dimanche 28 février 2021

Encore un fait divers de violence ordinaire sur fond de rassemblement de jeunes et délinquance !

 

Reims : un photojournaliste grièvement blessé au cours d’une agression

Une enquête a été ouverte après les faits survenus dans un quartier prioritaire de la ville, a indiqué le procureur de la République de Reims.

 

Samedi 27 février à Reims, un photojournaliste du quotidien régional L'Union, âgé de 65 ans, a été grièvement blessé, alors qu'il « semblait couvrir des regroupements de jeunes » dans le quartier prioritaire Croix Rouge, et une enquête est ouverte pour tentative de meurtre, a-t-on appris auprès de la préfecture et du parquet.

Aux alentours de 15 heures, « un journaliste du journal L'Union a été agressé et grièvement blessé dans des circonstances encore indéterminées, mais de manière volontaire. J'ai donc ouvert une enquête pour tentative de meurtre, confiée à la sûreté départementale », a indiqué à l'Agence France-Presse le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette. Le photographe « a été pris en charge par le Samu et transféré au CHU de Reims, avec un pronostic vital engagé », a-t-il précisé.

La police nationale est pleinement mobiliséeGérald Darmanin

« Il semblerait qu'il était présent pour des raisons professionnelles et qu'il semblait couvrir des regroupements de jeunes. Le reste des circonstances est encore inconnu et mérite d'être clarifié », a poursuivi le procureur. Aucune interpellation n'est intervenue à ce stade, a-t-il ajouté. Le journaliste « a été retrouvé au sol, aux alentours de 15 h 30 dans le quartier Croix Rouge, où il y avait manifestement un mouvement de jeunes. Les forces de l'ordre étaient sur place, avaient identifié des mouvements de jeunes, dont certains portaient des battes de base-ball, et des renforts avaient été appelés » pour sécuriser le quartier, a déclaré à l'Agence France-Presse le préfet de la Marne Pierre N'Gahane.

New York : angoisse dans le métro après une série d'attaques à l'arme blanche

Christian Lantenois, « était avec une consœur de la locale de Reims », alertée « d'un événement dans le quartier », qu'il a rejoint « avec une voiture floquée » du logo du journal, a expliqué à l'Agence France-Presse l'une des deux rédactrices en chef du journal, Géraldine Baehr-Pastor. « On ne sait pas s'il est sorti seul, ni si quelqu'un l'a sorti de la voiture », a précisé la co-rédactrice en chef Carole Lardot. La consœur a « seulement entendu une altercation », avant de retrouver le photographe.

« Le quartier reste un quartier sensible »

« L'entreprise condamne avec la plus grande fermeté cette agression. Rien ni personne n'entravera jamais notre volonté d'informer ni notre liberté d'agir », a réagi le directeur général du journal Daniel Picault, exprimant ses « pensées » pour la victime et ses proches. « Le quartier reste un quartier sensible. Il y a un an, juste avant le confinement, il y a eu deux séries d'affrontements entre les jeunes de ce quartier et d'un autre quartier. Redoutant ce type de problème, les policiers occupaient l'espace », a dit Pierre N'Gahane.

Les autorités n'ont pour le moment « pas d'informations précises sur ce qui s'est passé, s'il a reçu des coups ou un projectile. Mais il était au sol, saignait au niveau des oreilles », a-t-il déploré. « Mes pensées accompagnent le photojournaliste grièvement blessé dans le cadre de son travail à Reims. Solidarité avec la rédaction de L'Union-L'Ardennais et l'ensemble de la profession. La police nationale est pleinement mobilisée pour identifier et interpeller les auteurs », a tweeté samedi soir le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. La ministre de la Culture, Roselyne Bachelot s'est aussi émue d'une « lâche agression » dans un tweet, faisant part de la « solidarité » avec le photographe et sa rédaction. « Aujourd'hui, le seuil de l'inacceptable a été dépassé (…) Au-delà de l'ignominie d'un tel acte, je veux exprimer mon ras-le-bol devant ce ramassis de vauriens qui pourrissent la vie de nos quartiers » a de son côté déclaré sur Facebook le maire LR de Reims Arnaud Robinet.

Un photojournaliste à semble-t-il voulu photographier un rassemblement de jeunes possédant des battes de baseball pour semblant peut être vouloir en découdre ?!

Il n’a fait que son métier, mais pas sans risque avec ce type de délinquance qui n’a pas de limite dans un quartier sensible de REIMS !

Il a dû subir une agression violente d’individus de ce regroupement de jeunes qu’il devait gêner jusqu’à le laisser presque mort après sur le sol évacué par le Samu son pronostic vital engagé !?

Les forces de l’ordre étaient sur place mais attendait des renforts !

La police nationale est pleinement mobilisée selon Gérald Darmanin , mais cela ne suffit plus car ces délinquants deviennent des criminels et n’ont plus aucun respect de la vie humaine !

A croire que ces types d’incidents criminels de bandes de jeunes se multiplient car pas assez réprimés par une justice laxiste et inexistante et un code inadapté pour ce type de délinquance de jeunes voyous ou jeunes adultes car ne craignant pas les sanctions d’un état qui se dit régalien et qui en fait est gouverné par des bienpensant donneurs de leçons qui croient que l’on vit en France dans un pays de bisounours dont ils ne connaissent pas le peuple, comme notre président bourgeois, car pas de son monde  !

Qui se dérive vers une anarchie ou tout le monde, quel qu’il soit, veut faire sa loi et même avec violence sans respect des autres en cultivant le chacun pour soi !

Dû à un laisser-aller qui dure depuis plus de trente ans sous tous les gouvernements et dirigeants de tous bords !

Car notre pays régresse dans bien des domaines, l’insécurité et la justice en font partie avec d’autres problèmes !

Jdeclef 28/02/2021 14h26


Ce personnage aboyeur de foire de notre président est un inutile de plus Dans cette kyrielle de pseudos scientifiques émérites qui s'écoutent parler pour ne rien dire !

 

Le couvre-feu « fonctionne très bien », assure Jérôme Salomon

Le directeur général de la Santé estime que cette mesure « répond bien à la problématique des rassemblements privés » et « intéresse nos voisins » européens.

Si l'épidémie prend de l'ampleur ces dernières semaines dans de nombreux départements, les mesures en place semblent être efficaces. Le couvre-feu, par exemple, « fonctionne très bien », a ainsi estimé le directeur général de la Santé Jérôme Salomon, sans exclure pour autant « des mesures plus strictes » au niveau national en cas d'aggravation de l'épidémie de Covid, dans un entretien au Journal du dimanche. « La situation est évidemment très tendue », mais « le gouvernement a pris des mesures de freinage fortes en particulier avec le couvre-feu ».

Covid-19 : Nice sous tension

Cette mesure « répond bien à la problématique des rassemblements privés et intéresse d'ailleurs beaucoup nos voisins qui ont été surpris de ses effets », a poursuivi Jérôme Salomon, alors que le couvre-feu à 18 heures a été mis en place mi-janvier sur l'ensemble de la métropole. Quant au confinement local le week-end – inauguré samedi dans la région de Nice et autour de Dunkerque –, « nous allons étudier ce que donne (cette mesure), mais nous savons, au vu de l'exemple en Guyane que cela fonctionne », a poursuivi le DGS, estimant que « ce sont des mesures difficiles, mais (qui) ont un vrai impact ».

« Le variant britannique est majoritaire sur le territoire français »

Interrogé sur l'éventualité de mesures plus larges, Jérôme Salomon a estimé qu'outre des mesures possibles au niveau des départements, « des régions pourront aussi être concernées par des mesures plus strictes. Et si la situation s'aggrave vraiment, l'ensemble du territoire pourra être concerné ». « Le variant britannique est majoritaire sur le territoire français (53 % des cas selon les derniers résultats) », a relevé Jérôme Salomon. Pour autant, « on peut encore éviter le confinement si tout le monde se mobilise », a-t-il ajouté. « C'est l'arme absolue quand la courbe explose, mais c'est une arme très lourde », a-t-il insisté, évoquant un « dernier recours ».

Covid : le maire de Bordeaux plaide pour décaler le couvre-feu à 20 heures

À la veille de la rentrée scolaire dans plusieurs régions, dont l'Île-de-France, Jérôme Salomon a aussi affirmé que le protocole sanitaire « très strict » dans les établissements scolaires « fonctionne » et que « le déploiement massif des tests salivaires » allait encore le « renforcer ». En outre, il évalue une « immunité collective » (taux minimum de personnes immunisées pour qu'une épidémie s'éteigne) à 80 %. « Aujourd'hui, entre 15 et 20 % de la population française est immunisée et 5 % est vaccinée », a-t-il relevé.

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(« Un champion de la méthode Coué » ?!)

Pourtant, il a déjà dit tout et son contraire et continue à pérorer ne manquant pas d'air ni d'amour-propre comme certains politiciens élus de même acabit !

Et tout ce beau monde émarge au frais des contribuables en hauts fonctionnaires qui ne font que de parler plutôt au moins que de se taire dans cette clique macronienne !

Mais il ferait pareil avec un autre dirigeant, car ce sont des fonctionnaires bornés choisis par le pouvoir en place, payés pour cela (même si incompétent ou faisant des erreurs) on ne compte plus ces types de personnages serviles dans nos administrations kafkaïennes ou ministères divers, c'est le défaut de notre pays trop fonctionnarisé français et de cette V eme république et cela ne date pas d'hier de plus de 40 ans et ne s'améliore pas !

Et en terme de choix E.MACRON pour ses collaborateurs n'est pas doué !?

La France est le pays ou la cacophonie gouvernementale est de règle pour troubler le peuple des français lambda !

JDeclef 28/02/2021 12h56


150 gogos qui croyaient au père Noel et qui se sont fait piéger par notre Président donneur de leçons dont l'attitude de bien-pensant devient insupportable ...

 

« Nos mesures sont devenues des mesurettes » : clap de fin pour la Convention climat

Réunis en visio depuis vendredi, les 150 citoyens tirés au sort pour cet exercice de démocratie participative ont laissé transparaître leur déception.

L'heure du bilan. La Convention citoyenne pour le climat (CCC), voulue par Emmanuel Macron pour proposer des mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre, s'achève ce dimanche en jugeant leur mise en œuvre par le gouvernement, déjà très critiquée. Réunis en visio depuis vendredi, les 150 citoyens tirés au sort pour cet exercice de démocratie participative inédit en France ont laissé transparaître leur déception dans leurs premiers débats.

« On est venu nous chercher pour faire un travail, mais finalement, notre avis, je pense qu'ils n'en tiennent pas trop compte », a lancé Benoit (les citoyens sont désignés par leurs seuls prénoms), résumant un sentiment assez partagé.

Des ambitions revues à la baisse

Emmanuel Macron avait décidé de créer de la CCC au sortir de la crise des Gilets jaunes, née d'une taxe carbone sur les carburants perçue comme injuste. Sa mission : proposer des mesures permettant de « diminuer d'au moins 40 % (par rapport à 1990) les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 dans un esprit de justice sociale ». Démarrée en octobre 2019, la CCC a remis en juin, au terme d'un calendrier bouleversé par le Covid-19, 149 propositions au président de la République, qui en a rejeté 3 et s'était engagé à transmettre les autres « sans filtre ».

Audrey Pulvar : « La loi climat est une vaste blague »

Certaines ont trouvé place dans le plan de relance ou le budget, d'autres dans des décrets et une quarantaine dans le projet de loi climat et résilience, qui sera débattu à l'Assemblée fin mars. Le gouvernement comptabilise 75 mesures mises en œuvre et 71 en voie de l'être. Mais les militants écolos pointent du doigt les mesures écartées et des ambitions revues à la baisse pour beaucoup d'autres. Et le Haut-Conseil pour le climat critique le plan de relance, celui sur la rénovation énergétique des bâtiments et enfin la loi climat.

« Il y a beaucoup trop de rouge et de jaune » dans les tableaux présentés par l'organisation aux citoyens sur le devenir de leurs propositions, estimait un membre, en référence aux couleurs désignant des mesures pas appliquées ou modifiées. Pour une autre, Brigitte, « nos mesures sont devenues des mesurettes ». Beaucoup ont regretté l'influence des « lobbys », notamment économiques, pour faire retoquer ou amoindrir certaines propositions.

Continuer le combat

Les « citoyens » sont appelés à voter, sur une échelle de 0 à 10, sur la prise en compte de 47 « objectifs » et des 6 grands thèmes sur lesquels ils ont travaillé (consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir et gouvernance), puis dans l'après-midi à répondre – toujours par vote – à quatre questions plus générales, tirant le bilan de l'exercice. « Quelle est votre appréciation de la prise en compte par le gouvernement des propositions de la Convention ? » En quoi les mesures du gouvernement « permettent de s'approcher de l'objectif de diminuer d'au moins 40 % les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 dans un esprit de justice sociale » ? « Dans quelle mesure la CCC a été utile à la lutte contre le changement climatique en France ? » Les Conventions citoyennes peuvent-elles « améliorer la vie démocratique de notre pays » ?

Strauch-Bonart – Les conventions citoyennes ou la grande tromperie démocratique

Plusieurs intervenants ont regretté samedi qu'il ne puisse y avoir un texte de réponse commun, dont l'élaboration a été jugée trop compliquée à distance par le comité de gouvernance indépendant. « Je ne suis pas très content de répondre à une simple enquête de satisfaction », a ainsi lancé l'un d'eux, William, en proposant a minima une brève déclaration, sous forme de « serment » commun.

Mais une grande majorité a néanmoins estimé que l'expérience, démocratique et humaine, avait été un succès, affichant leur « fierté » du travail accompli et manifestant l'envie de continuer à porter la lutte contre le changement climatique, dans la société comme auprès des parlementaires pour qu'ils « améliorent » la prochaine loi climat. « J'aimerais dire qu'il faut garder espoir et continuer le combat », a ainsi lancé un des benjamins de la Convention, Jocelyn, « 18 ans dans deux semaines ».

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Et ce ne sont pas les premiers !?

C'est similaire au grand débat après l'affaire des gilets jaunes, qu'il a si mal géré qui a fait un flop retentissant !

Ou comme des promesses de modification de notre constitution ou l'accès à la proportionnelle dans les prochaines élections !?

Les français lambda sont les plus grands gogos qui font le bonheur des politiciens élus de tous bords, quand ils accèdent au pouvoir dans cette V eme république faite pour eux et encore plus, depuis les derniers quinquennats, car dirigées par des pseudo monarques sans couronne fait dans le même moule énarques ou autres issus de grandes écoles dignes de l’ancien régime !

Mais ce qui est bien pour eux, car quoi qu’ils fassent, ils ne risquent plus leur têtes,  devenus indéboulonnables ,car devenus élus par le peuple, depuis notre révolution qui est passée pour changer cela, et plus tard se transformer en empires et ensuite en républiques constitutionnelles actuelles, une manne pour ces politiciens devenus professionnels, ce qui est bien plus lucratif et protecteurs pour eux, mais le peuple lui subit toujours, malgré que l’on lui fait croire qu’il est souverain, beau mot seulement emprunté à l’ancien régime qui a peu de valeur pour les français « de peu » qui essaient de survivre pour certains !

Les crises sanitaires et économiques ont souligné cela et pire, si elles continuent...

Jdeclef 28/02/2021 11h40


Tout le monde sait que des confinements courts ou pas assez stricts ne sont qu'aléatoires comme les couvre-feux et que des pis-aller provisoires !

 

Michel Richard – Covid, c’est Philippe Douste-Blazy qu’il nous faut !

CHRONIQUE. Rien ne le décourage, aucune erreur ni aucune bévue. Il sait comment éradiquer le virus. Ce serait même tout simple. Trop fort !

 

Combien il est réconfortant de voir Philippe Douste-Blazy ne jamais baisser les bras, être sans relâche à l'initiative, ministre de la Santé un jour, ministre de la Santé toujours. Le Covid a besoin de lui, et lui du Covid, dirait-on, dans ce duel singulier qu'il n'a de cesse de mener contre le virus.

Bonne nouvelle : Philippe Douste-Blazy sait exactement ce qu'il faut faire pour lui tordre le cou. C'est si fort, par les temps qui courent, de savoir exactement ce qu'il faut faire qu'on en est rassuré. Merci à lui ! Bien sûr, on est d'accord avec lui pour constater que le semi-confinement dans lequel nous sommes est plutôt déprimant, qu'il a plein de défauts, qu'il est crispant tant on n'en voit pas le bout. En outre, la patience n'est pas notre fort dans l'attente du mal que feront les vaccins au virus et à ses variants.

Plan zéro Covid

C'est alors que Philippe Douste-Blazy dégaine son plan zéro Covid et l'offre en cadeau. « Je propose au président de la République d'éradiquer le virus », avance-t-il en toute modestie dans Le Journal du dimanche du 21 février. À l'entendre, c'est tout simple : il faut imposer aux Français un confinement de quatre semaines tout ce qu'il y a de plus strict. Après quoi, le moindre cas suspect révélé par des tests massifs serait tracé et isolé. Traqué, même, par une brigade de 15 000 personnes spécialement constituée pour veiller à sa mise en quarantaine obligatoire sous peine d'amendes. Si besoin est, les frontières seront fermées. « Alors, fanfaronne notre héros, la victoire sera totale et je m'engage personnellement en disant cela. » Trop fort, Douste !

On voit la logique de pareil dispositif, adopté d'ailleurs non sans résultats par plusieurs pays asiatiques. Mais on devine aussi le prix à payer pour cette extinction des feux de tout un pays sans être aucunement sûr, en bons Français réfractaires à trop de discipline que nous sommes, que le succès soit au rendez-vous. Mais le bon docteur Douste nous interdit le moindre doute. Il sait de quoi il parle. Il s'engage personnellement, c'est dire. Il est aussi sûr de lui, après tout, que tous les experts, même ceux qui se trompent. Notre homme est connu pour avoir de la ressource et une résilience peu commune au doute. Ses certitudes sont indexées sur une remarquable plasticité d'esprit, ce qui permet de jolies pirouettes qui nous enchantent.

Un jour, Douste-Blazy aura raison

Hier, conseiller de Didier Raoult à l'IHU Méditerranée, il ne jurait que par l'hydroxychloroquine, quoi que pussent dire de son inefficacité nombre de publications unanimes. « Si j'étais malade, je me ferais soigner par le Pr Raoult, moi et ma famille. » Un premier engagement personnel qui a malencontreusement fait flop. Hier encore, il préconisait un confinement soft, sans quoi l'économie se serait écroulée, qu'il dénonce aujourd'hui. Hier toujours, en octobre, tandis qu'une dizaine de vaccins étaient en phase 3 de développement, il disait : « Personnellement, j'ai de la peine à croire que l'on va trouver un vaccin assez facilement. » Une simple petite erreur de pronostic. Ne parlons même pas de son fourvoiement dans un documentaire complotiste dont il s'est platement excusé.

Quiriny – « Hold-Up », faux brûlot, vrai navet

On est épaté de pareille obstination à ne se laisser décourager par aucune erreur et de la si belle assurance qui est la sienne. Il adviendra bien un jour où Philippe Douste-Blazy aura raison. Nous rougirions, alors, de l'avoir sous-estimé. En attendant, ce prophète aux convictions successives, mais toujours simples et si entraînantes nous empêche de désespérer. Dans son sillage, la mairie de Paris nous fait miroiter la fin de tous nos malheurs moyennant seulement trois petites semaines de confinement. Hop, hop, hop, trois petits tours et c'est open-bar, restau et salles de sport pour tout le monde ! Qui dit mieux ? Quelle enchère mieux-disante ? Quelle perspective plus miraculeuse ? Finalement, non, il s'avère qu'Anne Hidalgo s'est laissée aller, probablement pour nous faire rire. Douste-Blazy est contagieux. Il nous en faudrait beaucoup d'autres comme lui, on n'en a jamais assez. Et pourtant, ne nous plaignons pas, il y en a déjà pas mal sur nos écrans.

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Pour cet ex-ministre (politicien) de la santé mis sur la touche, ce qu'il propose a été déjà mis en œuvre en ASIE et notamment en Chine qui nous a envoyé cette Covid 19 et ses dérivés variants !

Seule la vaccination de masse à l'américaine comme le fait maintenant BIDEN en mobilisant une armée de vaccinateurs dans des lieux importants et nombreux dédiés 24 heures sur 24 à marche forcée peuvent stopper cette pandémie mondiale !

Mais il faudrait déjà que notre gouvernement de pattes cassées ait pu se procurer assez de vaccins et de doses et on est loin de là, sans compter certains français qui ne veulent pas être vaccinés !?

Mais en France nos dirigeants et politiciens de tous bords élus ne savent que palabrer sans prendre de décisions fermes, auquel il faut ajouter une catégorie de français indisciplinés qui ne respectent pas toujours les mesures de protections sanitaires !

La France est notre pays de la liberté, mais mal encadrée ou tout le monde peut tout dire où faire ce qu’il veut comme Mr Douste BLAZY en mal de poste politique de pouvoir qui le fait parler en illuminé totalitaire solitaire !

Quant aux Français à cause de l’inertie de notre gouvernement et dirigeants en place, ils n’ont qu’à espérer pour ceux encore là, de ne pas être rattrapés par ces virus, et être là pour être vaccinés à temps, à cause d’une mauvaise gestion de la pandémie en France par nos gouvernements et notre président !

Cela fera 1 an que nos dirigeants perdus « courent après leurs queues comme des chiens » et il y a 86332 français de décédés (511833 americains aux USA) bon anniversaire messieurs des gouvernements et ce n’est pas fini !

Jdeclef 28/02/2021 09h50


samedi 27 février 2021

F.BAYROU est le plus grand des discoureurs ou phraseurs de cette ancienne classe politique, s'écoutant parler !? (C'est peut être pour cela qu'il n'a pas réussi à aller jusqu'au plus haut de l'état, il parle trop ...)

 

Que vaut la proposition de Bayrou de « cantonner » la dette Covid ?

Le haut-commissaire au Plan a publié ses propositions pour gérer la dette après la crise du Covid. Solution miracle ou poudre aux yeux ?

C'est peu dire que les propositions de François Bayrou sur la dette ont suscité des remous parmi les spécialistes du sujet. Mercredi, le haut-commissaire au Plan a publié une note sur la façon de gérer l'endettement supplémentaire lié à la crise du Covid. Une façon de couper l'herbe sous le pied de la « Commission sur l'avenir des finances publiques » mandatée par le gouvernement pour réfléchir au sujet. Présidée par Jean Arthuis, ancien ministre des Finances de Jacques Chirac, elle devrait rendre son rapport à la mi-mars. Elle devrait notamment formuler des propositions pour améliorer la gouvernance autour du budget en rénovant la loi organique relative aux lois de finances.

« J'ai bondi à la lecture de cette note », confie, sous le couvert de l'anonymat, un connaisseur du sujet de la majorité qui la juge rédigée à la va-vite, dénonçant une rédaction un peu obscure. « C'est affreusement alambiqué », appuie François Ecalle, auteur d'un site Internet de référence sur les finances publiques. De fait, les spécialistes du sujet essaient tant bien que mal d'interpréter ce qu'a précisément voulu dire François Bayrou.

Le plan de François Bayrou pour gérer la dette Covid

Augmenter le plan de relance

Le dirigeant du MoDem, qui a toujours fait du combat contre l'excès de dette publique une priorité au cours de sa carrière politique, assume d'abord d'avoir évolué, si ce n'est changer d'avis. Notamment parce que le contexte a changé : les banques centrales jouent désormais sans complexe leur rôle de prêteur en dernier ressort. Il propose donc d'augmenter considérablement la relance pour reconstruire l'appareil productif français après la crise, uniquement pour financer des dépenses d'investissement. Une pierre dans le jardin de Bruno Le Maire pour qui il faut déjà parvenir à dépenser les 100 milliards d'euros de son plan sur deux ans, ce qui n'est pas une mince affaire. Pour ne pas banaliser la hausse de l'endettement français, François Bayrou propose également de cantonner la dette léguée par la crise du Covid, c'est-à-dire de la mettre de côté dans une structure à part pour ne commencer à la rembourser que 10 ans plus tard, puis d'étaler cet effort sur 30 ans.

Il justifie ces propositions par le caractère exceptionnel de la dette Covid. Le haut-commissaire distingue la mauvaise dette, celle liée aux dépenses courantes, notamment aux déséquilibres récurrents des comptes sociaux, de la supposée bonne dette, celle qui permet d'investir dans des actifs censés stimuler la croissance et ne pèserait donc pas sur les générations futures, au contraire de la première.

Mais la dette du Covid ne peut pas être assimilée à ces dettes issues de la gestion courante. Qu'elle serve à financer les mesures économiques d'urgence ou de relance, François Bayrou compare la dette Covid à une dette de guerre ou liée à une catastrophe naturelle, dont personne n'est responsable. D'où son idée de la cantonner. Le haut-commissaire reprend ici une proposition du ministre de l'Économie et des Finances. Bruno Le Maire avait annoncé en juin 2020 sa volonté de cantonner la dette de l'État liée à la crise du Covid dans une structure à part, un peu comme cela a été fait avec la dette des régimes sociaux au travers de la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades) à partir de 1996. Une proposition soutenue par le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. À l'époque, il s'agissait de coller à l'Allemagne qui s'est engagée à rembourser sa dette Covid sur vingt ans à partir de 2022. Et montrer ainsi à ses partenaires européens que la France serait responsable et qu'elle se fixait pour objectif de réduire le poids de son endettement, lequel devrait dépasser 120 % du PIB contre 98 % avant la crise du Covid.

Le difficile cantonnement de la « dette Covid-19 »

Mais la proposition de Bruno Le Maire n'avait pas été traduite dans les faits. Il faut dire que l'idée ne fait pas l'unanimité. Sur le plan technique, comme le reconnaît François Bayrou, le cantonnement ne sert pas à grand-chose. Car l'État ne rembourse jamais réellement sa dette. Quand une ligne d'emprunt arrive à échéance, il ne fait que réemprunter la même somme immédiatement sur les marchés financiers. C'est là que le danger réside, si les taux d'intérêt sont élevés. Pour ne pas avoir à réemprunter sans cesse les mêmes sommes, il faut qu'il parvienne à réduire ses besoins de financement futurs grâce à la croissance ou à la baisse des déficits, voire à des excédents budgétaires.

Le cantonnement, un symbole politique.

Cantonner la dette est donc une façon d'afficher ouvertement la volonté de la puissance publique de rembourser une partie de la dette contractée et non pas de la réemprunter indéfiniment. Encore faudra-t-il être capable de chiffrer précisément cette dette, ce qui est loin d'être chose facile.

Mais ce que François Bayrou ne dit pas clairement, c'est que cantonner la dette nécessite d'affecter des recettes à son remboursement. À partir de ce moment-là, ces recettes ne sont plus disponibles pour alimenter le budget courant. Ce qui peut aggraver le déficit courant. Ce n'est donc pas une recette miracle pour faire diminuer la dette, si elle est remboursée d'un côté, mais creusée de l'autre. L'exemple de la Cades montre qu'il est très difficile de rembourser la dette : il a sans cesse fallu prolonger sa durée de vie. À chaque fois que la Cades parvenait à amortir de la dette grâce à ses ressources, les politiques lui ont transféré une nouvelle dette accumulée entre-temps par les systèmes sociaux.

« Le cantonnement peut se défendre si c'est un symbole politique, avance notre spécialiste de la majorité. Le message, c'est de dire que, contrairement au passé, la France va être responsable et rembourser sa dette. Mais il faut alors l'assumer et l'expliquer. Cela veut dire qu'il faut affecter des ressources fiscales à l'amortissement de la dette ». Et cela, François Bayrou ne le dit pas clairement. Il faudra pourtant bien consacrer des impôts spécifiques au remboursement de la dette Covid si elle est cantonnée. Cela pourrait passer, comme aujourd'hui, par la mobilisation d'une part de la CSG, ainsi que la Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) et les ressources du Fonds de réserve des retraites. Au total, 17,6 milliards de ressources ont ainsi été fléchés vers la Cades en 2020. Cela voudrait dire prolonger l'existence de la CRDS, qui doit normalement s'éteindre en 2034, après l'apurement de la dette sociale transférée à la Cades.

Le gouvernement veut transférer 136 milliards de dette supplémentaire à la Cades

François Bayrou parle par ailleurs de différer le remboursement de la dette Covid pendant 10 ans. Mais cela peut simplement signifier que la dette Covid ne sera pas cantonnée pendant 10 ans, le temps d'ailleurs pour la Cades de rembourser la dette sociale, ce qu'elle est censée faire d'ici 2 033. Le haut-commissaire au plan veut ensuite rembourser la dette Covid en 30 ans. Cela pourrait signifier que l'organisme chargé de gérer la dette Covid devrait disparaître 30 ans plus tard et qu'il faudra y affecter des ressources dédiées. Bruno Le Maire, lui, avait parlé de rembourser la dette Covid d'ici 2042, mais envisageait de cantonner des sommes beaucoup moins élevées. François Bayrou parle de cantonner de 450 à 600 milliards d'euros.

Cantonnement ou pas, le vrai débat devrait porter sur le rythme auquel la France voudrait faire baisser son endettement dans les décennies à venir. Cela dépendra beaucoup du sort des règles budgétaires européennes qui prévoient à l'heure actuelle une réduction de la dette à marche forcée jusqu'à la barre fatidique de 60 % du PIB, même si des exceptions sont prévues. La croissance que le pays sera durablement capable de dégager malgré les cicatrices de la crise sera aussi déterminante.

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Souvent inaudible et indigeste adorant jouer au professeur donneur de leçons « je sais tout » depuis des décennies qu'il louvoie dans la politique française !

Tourneur de veste, comme une vieille fausse pièce truquée de monnaie, selon le vent politique du moment mangeant à tous les râteliers, sans aucun amour-propre protégé par un égo hors norme, toujours déçu par ses essais nombreux manqués à la candidature à la présidence de la république un peu bigot à ses heures en bourgeois nanti qui a conservé sa mairie de PAU qu'il devrait rejoindre ce serait mieux pour lui !

Un inutile de ces vieux politiciens que l’on traine comme un boulet qui a été récompensé par le président pour son aide apporté lors de la présidentielle de 2017, mais recalé par un passage éphémère au 1er gouvernement macronien car rattrapé pas une affaire douteuse d’assistants parlementaires ainsi que son parti le MODEM !

Alors lui offrir un poste ronflant de commissaire au plan honorifique plutôt qu’autre chose sans pouvoir lui convient croyant servir à quelque chose lui permettant de pérorer tout son sou, « tout flatteur vivant au dépend de celui qui l’écoute » ou fait semblant de le faire !

Jdeclef 27/02/2021 14h26


Dans ces types de drames ou crimes divers de la part de jeunes ou jeunes adultes que ce soit en bande ou pour d’autres motifs pour régler leurs comptes?!

 

Adolescent tué à Bondy : deux personnes placées en garde à vue

La victime, âgée de 15 ans, a été tuée par deux personnes qui ont pris la fuite à scooter. L’enquête a été confiée à la police judiciaire du département.

Un adolescent de 15 ans a été tué par balle, vendredi 26 février à Bondy, en Seine-Saint-Denis, par deux personnes qui ont pris la fuite à scooter, a-t-on appris de source policière. Ce samedi matin, deux personnes âgées de 19 et 27 ans ont été placées en garde à vue pour homicide volontaire avec préméditation, a indiqué le parquet de Bobigny à BFM TV. EIles se sont présentées elles-mêmes à la police.

Le drame s'est déroulé vers 17 heures, dans une maison de quartier de la commune de Bondy. L'adolescent a été pris pour cible par deux individus, dont l'un lui a tiré dans la poitrine à travers la boîte aux lettres de la porte d'entrée, selon BFM TV, avant de prendre la fuite en scooter. D'après différents témoignages recueillis dans le quartier du mineur, « une dispute » entre la victime et un jeune homme se serait produite avant le drame.

Paris : le bilan alarmant des rixes entre jeunes en 2020

Le parquet a précisé n'avoir « aucun élément sur le contexte ». L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département de Seine-Saint-Denis, a précisé cette source. Cette semaine, la région parisienne a été marquée par la mort de deux adolescents de 14 ans dans l'Essonne, une fille et un garçon poignardés lors de rixes différentes entre jeunes.

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Qui se déroulent souvent dans des zones connues dont certaines devenues de non droit de banlieues d’IDF et autres de province par une délinquance qui devient endémique voire incontrôlable assorti d’une violence allant jusqu’au crimes de sang !

Car la justice et son code pénal à réformer n’est plus adapté à ce type de délits et crimes de mineurs ou jeunes délinquants qui utilisent divers armes détournées tournevis, marteaux, couteaux, mortiers de feux d’artifice allant jusqu’à des armes de guerre, pistolets, armes automatiques, kalachnikov et cocktails Molotov si facile à fabriquer !

Et ce que l’on voit quand les exactions mêmes graves sont commises on les arrête assez facilement et en plus dans certains cas, ils se livrent aux autorités d’eux-mêmes en se disant que notre justice laxiste ne les punira que peu, car s’étens rendu après les faits, car eux semblent-ils, croient pouvoir se faire justice eux-mêmes, en cas de n’importe quel conflit !?

C’est là, que notre état régalien ne va plus et doit être reformé avec rigueur pour cette justice qui n’a plus d’effet sur cette délinquance exponentielle en périphérie de villes ou agglomérations que certains bobos bienpensants disent populaire, qu’on a laissé aller depuis plus de trente ans se dégrader et ou l’anarchie gagne du terrain chaque jour avec bien sur l’insécurité de chacun dont la vie quotidienne se dégrade !

Mais cela incombe à nos différents gouvernements et dirigeants de tous bords depuis des décennies et les derniers quinquennats et on vit de plus en plus mal dans notre pays des droits de l’homme que peu ne respectent ou les inégalités se creusent !

Jdeclef 27/02/2021 13h13


Fadaises ou pas ces élus divers qui se servent de la pandémie et de la Crise sanitaire pour faire de la mauvaise politique préélectorale pour 2022 pour se montrer ou se mettre en avant devraient être sanctionnés!

 

Confinement à Paris : des « fadaises », tacle Jean Castex

De son côté, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, a nuancé les propositions faites la veille, évoquant désormais « une hypothèse ».

De la proposition à la simple « hypothèse ». Face à la progression de l'épidémie de coronavirus, la Mairie de Paris annonçait jeudi, via le premier adjoint Emmanuel Grégoire, qu'elle comptait proposer au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin « d'avoir la perspective de tout rouvrir » à son issue, y compris les bars, les restaurants et les lieux culturels. « On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses », a déclaré l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo après l'annonce par le Premier ministre Jean Castex de la mise « sous surveillance renforcée » de Paris, comme 19 autres départements.

Une demande que le chef du gouvernement a balayée ce vendredi. « Vous avez entendu la Mairie de Paris dire qu'il faut qu'on confine trois semaines et puis c'est fini. Mais vous savez très bien qu'avec les variants, etc., ce n'est pas possible », a déclaré Jean Castex, lors d'un déplacement au centre hospitalier de Nantes. « Il ne faut pas raconter des fadaises. Il ne faut jamais raconter des fadaises », a-t-il ajouté devant le personnel du service de réanimation.

La Mairie rétropédale

Quelques heures après les propos d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire a légèrement atténué les annonces de la veille, lors d'une conférence de presse. « Nous ne proposons pas de mettre en œuvre le confinement à Paris d'abord, parce que cette décision relèvera de l'exécutif national, mais nous pensons que la politique des demi-mesures, avec des résultats très contestables, a une forme de fin de cycle. » Et d'ajouter : « Ça n'a jamais été une proposition, j'ai fait trois interventions médiatiques hier soir, ça n'a jamais été une proposition, c'est une hypothèse. »

Covid-19 : la troisième vague déjà passée ?

La Mairie affirme néanmoins son opposition aux mesures prises dans les Alpes-Maritimes, à savoir un confinement le week-end, actuellement à l'étude pour l'Île-de-France. « Nous avons une grande réticence sur cette mesure qui nous semble extrêmement contraignante sur le plan de la vie quotidienne et trop peu efficace sur le plan sanitaire », explique Emmanuel Grégoire.

« La proposition de la Mairie sera étudiée »

L'annonce de la mairie avait déjà vivement fait réagir l'exécutif. Sur France Inter, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a annoncé vendredi matin que la proposition de la Mairie de Paris de confiner pendant trois semaines la capitale sera « étudiée » à l'échelle de la région, malgré des réserves sur sa durée et sur la fermeture des écoles. « Si on est rentré dans ce cadre de discussions avec les élus, c'est pour qu'ils fassent des propositions, donc la proposition de la Mairie de Paris sera évidemment étudiée », a assuré le porte-parole du gouvernement qui avertit : « Il y a assez peu de scientifiques qui considèrent que, avec un confinement de trois semaines, on peut terrasser le virus et tout ouvrir, comme l'ont dit les élus de la Mairie de Paris. »

Covid-19 : les départements où la progression de l'épidémie inquiète

Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a également appelé, lors d'un déplacement à Lyon, à « ne pas jouer avec les nerfs des Français », après la proposition de la Mairie de Paris. « La situation est difficile pour tout le monde, pour le gouvernement, les élus locaux et les Français. Cette épidémie joue avec les nerfs des Français depuis maintenant un an. Il est important que nous-mêmes ne jouions pas avec les nerfs des Français », a-t-il déclaré. Toutefois, Gabriel Attal a ajouté ne vouloir « jeter la pierre à personne ». « Nous tendons la main aux élus de Paris, qu'ils rejoignent la concertation, pour en discuter ensemble. C'est tous ensemble qu'on relèvera ce défi (...) Il est important de se mettre autour de la table et j'espère que les élus de Paris seront prêts avec nous », a-t-il insisté.

« Les discussions n'ont même pas commencé », s'est également agacé un conseiller à l'Élysée cité par nos confrères d'Europe 1, tandis que la Confédération des commerçants de France s'est dite « effarée », par l'intermédiaire de son président Francis Palombi. « C'est une ineptie, a-t-il expliqué, il y a déjà le couvre-feu, de nombreuses mesures ont été mises en place. Qu'il y ait certaines mesures complémentaires, je peux l'admettre, mais le confinement total à Paris, on ne peut pas tolérer. Ça va mettre au plus mal, encore plus mal, les commerces à Paris. »

La Mairie favorable à un retour obligatoire du télétravail

Si la méthode du gouvernement d'engager le dialogue entre préfets et élus locaux « est la bonne », Emmanuel Grégoire estimait jeudi que « la situation actuelle, qui nous semble un tout petit peu attentiste, est la pire parce que ce sont des demi-mesures avec de mauvais résultats ».

La Mairie, également favorable à « un retour au télétravail de façon obligatoire » et à des mesures « ciblées, avec discernement et à durée limitée » vis-à-vis des commerçants, entend faire remonter ses propositions au gouvernement en début de semaine prochaine, après dialogue avec l'agence régionale de santé (ARS) et la préfecture de police au cours du week-end.

L'adjointe à la santé Anne Souyris (EELV) a dit à l'Agence France-Presse craindre une « explosion des chiffres » du Covid-19 dans la capitale avec la rentrée scolaire lundi et la progression du variant britannique, alors que le taux d'incidence y est déjà supérieur au seuil d'alerte maximale.

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Les français qui subissent cela au jour le jour n'ont pas besoin de cela pour leur baisser le moral qui est déjà bien bas !

On souligne l'intelligence d'E.MACRON qu'il n'a pas, même s'il est instruit érudit et bien éduqué malheureusement pétri d'orgueil comme d'autres avant lui bien qu’ayant droit de faire des erreurs, et si possible ne pas les accumuler!?

Diriger un pays est bien trop difficile pour lui et gouverner c’est prévoir ce qu’il ne sait pas faire depuis le début de son quinquennat il n’a fait que tergiverser sans décisions fermes (par pleutrerie peut-être) ce qui ressemble aussi au mandat de son prédécesseur pourtant vieux politicien rodé et chevronné !

Il en trouvera toujours pour dire qu’il ne pouvait pas prévoir cette épidémie sauf que les coronavirus SRAS et autres venant d’Asie ne sont pas nouveau ils passaient au-dessus de la France et Europe et étaient moins virulents que cette Covid 19 et ses variants dont on avait eu des alertes mais on n’a pas tenu compte de leur dangerosité malgré une kyrielle de scientifiques très bavards autant que nos élus !

On en est arrivé à la vaccination seule solution pérenne pour stopper ces virus et sauver des français, mais même cela on ne l’a pas encore réussi par des incapacités à fournir assez de vaccins qu’il faut choisir alors qu’au départ on ne voulait pas vacciner toute la population et que maintenant il faut le faire en masse avec en plus des calendriers de vaccinations kafkaïens débiles par catégories d’âges (alibi pour compenser le manque de doses vaccinales ?)

Donc puisqu’on a élu Mr MACRON pseudo monarque sans couronne à grand pouvoir qu’on lui a donné, qu’il décide, cela le changera, mais vite !

Il y a trop de décideurs dans notre France et ses administrations kafkaïennes et ses kyrielles de fonctionnaires y compris le 1er ministre leur patron beau parleur !

Jdeclef 27/02/2021 10h02LP


vendredi 26 février 2021

Chez ces politiciens de tous bords élus ou non de donner son avis pour se faire mousser et faire croire qu'ils s'occupent des français, est la règle !?

 

La Mairie de Paris va proposer de confiner trois semaines la capitale

Le premier adjoint d’Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, a annoncé qu’il préférait « un confinement tout court » à un confinement le week-end.

 

Face à la progression de l'épidémie de coronavirus, la Mairie de Paris va proposer au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin « d'avoir la perspective de tout rouvrir » à son issue, y compris les bars, les restaurants et les lieux culturels, a affirmé le premier adjoint Emmanuel Grégoire sur France Info, ce jeudi 25 février. Plutôt qu'un confinement le week-end, une mesure « très contraignante sur le plan de l'impact sociétal et assez peu efficace sur le plan sanitaire », le premier adjoint préfère « un confinement tout court » à Paris de façon à « vraiment redonner de l'oxygène et avoir la perspective dans trois semaines de tout rouvrir », tout en conservant des mesures de protection sanitaire.

« On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses », a déclaré l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo après l'annonce par le Premier ministre Jean Castex de la mise « sous surveillance renforcée » de Paris, comme 19 autres départements, face à la remontée épidémique. Ces territoires pourraient faire l'objet de mesures de confinements locaux à partir du week-end du 6 mars si la situation continuait à se dégrader, après « concertations avec les élus », a ajouté le chef du gouvernement.

Covid-19 : la troisième vague déjà passée ?

La mairie favorable à un retour obligatoire du télétravail

Si la méthode du gouvernement d'engager le dialogue entre préfets et élus locaux « est la bonne », Emmanuel Grégoire estime que « la situation actuelle, qui nous semble un tout petit peu attentiste, est la pire parce que ce sont des demi-mesures avec de mauvais résultats ».

La mairie, également favorable à « un retour au télétravail de façon obligatoire » et à des mesures « ciblées, avec discernement et à durée limitée » vis-à-vis des commerçants, entend faire remonter ses propositions au gouvernement en début de semaine prochaine, après dialogue avec l'agence régionale de santé (ARS) et la préfecture de police au cours du week-end.

L'adjointe à la santé Anne Souyris (EELV) a dit à l'Agence France-Presse craindre une « explosion des chiffres » du Covid-19 dans la capitale avec la rentrée scolaire lundi et la progression du variant britannique, alors que le taux d'incidence y est déjà supérieur au seuil d'alerte maximale.

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Car cette classe politique médiocre pousse ses pions sur l'échiquier de la campagne électorale pour l'élection présidentielle à venir !?

Douce hypocrisie habituelle de ces pitoyables élus !

De toute façon quand on voit ceux au pouvoir en place de même acabit, cela ne peut qu'augmenter l'abstention aux prochaines élections !?

Notre pays va mal dans cette V eme république obsolète pseudo monarchique faite pour eux, pas pour les français lambda qui subissent leurs incompétences, car versatiles qui se laissent avoir depuis des décennies par leurs discours bien rodés de politiciens chevronnés rompus à cette politique qu'ils pratiquent depuis longtemps que les français n'ont toujours pas réussi à changer !?

Jdeclef 26/02/2021 10h33


jeudi 25 février 2021

Le problème n'est pas d'avoir emené par la main ce jeune par sa mère : Qui a tué autre jeune qui comme lui, est un être humain qui a perdu la vie par ce drame d'une stupidité lamentable au commissariat de police !

 

INFO LE POINT. Rixe mortelle dans l’Essonne : les regrets de Logan, 15 ans

Le mineur, qui s’est rendu à la police, a reconnu être l’auteur du coup mortel contre un adolescent de 14 ans à Boussy-Saint-Antoine, sans volonté de tuer.

Mardi vers 19 h 30, Logan M., 15 ans, s'est présenté au commissariat de Brunoy (Essonne), accompagné de sa mère. Plus de deux heures après la rixe entre bandes rivales au cours de laquelle Toumani D., 14 ans, est mort après avoir reçu un coup de couteau au thorax, un autre adolescent, âgé de 13 ans, a été transporté à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière dans un état grave, touché au cou par une arme blanche, et un autre, blessé au front, a été hospitalisé à Quincy-sous-Sénart, sous garde policière. L'affrontement entre bandes rivales s'est déroulé aux abords de la piscine municipale de Boussy-Saint-Antoine.

L'ado de 15 ans, originaire d'Épinay-sous-Sénart et connu de la police pour port d'arme blanche, a immédiatement été placé en garde à vue. Il a été entendu par les policiers de la sûreté départementale de l'Essonne. Il a reconnu son implication dans les violences de l'après-midi.

L'auteur plaide la panique

Selon sa déposition, il s'est saisi pendant la bagarre d'un couteau tombé au sol. Toujours selon ses déclarations, quand deux membres du camp adverse se sont approchés de lui de manière hostile, il a paniqué et a effectué un geste circulaire de défense avec l'arme de gauche vers la droite, touchant sa première victime. Puis un mouvement de bas en haut, atteignant sa deuxième cible. Il s'est enfui et a jeté le couteau dans sa course. Il a déclaré regretter son geste mortel.

D'autres témoins ont été entendus depuis mardi. Selon leurs auditions, il apparaît que l'affrontement entre bandes rivales n'a pas pour épicentre Boussy-Saint-Antoine, bien que de jeunes habitants de la commune s'y soient mêlés. Les belligérants sont majoritairement originaires d'Épinay-sous-Sénart et du quartier Vieillet de Quincy-sous-Sénart. Le parquet a annoncé que six mineurs avaient été présentés à un juge.

Couteau, bâtons, béquilles, barres de fer

Selon les témoignages recueillis par la police, les tensions sont vives entre des jeunes de ces deux communes plutôt tranquilles, bien qu'Épinay-sous-Sénart ait toujours connu une délinquance endémique liée au trafic de drogues. Le rendez-vous, annoncé sur les réseaux sociaux et initialement prévu mardi soir, avait été avancé à l'après-midi. Du côté d'Épinay, entre 30 et 50 individus s'étaient présentés pour en découdre. À peine moins du côté de Quincy. Ils étaient armés de bâtons, de béquilles et de barres de fer. Les enquêteurs ont retrouvé quelques-unes de ces armes et une gazeuse, qu'ils ont placées sous scellés.

Les deux victimes, l'adolescent décédé et le blessé grave, sont toutes deux originaires de Quincy-sous-Sénart. Six jeunes de 17 ans, de Quincy et de Boussy, ont été interpellés et placés en garde à vue. Deux d'entre eux sont connus des services de police.

Rixe filmée

La rixe a été filmée par un témoin, les images sont en cours d'exploitation.

Le préfet de l'Essonne a mis en place un dispositif de sécurisation mobile entre ces villes, dont une vingtaine de policiers supplémentaires et une compagnie de CRS dotée d'environ 70 personnes.

Corbeil, située dans le même département, a connu des violences pendant la nuit, comme c'est le cas quasi quotidiennement. Une « chasse » à l'homme était organisée : des individus venus du quartier de Montconseil voulaient en découdre avec un homme d'une trentaine d'années originaire des Tarterêts et considéré comme partie prenante d'une rixe ayant eu lieu quelques heures plus tôt. Ce dernier a essuyé des coups de feu sans avoir été touché, selon la police.

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C’est que notre société est devenue hyper violente ou l’on tue ou veut régler ses comptes pour tout et n’importe quoi, au moyen en plus d’armes diverses que ce soit sur autrui ou sur les forces de l’ordre diverses !

Pour la jeunesse, c’est malheureusement simple, elle prend exemple sur les adultes et pâtissent de la mauvaise éducation ou du non-respect d’autrui qui se sont dégradées depuis des décennies et la venue des réseaux sociaux et les mauvaises informations qui y circulent et aboutissent à ces smartphones que tous possèdent accélérant ce problème de bandes qui ont toujours existées !

L’éducation nationale n’a pas empêché cela, pourtant, elle est là, pour éduquer et apprendre, aux jeunes, mais même les professeurs ne sont pas soutenus par leur hiérarchie et leurs ministres de tutelle et donc la violence est aussi présente dans les écoles et établissements publics d’enseignement qui devraient être des sanctuaires protecteurs !

A cela pour cette violence et délinquance diverses qui perdurent dans des lieux connus, la justice est absente et surtout inadaptée par des lois obsolètes ou code pénal inefficace en matière de sanctions exemplaires, comme celle dite de 1945 pour les jeunes, car on est au XXI eme siècle avec une population différente et pas dans un monde de bisounours de bien-pensant donneur de leçon hypocrites !?

Car en plus l’encadrement de la jeunesse des mineurs souffre d’un laisser-aller des parents et tuteurs chargés de le faire, le ministre de l’intérieur l’a souligné mais il faut aussi les sanctionner, s’ils sont défaillants !

Jdeclef 25/02/2021 13h46


Ce bon ATTAL « aboyeur patenté » du pouvoir macronien au service de son Monarque qui s'égosille comme tous les membres du gouvernement !?

 

Covid : situation « préoccupante dans une dizaine de départements », alerte Attal

Le porte-parole du gouvernement s’est inquiété de la situation et a indiqué que le Premier ministre Jean Castex prendrait la parole ce jeudi.

 

La situation dans la lutte contre le Covid-19 « se dégrade » et « est très préoccupante dans une dizaine de départements », a déclaré mercredi 24 février le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, à l'issue du conseil des ministres. Cette dégradation « impose des mesures rapides et fortes », a précisé le porte-parole en indiquant que le Premier ministre, Jean Castex, tiendrait une conférence de presse ce jeudi.

Il a par ailleurs averti que « tous nos efforts doivent se poursuivre » pour « éviter d'avoir à décider d'un nouveau confinement national ». Il n'y a « évidemment » pas de « certitude que nous y parviendrons », mais, « si nous considérions qu'il fallait aujourd'hui un confinement, nous aurions décidé d'un confinement », a-t-il ajouté.

Un confinement le week-end dans le Nord ? 

Le porte-parole du gouvernement a notamment rappelé que le ministre de la Santé, Olivier Véran, doit se rendre mercredi après-midi à Dunkerque, où le taux d'incidence a dépassé les 900 cas pour 100 000 habitants (la moyenne nationale s'établit à 105, le seuil d'alerte étant à 50). Dans le Nord, des décisions de restrictions de déplacement, à l'image d'un confinement les samedis et dimanches, tel qu'appliqué dans les Alpes-Maritimes, sont notamment attendues dans les prochaines heures.

Covid-19 : Nice sous tension

« Nous pourrons le faire dans d'autres territoires si cela s'avère nécessaire », a indiqué Gabriel Attal. « Notre ligne de conduite n'a pas changé : d'abord des ripostes ciblées, des mesures de freinage précises, et les étendre si cela est nécessaire », a-t-il ajouté.

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Quant à E.MACRON notre pseudo monarque sans couronne :

« Perdu il est », comme dirait YODA de la saga de STAR WAR !

Il n'est pas enfermé dans sa stratégie, car il n'en n'a pas, « il est comme un chien qui tourne en essayant d'attraper sa queue »?!

Ou une girouette qui bat au gré du mauvais vent de cette crise sanitaire qu’il ne maitrise pas !

Il est certain que tout cela ne peut rehausser le moral des français !?

Jdeclef 25/02/2021 12h14 RTL