mardi 17 janvier 2023

C’est cela la vie d’une certaine jeunesse des banlieues de Paris et d’IDF et des habitants qui en subissent les conséquences et insécurité induites !

 

Val-de-Marne : un adolescent mortellement poignardé devant son lycée !?

Un jeune homme de 16 ans est décédé à deux pas du lycée Guillaume-Apollinaire de Thiais, après avoir été poignardé lors d’une bagarre.

L’état bienpensant hypocrite et les adultes responsables en principe de l’encadrement de ces jeunes baissent les bras en qualifiant ce type de faits divers par des mineurs de violences ordinaires car sans gardes fous des autorités dites régaliennes pour agir fermement !?

Le drame s'est produit devant le lycée Guillaume-Apollinaire à Thiais, dans le Val-de-Marne, lundi 16 janvier. Un adolescent de 16 ans a été mortellement poignardé dans la matinée lors d'une probable rixe entre bandes rivales. Un suspect du même âge a été interpellé peu après à son domicile de Choisy-le-Roi. Deux autres suspects, âgés de 15 et 16 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue plus tard dans la journée, a indiqué lundi soir le parquet de Créteil.

Les faits se sont déroulés entre 8 heures et 9 heures devant le lycée Guillaume-Apollinaire à Thiais, selon les premiers éléments de l'enquête en flagrance confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne, a précisé le parquet, confirmant une information de Valeurs actuelles. Le coup de couteau mortel a été porté au niveau du cœur de la victime. Présent également lors de l'agression, un autre lycéen de 16 ans a été blessé à la cuisse. Son pronostic vital n'est pas engagé, selon le parquet. Le scénario d'une rixe entre bandes de jeunes rivales est privilégié, ont précisé plusieurs sources proches de l'enquête.

Un premier suspect, originaire de Choisy-le-Roi, a été interpellé vers 10 heures à son domicile. Il est notamment connu de la justice « pour une série de faits de violences aggravées » qui lui valent une mise en examen dans une affaire distincte datant de 2021, a indiqué Stéphane Hardouin. Cet adolescent de 16 ans était placé sous contrôle judiciaire « avec interdiction de se rendre à Orly et à Thiais, sauf pour les besoins de sa scolarisation », a précisé le procureur. Il avait aussi déposé une plainte pour des violences subies en décembre 2022 lors d'une rixe près du lycée où a eu lieu l'agression de lundi.

« Face à l'insécurité, la législation est défaillante »

Des rivalités « historiques et d'actualité »

D'après les premiers témoignages, les agresseurs, entre cinq et dix, « étaient en situation de guet et attendaient » à proximité de l'établissement scolaire, a indiqué le procureur de la République de Créteil, Stéphane Hardouin, lors d'une conférence de presse. « Selon les témoins, les agresseurs auraient poursuivi les deux victimes sur quelques dizaines de mètres », a déclaré le procureur, précisant qu'un couteau avait été découvert à proximité.

« J'ai vu un groupe d'individus masqués, habillés en noir, qui marchaient rapidement près du lycée ce matin vers 8 h 10. Ils étaient une demi-douzaine », a témoigné auprès de l'Agence France-Presse Lila, 18 ans, en terminale STMG. « Ça arrive souvent les embrouilles entre Thiais et Choisy, ça fait quatre ans que je suis dans ce lycée et chaque année il y a quelque chose comme ça », a-t-elle ajouté.

Cette criminalité organisée qui menace (aussi) la République…

Selon la lycéenne, « il y a quelques mois il y a déjà eu une bagarre » devant l'établissement, où la sécurité avait été renforcée. « Depuis cette année, quand on sort de cours, l'administration et les surveillants nous demandent de partir rapidement et de ne pas traîner devant le lycée », explique-t-elle.

« Je suis traumatisée, je me mets à la place de cette maman. Elle est partie le matin en disant au revoir à son fils et elle ne le reverra jamais », a commenté Cosette, 47 ans, une mère d'élève venue à midi devant le lycée. Son fils était ami de la victime : « Il pleure à la maison, il est dans tous ses états. Il pleure, il n'arrive pas à manger. »

Délinquance des mineurs isolés : dépasser les postures idéologiques

Selon une autre source policière, les rivalités entre Choisy et Thiais « sont historiques et d'actualité ». Il y aurait eu « une rencontre » entre des groupes des deux villes le 20 décembre, puis, plus récemment, dans la nuit de vendredi à samedi. Quinze personnes, mais pas le suspect de l'agression de lundi, ont été interpellées au cours du week-end par la sûreté territoriale du Val-de-Marne, dont onze mineurs, au centre commercial de Thiais Village. Ces jeunes ont été arrêtés lors d'un attroupement armé, qui n'a pas fait de blessés.

Un plan interministériel pour lutter contre le phénomène de bandes

« C'est un événement dramatique qui choque tout le monde », a réagi le maire LR de Thiais, Richard Dell'Agnola. « Entre Choisy et Thiais, ce n'est pas une rivalité radicale qui provoque des affrontements chaque semaine ou chaque mois. Il n'y avait rien eu depuis plusieurs mois, mais il y avait une certaine tension depuis une dizaine de jours », a affirmé de son côté à l'Agence France-Presse le maire LR de Choisy-le-Roi, Tonino Panetta.

Phénomène de bandes – En immersion dans un « stage de citoyenneté » pour ados

« On est dans le cadre de rivalité de bandes, de telle ou telle ville, comme cela existe un peu partout en France pour laquelle tous les prétextes sont bons : une rivalité sur fond de drogues, une rivalité amoureuse, des questions de réputation », a ajouté l'élu. « Là, on ne connaît pas encore la cause mais aucune cause ne vaut qu'une personne soit poignardée », a-t-il poursuivi, en faisant part d'une « pensée pour les parents des victimes ».

Des rixes à Paris et en Île-de-France ont causé plusieurs décès de jeunes ces dernières années, notamment dans le département voisin de l'Essonne ou la capitale. En novembre, un jeune de 14 ans a été tué dans les Yvelines et un autre jeune poignardé à Paris lors de rixe entre bandes rivales. Le gouvernement a lancé en juin 2021 un plan interministériel pour lutter contre ce phénomène.

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Les départements d'IDF de la couronne de PARIS deviennent de plus en plus des zones que l'on appelait avant banlieues de PARIS et villes carrément devenues zones de non droit connues en plus ou il y a des bandes de très jeunes délinquants qui veulent régler leur compte pour souvent des problèmes de territoires voire de trafics divers ou il sèment le désordre en s'opposant violement allant jusqu'au meurtres à cout d'armes blanches et même dans certains quartiers de PARIS intramuros !

Mais comme notre état dit régalien et notre gouvernement avec sa justice inefficace de bienpensant donneurs de leçons hypocrites sans effet s'en désintéresse ( car ne voulant botter les culs) de cette jeune voyoucratie mineure déjà pas encadrée par leurs parents ou tuteurs ou même à l'école républicaine quand ils y vont car obligatoire qui n'encadre pas leur éducation et ne leur apprend rien d'utile pour devenir des adultes responsables surtout quand déjà leurs parents ne le sont plus cela se termine par des faits divers sanglants allant jusqu'aux crimes de sangs gratuit pour montrer qu'ils sont les plus forts et pour les habitants de ces zones et quartiers populaires dit sensibles une insécurité quotidienne grandissante malgré des statistiques gouvernementales des ministères concernés qui se veulent en baisse ce que l'on veut faire croire ce qu'ils veulent comme une méthode Coué !?

Notre pays et nos dirigeants Président et sa 1ere ministre servile à celui-ci avec son gouvernement non aucun scrupule à cultiver une hypocrisie de façade sans amour propre pour souligner leurs incompétences !

Vive la FRANCE des gens de peu que le président dédaigne qui a autre chose à faire même si on se demande quoi à part bavarder en s'écoutant parler pour ne rien dire d'utile comme d’habitude !?

Jdeclef 17/01/2023 15h00LP

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