Val-de-Marne :
un adolescent mortellement poignardé devant son lycée !?
Un jeune
homme de 16 ans est décédé à deux pas du lycée Guillaume-Apollinaire de
Thiais, après avoir été poignardé lors d’une bagarre.
L’état bienpensant hypocrite et les adultes responsables
en principe de l’encadrement de ces jeunes baissent les bras en qualifiant ce
type de faits divers par des mineurs de violences ordinaires car sans gardes fous
des autorités dites régaliennes pour agir fermement !?
Le drame s'est produit devant le lycée Guillaume-Apollinaire à Thiais, dans
le Val-de-Marne, lundi 16 janvier. Un adolescent de 16 ans a été
mortellement poignardé dans la matinée lors d'une probable rixe entre
bandes rivales. Un suspect du même âge a été interpellé peu après à son
domicile de Choisy-le-Roi. Deux autres suspects, âgés de 15 et
16 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue plus tard dans la
journée, a indiqué lundi soir le parquet de Créteil.
Les faits se sont déroulés entre 8 heures et
9 heures devant le lycée Guillaume-Apollinaire à Thiais, selon les
premiers éléments de l'enquête en flagrance confiée à la police judiciaire du
Val-de-Marne, a précisé le parquet, confirmant une information de Valeurs
actuelles. Le coup de couteau mortel a été porté au niveau du cœur de
la victime. Présent également lors de l'agression, un autre lycéen de
16 ans a été blessé à la cuisse. Son pronostic vital n'est pas engagé,
selon le parquet. Le scénario d'une rixe entre bandes de jeunes rivales est
privilégié, ont précisé plusieurs sources proches de l'enquête.
Un premier suspect, originaire de Choisy-le-Roi, a été interpellé vers
10 heures à son domicile. Il est notamment connu de la justice
« pour une série de faits de violences aggravées » qui lui valent une
mise en examen dans une affaire distincte datant de 2021, a indiqué Stéphane
Hardouin. Cet adolescent de 16 ans était placé sous contrôle judiciaire
« avec interdiction de se rendre à Orly et à Thiais, sauf pour les besoins
de sa scolarisation », a précisé le procureur. Il avait aussi déposé
une plainte pour des violences subies en décembre 2022 lors d'une rixe
près du lycée où a eu lieu l'agression de lundi.
« Face
à l'insécurité, la législation est défaillante »
Des rivalités « historiques et d'actualité »
D'après les premiers témoignages, les agresseurs, entre cinq et dix,
« étaient en situation de guet et attendaient » à proximité de
l'établissement scolaire, a indiqué le procureur de la République de Créteil,
Stéphane Hardouin, lors d'une conférence de presse. « Selon les témoins,
les agresseurs auraient poursuivi les deux victimes sur quelques dizaines de
mètres », a déclaré le procureur, précisant qu'un couteau avait été
découvert à proximité.
« J'ai vu un groupe d'individus masqués, habillés en noir, qui
marchaient rapidement près du lycée ce matin vers 8 h 10. Ils étaient
une demi-douzaine », a témoigné auprès de l'Agence France-Presse Lila,
18 ans, en terminale STMG. « Ça arrive souvent les embrouilles entre
Thiais et Choisy, ça fait quatre ans que je suis dans ce lycée et chaque année
il y a quelque chose comme ça », a-t-elle ajouté.
Cette
criminalité organisée qui menace (aussi) la République…
Selon la lycéenne, « il y a quelques mois il y a déjà eu une
bagarre » devant l'établissement, où la sécurité avait été renforcée.
« Depuis cette année, quand on sort de cours, l'administration et les
surveillants nous demandent de partir rapidement et de ne pas traîner devant le
lycée », explique-t-elle.
« Je suis traumatisée, je me mets à la place de cette maman. Elle est
partie le matin en disant au revoir à son fils et elle ne le reverra
jamais », a commenté Cosette, 47 ans, une mère d'élève venue à midi
devant le lycée. Son fils était ami de la victime : « Il pleure à la
maison, il est dans tous ses états. Il pleure, il n'arrive pas à manger. »
Délinquance
des mineurs isolés : dépasser les postures idéologiques
Selon une autre source policière, les rivalités entre Choisy et Thiais
« sont historiques et d'actualité ». Il y aurait eu « une
rencontre » entre des groupes des deux villes le 20 décembre, puis,
plus récemment, dans la nuit de vendredi à samedi. Quinze personnes, mais pas
le suspect de l'agression de lundi, ont été interpellées au cours du week-end
par la sûreté territoriale du Val-de-Marne, dont onze mineurs, au centre
commercial de Thiais Village. Ces jeunes ont été arrêtés lors d'un attroupement
armé, qui n'a pas fait de blessés.
Un plan interministériel pour lutter contre le phénomène de bandes
« C'est un événement dramatique qui choque tout le monde », a
réagi le maire LR de Thiais, Richard Dell'Agnola.
« Entre Choisy et Thiais, ce n'est pas une rivalité radicale qui provoque
des affrontements chaque semaine ou chaque mois. Il n'y avait rien eu depuis
plusieurs mois, mais il y avait une certaine tension depuis une dizaine de
jours », a affirmé de son côté à l'Agence France-Presse le maire LR
de Choisy-le-Roi, Tonino Panetta.
Phénomène de
bandes – En immersion dans un « stage de citoyenneté » pour ados
« On est dans le cadre de rivalité de bandes, de telle ou telle ville,
comme cela existe un peu partout en France pour laquelle tous les prétextes
sont bons : une rivalité sur fond de drogues, une rivalité amoureuse, des
questions de réputation », a ajouté l'élu. « Là, on ne connaît pas
encore la cause mais aucune cause ne vaut qu'une personne soit
poignardée », a-t-il poursuivi, en faisant part d'une « pensée pour
les parents des victimes ».
Des rixes à Paris et en Île-de-France ont causé plusieurs décès de jeunes
ces dernières années, notamment dans le département voisin de l'Essonne ou la
capitale. En novembre, un jeune de 14 ans a été tué dans les Yvelines et
un autre jeune poignardé à Paris lors de rixe entre bandes rivales. Le
gouvernement a lancé en juin 2021 un plan interministériel pour lutter contre
ce phénomène.
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Les départements d'IDF de la couronne de PARIS
deviennent de plus en plus des zones que l'on appelait avant banlieues de PARIS
et villes carrément devenues zones de non droit connues en plus ou il y a des
bandes de très jeunes délinquants qui veulent régler leur compte pour souvent
des problèmes de territoires voire de trafics divers ou il sèment le désordre
en s'opposant violement allant jusqu'au meurtres à cout d'armes blanches et même
dans certains quartiers de PARIS intramuros !
Mais comme notre état dit régalien et notre
gouvernement avec sa justice inefficace de bienpensant donneurs de leçons
hypocrites sans effet s'en désintéresse ( car ne voulant botter les culs) de
cette jeune voyoucratie mineure déjà pas encadrée par leurs parents ou tuteurs
ou même à l'école républicaine quand ils y vont car obligatoire qui n'encadre
pas leur éducation et ne leur apprend rien d'utile pour devenir des adultes
responsables surtout quand déjà leurs parents ne le sont plus cela se termine
par des faits divers sanglants allant jusqu'aux crimes de sangs gratuit pour
montrer qu'ils sont les plus forts et pour les habitants de ces zones et
quartiers populaires dit sensibles une insécurité quotidienne grandissante
malgré des statistiques gouvernementales des ministères concernés qui se
veulent en baisse ce que l'on veut faire croire ce qu'ils veulent comme une méthode
Coué !?
Notre pays et nos dirigeants Président et sa
1ere ministre servile à celui-ci avec son gouvernement non aucun scrupule à cultiver
une hypocrisie de façade sans amour propre pour souligner leurs incompétences !
Vive la FRANCE des gens de peu que le président
dédaigne qui a autre chose à faire même si on se demande quoi à part bavarder
en s'écoutant parler pour ne rien dire d'utile comme d’habitude !?
Jdeclef 17/01/2023 15h00LP
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