Là c’est vraiment « pour qui sonne le glas » de ce vieux parti politique PS déjà moribond !?

 

Coignard – PS : combat de titans sur le « Titanic »

CHRONIQUE. Faure et Mayer-Rossignol, les deux candidats à la direction du parti, revendiquent la victoire… Attention, messieurs, l’iceberg se rapproche !

Les douze coups de minuit avaient largement sonné que les finalistes pour le poste de premier secrétaire du Parti socialiste revendiquaient tous les deux la victoire. Une victoire avec un tout petit « v » toutefois ! Le mouvement politique de François Mitterrand compte à peine plus de 40 000 adhérents, dont une grosse moitié seulement a daigné participer au premier tour du scrutin.

Le camp d'Olivier Faure, le sortant, assurait qu'il était reconduit par le scrutin, tandis que celui de son adversaire, le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, affirmait le contraire. À l'heure où le pays a vécu une journée de grèves et de manifestations importantes, cette guerre des boutons n'intéresse guère. Le seul enjeu concerne le degré d'appartenance à la Nupes, dont Faure est un des artisans et un fervent défenseur, tandis que Mayer-Rossignol se montre plus réservé. Il n'est ni pour ni contre, bien au contraire, pour reprendre la célèbre phrase de Coluche.

Élection du premier secrétaire : l'avenir incertain du PS

Si le nombre d'adhérents a fondu, la tradition, elle, est intacte. Les entourages des deux candidats s'accusent mutuellement de bourrer les urnes et de fausser les résultats dans les fédérations dont ils ont le contrôle.

Cette mauvaise ambiance rappelle fortement celle qui, en 2008, avait entouré le match serré entre Martine Aubry et Ségolène Royal. Quinze ans déjà ! La première l'avait emporté de 42 voix et la seconde avait contesté la régularité du scrutin. Mais à l'époque, plus de 137 000 suffrages s'étaient exprimés, et les deux adversaires avaient toutes les deux une notoriété et une envergure nationale qui font cruellement défaut aux compétiteurs de 2023.

Les rois de l'antiphrase

Ceux-ci se livrent sans retenue aux mêmes empoignades que par le passé, mais en modèle réduit. La mode de la « shrinkflation », qui conduit certaines marques à ne pas augmenter le prix mais à diminuer la quantité d'un produit, sévit donc aussi au PS. Les structures et les procédures de désignation, infiniment complexes, sont demeurées les mêmes qu'en 2006, quand le parti revendiquait 280 000 adhérents, un record, après une baisse spectaculaire de la cotisation de 50 à 20 euros. Le mouvement compte aujourd'hui sept fois moins d'adhérents, mais continue à jouer selon les mêmes règles, qui semblent assez éloignées d'un combat à la loyale.

Mayer-Rossignol : « Olivier Faure est incapable de garantir l'unité du parti »

Dans la nuit, Olivier Faure a revendiqué sa victoire dans un discours confus où il multipliait les antiphrases, évoquant « un vote clair » pour qu'il continue de diriger « cette grande formation politique » qui se situe « au cœur de la gauche ». Au même instant, son concurrent, lui, ne concédait rien : « Vous nous avez fait confiance en nous plaçant en tête du scrutin […]. En nous faisant confiance, vous envoyez un message très clair. » Une clarté bien obscure en vérité !

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Des TITANS ces politiciens médiocres c'est trop leur faire d'honneur a ces fossoyeurs d'un grand parti ce PS de gauche dite classique qui depuis le départ de son ex secrétaire charismatique F.HOLLANDE devenu par défaut président de la république qui n'a même pas été capable de se représenter en jetant l'éponge avant la fin de son quinquennat du jamais vu comme dégonflage pitoyable montrant le peu d'amour propre de nos présidents passés depuis + 30 ans !

Maintenant ce PS fait partie de cet agrégat de partis ringards y compris les vert écolos illuminés de cette NUPES invention de cet ex ministre PS MELENCHON et sa LFI extrême gauchiste empêcheur de tourner en rond semeur de désordre en bon vieux aboyeur de foire qui ne roule que pour lui malgré son Age de pré retraité dépassé mais la gérontocratie en matière d'élus  ne semble gêner personne il n'y a qu'à voir le Senat et ses sénateurs dont certains hors d'âges comme le cognac qu'ils boivent ou les cigares qu'ils fument!?

Pour le reste LR de cette droite classique malgré son nouveau président élu difficilement par les caciques de son parti malgré les divisions internes de son parti n'est guère en meilleure santé !?

Reste le RN extrême droite de M.LE PEN qui passe la main car usée elle aussi  au jeune BARDELLA nouveau président de son parti tout frais moulu faisant parti des meubles politique de ces partis si médiocres !

Ce qui démontre s'il le fallait que les Français soient bon public pour ceux qui votent encore mais si mal ne s'en rendant pas compte ou qu'ils s'en fichent simplement !?

Jdeclef 20012023 12h56

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