mercredi 11 janvier 2023

C’était écrit ces petites grèves systémiques à cause de ces reformes des retraites mais pas pour celle des régimes spéciaux une erreur de plus gouvernemental à mettre au débit du pouvoir en place !

 

Réforme des retraites : dans un front uni, les syndicats engagent la bataille !

Mardi 10 janvier, Élisabeth Borne a présenté son projet de réforme. De leurs côtés, les syndicats fourbissent leurs armes pour une première journée de grève.

RIEN DE NOUVEAU A CE QUI ÉTAIT ATTENDU SAUF L’AGE DE DEPART A 64 ANS AU LIEU DE 65 ANS PREVU INITIALEMENT PAR LE GOUVERNEMENT LE RESTE N’ETANT QUE DE L’HABILLAGE POUR ENTERINER CES REFORMES ?!

LES FRANÇAIS ONT ELU ET RELU UN GOUVERNEMENT MACRONIEN JUSQU’EN 2027 QU’ILS L’ASSUMENT ILS SUBIRONT INDIRECTEMENT LES GREVES ANNONCEES (PEUT ETRE MOINS SUIVIE CAR NE CONCERNANT PAS LES REGIMES SPECIAUX ET FONCTIONNAIRES !?)

Au lendemain de la présentation de la réforme des retraites, la bataille est lancée : les syndicats se préparent à mobiliser dès le 19 janvier, dans un front uni contre le report de l'âge légal à 64 ans. Deux ans ferme, pour tout le monde. Après trois mois d'atermoiements et de concertations, le gouvernement a rendu son verdict et confirmé la hausse attendue de l'âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans d'ici à 2030.

Moins que les 65 ans promis par Emmanuel Macron avant sa réélection. Mais assez pour « garantir l'équilibre » budgétaire à la fin de la décennie, tout en finançant « des mesures de justice », a assuré Élisabeth Borne. Des « avancées » sur l'emploi des séniors, les « carrières longues » et la prise en compte de la pénibilité, a défendu la Première ministre. Mais surtout une revalorisation des petites pensions, bientôt portées à 1 200 euros brut par mois pour une carrière complète.

Une mesure qui concernera non seulement les futurs retraités, mais aussi près de deux millions de retraités actuels. De quoi contenter la droite, clé d'une adoption de la réforme au Parlement. Le président des Républicains, Éric Ciotti, s'est d'ailleurs félicité de voir reprises « des demandes importantes » de son camp. Même satisfecit du patronat, qui ne paiera pas davantage de cotisations : le Medef a salué les « décisions pragmatiques et responsables » de l'exécutif.

Retraites : les Français face à une réforme hautement « inflammable »

Une réforme « brutale » pour les syndicats

L'accueil est sans surprise diamétralement opposé du côté des syndicats, qui ont dénoncé d'une même voix une réforme « brutale » et appelé à « une première journée de grèves et de manifestations » le 19 janvier. Une date censée « donner le départ d'une puissante mobilisation dans la durée », a souhaité le leader de la CFDT, Laurent Berger. L'ensemble des partis de gauche s'y est déjà rallié, y compris les Insoumis qui prévoient aussi une « marche pour les retraites » le 21 janvier à Paris.

L'affrontement débutera donc juste avant la présentation du projet de loi en conseil des ministres, le 23 janvier. Le gouvernement a choisi de passer par un budget rectificatif de la Sécurité sociale, imposant ainsi un examen du texte à marche forcée en vue d'une adoption définitive fin mars… Tout en se ménageant la possibilité de recourir au 49.3 en cas de blocage à l'Assemblée.

Le risque pourra venir des deux bords de l'hémicycle. À l'extrême droite, la cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, a juré de « faire barrage » à une réforme « injuste ». À gauche, La France insoumise fait planer la menace d'un déluge d'amendements contre ce que Jean-Luc Mélenchon a qualifié de « grave régression sociale ». « Madame Borne et monsieur Macron viennent, d'un trait de plume, d'abroger parfois quarante, cinquante ans de progrès social », a-t-il affirmé mardi lors d'une visite en Guyane.

Réforme des retraites : une aubaine pour l'emploi des séniors ?

Une mobilisation « massive » ?

Mais « ça ne se passera pas qu'à l'Assemblée », a prévenu le numéro un de la CGT, Philippe Martinez, lui aussi « déterminé à ce que ce projet de loi ne passe pas » et espérant « du monde dans les manifs et du monde en grève ». Certains secteurs cruciaux seront particulièrement scrutés, en premier lieu les transports et l'énergie, où l'extinction programmée des régimes spéciaux de la RATP et d'EDF pourrait faire des remous.

Les réactions sont moins prévisibles dans d'autres bastions comme la santé ou l'éducation. Pourtant, « qu'on soit dans le public ou dans le privé, tout le monde prend deux ans », a souligné le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot, qui veut également « mobiliser massivement ». Le nombre de participants à la journée du 19 sera décisif pour la suite du mouvement. Car si Élisabeth Borne a affirmé qu'elle « veut convaincre » du bien-fondé de sa réforme, ses opposants entendent d'abord se compter.

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Une bataille inutile pour des syndicats anachroniques et ses corporatismes vieillots d'autres temps datant d'après guerres qui appellent à la grève pour que leurs leaders nantis d'ailleurs, survivre qui se disent apolitique ce qui n'est pas le cas !

Pour les régimes spéciaux une ineptie inégalitaire insupportable à tous les salariés du privé et des Français en général ce gouvernement et son monarque sans couronne se dégonfle car craignant un blocage des services publics et heurts violents qui de toute façon auront lieu par une mauvaise habitude prise par certaines catégories de Français trublions casseurs black blocks vandales et autre voyoucratie anarchique !

Les grèves périodiques sont au point que chaque rentrée après les congés d'été sont programmées par ses trublions syndicalistes des services publics !

Elles sont dans l'ADN des Français et un droit souvent mal utilisé par des leaders syndicalistes qui ne font que de la mauvaise politique qui ne donne pas de résultat probant (sauf en 1968 insurrectionnel par les étudiants suivis des ouvriers mais d'une autre époque qui avait déstabilisé de GAULLE !)

Alors on va subir deux journées de grèves de manifestants surement pas assez pauvres car pouvant perdre des journées de salaires alors que certains en sont à l'euro près pour boucler leur budget déjà maigre pour survivre !?

Mais ils sont ambivalents en fustigeant le président qu'ils tiennent responsable mais l'ayant élu et surtout réélu alors qu'il se moque d'eux par ses discours creux en leur donnant des leçons de bienpensant hypocrite !

Les Français frondeurs ce qui remonte à leur histoire ancienne ne méritent que ce qu'ils votent ou choisissent dans notre démocratie qui s'effrite et diminue comme une peau de chagrin sans même s'en rendre compte dans cette V eme république monarchique obsolète usée et faite pour ceux qui nous gouvernent notamment nos présidents qui se prennent pour des monarques presque absolus depuis 40 ans !?

(Attention aux démocratures déjà présentes dans le monde !?)

Jdeclef 11/01/2023 11h26

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