vendredi 29 décembre 2023

Oui et ce n’est pas étonnant dans un monde instable devenu dangereux l’optimisme des organisateurs décline chaque jour qui se rapproche de l’échéance des jeux et même de la fin de la « macronie » en 2027 s’ils capotent !?

 

Macron, Hidalgo, Beaune… Les JO les rendent – déjà – fous !? (bof ils ne risquent que leurs postes si lucratifs éphémères car éjectables à terme et avant !?)

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. À sept mois de l’échéance, on ne compte plus les reniements, approximations, injonctions insensées des politiques en charge des JO de Paris.

Par Sophie Coignard

LA FOLIE DES GRANDEURS D’UN PRESIDENT QUI N’A PAS LES EPAULES POUR LA SUPPORTER NORMAL LES FRANÇAIS NIAIS L’ONT ELU ET REELU ILS L’ONT MERITE ET JUSQU’EN 2027 ET QUI REMETTENT LE COUVERT POUR 2024 JUSQU’A L’INDIGESTION SPECIALITE DE NOS CONCITOYENS DESESPERANTS !?

2024, année olympique. Mais à quel prix ! 2023 n'est pas encore terminée que, déjà, l'absurdité est à la parade, accompagnée de l'amateurisme et du remaniement des engagements. Sur le front de l'absurdité, les déclarations successives sur la cérémonie d'ouverture donnent le tournis.
Emmanuel Macron ouvre la séquence en juillet 2023, dans une interview à L'Équipe. Il développe un concept inédit pour le coup d'envoi de cet événement planétaire. Pas un vulgaire défilé dans un stade, non, une grande parade fluviale sur la Seine. Le comité d'organisation est pris de court. Le défi sécuritaire, notamment, pose de brûlantes questions. Mais l'exécutif comme la préfecture de police tiennent bon. Il n'y a pas de « plan B ».

JO Paris 2024 : les policiers s'inquiètent de leurs conditions de travail

Début décembre, la ministre des Sports et des Jeux olympiques, Amélie Oudéa-Castera, est interrogée sur France Inter au lendemain de l'attentat terroriste du pont de Bir-Hakeim, là où se déroulera la cérémonie d'ouverture. Est-il prévu un plan B, alors que des millions de personnes se baladeront dans Paris, et qu'une cérémonie sur la Seine présente de multiples angles de vulnérabilité ? La ministre invente la quatrième dimension verbale : il n'existe « pas de plan B, on a un plan A dans lequel il y a plusieurs plans bis ».

Et puis, le 20 décembre sur France 5, Emmanuel Macron contredit ce que tout le monde s'échine à proférer depuis des mois. Il assure que « des plans B et C » existent « en cas de menace potentielle » sur cette cérémonie d'ouverture. Première nouvelle !

Saillies drolatiques

Entre-temps, Anne Hidalgo a fait des siennes. Tout juste rentrée de sa longue virée dans le Pacifique Sud, elle cherche à éteindre la polémique sur ses vacances au bout du monde. Sur le plateau de l'émission Quotidien, elle affirme que les transports ne seront « pas prêts » pour le jour J. Cela s'appelle de l'antijeu. Ses différents interlocuteurs au sein de l'exécutif s'agacent fortement. La maire de Paris, impériale, arrive en retard, fin novembre, à une réunion du bureau exécutif du CoJo (Comité d'organisation des Jeux olympiques), planifiée spécialement pour complaire à son agenda.

 JO de Paris 2024 : bloquer la Seine, un couac majeur pour le transport des céréales

Elle rallume les polémiques avant de quitter les lieux prématurément avec cette justification d'une désinvolture surréaliste : « J'ai un mariage, je ne peux pas faire attendre les mariés. » La maire de Paris ne fait pas preuve de la même délicatesse envers les bouquinistes, sommés de déménager leurs boîtes et de vider les lieux pendant plusieurs semaines pour quatre heures de festivités sur la Seine.

L'exécutif et les organisateurs ne semblent pas gênés non plus, fin novembre, de revenir, ô combien !, sur un de leurs engagements : la gratuité des transports en faveur des détenteurs de billets pour une épreuve olympique. Pour eux, finalement, ce sera double tarif : le ticket de métro passera de 2,10 à 4 euros.

Quant au ministre des Transports, Clément Beaune, il invite début décembre les Franciliens à « s'organiser un peu différemment durant cette période » des Jeux olympiques, à faire « plus de télétravail » et à « prendre ses congés plutôt pendant cette période ». Terrible aveu d'échec : les habitants de la région parisienne sont donc priés de rester chez eux ou de quitter les lieux pour éviter la thrombose des transports.

Il reste encore 210 jours avant le début des festivités. Vivement 2024 pour goûter les saillies drolatiques, mais pas drôles du tout, des hauts responsables en charge du dossier !

 

ATTENTION à ne pas se laisser déborder par ces J.O. qui pourraient servir d’alibi aux problèmes multiples de la France pays organisateur qui claironne que le pays sera prêt à les accueillir et les organiser au mieux et surtout en sécurité optimale dans un contexte mondial hyper tendu avec une cérémonie d’ouverture risquée qui se veut grandiose malgré des menaces multiples de terrorismes islamiques risquées que nous subissons déjà sans compter les difficultés de circulation des parisiens et habitants de la petite couronne de la capitale et les étrangers qui viendront nous rendent visite !?

Car hélas nous sommes le pays « qui ne sait pas faire simple mais compliqué » pour faire plaisir à un président style « roi sans couronne » digne de l’ancien régime qu’il doit regretter bien qu’ayant trop de pouvoir que lui ont donné les Français en petit bourgeois fat qui ne pense qu’à lui avec cette folie des grandeurs qui n’ont rien avoir avec les prestations des sportifs que les Français attendent après la candidature des jeux de Londres retenus après l’échec car raté par l’ancien maire de PARIS DELANOE et hélas avec la nouvelle maire de la capitale HIDALGO qui gère fort mal PARIS !?

Tous les Français aiment les J.O. mais déjà HIDALGO réélue par défaut à cause du Covid et du président c’est déjà fait encore remarquer par son attitude petite bourgeoise et son incompétence flagrante à gérer la capitale en déconfiture financière et autres !?

Donc cette manifestation internationale sportive qui est importante pour la France tombe mal du fait de la gestion médiocre de notre président et ses gouvernements de politiciens réélus d’une incapacité assumée après un 2eme quinquennat accordé par des Français vers un ratage de plus de naïfs incurables peut marquer l’hallali de cette « macronie » qui est déjà un échec avant l’échéance de 2027 (pour peut-être enfin changer de dirigeants et vraiment de gouvernements) mais il ne faut pas rêver alors que vive les J.O. de 2024  se sera toujours ça de gagné alors bonne année mais pour moi qui suis âgé et ceux de ma génération le changement ne sera pas encore là tant pis pour nous car on rate tout semble-t-il dans notre France ?!

Jdeclef 29/12/2023 08h39CLP

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jeudi 28 décembre 2023

SVP !? Mr notre président hyper bavard ne peut-il s’occuper de diriger et protéger son pays qui va mal (c’est trop lui demander à ce petit bourgeois parvenu fat élu et réélu pour cela ?!)

 

Hamas-Israël : Macron réitère sa demande d’un « cessez-le-feu durable » à Gaza ?!

Lors d’un entretien avec Benyamin Netanyahou, le président a aussi expliqué que la France entendait mener des actions humanitaires « dans les prochains jours ».

Par L.D. avec AFP

Publié le 28/12/2023 à 01h47, mis à jour le 28/12/2023 à 06h18 Jdeclef 28/12/2023 12h26

N’y a-t-il personne dans cet aéropage de politiciens de tous bords élus et réélus comme lui de simplement lui dire de travailler à ce qui ne va pas dans notre pays car la tache est immense et rude et il n’a pas encore commencer à le faire depuis 2017 à par bavarder pour ne rien dire d’utile et en passant qu’il laisse tomber ces vœux hypocrites pour la nouvelle année 2024 mielleuse dont il ne pensera pas un mot comme pour 2027 !?

Ce que notre président Français beau parleur mais inutile procrastinateur devrait faire c’est se taire car plus personne ne l’écoute en France et naturellement à l’international c’est cela la réalité !?

Etant donné qu’il n’est plus capable de gérer son propre pays et le protéger que ce soit en sécurité intérieure et extérieure ce qui est plus grave ?!

Qu’il s’en aille !? Mais comme il est gonflé d’orgueil comme un baudruche crevée et qu’il n’a aucun amour propre ( comme ces Français stupides et naïfs qui l’ont réélu) car ils avaient une chance de se tromper et bien sur n’ont pas su la saisir car leur niveau d’éducation intellectuelle du peuple s’est dégradée et a changé depuis que la Veme république existe mais qui enfin n’a pas changé grand-chose depuis  le passé avant 1958 et la venue gaullienne normalement usée malgré ce grand homme âgé chef de la France libre d’après-guerre !?

Maintenant remercions ceux qui nous entrainent vers le fond d’un trou sans fond car ils n’ont pas été capables de parler dans les yeux de leurs politiciens élus et réélus de tous bords par eux dirigeants et 1ers ministres tous grands donneurs de leçons !?

Mais faire comprendre cela aux Français lambda c’est prêcher dans le désert car d’incurables partisans incurables de leurs petits avantages étriqués de leur « chacun pour soi » et versatilités bien connues !?

Donc inutile tergiverser ou palabrer pour rien car notre président sans amour propre (comme nos concitoyens aussi d’ailleurs) il nous gratifiera peut-être d’un remaniement ministériel habituel pour faire avaler la pilule habituelle pour ceux qui s’y laisseront prendre sans oublier de leur souhaiter bonne année 2024 il devrait dire 2027 il gagnerait du temps !?

Il n’y a pas de quoi être fier pour nous ces Français lambda incapables de piloter leur destin et celui de la France !?

JDECLEF 28/12/2023

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mercredi 27 décembre 2023

Les Français lambda niais incurables ne savent que dire ou protester et dire que « ça pue quand ils ont le nez dedans » mais il est souvent trop tard dans notre pauvre France !?

 

Marine Le Pen-Marion Maréchal : l’impossible transmission !?

LES ENFANTS MAUDITS (3/5). Entre la tante et la nièce, les relations sont désormais apaisées. L’une n’en a pas moins été la Némésis de l’autre, contrariant ce qui aurait pu être un duo.

Par Charles Sapin

CES DEUX FEMMES NE SERVENT A RIEN A PAR TROUBLER DES ELECTEURS FRANCAIS ASSEZ NIAIS ET INCURABLES COMME CELA !?

POUR LE FN DEVENU RN CELA FAIT + DE 50 ANS QUE CA DURE ? (Il serait enfin temps que cela change !?)

Désormais, tout restera en famille. Au creux de l'été 2023, les principaux lieutenants du Rassemblement national comme ceux du mouvement nationaliste rival, Reconquête !, n'ont qu'un événement en tête. Il ne s'agit pas de la rentrée prochaine du gouvernement. Pas davantage des prochaines élections européennes. Encore moins de la future présidentielle, prévue quatre ans plus tard, autant dire une éternité. Non, ce qui occupe toutes les conversations et fait turbuler nombre de groupes WhatsApp en ce mois d'août n'est autre qu'un événement privé, familial. Ce qui ne veut pas dire forcément dénué de politique, au sein de cet espace si singulier de l'échiquier politique…

Il s'agit du mariage de l'une des filles de Marine Le Pen, dans leur fief de la Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan. Le clan y est rassemblé au grand complet. Quatre générations de Le Pen se retrouvent. C'est la première fois que l'ancienne prétendante à l'Élysée revoit sa nièce, Marion Maréchal, depuis la présidentielle où cette dernière a préféré rejoindre et soutenir son concurrent direct, Éric Zemmour. « Ça s'est super bien passé, Marine a été délicieuse avec Marion. La hache de guerre est enterrée », lâche dans un soupir de soulagement un proche de la trentenaire. De là à croire à l'épilogue d'une relation conflictuelle où, plus de dix ans durant, les deux femmes autrefois complices sont peu à peu devenues la Némésis l'une de l'autre ?

Prémices d'une rivalité

Le baptême politique de Marion Maréchal se déroule un jour de décembre 2009, sur le pont d'une péniche, à Paris. La tête de liste pour les régionales en Île-de-France, Marie-Christine Arnautu, a fini par convaincre la jeune femme de 19 ans, non sans l'aide du « Menhir », de se porter candidate en deuxième de liste dans le département des Yvelines. Ses chances d'élection sont nulles. Mais l'idée est de lui mettre le pied à l'étrier. De voir si le virus familial l'a contaminée, elle aussi. Marine Le Pen voit alors d'un bon œil cette immersion politique de sa nièce adorée, celle dont elle s'est beaucoup occupée lors de ses toutes premières années.

 Marion Maréchal : « Nous voulons grand-remplacer la droite »

« Prends soin d'elle, protège-la », glisse-t-elle à l'oreille de la tête de liste quand elle lui annonce la candidature de celle qui se fait encore appeler Marion Maréchal-Le Pen. Pourtant, dans l'entourage de la future présidente du Front national, tous ne voient pas cette aventure débutante avec une même bienveillance. « Tu viens de foutre vingt ans dans la gueule de Marine ! C'est elle qui doit incarner la jeunesse du mouvement », gronde le futur député du Pas-de-Calais Bruno Bilde, auprès de Marie-Christine Arnautu. Une graine d'amertume qui mettra quelques années avant de devenir glycine.

Les prémices de la rivalité qui vient sont déjà perceptibles au soir du 19 juin 2012, second tour des législatives après l'élection de François Hollande. Pressée par son grand-père de se présenter dans la 3e circonscription du Vaucluse, Marion Maréchal finit par céder après plusieurs refus et y est finalement élue. Marine Le Pen, elle, est battue dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais. « Ce soir-là, tout a changé entre elles, renseigne un proche des deux femmes. Marine n'a pas bien pris du tout l'élection de Marion. Elle n'était plus la fille Le Pen mais la tante… »

Procès en népotisme

Entre la présidente de parti et la benjamine de l'Assemblée nationale, de vingt ans sa cadette, aurait pu se nouer une relation privilégiée de mentor à protégée. Deux éléments principaux s'y sont opposés : le tempo et le patronyme. Tout occupée par sa double entreprise de « dédiabolisation » et d'émancipation de la figure paternelle, Marine Le Pen est encore dans une phase d'affirmation de son identité politique. L'idée d'une transmission ou de l'installation d'une « dauphine » est, au mieux, prématurée.

Qui plus est avec quelqu'un portant le nom Le Pen, à l'heure où le parti à la flamme essuie continuellement un procès en népotisme. Au lendemain des débats sur le mariage pour tous, d'indépassables dissensions idéologiques finiront par se creuser, jusqu'à devenir véritables tranchées. Si Marine Le Pen poursuit sa ligne souverainiste, irriguée par sa fibre sociale et étatiste, sa nièce s'affirme davantage libérale et conservatrice. En bref, de droite. Mot honni par l'influent numéro deux du FN de l'époque, Florian Philippot, devenu son principal contempteur.

 Marion Maréchal-Jordan Bardella, la fausse dispute

Les humiliations pleuvent sur la jeune députée, jugée à la fois trop indépendante et égotique. Arrivée en tête du vote des militants lors du congrès du mouvement à Lyon, en 2014, elle se voit proposer une vice-présidence du mouvement… à la jeunesse. Ses proches – ou réputés comme tels – sont « oubliés » dans la composition des instances dirigeantes du parti. Marion Maréchal rend coup pour coup en interne et ne se prive pas alors pour critiquer les choix stratégiques de sa famille politique.

Lorsque deux ans plus tard, l'eurodéputée FN Sophie Montel livre un discours très « anti-marioniste » en ouverture du discours de Marine Le Pen, cette dernière approuve en montant à la tribune d'un « tu as raison, Sophie ». À la suite d'une interview à Femme actuelle à l'occasion de la campagne présidentielle de 2017, lors de laquelle la candidate FN la qualifie « d'assez raide » et de « trop inexpérimentée » pour rejoindre un éventuel gouvernement FN, Marion Maréchal sait d'ores et déjà qu'elle ne se représentera pas aux législatives, pour se mettre en retrait de la vie politique. Un certain temps, du moins.

Concurrence

Lorsque, deux ans plus tard, le petit monde nationaliste bruisse d'un retour imminent en politique de Marion Maréchal, fantasmée en « Jeanne d'Arc du camp national » du fait de son silence, Marine Le Pen, encore affaiblie par son débat d'entre-deux tours de la présidentielle, est prise par le doute. En étouffant au sein de son mouvement Marion Maréchal et sa sensibilité, jusqu'à provoquer son départ du Front devenu Rassemblement national, n'a-t-elle pas ouvert la voie à une concurrence autrement dangereuse pour elle, puisque désormais extérieure à son parti ?

Lors de l'organisation autour de Marion Maréchal d'une « Convention de la droite » à Paris placée sous le signe de la « métapolitique », Marine Le Pen fera passer ses consignes à ses lieutenants conviés : « Iront à cette convention ceux qui cherchent une autre alternative que la mienne à Emmanuel Macron… » Aucun, hormis l'électron libre Gilbert Collard, ne s'y rendra. Lorsque quelques jours plus tard, Marion Maréchal clarifiera sa décision de ne pas se présenter à l'élection présidentielle de 2022, Marine Le Pen peinera à y croire : « Mais que veut-elle, que cherche-t-elle ? » lâchera-t-elle dans la boucle WhatsApp de son cercle rapproché.

 Le Pen, Zemmour, Maréchal : petites trahisons en famille

L'histoire est connue. Quelques années plus tard, ce n'est pourtant pas Marion Maréchal qui investira l'espace politique ainsi laissé vacant. Mais celui avec qui elle partageait, en 2019, l'affiche de la Convention de la droite, l'essayiste Éric Zemmour. Qui, lors de sa campagne présidentielle, ralliera à sa casaque un à un les proches de Marion Maréchal. Comme tous ceux qui étaient suspectés de l'être par le RN, et dûment évincés l'année précédente pour cette raison des listes pour les régionales de 2021.

Avec 7 % des voix, Éric Zemmour aura créé la surprise à l'élection présidentielle. Mais n'aura pas empêché Marine Le Pen d'atteindre le second tour, ni de décrocher quelques mois plus tard le plus important groupe de députés à l'Assemblée nationale de l'histoire de son mouvement. Voilà cette dernière rassurée. La rivalité avec celle qui aurait pu être sa « protégée » n'a plus véritablement de chance d'être un sujet. Il pourrait en revanche le devenir, un jour, pour son dauphin : Jordan Bardella. Le jeune chef du RN, en partie mis sur orbite en 2019 dans l'espoir de ringardiser Marion Maréchal, croisera pour la première fois le fer avec elle lors des européennes de juin. Un match sans suspense, mais qui sera observé de près par celle qui, avec ou contre eux, les a largement façonnés.

Là ou voit la pauvreté de la France et des Français lambda avec (l’exemple) cet hebdomadaire dit d’information grand censeur et donneur de leçon bienpensant comme « LE POINT » totalement inféodé au pouvoir en place « macronien » qui n’a rien à dire de nouveau sur ce FN et son créateur en 1970 JM LE PEN et son FN ce grand père en fin de vie devenu RN par sa présidente pour essayer de ripoliner l’attitude de son parti pour lui acheter une respectabilité de cette droite extrémiste qui fait peur (bien que ce ne soit plus le cas de la part de Français lambda) dont beaucoup n’y comprennent rien par une de ses filles MARINE LE PEN usée et l’autre membre de sa famille prolifique plus jeune MARION MARECHAL LE PEN trublionne de cette clique auquel il faut ajouter le frais moulu JORDAN BARDELLA jeune loup sorti du bois ?!

Mais pourtant en France il n’y a pas de quoi être fier de tous les partis politiques français ringards divers et leurs leadeurs médiocres de tous bords voir trublions dangereux extrémistes de gauche comme la LFI Mélenchoniste et cet agrégat de gauches NUPES fumisterie dispersées moribondes qui font bien sur le bonheur de la «macronie» inutile et inefficace mis en plus au pouvoir jusqu’en 2027 qui ne fait rien à l’image de notre petit président bourgeois élu et réélu par défaut !?

Alors merci à ces Français (SI naïfs) de tous bords pour cette nouvelle année qui s’annonce comme la précédente !?

 En France pays démocratique libre nous tenons la palme de ceux mal dirigés et mal protèges mais par les français eux-mêmes arrogants se croyant les meilleurs qui les ont élus voire réélus !?

Jdeclef 27/12/2023 13h59

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mardi 26 décembre 2023

TOUTES VERITES NE SONT PAS BONNES A DIRE POUR CES GOUVERNEMENTS OU PRESIDENTS DE TOUS BORDS QUE NOUS ELISONS ET REELISONS PAR STUPIDITE SANS REFLECHIR POUR AUTANT IL FONT EN PARLER PLUS FORT POUR QU’ILS FASSENT UN EFFORT AU LIEU DE PROFITER HONTEUSEMENT DE LEURS AVANTAGES ET TROP DE POUVOIRS QU’ONT LEUR A DONNE EN LES ELISANT OU REELISANT COMME DES NAIFS INCURABLES ?!

 

Mélenchon, chef des « pleurnichards » ou pleurnichard en chef ? !?

Par Sophie Coignard

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Le chef des Insoumis traite les réformateurs de « pleurnichards ». Un terme péjoratif comme en emploient les dictateurs. Un curieux effet de miroir aussi.

Ce personnage politicien même plus élu car inutile ne mérite que le mépris de nos concitoyens car il ne pense qu’à lui avec son aigreur vissée aux corps à cause de ses échecs qu’il n’assume pas !?

Ce samedi 16 décembre se tenait à Paris l'assemblée représentative de LFI. « Assemblée représentative » ? Une antiphrase, si l'on en croit les témoignages de certains participants, qui n'ont guère eu la possibilité de « représenter » quoi que ce soit. Ainsi, Le Monde rapporte-t-il l'expérience désagréable qu'a vécue un militant d'Ille-et-Vilaine durant cette journée. Ce délégué a été tiré au sort pour représenter son département. Pas question d'élection à LFI, en effet, même à échelon local.
Il a dans sa besace un texte, concocté avec ses camarades, qui réclame plus de pluralisme, d'ouverture et de démocratie au sein du mouvement. À aucun moment, il ne pourra prendre la parole pour faire part de ses doléances. On le fait taire d'un geste de la main. Puis, face à son insistance, on lui explique gentiment qu'une telle initiative « détruit l'organisation collective » et revient à « prendre en otage l'assemblée ». Plus tard dans la journée, quand Jean-Luc Mélenchon s'exprime, lui, sans entrave, il fustige « certains Insoumis, jamais contents, qui réclament plus de démocratie interne ». Pour lui, ce ne sont rien d'autre que des « pleurnichards ».

Pleurnichards ? C'est le nom que donnent aux contestataires ceux qui ne veulent pas voir une seule tête dépasser. Traiter toute critique de « pleurnicherie » est le premier stade de la dictature en marche, celle qui n'admet aucune critique, aucune réserve, aucune initiative. S'il fallait encore un indice du penchant totalitaire cultivé par le camarade Mélenchon, il tient dans l'emploi de cet adjectif.

Une complaisance larmoyante

Et puis, il est piquant de constater que le plus pleurnichard de tous, c'est lui ! Ce dirigeant si rude avec ses troupes se révèle d'une complaisance larmoyante envers lui-même. Dans sa dernière note de blog, datée du 23 décembre, il se livre à des considérations géopolitiques avant d'atterrir brutalement sur les rivalités boutiquières qui l'opposent au reste de la gauche : « La demande de Bompard d'une réunion de la Nupes est restée sans aucune réponse. Comme d'habitude, avec le même mépris pour nous. »

Jean-Luc Mélenchon, fin de parti(e) ?Il parle aussi de lui à la troisième personne du singulier, ce qui n'est jamais un signe encourageant : « La seule explication entendue, hormis le fait classique et banal que c'est de la faute des Insoumis et surtout de Mélenchon, c'est que ce serait une affaire “d'ego” entre les chefs de partis. »

La note précédente, le 15 octobre 2023, était déjà un concert de lamentations. Il y était question d'une « concentration de haine contre moi ». « Menaces de mort et matraquages téléphoniques me harcèlent donc quasiment sans pause depuis trois jours et le début de l'opération médiatique qui me vise, écrivait-il. Le harcèlement connaît des pics après chaque émission où l'on cotise à ma dénonciation c'est-à-dire : toutes. » À se demander qui, à LFI, est réellement le « pleurnichard » !

 

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MELENCHON : S’il n’était que « pleurnichard » comme bien de Français lambda cela ne serait rien, mais il est mal élevé et vindicatif ne se complétant que dans le désordre qu’il sème pour son seul plaisir de vieux politicien friqué ex ministre PS après la création de son parti d’extrême de gauche LFI ou il a viré sa cuti à l’extrémisme semeur de trouble avec en plus la création de cette NUPES agrégat reste de ces partis de gauches classiques moribonds !?

Mais c’est cela aussi notre France pays démocratique et libre ou de minables politiciens élus ou non de tous poils quelques soit leurs bords politiques peuvent troubler la marche si difficile de notre pays si mal gouverné depuis + de 40 ans !?

Car les Français lambda frondeurs pathologiques  dans leurs gènes historiques depuis toujours sont sensibles aux tribuns aboyeurs de foire inutiles qui perdurent depuis que notre Veme république existe et même avant et comme ils manquent en plus d’éducation car abêtit par des castes de politiciens de tous bords qui ne travaillent que pour eux et leurs avantages et privilèges hérités de l’ancien régime dont ils n’arrivent pas à se débarrasser malgré la révolution de 1789 cela ne peut s’améliorer avec en plus des dirigeants de tous bords qui se prennent pour des monarques sans couronne qu’ils élisent et réélisent comme des naïfs stupides n’y comprenant rien car cultivant leur « chacun pour soi dévastateur et leur versatilité incurable » !?

BONNEE 2024 TOUT DE MEME A TOUS CES FRANCAIS QUI AVALERONT LE DISCOURS ALAMBIQUE DES VŒUX DE NOTRE PETIT PRESIDENT BOURGEOIS QUI LES DEDAIGNE (car ils n’ont aucun amour propre comme lui !?)

Jdeclef 26/12/2023 09h30


lundi 25 décembre 2023

Le poste de 1er ministre est un siège éjectable pour donner un semblant de changement de gouvernements aux Présidents qui se sont succédés dans cette Veme république car avec trop de pouvoir que leur ont donné les Français si malléables en fait et qui n’ont rien oublié de l’ancien régime monarchique vieux millénaire car ils n’y comprennent plus rien ?!

 

La sortie programmée d’Élisabeth Borne (ET ALORS..?)

LA CHRONIQUE DE SERGE RAFFY. Dans le désastre politique de la séquence de la loi immigration, Emmanuel Macron, le principal artisan de ce mélodrame, a un bouc émissaire tout désigné.

Par Serge Raffy

DE TOUTE FACON LE PRESIDENT NE MANQUE PAS DE REMPLACANT BIDON A NOMMER GRACE A DES FRANÇAIS QUI ONT PERDU LEUR EDUCATION EN GENERAL ET HISTORIQUE EN BONS NAIFS IRRECUPERABLES TANT PIS POUR EUX !?

ON N’EST PAS ENCORE EN DEMOCRATURE MAIS PAS SI LOIN COMME A LA LIMITE D’AUTRES GRANDS PAYS CONNUS ET C’EST FORT INQUIETANT !?

Elle est sans aucun doute le symbole de la technostructure qu'Emmanuel Macron a imposée dans tous les rouages de l'État depuis son arrivée au pouvoir. Une fonctionnaire de haut vol, sérieuse, appliquée, femme de dossiers, dirigeant Matignon comme une autre administration, toujours le doigt sur la couture du pantalon, maugréant parfois contre son rival de l'Intérieur, Gérald Darmanin, l'homme qui avait pris toute la lumière pour défendre « sa » loi immigration.

Chance ou malchance, l'adoption de la motion de rejet de la loi à l'Assemblée nationale a redonné la main à Élisabeth Borne pour gérer politiquement le dossier. Exit le renégat de LR. La Première ministre est désormais en pleine lumière, contrainte de jouer au poker avec des élus qui n'ont qu'un objectif : la sortir du jeu, la pulvériser.

Cette politique de la terre brûlée, que l'on retrouve à La France insoumise, à la Nupes mais aussi au Rassemblement national, tous unis pour favoriser le naufrage de la fin de mandat de « Manu l'inconstant », Élisabeth Borne va en payer, à coup sûr, les pots cassés. C'est la logique institutionnelle.

Godille permanente

La locataire de Matignon, que certains surnomment « la femme invisible » tant elle n'a pas politiquement imprimé sa marque, sa signature, est déjà dans le chariot des condamnés. Mérite-t-elle pour autant d'être brûlée en place publique, vilipendée, envoyée aux galères de la macronie ?

Élisabeth n'était pas « born to be alive », diront certains. Ses qualités indéniables – ténacité, discipline, capacité à encaisser les coups de l'opposition et les coups de menton de son patron – auraient mérité un meilleur sort. Mais la Ve République est impitoyable pour les Premiers ministres. Ils sont les boucliers du président.

Rejet de la loi immigration à l'Assemblée nationale : les trois leçons de la criseLe mot « bouclière » n'existe pas encore, mais madame Borne pourrait l'étrenner. Elle a beaucoup donné pour ne pas révéler le tournis qu'engendrait chez elle la godille permanente de ce chef d'État changeant d'avis comme de chemise.

Un jour, il clame sur un ton martial que ce qu'il faut pour la France, c'est « l'ordre, l'ordre, l'ordre ». Un autre jour, il confie pratiquement le contraire, avec une légèreté de président papillonnant, comme en vadrouille.

Feuilleton brouillardeux

Même chose pour le conflit israélo-palestinien. Un jour, il joue les va-t-en-guerre, préconise une coalition internationale pour éradiquer le Hamas. Quelque temps plus tard, à la surprise générale, il devient l'artisan de la paix, il opte pour un cessez-le-feu.

Nul doute que, dans l'affaire de la loi immigration, terrorisé à l'idée d'aller pêcher dans les eaux lepénistes, il n'a pas osé franchir le Rubicon et n'a pas accepté la loi tricotée par la majorité du Sénat, provoquant le spectacle pitoyable de ce feuilleton brouillardeux, vu pratiquement en direct par les Français. Moment cathartique qui marque la fin du « en même temps » comme mode de gouvernement.

Le crépuscule de Macron et la fin du « chèvrechoutisme » Éjecter Élisabeth Borne, trop froide, trop techno, sans panache, sans petite phrase pour faire le buzz sur les réseaux ? Nommer, dans la foulée, un gouvernement de combat composé de ministres plus politiques, plus aguerris, prêts à aller au feu pour éviter de voir Macron finir dans les plumes et le goudron ? Le recrutement est lancé.

Pauvre pays qu’est devenu la France à cause des Français lambda eux-mêmes car c’est eux qui sont censés choisir et voter pour leurs dirigeants de tous bords et la politique qu’ils mènent souvent à leurs profits personnels en fait à l’image des citoyens qui cultivent leur « chacun pour soi » dévastateur personnel égoïste et versatile en plus typiquement dans leurs gènes semble-t-il bien franchouillard teinté d’orgueil et arrogance mal placé !?

Pourtant j’aime la France ou je suis né et descendant de génération dite de souche gauloise etc car ayant voyagé de par le monde et y ayant séjourné ou j’ai pu voir la différence de notre pays par rapport à d’autres totalitaires alors que certains de nos compatriotes (pas forcement de vrais français d’ailleurs crient à nos manques de libertés) pourtant là même si elles sont mal encadrées !?

Pour ce qui concerne la 1ere ministre voir les 1ers ministres qui se sont succédés durant cette Veme république gaullienne ils ne servent que d’alibi aux pseudo chefs de nos gouvernements de tous bords pour permettre aux chefs de l’état qui en plus se prennent pour des monarques sans couronne de faire des changements bidons ayant oublié notre révolution vielle de + 230 ans à qui de pauvres gogos naïfs de Français ont donné trop de pouvoir en les élisant et relisant depuis + de 40 ans voir avant  mais qui en plus ne peuvent pas changer de président si bavard qui les soulent de paroles de bienpensant donneur de leçons hypocrites pour celui-ci jusqu’en 2027 (alors « les carottes sont cuites pour ce mauvais bœuf mode » et peut être après va savoir !?)

Les électeurs français étant du style « plus bête je meurs » car incurables invétérés : BON NOEL ET BONNE ANNEE TOUT DE MEME A TOUS !?

JDECLEF 25/12/2023 11H49

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dimanche 24 décembre 2023

L’effrayant dans cette situation française et mondiale c’est que nos dirigeants n’ont rien retenus du passé de l’Occident et maintenant de l’Orient devenu vindicatif pour prendre sa revanche !?

 

Maghreb : l’offensive du Kremlin ?!

LETTRE DU MAGHREB. Sergueï Lavrov, le ministre des Affaires étrangères russe, a visité le Maroc et la Tunisie. Comme au Sahel, il promet de les libérer des Occidentaux.

Par Benoît Delmas

QUAND ON N’EST PAS CAPABLE D’ELIMINER DES MALFAISANTS HYPER DANGEREUX DES LE DEBUT DE LEURS EXACTIONS GUERRIERES OU TERRORISTES ON COURE A NOTRE PERTE !?

CAR HELAS LES HOMMES NE SONT PAS TOUS « BEAUX ET GENTILS » NOS PASSES HISTORIQUES LE PROUVENT ?!

Bis. Après avoir fait main basse sur une partie du Sahel, le Kremlin cajole les capitales du Maghreb avec l'objectif d'affaiblir les démocraties européennes sur leur flanc sud. L'événement est assez rare pour être signalé : le ministre des Affaires étrangères russes, l'inamovible Sergueï Lavrov, a passé vingt-quatre heures en Tunisie. Après Le Caire et Marrakech, l'homme s'est arrêté à Tunis, la nouvelle autocratie régionale. L'omniprésident Kaïs Saïed qui s'est emparé de tous les pouvoirs depuis le coup d'État du 25 juillet 2021 possède de nombreuses qualités pour plaire au régime de Vladimir Poutine. Mélange de nationalisme arabe et de marxisme vieille école, l'homme ne cache pas sa méfiance envers les instances internationales « illégitimes » (FMI…), les Occidentaux, la démocratie. L'homme, pro-Palestiniens depuis longtemps, se pose en allié de Gaza et en ennemi de « l'entité sioniste » et de ses alliés. Il tient un discours de pays non-alignés, plus virulent que la conférence de Bandung en 1955. Lavrov a pu développer ses arguments en terrain conquis. Ce qui n'a pas empêché la Commission européenne, coïncidence malheureuse, de verser à l'État tunisien 150 millions d'euros en « appui budgétaire » pendant le séjour de Lavrov. La somme atterrit directement dans les caisses de l'État sans besoin de justification. De quoi alimenter le discours du Kremlin sur la faiblesse des Européens.

Après le Sahel, cap sur le Maghreb

Au sud du Maghreb, le Sahel a basculé dans l'orbite russe. Mali, Burkina Faso et Niger sont désormais alignés sur le Kremlin. Des « formateurs », « consultants » et guerriers privés sont arrivés après le départ des forces françaises. Paris a décidé de fermer son ambassade à Niamey. Depuis, des images du nouveau colonialisme ont fleuri. À Kidal (Mali), tous fiérots, les mercenaires Wagner ont fait flotter leur drapeau au-dessus de la ville qu'ils ont reconquise aux rebelles Touaregs. La junte au pouvoir qui arguait du souverainisme pour exiger le départ de la force Barkhane n'aura pas moufté face à ce drapeau russe planté dans un fortin du Sahara.

Le Kremlin n'est pas sans atouts en Afrique du Nord. Ses liens avec l'Algérie sont serrés, politiquement et militairement, sa présence dans l'est de la Libye n'est pas un mirage, le maréchal Haftar va régulièrement à Moscou chercher soutien et cargaison de mercenaires. Par contre, si le Maroc joue la carte de l'indépendance, le royaume est un allié absolu de Washington depuis que l'administration Trump a reconnu « la marocanité du Sahara occidental ». Le parapluie américain est désormais fermement planté dans cette puissance régionale.

 Maghreb : les menaces du Sahel

Gaza, le terreau anti-Occidentaux

Si la guerre provoquée par la Russie en Ukraine a engendré dans le « Sud global » un sentiment du type « ce n'est pas notre guerre », celle qui embrase Gaza et menace les douze pour cent du commerce mondial qui transitent par la mer Rouge est d'une autre ampleur. L'opinion publique arabe a tranché : Israël, les États-Unis et la France sont les ennemis. C'est sur ce terreau particulièrement fertile que le jardinier Lavrov sème son discours. Avant de quitter le sol tunisien, il a déclaré que « chaque voyage d'une délégation russe […] est toujours précédé de démarches de diplomates occidentaux qui mettent en garde, avertissent, peut-être font allusion aux conséquences de la visite ». Il explique que « lors de sa visite au Caire de l'an dernier à la Ligue des États arabes, les ambassadeurs américain, britannique, européens demandaient l'annulation de son discours au siège de cette organisation ». Selon lui, « les diplomates occidentaux ont demandé aux représentants de la Ligue que les pays arabes condamnent les actions en Ukraine ». Les Occidentaux auraient également « exigé de ne pas prendre de photo avec lui ». La stratégie du Kremlin, qui a de bons capteurs au Maghreb, revient à expliquer que les démocraties agissent en colons et que Moscou va les libérer.

 Maghreb : la tentation de la Russie

« Wagner libère du colonialisme »

Maksim Shugaley est un VRP de cette politique. Ce quinqua fait partie d'une noria de « consultants ». Il a œuvré de Madagascar jusqu'à la République centrafricaine en passant par le Soudan (en proie à un des pires conflits actuels sur la planète) ou la Libye. Il y sera accusé d'espionnage et purgera un an et demi de prison. Dans un post Facebook, il explique que « Wagner, c'est une continuation du mouvement de libération contre le colonialisme qui a commencé sur le continent noir avec la participation de l'URSSS ». « Les héros russes chassent maintenant les terroristes avec un manche à balai, forçant l'État islamique et Al-Qaïda à fuir »*. Son crédo ? « Les Britanniques ont Robin des Bois ; les Russes ont Wagner qui sauvent des civils à l'étranger. » Sergueï Lavrov n'avance pas seul. Une armée de trolls le précède. Le danger pour les démocraties européennes ? Que l'Algérie, la Tunisie et une partie de la Libye forment un front commun russe. À une heure d'avion.

 

Les faits les plus importants à retenir depuis 2022 est la guerre Russo Ukrainienne qui en fait a débuté en février 2014 et c’est POUTINE ce dictateur qui l’a déclenchée ne vaut guère mieux que d’autres dictateurs criminels y compris HITLER que l’on avait pas su stopper en 1939  avec de beaux discours et traités bidons et que l’on avait dû combattre avec arrogance inefficace d’une soit disant armée franaçaise puissante avec des généraux vieilles barbes dépassés par des guerres mondiales jusqu’en 1945 et même jusqu’aux USA qui y sont entrés tardivement mais qui ont dû affronter une guerre épouvantable pour se défendre du JAPON qui les avait attaqué à Pearl Harbour avec utilisation de la bombe atomique pour y mette fin ?!

Mais à première vue aujourd’hui nos dirigeants Français et Européens associés aux USA (qui commencent à trainer les pieds pour l’aide militaire et financières à l’UKRAINE car en période préélectorale pour l’élection de leur président) n’ont toujours pas compris et en plus comme notre dirigeant hyper bavard incompétent donneur de leçons bienpensant et sa diplomatie hypocrite ne nous protège pas assez jusqu’à laisser le pays aller à vau l’eau car n’arrivant pas à maintenir l’ordre et la sécurité quotidienne qui se dégrade chaque jour dans notre pays avec des menaces d’attentats islamique rampants d’ailleurs des faits divers quotidiens qui font les unes médiatiques diverses sont de plus en plus fréquents comme par exemple des agressions violentes sur les maires de nos communes qui eux gèrent au quotidien leurs villes ou village !?

Alors les Français lambda protestent défilent manifestent quelque fois violemment contre la situation économique et politique de leur pays qui devient ingouvernable pas loin de l’anarchie car la France décline et va mal c’est cela la réalité ?!

Mais hélas le pouvoir en place président 1ere ministre et ministres divers sont arrivés au comble de l’incompétence gouvernementale il faudrait que les Français commencent enfin à le comprendre et s’en rendre compte avant qu’il ne soit trop tard !?

Jdeclef 24/12/2023 13h29

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Mais il n’a pas de plan novateur de notre petit président bourgeois parvenu ça se saurait car le constat est simple avant avec la fin de la guerre froide d’après guerres mondiales c’était l’EST contre l’OUEST maintenant c’est peut être pire c’est l’OCCIDENT contre l’ORIENT avec en plus les deux religions monothéistes qui s’opposent judeo-chretienne et musulmane islamique depuis avant l’an 1000 et ses croisades et nous sommes en 2023 et pour la France il faudra attendre 2027 pour un éventuel changement hypothétique (à cause des citoyens Français pour notre pays !?)

 

Israël-Palestine : le plan que pourrait présenter la France ?!

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. Notre pays pourrait tirer profit de l’émotion que suscitent les événements pour faire sortir la communauté internationale de sa passivité.

Par Gérard Araud

RIEN DE NOUVEAU A ATTENDRE DE DIRIGEANTS BORNES SANS IDEES NOVATRICES C’EST CELA LA REALITE !?)

La tragédie que vivent Israéliens et Palestiniens depuis l'attaque du 7 octobre remet sur la table le conflit qui les oppose depuis 1948. Nul ne paraît prêt à s'en saisir. Pour négocier, il faut être deux : or, nous n'avons rien à espérer des protagonistes.
En effet, il est clair que jamais Israël ne verra dans le Hamas un partenaire après les atrocités que ce mouvement a commises. On ne peut attendre qu'il fasse des concessions en faveur de tels ennemis qui, de surcroît, appellent à sa disparition.

De son côté, le gouvernement israélien s'oppose de toutes ses forces à la création d'un État palestinien. Ce n'est donc pas renvoyer les deux adversaires dos à dos que de constater que ni chez les Israéliens ni chez les Palestiniens, n'existe aujourd'hui de force politique capable de prendre les décisions difficiles et courageuses qui permettraient l'ouverture de négociations de paix pour la création de deux États entre la mer et le Jourdain. L'impulsion doit venir de l'extérieur.

EXCLUSIF. Ehoud Barak : « Le défi pour Israël est XXL, nos dirigeants sont de taille M »

La communauté internationale doit sortir de sa passivité

L'erreur serait d'attendre que la fièvre actuelle retombe pour revenir à la négociation entre les deux ennemis. Il faut, au contraire, tirer profit de l'émotion que suscitent les événements pour faire sortir la communauté internationale de sa passivité avant qu'elle n'y retombe. Aujourd'hui, on répète partout que rien ne sera comme avant, mais ce ne sont que des mots.

La réalité, c'est que la crise que nous vivons si atroce soit-elle ne modifie en rien les équilibres géopolitiques de la région. Dans ce contexte, les États du Moyen-Orient, Israël au premier chef, aspirent à retourner à un statu quo ante qui leur était favorable. L'émotion des opinions publiques offre à la diplomatie une courte fenêtre d'opportunité dont il faut profiter pour convaincre nos partenaires que ce ne serait qu'une dangereuse illusion qui nous mettrait à la merci du renouvellement d'une crise. La France peut en être le messager désintéressé.

 Israël-Palestine : comment dénouer cette tragédie sans fin ?

L'administration Biden, qui entre dans une campagne électorale difficile, doit répondre à la colère de l'aile gauche du parti démocrate sans s'aliéner les centristes favorables à Israël : elle peut avoir intérêt à laisser à d'autres l'initiative à condition d'être consultée. Les pays arabes doivent prouver à leur opinion publique qu'ils prennent au sérieux la cause palestinienne sans cependant remettre en cause leur rapprochement avec Israël et sans apparaître soutenir le Hamas, leur ennemi. La Chine, pour laquelle la stabilité de la région est essentielle car elle est son principal pourvoyeur d'énergie, a un rôle à jouer d'autant que sa participation rendrait plus difficile l'obstruction de la Russie et de l'Iran. L'Union européenne et le Royaume-Uni, moyennant le respect des « convenances » à leur égard, devraient suivre.

Dans ce contexte, si nous voulons ouvrir une négociation, il faut, d'une part, agir vite en allant à l'essentiel sans laisser les deux parties multiplier leurs habituelles tactiques dilatoires et, d'autre part, mobiliser la communauté internationale pour qu'elle pèse de tout son poids pour convaincre celles-ci de faire les concessions nécessaires.

 Guerre Israël-Hamas : notre entretien exclusif avec le Premier ministre du Qatar

Jérusalem, capitale des deux États

Pour atteindre ces objectifs, la France pourrait proposer une déclaration qui pourrait avoir deux grandes parties :

  • La première définirait le règlement final en allant assez loin dans les détails. Nous en connaissons les grandes lignes. Ne perdons pas de temps. Pourquoi ne pas les officialiser et mettre ainsi les deux parties face à leurs responsabilités ? Deux États sur la base de la ligne de 1967, Jérusalem la capitale des deux États avec garantie internationale d'accès aux lieux saints, la démilitarisation de l'État palestinien, l'indemnisation des descendants des réfugiés Palestiniens sans droit au retour.
  • La seconde partie qui serait la plus créative définirait d'une certaine manière le « paquet-cadeau » que la communauté internationale serait prête à mettre au pot pour aider Israël et les Palestiniens à parvenir à un accord sur la base de la première partie : financement par les pays arabes de la construction d'un État palestinien, association à l'UE des deux États, rôle de l'Otan, garanties de sécurité à Israël etc. Il s'agit de créer un choc psychologique pour prouver à l'opinion publique des deux ennemis qu'elle a un intérêt à conclure. Il faut ainsi donner la parole aux modérés israéliens et palestiniens, qui se taisent par absence d'espoir.

Pour conclure, la déclaration pourrait appeler à l'organisation d'élections sous contrôle international dans les territoires palestiniens sur cette base et immédiatement après à l'ouverture de négociations entre Israël et l'autorité palestinienne qui en résulterait. Cette déclaration devrait être soumise à l'adhésion du plus grand nombre d'États signataires possibles avant d'être approuvée par le Conseil de sécurité des Nations unies.

Guerre Hamas-Israël : Autorité palestinienne, l'impossible recours

Je pourrais moi-même soulever les multiples objections que suscite cette proposition. Elle est audacieuse mais le moment est venu de trancher : soit nous nous résignons à la répétition régulière de la tragédie que nous vivons, soit nous refusons d'être les otages des extrémistes des deux camps et nous prenons nos responsabilités. Le risque de l'échec est réel. Ce serait l'honneur de la France de le prendre.

Par pitié que notre petit président se prenant pour un monarque mais sans couronne commence à balayer devant sa porte et celle de la France que l’on n’écoute plus devenue lanterne rouge de l’U.E. La tragédie que vivent Israéliens et Palestiniens depuis l'attaque du 7 octobre remet sur la table le conflit qui les oppose depuis 1948. Nul ne paraît prêt à s'en saisir. Pour négocier, il faut être deux : or, nous n'avons rien à espérer des protagonistes.

En effet, il est clair que jamais Israël ne verra dans le Hamas un partenaire après les atrocités que ce mouvement a commises. On ne peut attendre qu'il fasse des concessions en faveur de tels ennemis qui, de surcroît, appellent à sa disparition.

De son côté, le gouvernement israélien s'oppose de toutes ses forces à la création d'un État palestinien. Ce n'est donc pas renvoyer les deux adversaires dos à dos que de constater que ni chez les Israéliens ni chez les Palestiniens, n'existe aujourd'hui de force politique capable de prendre les décisions difficiles et courageuses qui permettraient l'ouverture de négociations de paix pour la création de deux États entre la mer et le Jourdain. L'impulsion doit venir de l'extérieur.

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La communauté internationale doit sortir de sa passivité

L'erreur serait d'attendre que la fièvre actuelle retombe pour revenir à la négociation entre les deux ennemis. Il faut, au contraire, tirer profit de l'émotion que suscitent les événements pour faire sortir la communauté internationale de sa passivité avant qu'elle n'y retombe. Aujourd'hui, on répète partout que rien ne sera comme avant, mais ce ne sont que des mots.

La réalité, c'est que la crise que nous vivons si atroce soit-elle ne modifie en rien les équilibres géopolitiques de la région. Dans ce contexte, les États du Moyen-Orient, Israël au premier chef, aspirent à retourner à un statu quo ante qui leur était favorable. L'émotion des opinions publiques offre à la diplomatie une courte fenêtre d'opportunité dont il faut profiter pour convaincre nos partenaires que ce ne serait qu'une dangereuse illusion qui nous mettrait à la merci du renouvellement d'une crise. La France peut en être le messager désintéressé.

 Israël-Palestine : comment dénouer cette tragédie sans fin ?

L'administration Biden, qui entre dans une campagne électorale difficile, doit répondre à la colère de l'aile gauche du parti démocrate sans s'aliéner les centristes favorables à Israël : elle peut avoir intérêt à laisser à d'autres l'initiative à condition d'être consultée. Les pays arabes doivent prouver à leur opinion publique qu'ils prennent au sérieux la cause palestinienne sans cependant remettre en cause leur rapprochement avec Israël et sans apparaître soutenir le Hamas, leur ennemi. La Chine, pour laquelle la stabilité de la région est essentielle car elle est son principal pourvoyeur d'énergie, a un rôle à jouer d'autant que sa participation rendrait plus difficile l'obstruction de la Russie et de l'Iran. L'Union européenne et le Royaume-Uni, moyennant le respect des « convenances » à leur égard, devraient suivre.

Dans ce contexte, si nous voulons ouvrir une négociation, il faut, d'une part, agir vite en allant à l'essentiel sans laisser les deux parties multiplier leurs habituelles tactiques dilatoires et, d'autre part, mobiliser la communauté internationale pour qu'elle pèse de tout son poids pour convaincre celles-ci de faire les concessions nécessaires.

 Guerre Israël-Hamas : notre entretien exclusif avec le Premier ministre du Qatar

Jérusalem, capitale des deux États

Pour atteindre ces objectifs, la France pourrait proposer une déclaration qui pourrait avoir deux grandes parties :

  • La première définirait le règlement final en allant assez loin dans les détails. Nous en connaissons les grandes lignes. Ne perdons pas de temps. Pourquoi ne pas les officialiser et mettre ainsi les deux parties face à leurs responsabilités ? Deux États sur la base de la ligne de 1967, Jérusalem la capitale des deux États avec garantie internationale d'accès aux lieux saints, la démilitarisation de l'État palestinien, l'indemnisation des descendants des réfugiés Palestiniens sans droit au retour.
  • La seconde partie qui serait la plus créative définirait d'une certaine manière le « paquet-cadeau » que la communauté internationale serait prête à mettre au pot pour aider Israël et les Palestiniens à parvenir à un accord sur la base de la première partie : financement par les pays arabes de la construction d'un État palestinien, association à l'UE des deux États, rôle de l'Otan, garanties de sécurité à Israël etc. Il s'agit de créer un choc psychologique pour prouver à l'opinion publique des deux ennemis qu'elle a un intérêt à conclure. Il faut ainsi donner la parole aux modérés israéliens et palestiniens, qui se taisent par absence d'espoir.

Pour conclure, la déclaration pourrait appeler à l'organisation d'élections sous contrôle international dans les territoires palestiniens sur cette base et immédiatement après à l'ouverture de négociations entre Israël et l'autorité palestinienne qui en résulterait. Cette déclaration devrait être soumise à l'adhésion du plus grand nombre d'États signataires possibles avant d'être approuvée par le Conseil de sécurité des Nations unies.

Guerre Hamas-Israël : Autorité palestinienne, l'impossible recours

Je pourrais moi-même soulever les multiples objections que suscite cette proposition. Elle est audacieuse mais le moment est venu de trancher : soit nous nous résignons à la répétition régulière de la tragédie que nous vivons, soit nous refusons d'être les otages des extrémistes des deux camps et nous prenons nos responsabilités. Le risque de l'échec est réel. Ce serait l'honneur de la France de le prendre.

Par pitié que notre petit président se prenant pour un monarque mais sans couronne commence à balayer devant sa porte et celle de la France que l’on n’écoute plus devenue lanterne rouge de l’U.E. et des pays libres et démocratiques qui restent encore pour la paix du monde si possible au bord du pire qui se rapproche dangereusement avec sa « macronie du en même temps » qui a fait long feu car quand on gratte ce vernis qui recouvre ces politiciens français de tous bords il laisse apparaitre l’incompétence lamentable dans la gestion de notre pays mais aussi des Français lambda qui sont censés voter pour les élire et réélire ils ont pourtant déjà commis cette erreur avec le « mitterrandisme » qui fut un échec mais là ils ont récidivé ?!

Donc résumons quand on a des dirigeants que nous avons élus et réélus d’une incompétence remarquable avec en plus à leur tête un dirigeant bavard s’écoutant parler et donneur de leçons hypocrites qu’il veut donner au monde entier que personne n’écoute vraiment ni même ces Français si naïfs et incurables qui se sont encore trompés en espérant que l’addition ne sera pas trop chère à payer d’ici 2027 (et peut être après va savoir !?)

Bon Noel à tous si possible pour ceux qui peuvent en profiter dans notre pays (dit riche) mais où il y a encore trop de malheureux hélas !?

JDECLEF 24/12/2023 10H58