vendredi 15 décembre 2023

Plus bête que les occidentaux mal gouvernés par des bienpensant donneurs de leçons hypocrites nous mourront et donc POUTINE se redresse sur ses ergots de coq de combat (logique en fait avec des adversaires comme l’U.E. molle et ses dirigeants bavards assisté du vieux Mr BIDEN qui à autre chose à penser avec sa campagne électorale avec TRUMP à l’affut ?!)

 

La victoire sera à nous » : Vladimir Poutine inflexible sur l’Ukraine !?

ANALYSE. Lors de sa conférence de presse annuelle, le président russe a réaffirmé son objectif de « dénazifier » l’Ukraine, où la contre-offensive de Zelinsky patine.

Par Marc Nexon

LA DIVISION DE l’U.E. ET MEME LA VENUE DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES US NE PEUT QUE PROFITER A POUTINE QUI NE DEMANDAIT QUE CA MAIS MONTRE LA MAUVAISE QUALITE DE NOS DIRIGEANTS ET LEURS POLITIQUES MEDIOCRES INTERNATIONALES DE BAVARDS DENUES DE SENS ( voir hasardeuses ou même dangereuses ?!)

Pour le symbole, il était important de franchir la barre des quatre heures. Et ce fut fait. Vladimir Poutine s'est exprimé jeudi bien au-delà des trois heures réservées à sa conférence de presse annuelle, où se mêlaient, cette fois, les questions des citoyens. Ainsi le voulait le Kremlin : offrir au monde l'image d'un président vaillant et à l'écoute.
Poutine y a mis du sien. Muni d'un feutre noir, il a pris de nombreuses notes, soulignant des mots, entourant des paragraphes. Il s'est montré décontracté et plutôt alerte, en dépit d'une toux apparue à la quatrième heure « à cause de l'air conditionné », a-t-il précisé.

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Poutine ouvre la voie à de nouvelles conquêtes

Les circonstances, il est vrai, lui sourient. La contre-offensive ukrainienne patine tandis que l'armée russe maintient la pression grâce à ses fortifications et son imposant stock de munitions. Quant à l'Occident, il tergiverse. Le Congrès américain, paralysé par les républicains, peine à signer une nouvelle aide à l'Ukraine. Et l'Europe bute sur les menaces de veto de la Hongrie, décidée à empêcher tout rapprochement de Kiev et de l'Union européenne.

 « Le vent de l'histoire mène inexorablement l'Ukraine vers l'UE » En face, Poutine inscrit désormais sa guerre dans la durée. Pas question de fléchir. « Il y aura la paix lorsque nous aurons atteint nos objectifs », martèle-t-il, à savoir, « la dénazification, la démilitarisation de l'Ukraine et son statut de neutralité », des conditions déjà posées avant le début du conflit. Or la solution sera « négociée ou obtenue par la force ». « La victoire sera à nous », insiste-t-il à plusieurs reprises. Et de pointer l'affaiblissement du soutien militaire à l'Ukraine : « Ils reçoivent tout en cadeau mais ces cadeaux s'épuisent à un moment ou un autre. »

Plus inquiétant, Poutine ouvre la voie à de nouvelles conquêtes. La ville d'Odessa, sur la mer Noire, figure parmi ses cibles. « Odessa est une ville russe, tout le monde le sait, dit-il. Le sud-est de l'Ukraine a toujours été prorusse parce que ce sont des territoires historiquement russes. » Il entend néanmoins rassurer son opinion. Les troupes engagées, soit 486 000 soldats, sont suffisantes. Une nouvelle mobilisation « n'est pas nécessaire.

Poutine évoque « son ami » Xi Jinping

Poutine maintient donc son cap. La résistance de l'économie russe l'y encourage. Certes, l'inflation estimée à plus de 7 % suscite des mécontentements mais le PIB devrait croître de 3,5 % cette année. On est loin de « l'effondrement » promis par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire au lendemain de l'invasion et de l'adoption des sanctions occidentales. Au contraire, les revenus dégagés par la vente d'hydrocarbures à la Chine et à l'Inde alimentent la hausse exceptionnelle des dépenses militaires, à présent établies à 6 % du PIB.

L'intervention d'un journaliste chinois durant la conférence a offert à Poutine l'opportunité de dire tout le bien qu'il pense de « son ami », le président Xi Jinping, avec lequel « il travaille intensément ». « Regardez les voitures chinoises qui envahissent l'Europe », lance-t-il dans une allusion au déclin supposé du vieux continent.

Pour le reste, une large place a été consacrée aux questions venues de province. « Vous voyez, je suis démocrate », s'amuse Poutine, qui préférera souvent donner la parole aux représentants des républiques plutôt qu'aux médias nationaux. À chaque fois, il s'engage à régler les problèmes soulevés, qu'il s'agisse d'hôpitaux, de routes, de retraites ou de prix d'œufs trop élevés, en promettant de s'adresser aux ministres concernés. Une vieille habitude du tsar Poutine, qui entend demeurer au-dessus de la mêlée.

Puis a surgi la question finale posée par la journaliste du plateau, en tailleur rouge. « Que lisez-vous en ce moment ? » « Je vais lire notre Code pénal puisqu'on prétend que les peines d'emprisonnement sont trop lourdes. Il faut sûrement faire quelque chose. » Les opposants embastillés apprécieront. À commencer par Alexeï Navalny, condamné à 19 ans de prison, dont les avocats sont sans nouvelle depuis une semaine et probablement transféré vers une colonie pénitentiaire à régime plus sévère.

Ilia Ponomarev, l'opposant à Poutine qui rêve de marcher sur Moscou

Logiquement POUTINE se redresse avec sa guerre contre l’Ukraine qui piétine car l’Europe et occident assisté de son OTAN épouvantail US ne lui a jamais fait peur !?

Car cette U.E occidentale pas si unie que cela pour preuve le hongrois Victor Orban qui a mis un veto sur une aide financière importante et son grand allié US qui traine les pieds avec son président Biden pour une rallonge en matériel militaire et finance car en plus entrant en campagne électorale ou certains espèrent le retour de TRUMP !?

Et ce même avec une candidature de l’Ukraine à l’Union Européenne actée mais bidon arrivant trop tard malgré le petit président ukrainien Zelinsky qui fait le tour des popotes occidentales en VRP pour récupérer plus d’aides militaires et financières pour sa guerre d’indépendance ou de libération de l’emprise russe !?

De toute façon les guerres en Europe et dans le monde depuis les dernières mondiales ou coloniales avec fin d’empires dure en moyenne 5 ans et c’est toujours les peuples et allies défendeurs des pays agressés qui en subissent les conséquences indirectes et notamment économiques !?

Car nos dirigeants comme le nôtre président bienpensant bavard donneur de leçons hypocrite de fausses diplomaties creuses n’ont pas compris que le maitre KREMLIN dictateur ne connaissant que la force ne cèderait rien et que c’était des le début qu’il fallait l’arrêter ce qui bien sûr n’a pas été fait alors que possible au début (espérant que cette agression Russo Ukrainienne ne déborde pas chez nous !?)

Mais hélas les peuples des pays démocratiques libres s’en remettent aveuglement à nos dirigeants pleutres et bavards en les réélisant en plus comme en France jusqu’en 2027 (comme si de rien n’était important) car si mal gouvernés et pas assez protégés (malgré nos guerres mondiales et le nazisme qui ne leur a pas servi de leçons !?)

Jdeclef 15/12/2023 10h04

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