La sortie programmée
d’Élisabeth Borne (ET ALORS..?)
LA CHRONIQUE
DE SERGE RAFFY. Dans le désastre politique de la séquence de la loi
immigration, Emmanuel Macron, le principal artisan de ce mélodrame, a un bouc
émissaire tout désigné.
DE TOUTE FACON
LE PRESIDENT NE MANQUE PAS DE REMPLACANT BIDON A NOMMER GRACE A DES FRANÇAIS QUI
ONT PERDU LEUR EDUCATION EN GENERAL ET HISTORIQUE EN BONS NAIFS IRRECUPERABLES TANT
PIS POUR EUX !?
ON N’EST PAS
ENCORE EN DEMOCRATURE MAIS PAS SI LOIN COMME A LA LIMITE D’AUTRES GRANDS PAYS CONNUS
ET C’EST FORT INQUIETANT !?
Elle est sans aucun doute le symbole de la technostructure qu'Emmanuel Macron
a imposée dans tous les rouages de l'État depuis son arrivée au pouvoir. Une
fonctionnaire de haut vol, sérieuse, appliquée, femme de dossiers, dirigeant
Matignon comme une autre administration, toujours le doigt sur la couture du
pantalon, maugréant parfois contre son rival de l'Intérieur, Gérald Darmanin,
l'homme qui avait pris toute la lumière pour défendre « sa » loi
immigration.
Chance ou malchance, l'adoption de la motion
de rejet de la loi à l'Assemblée nationale a redonné la main à Élisabeth Borne
pour gérer politiquement le dossier. Exit le renégat de LR. La Première
ministre est désormais en pleine lumière, contrainte de jouer au poker
avec des élus qui n'ont qu'un objectif : la sortir du jeu, la
pulvériser.
Cette politique de la terre brûlée, que l'on retrouve à La France insoumise, à
la Nupes mais aussi au Rassemblement national, tous unis pour favoriser
le naufrage de la fin de mandat de « Manu l'inconstant »,
Élisabeth Borne va en payer, à coup sûr, les pots cassés. C'est la logique
institutionnelle.
La locataire de Matignon, que certains surnomment « la femme
invisible » tant elle n'a pas politiquement imprimé sa marque, sa
signature, est déjà dans le chariot des condamnés. Mérite-t-elle pour autant
d'être brûlée en place publique, vilipendée, envoyée aux galères de la
macronie ?
Élisabeth n'était pas « born to be alive », diront certains. Ses
qualités indéniables – ténacité, discipline, capacité à encaisser les
coups de l'opposition et les coups de menton de son patron – auraient
mérité un meilleur sort. Mais la Ve République est
impitoyable pour les Premiers ministres. Ils sont les boucliers du président.
Rejet
de la loi immigration à l'Assemblée nationale : les trois leçons de la
criseLe mot « bouclière » n'existe pas encore,
mais madame Borne pourrait l'étrenner. Elle a beaucoup donné pour ne pas
révéler le tournis qu'engendrait chez elle la godille permanente de ce chef
d'État changeant d'avis comme de chemise.
Un jour, il clame sur un ton martial que ce qu'il faut pour la France, c'est
« l'ordre, l'ordre, l'ordre ». Un autre jour, il confie pratiquement
le contraire, avec une légèreté de président papillonnant, comme en vadrouille.
Feuilleton brouillardeux
Même chose pour le conflit israélo-palestinien. Un jour, il joue les
va-t-en-guerre, préconise une coalition
internationale pour éradiquer le Hamas. Quelque temps plus tard, à
la surprise générale, il devient l'artisan de la paix, il opte pour un
cessez-le-feu.
Nul doute que, dans l'affaire de la loi immigration,
terrorisé à l'idée d'aller pêcher dans les eaux lepénistes, il n'a pas osé
franchir le Rubicon et n'a pas accepté la loi tricotée par la majorité du
Sénat, provoquant le spectacle pitoyable de ce feuilleton brouillardeux, vu
pratiquement en direct par les Français. Moment cathartique qui marque la fin
du « en même temps » comme mode de gouvernement.
Le
crépuscule de Macron et la fin du « chèvrechoutisme »
Éjecter Élisabeth Borne, trop froide, trop techno, sans panache, sans petite
phrase pour faire le buzz sur les réseaux ? Nommer, dans la foulée,
un gouvernement de combat composé de ministres plus politiques,
plus aguerris, prêts à aller au feu pour éviter de voir Macron finir dans les
plumes et le goudron ? Le recrutement est lancé.
Pauvre pays qu’est devenu la
France à cause des Français lambda eux-mêmes car c’est eux qui sont censés choisir
et voter pour leurs dirigeants de tous bords et la politique qu’ils mènent souvent
à leurs profits personnels en fait à l’image des citoyens qui cultivent leur « chacun
pour soi » dévastateur personnel égoïste et versatile en plus typiquement dans
leurs gènes semble-t-il bien franchouillard teinté d’orgueil et arrogance mal placé
!?
Pourtant j’aime la France ou
je suis né et descendant de génération dite de souche gauloise etc car ayant voyagé
de par le monde et y ayant séjourné ou j’ai pu voir la différence de notre pays
par rapport à d’autres totalitaires alors que certains de nos compatriotes (pas
forcement de vrais français d’ailleurs crient à nos manques de libertés) pourtant
là même si elles sont mal encadrées !?
Pour ce qui concerne la 1ere
ministre voir les 1ers ministres qui se sont succédés durant cette Veme république
gaullienne ils ne servent que d’alibi aux pseudo chefs de nos gouvernements de tous
bords pour permettre aux chefs de l’état qui en plus se prennent pour des monarques
sans couronne de faire des changements bidons ayant oublié notre révolution vielle
de + 230 ans à qui de pauvres gogos naïfs de Français ont donné trop de pouvoir
en les élisant et relisant depuis + de 40 ans voir avant mais qui en plus ne peuvent pas changer de président
si bavard qui les soulent de paroles de bienpensant donneur de leçons hypocrites
pour celui-ci jusqu’en 2027 (alors « les carottes sont cuites pour ce mauvais
bœuf mode » et peut être après va savoir !?)
Les électeurs français étant
du style « plus bête je meurs » car incurables invétérés : BON NOEL
ET BONNE ANNEE TOUT DE MEME A TOUS !?
JDECLEF 25/12/2023 11H49
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