Pour être le président de la France et surtout des Français souvent indisciplinés râleurs et versatiles il faut une grande volonté et comme lui n’en n’a pas il faudra attendre au mieux 2027 en espérant que l’on n’ira pas vers le pire après ?!

 

École, Parlement : l’autorité présidentielle en perdition déjà depuis 2018 car cela n’a pas trainé ?!

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Des professeurs harcelés, un projet de loi balayé par les oppositions, un président privé de riposte institutionnelle… C’est une crise politique.

Par Sophie Coignard

Publié le 12/12/2023 à 07h13, mis à jour le 12/12/2023 à 07h29

QUEL MALHEUR DE DEVOIR VIVRE CETTE PERIODE TENDUE VOIRE EXPLOSIVE DANS LE MONDE ET MEME DANS NOTRE PAYS LIBRE ET DEMOCRATIQUE CAR SI MAL GOUVERNE ET MEME PAS ASSEZ PROTEGE PAR NOS DIRIGEANTS ET POLITICIENS ELUS ET REELUS DE TOUS BORDS PAR NOUS FRANÇAIS LAMBDA QUI POURTANT VOTENT CAR C’EST DIFFICILEMENT COMPREHENSIBLE VOIRE ILLOGIQUE DANS NOTRE EUROPE (dite) UNIE MAIS SEULEMENT EN PAROLES AUSSI CREUSES QUE CELLES DE NOTRE PRESIDENT ?!

Il n'y a pas d'unité de lieu mais une unité de temps. Alors que, ce lundi après-midi, Gérald Darmanin défend le projet de loi sur l'immigration à la tribune de l'Assemblée nationale, avant le vote qui va anéantir tous ses espoirs, Gabriel Attal revient d'une visite dans un établissement scolaire des Yvelines.
Les enseignants du collège Jacques-Cartier ont décidé d'exercer leur droit de retrait après qu'une de leurs collègues, professeure de français, a été accusée de provocation, voire de racisme, par des élèves et des parents de confession musulmane.

Une odieuse diffamation. Elle a simplement montré un tableau du XVII^e siècle qui figure Diane entourée de ses nymphes dénudées et illustre une scène des « Métamorphoses » d'Ovide. Ses collègues et elle-même s'estiment en danger, d'autant plus qu'ils n'en sont pas à leur premier incident inquiétant avec des familles prêtes à en découdre, et que le rectorat a jusqu'alors mis la poussière sous le tapis.

 Coignard – Samuel Paty, Dominique Bernard : mourir d'enseignerGabriel Attal, donc, s'est rendu sur place pour se montrer fidèle à sa ligne : « zéro impunité, zéro complicité ». De retour au ministère, il insiste : « À l'école française, on ne conteste pas l'autorité, on la respecte. À l'école française, on ne conteste pas la laïcité, on la respecte. À l'école française, on ne détourne pas le regard devant un tableau, on ne se bouche pas les oreilles en cours de musique, on ne porte pas de tenue religieuse. Bref, à l'école française, on ne négocie pas, ni l'autorité de l'enseignant ni l'autorité de nos règles et de nos valeurs. »

Autorité, autorité, autorité… Au même moment, celle de l'exécutif est défiée dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, où Gérald Darmanin est désavoué par le vote d'une motion de rejet préalable contre son texte sur l'immigration.

Pas de bonne solution

L'autorité, la vraie, est implicite. Il n'est nul besoin de rappeler son caractère impératif pour qu'elle s'exerce. En dernier ressort, c'est le chef de l'État, et personne d'autre, qui en est le détenteur. Mais il en use de moins en moins bien. Pourquoi, d'ailleurs, était-il accompagné d'une députée Renaissance pour son déplacement à Toulouse ? Celle-ci lui aurait été plus utile à l'Assemblée nationale qu'à ses côtés, quand on sait que le scrutin s'est joué à cinq voix près. Comment neuf d'entre elles au total ont-elles pu manquer à la majorité (cinq Renaissance, trois MoDem, une Horizons), quand toutes les troupes auraient dû être rassemblées dans la même détermination ?

 Immigration : malgré le camouflet, Macron feint d'ignorer la crise politiqueAprès ce terrible camouflet, c'est à Emmanuel Macron, désormais, de démontrer d'une manière ou d'une autre qu'il reste à l'initiative. Mais quel acte d'autorité peut-il envisager ? Un vaste remaniement ? Pas à la hauteur. Et c'est en outre griller une cartouche qui sera peut-être utile en cas de déroute aux élections européennes de juin prochain. Une dissolution ? Pour voir grossir les rangs du RN et rétrécir encore ceux de son camp, il n'y aurait pas mieux. Une démission ? Dans les rêves des oppositions seulement, au moins pour l'instant.

Mais que faire, alors ? La « rencontre avec la nation » qu'il avait évoquée avant le rejet du texte immigration à l'Assemblée nationale semble désormais une réponse très insuffisante. Reste la phrase du président Queuille, l'une des figures de la IV^e République, laquelle n'a pas brillé par son autorité : « Il n'est pas de problème qu'une absence de solution ne finisse par résoudre »… ou par transformer en crise politique majeure.

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Il ne suffit pas d’être instruit correctement pour être intelligent on le constate chaque jour qui passe par l’attitude pitoyable de notre président procrastinateur pathologique en plus qui ne cultive que son incompétence de bavard qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile par ses discours creux insipides de donneurs de leçons que personne n’écoute dans le monde sauf une partie de Français niais qui l’ont réélu on se demande bien pourquoi ?!

(Car peut être ayant peur du lendemain qu’il est incapable d’améliorer ni même protéger dans cet avenir des 4 ans restant jusqu’en 2027 sans garantie d’après d’ailleurs car ne pouvant être réélu heureusement !?)

Pour autant en ce qui concerne les élections présidentielles françaises les Français n’ont toujours pas compris car versatiles et partisans du « chacun pour soi » tout comme nos dirigeants et leurs politiciens et qui sont en plus récidivistes car ces Français lambda gogos bon public ils ont fait pareil avec l’élection et réélection en 1981-1988-1995 de MITERRAND et maintenant après avec ces nouveaux quinquennats bidons qui n’ont rien changé et accessoirement qui ont donné trop de pouvoir aux présidents et surtout celui en place dont il utilise mal quand il le fait ratant en plus le peu qu’il veuille faire ?!

Alors comme d’habitude après « ce capotage » de DARMANIN et sa loi d’immigration avortée pour l’instant le président et son gouvernement va nous ressortir un pseudo remaniement ministériel dont sont habitués les Français voire une dissolution de l’Assemblée Nationale mais là plus hasardeux pour lui car nécessitant les votes des Français qui le mettrait en cohabitation déjà connu dans le passé politique de notre pays ( qui n’avait pas été une réussite ?)

Le constat est évident on perd du temps précieux de par un président qui ne sait pas ou il va avec ces gouvernements de cette « macronie » hyper médiocre sans oublier les Français lambda eux-mêmes qui votent mal ou pas du tout car désabusés !?

Jdeclef 12/12/202311h48

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