dimanche 8 janvier 2023

Notre pays la France qui glisse lentement vers l’anarchie à cause de trublions de plus en plus nombreux qui veulent faire leurs lois dans notre Vème république obsolète monarchique si mal gouvernée par des dirigeants imprévoyants depuis 40 ans !

 

Michel Richard – Des grèves profondément machiavéliques

CHRONIQUE. Elles ne visent pas à gêner, elles visent à nuire. Indifférentes au malheur. Les syndicats s’en accommodent. Ça promet pour la suite.

C’EST A CHACUN QUI SEMERA LE SOUK QUE CE SOIT DES POLITICIENS DE TOUS BORDS OU SIMPLEMENT DES FRANCAIS LAMBDA DANS NOTRE FRANCE QUI VA SI MAL ?!

D’une grève l'autre. Celle des contrôleurs de la SNCF a fait un tabac. À juste titre, elle est apparue comme le mètre étalon de la grève abusive, indécente, rompant avec ce que devrait être une solidarité nationale élémentaire. Bloquer des trains le week-end de Noël, priver quelque 200 000 voyageurs munis de tickets de la possibilité de rejoindre leurs familles ou leurs amis, ce n'était pas une grève, c'était une cruauté, sinon une perversité.

L'esprit de justice oblige à dire qu'une autre grève, celle de médecins libéraux qui ont fermé leurs cabinets entre Noël et le jour de l'an, mérite le même opprobre. C'est la même grève que celle des contrôleurs SNCF, le même abus de la grève, la même indifférence au malheur.

SNCF : pourquoi la grève nous met en colère

Pas de 200 000 Français restant sur les quais, ici, mais des milliers de malades privés de médecins ou engorgeant les services d'urgence pour ceux qui ont eu la chance de pouvoir y accéder. Et des morts qualifiées, par une étonnante litote, d'« inattendues ». Entre grippe, bronchiolite et Covid, c'était une semaine à ne plus savoir où donner de la tête, consulter, soigner, sauver. La pire.

Il y a un temps pour tout…

Il n'y a pas de bon moment pour faire une grève, s'est justifiée une porte-parole du collectif Médecins pour demain, à l'initiative du mouvement. Il n'y a pas de bon moment, certes, mais il y en a de pires. Comme si les pompiers posaient leurs lances quand flambe un immeuble, comme si les sauveteurs en mer ne sortaient pas dans la tempête. C'est le pire qui a été choisi et assumé par des médecins. Les malades ne leur disent pas merci. Mais pas non plus leurs confrères hospitaliers urgentistes, du Samu, ou les médecins libéraux heureusement majoritaires qui sont restés en poste, tous confrontés à une vague déferlante. Avec le salut d'Hippocrate !

Médecins pour demain n'est, certes, qu'un collectif de 16 000 membres recrutés sur les réseaux sociaux. Les deux grands syndicats de médecins, MG France et la CSMF, n'ont pas appelé à la grève mais ne s'en sont démarqués qu'avec une discrétion de pâquerette. Le milieu de la santé va mal et il s'en plaint, quoique largement responsable des maux dont il souffre, confronté à ses corporatismes et rétif à tout changement. On entend ses acteurs parler de la nécessité d'un « changement radical », d'une « remise à plat systémique » avec la même ardeur que des chœurs d'opéra claironnant « Marchons marchons » en faisant du sur-place.À  Les blouses blanches battent le pavé

Le manque criant de médecins est le fruit d'un numerus clausus de longue date réclamé en son temps par les syndicats médicaux. Lesquels syndicats ont œuvré pour la suppression des gardes et astreintes auxquelles restent seuls soumis pharmaciens et infirmiers, reportant tout sur les urgences hospitalières. Ils sont hostiles à toute contrainte pour pallier les déserts médicaux et hostiles à tout ce qui peut les concurrencer, par exemple aux infirmières en pratique avancée. Hôpitaux publics et privés continuent de se battre froid. La gouvernance des hôpitaux publics reste confisquée par des administrateurs sans que progressent des formules qui marchent, à l'exemple de Valenciennes ou des hôpitaux privés à but non lucratif.

Enfantillages de fin d'année

Ce résumé est évidemment caricatural et fait trop bon marché de ce qui marche et de l'engagement remarquable de cohortes de médecins, hospitaliers ou libéraux, d'infirmières et de paramédicaux. Rien n'est simple. Mais vouloir doubler la consultation de 25 à 50 euros et en faire l'étendard d'une grève indue de fin d'année, le tout sans contreparties, c'est un enfantillage irresponsable. Les conditions d'exercice du métier de médecin sont un vrai problème, pas vraiment les revenus des praticiens (91 670 euros en moyenne). On attend avec curiosité les réactions aux décisions annoncées vendredi par Emmanuel Macron.

Grève : les « Gilets jaunes » de la SNCF

P.S. : Pour l'attention portée au bien général, la palme revient à l'Éducation nationale ! On la croyait dédiée à l'éducation de nos enfants. Elle ne l'est pas moins à la sécurité routière. À ce titre, pour éviter de scabreux retours en masse le 1er janvier, elle a préféré sacrifier une journée de classe, le 2, pour diminuer les risques sur la route. Cette magnifique initiative a, certes, empoisonné des millions de parents qui, ayant eu l'inconscience de vouloir travailler dès le 2 janvier, se sont retrouvés avec leurs gosses sur les bras. Mais quoi ! La vie vaut bien quelques désagréments. On attend comment vont être gérés les retours des ponts (deux grands et six petits) de l'année 2023.

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Il est certain que le droit de grève est dévoyé et anachronique comme les syndicats et le corporatisme d'après guerres voire même le communisme parti marginal tissu de cette CGT et son leader MARTINEZ pré retraité qui a fait son temps devenu semeur de trouble faisant de la mauvaise politique politicienne bien que se disant syndicaliste donc pas politicien et talonné par ce syndicat SUD extrémiste !

Dont l'autre grand syndicat la CFDT lui a pris la 1ere place faisant indirectement aussi de la politique ce qui n'est pas leurs rôles mais pour ses syndicats ils n'ont plus beaucoup de pouvoir sur la masse des salariés car quand ils organisent des manifestations diverses de protestations de salarier ou français lambda ils n'arrivent plus à canaliser celles-ci par manque de services d'ordres qu'il organisaient correctement qui se termine immanquablement en heurts et échauffourées voire dégradations et vandalismes divers de trublions casseurs !

D’ailleurs la masse des Français n'hésitent plus à manifester souvent contre le pouvoir en place pour simplement protester contre ce qu'il décide sans avoir besoin de syndicats qui ne servent plus à rien quand on voit le peu d'adhérents de salariés à ceux-ci !

Toutefois le droit de grève inscrit ans notre constitution devrait être revu et dépoussiéré pour éviter d'être utilisé à tout bout de champs par des syndicats marginaux extrémistes qui les transforment en mauvaise politique jusqu'à bloquer le pays notamment les transports en commun par quelques poignées d'extrémistes qui ne font qu'empêcher ceux qui veulent aller à leur travail ou bien au moment des grands départs de congés ou de fêtes comme NOEL 2022 et autres déjà pollués par ses trublions !

Il faut revoir urgemment ce droit de grève anachronique pour le rendre utile mais en un vrai service minimum obligatoire et efficace plutôt que de punir ceux qui veulent travailler pour nourrir leurs familles car n'ayant pas le choix et ne pas être pris en otage par lâcheté !

Jdeclef  08/01/2022 12h41

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