mardi 10 janvier 2023

Il est plus que temps de se rendre compte des dangers divers qui sont aux portes de l’Europe occidentale de la France et partout dans le monde dont nos dirigeants et leurs gouvernements mettent si longtemps à vouloir s’en se rendre compte ne pensant qu’au coté économique en boutiquiers et leur finances de paniers percés alors qu’ils faut qu’ils protègent leurs peuples et leurs pays !?

 

Sécurité nationale : le courage s'impose !?

ÉDITO. La guerre en Ukraine, tournant géopolitique majeur, appelle une politique ambitieuse de défense. Contre les autocrates, nulle demi-mesure n’est permise.

TOUJOURS UN METRO DE RETARD NOTRE PRESIDENT « QUI COURE APRES SA QUEUE COMME UN CHIEN PERDU » ET DONC NOUS PROTEGE MAL ?!

L’année 2022 a marqué un changement d'ère stratégique. La guerre d'Ukraine a ouvert la grande confrontation des empires autoritaires avec les démocraties. Elle a ramené la guerre de haute intensité au cœur de l'Europe et fait renaître une menace existentielle de la Russie sur les nations du continent qui mêle chantage militaire – y compris nucléaire – et offensive hybride transformant le gaz, l'alimentation, les flux de migrants, l'information ou les partis populistes en armes de déstabilisation massive. Elle a fait exploser la conflictualité dans le monde, de Taïwan au Caucase en passant par l'Afrique, où la France a connu une amère défaite stratégique au Sahel.

L'Europe, qui croyait la paix perpétuelle et la guerre impossible depuis la chute de l'URSS, réalise que la paix est impossible et la guerre de retour. Une guerre qui mute. Le conflit ukrainien rappelle le caractère central de la dissuasion nucléaire tout en soulignant l'importance cruciale de la puissance de feu, des frappes en profondeur, des drones et de la défense antimissile, mais surtout des données qui permettent la gestion en temps réel du champ de bataille. Il souligne aussi l'évolution vers une guerre globale dont les populations civiles sont la première cible et où la résilience est clé. Enfin, a été mis en évidence le rôle irremplaçable des alliances, l'extraordinaire résistance de l'Ukraine étant impossible sans le soutien des États-Unis et de l'OTAN.

Gérard Araud – Le monde qui nous attend en 2023Dans un monde où la violence explose et sort de toutes les limites que l'on avait tenté de lui imposer, l'année 2022 a connu un rééquilibrage du rapport de force entre empires autoritaires et démocraties. La Chine est enfermée dans le désastre de la stratégie zéro Covid, dont la sortie non préparée se traduit par une flambée de l'épidémie et la mise à l'arrêt du pays. La Russie est durablement affaiblie par la débâcle de la guerre en Ukraine. L'Iran des mollahs fait face au soulèvement de la population contre le régime. Dans le même temps, les démocraties se sont réveillées. L'Allemagne et le Japon réarment. L'Union soutient l'Ukraine et se libère de la dépendance au gaz russe. Les États-Unis reviennent en Europe. L'Otan renaît de ses cendres autour de la défense collective et de la défense de l'avant contre la Russie.

Les démocraties n'ont pas encore perdu face aux tyrannies du XXIe siècle. Elles continuent de disposer de formidables ressources, mais il leur reste à démontrer leur volonté de défendre la liberté, leur capacité à endiguer la pression militaire des empires autoritaires et leur aptitude à se réformer. Leur réarmement constitue pour cela un test décisif, particulièrement pour la France et l'Europe, qui se trouvent en première ligne face à l'agression russe. Notre pays se trouve ainsi placé par la guerre d'Ukraine devant des remises en question radicales et doit désormais clarifier son positionnement, ses alliances et son modèle d'armée.

Complaisance envers Moscou

La revendication du statut de puissance d'équilibre n'a pas de sens dans un monde en guerre où les démocraties font l'objet d'une menace vitale de la part des empires autoritaires. Elle a conduit à multiplier les erreurs et les revers stratégiques, de la complaisance envers Moscou – réitérée par les déclarations d'Emmanuel Macron prétendant fonder la sortie de la guerre d'Ukraine sur la prise en compte des intérêts de sécurité de la Russie – jusqu'à la déroute africaine face aux djihadistes et à la Russie, en passant par la distance croissante avec les puissances du Sud global – dont témoigne la brouille absurde avec le Maroc.

Il est grand temps que la France, à l'image du général de Gaulle lors des crises de la guerre froide, réaffirme son engagement prioritaire au service de la défense de la démocratie. Ceci passe en premier lieu par une aide militaire importante à l'Ukraine, alors que la France reste très loin derrière les États-Unis, le Royaume-Uni, la Pologne, l'Allemagne et même l'Estonie.

C'est notre lâcheté qui pousse au crime Poutine et ErdoganLa guerre d'Ukraine a également montré qu'il n'existait pas d'alternative aux États-Unis pour assurer la sécurité du continent européen, ce qui a conduit nos partenaires européens à plébisciter l'Otan, avec pour symbole son élargissement à la Suède et la Finlande. Mais cette garantie est fragilisée par le dérèglement profond de la démocratie américaine et par la priorité stratégique que constitue l'endiguement de la Chine. L'objectif reste donc de constituer un pilier européen au sein de l'Alliance, notamment pour prendre en charge la lutte contre le djihadisme et être en situation d'agir de manière autonome en cas de nouvelle tentation isolationniste des États-Unis.

Mais ce projet est plus que jamais paralysé par la priorité que s'est donnée l'Allemagne de redevenir le premier partenaire de l'armée américaine et la principale plateforme de l'Otan sur le continent à l'horizon 2030, ainsi que par les déboires des programmes de coopération dans le domaine de l'armement. La construction d'un pilier européen de la défense ne doit être ni abandonnée ni survalorisée, ce qui invite notamment à renouer une coopération militaire étroite avec le Royaume-Uni en développant les accords de Lancaster House.

L'heure est à un véritable réarmement

Le défi principal réside dans l'évolution du modèle d'armée français, qui a été fondé après la guerre froide, en l'absence de menaces stratégiques directes, sur la préservation de la dissuasion nucléaire et la projection de forces dans le cadre de conflits asymétriques. Nos armées ne peuvent soutenir dans la durée un combat de haute intensité, ni apporter une aide significative à une démocratie qui serait agressée par un des empires autoritaires. L'heure n'est plus aux mesures correctives qui ont été engagées depuis 2015, mais à un véritable réarmement, qui suppose de redonner à nos forces le format, la puissance et la capacité à durer requis par le combat de haute intensité et la poursuite de la lutte contre le terrorisme islamiste. D'où la nécessité de réaligner les moyens avec les fins à l'occasion de la loi de programmation militaire pour les années 2024 à 2030, qui doit porter à terme l'effort de défense à 3 % du PIB.

L'armée française n'est pas prête pour un combat de « haute intensité » Enfin la guerre d'Ukraine, après l'épidémie de Covid, a souligné la faible résilience de la France en raison des déficiences de l'État dans l'anticipation et la gestion des crises comme dans le fonctionnement des services de base de la santé, de l'éducation, de l'énergie, des transports et de la sécurité, qui ne sont plus assurés. Dès lors que la sécurité est globale, le réarmement doit aussi être économique, politique et civique, avec pour condition une profonde réforme de l'État.

La guerre d'Ukraine constitue une révolution stratégique qui redessine durablement la géopolitique du monde. La France, si elle veut être en mesure de protéger sa population, son territoire et sa démocratie, doit en tirer toutes les conséquences. Il faut remettre en ordre de bataille non seulement les armées, mais aussi l'État et la nation. Aux armes, citoyens !

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La sécurité intérieure des Français dans leur vie quotidienne et la défense de notre pays menacée par des autocrates ou dictateurs belliqueux s'impose tout comme pour nos services de santé primordial en déconfiture (sans compter pleins d'autres sujets sociétaux dont la liste s'allonge !?)

En demandant à notre dirigeant actuel de cesser de bavarder en s'écoutant parler pour ne rien dire d'utile en donnant des leçons de bienpensant dont les Français ont des indigestions et enfin agir avec des mesures ou des reformes concrètes ( non fumeuses) à mettre immédiatement en route ( exemple pour le domaine santé ou il attend juin) pour enfin agir et concrétiser ces promesses de ce plan pour ce système malade comme d'autres ou il n'a rien fait pendant son 1er quinquennat tout comme ses prédécesseurs dont il a pris la suite !

Car il n'a plus l'excuse de la nouveauté de jeune président frais moulu opportuniste qui profité de la place vide par la défection de son prédécesseur qui ne voulait pas se représenter !

En se protégeant à titre d'excuse derrière les évènements de ces crises sanitaires COVID et vaccinations désordonnées qui ont été mal gérée et cette guerre Russo Ukrainienne ou il bavarde avec ce dictateur Russe seule chose qu'il sache faire ou il se ridiculise et la France avec et qui a abouti indirectement aux crises économiques inflationnistes énergétiques qui font souffrir les Français lambda et le monde occidental libre mais aussi ailleurs dans le monde entier ou l'insécurité monte en flèche en température de ce thermomètre international de leurs sociétés par la colère des peuples qui se sentent mal protégés par leurs dirigeants !

Notre président réélu jusqu'en 2027 par défaut par des Français perdus ne sachant plus choisir par leurs votes à cause d'une classe politique médiocre n'ont plus qu'à espérer qu'il dissolve l'assemblée ou passe la main s'il n'est pas capable de diriger le pays mais pétri d'orgueil comme d'autres avant lui ne le fera pas tant pis on a ce qu'on mérite !?

Jdeclef 10/01/2022 12h27

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