la loi sur les énergies renouvelables et celle à
venir sur le nucléaire, la laïcité, sans oublier la reconstruction de
Notre-Dame, la préparation des Jeux olympiques, la Coupe du monde de rugby, les
premières voitures électriques construites en France…
« Comme vous, je m'impatiente », dit le président ce
31 décembre 2022. Mais de quoi, en priorité ?
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Le président n'est qu'un pétard mouillé qui a
fait pschitt et a peut-être fait illusion en 2017 qui a fait croire à un
renouveau éphémère ayant profité par opportunisme de la défection de son prédécesseur
usé (une honte dans notre V eme république devenue monarchique !)
Et dont la mèche de son pétard crapouillot par
le début de son 2eme quinquennat s'est éteint malgré sa réélection par défaut
de Français lambda qui ne savaient pas depuis 40 ans pour qui voter ni choisir
un candidat pour le remplacer dans cette classe politique d'élus plus que médiocres
connus et usés trop attachés à leurs avantages divers ne pensant qu'à eux
n'ayant rien à faire de la France qu'ils regarderont sombrer et jusqu'en 2027 !
Français si malléables en fait qui ne sont pas
encore à l'abri des mauvaises surprises de 2023 en filigrane de son
gouvernement et de sa 1ere ministre inféodée et servile en bonne fonctionnaire
comme un animal de compagnie fidèle à son maitre !
Quel gâchis dans la lignée de nos présidents de
cette V eme république monarchique obsolète et usée que nous distille ce
président réélu par opportunisme si bavard avec ses discours alambiqués si bien
tournés et théâtraux digne la comédie française et ses classiques que peut de
Français comprennent car ayant perdu cette culture que l'on enseigne plus ou
mal dans notre éduction nationale (d'état) dont l'enseignement édulcoré par de
la mauvaise politique de tous bords selon les dirigeants ou gouvernements en
place !
Fait que nos enfants y vont car cette école est
obligatoire mais qui n'est plus même respectée comme ses professeurs par leurs élèves
et leurs parents ou chacun veut faire sa loi et régler ses comptes personnels
reflet de notre société !
Ce qui met la France au rang des pays marginaux
que le reste du monde n'écoute plus tout comme notre président bienpensant
donneur de leçon arrivé comme un cheveu sur une soupe aigre par opportunisme !
Surement le plus médiocre président désespérant
de cette V eme république gaullienne !
BONNE ANNEE 2023 ?!
Jdeclef 02/01/2022 11h35
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