vendredi 15 décembre 2023

Cette loi sur l’immigration est le summum de l’incompétence de nos dirigeants et cette « macronie » symbole de la descente vers le fond de notre pays ?!

 


Élisabeth Borne : la politique en catimini ?!

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Ce n’est pas – entièrement – de sa faute, mais la Première ministre incarne, en cette fin de semaine, une étrange manière d’écrire la loi : loin des débats et des regards.

QUE DIRE DE PLUS DE LA DELIQUECENSE DE LA France : (Décadence complète ; perte de la force, de la cohésion )

de notre pays et ses dirigeants et gouvernements car ils sont incurables comme les Français lambda ce qui est inquiétant !?

Contre des consultations avec les représentants de la droite, les ministres concernés, les groupes de la majorité pour sortir du guêpier sur la loi immigration, la Première ministre a dû trouver le temps de paraître à l'Assemblée nationale. Pour assister à des débats ? Non, pour engager l'article 49.3. Une fois encore. La 21e. Il s'agissait, cette fois, du volet recettes du budget de l'État pour l'année 2024. Et La France insoumise a annoncé, dans la foulée, qu'elle déposait une motion de censure. La routine, donc ?

Pas tout à fait. Cette journée illustre l'absurdité politique dans laquelle se trouvent les décideurs politiques, qu'ils appartiennent au pouvoir exécutif ou législatif. Élisabeth Borne vient « faire le job » dans l'hémicycle avec les mêmes mots, le même cérémonial que d'ordinaire. Sauf que la situation politique n'est pas ordinaire.

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Une loi que les Français attendent, qu'ils réclament même, celle sur l'immigration, a été torpillée lundi par les oppositions réunies dans un attelage contre nature. Le salut pour le gouvernement réside dans l'adoption d'un texte par une commission mixte paritaire (CMP, composée de sept députés et de sept sénateurs) qui se réunira lundi après-midi, sous réserve qu'elle soit ensuite confirmée par le Parlement. Tout cela, comme pour le budget de l'État, ou celui sur la Sécurité sociale, sans que les législateurs aient pu, ou voulu plus exactement, se prononcer après s'être exprimés. 

Un scénario à huis clos

La motion de rejet sur la loi immigration représente une variante inédite de cet « empêchement » récurrent. « Pour moi, c'est un gâchis épouvantable parce que, si on a un texte qui est conclu par la commission mixte paritaire […] et s'il est voté, il sera voté sans avoir été examiné » à l'Assemblée nationale, déplorait François Bayrou ce jeudi sur France 5. « Si les députés refusent de voter la loi, à quoi bon être élu député ? » remarquait-il non sans un bon sens certain, fustigeant les oppositions « qui ont choisi de se supprimer elles-mêmes, de s'effacer elles-mêmes ».

Or, depuis trois jours, il s'agit pour le gouvernement de sauver les meubles. De ne pas s'avouer vaincu : le retrait du texte de loi sur l'immigration serait vécu, à tort ou à raison, comme la fin symbolique du second quinquennat d'Emmanuel Macron, condamné à gérer pendant plus de trois ans les affaires courantes, à moins de trouver la martingale magique qui sortirait son mandat de la léthargie.

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Élisabeth Borne, donc, consulte, négocie, avec des LR à fiabilité limitée, avec des troupes parlementaires à loyauté indexée, pour tenter d'arriver, lundi, devant une CMP dominée par la droite, avec une version cousue main. Et l'ensemble de ce scénario se joue dans le secret des huis clos, loin des regards et des débats ouverts à la curiosité de tous les citoyens. Les confidences intéressées des uns et des autres sont les seules sources d'information, forcément sujettes à caution.

La Première ministre n'est pas responsable de cet enchaînement politique improbable. Mais sa journée de jeudi illustre jusqu'à la caricature la politique en catimini. Qu'Élisabeth Borne cherche à sauver son poste, à sauver sa loi, à sauver le quinquennat importe peu. Ce qui dérange, et dont toutes les forces politiques sont responsables, voire coupables, c'est ce parfum de renfermé quand le débat politique devrait se pratiquer les fenêtres ouvertes.

 

 

Cessons cette fumisterie de pseudo gouvernance via Mme BORNE notre 1ere ministre servile qui fait semblant d’aboyer à l’assemblée nationale « collaboratrice » inféodée du président (comme  par exemple avait nommé un de nos précédents président Sarkozy le magouilleur qui a encore maille à partir avec la justice pour son 1er ministre FILLON) ce qui avait souligné l’inutilité de ce poste inféodé au pouvoir en place en fait un porte-parole de cette politique « du en même temps » d’une stupidité remarquable avec une clique de ministres de cette « macronie » et gouvernements de cette clique d’incompétents qui ne fait que confirmer que notre pays devient ingouvernable car constellé de ces articles «  49/3 » totalitaire pour faire passer des bribes de lois au coup par coup !?

On arrive à se demander si nos dirigeants et leurs gouvernements ne préfèreraient pas être en démocrature très à la mode dans notre monde malade qui fleurissent comme de la mauvaise herbe car ses politiciens de tous bords n’arrivent plus à s’entendre ainsi que les Français lambda aussi qui ne se rendent pas compte de la gravité de nos institutions et la chute de notre pays depuis des décennies ou rien ne marche correctement ce dernier épisode avec cette loi serpent de mer pour l’immigration le prouve (et ce n’est pas fini d’ici 2027 hélas pour notre pauvre France et ses concitoyens semblant vraiment bornés n’arrivant plus à réfléchir sereinement  !?)

Jdeclef 15/12/2023 12h04

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