mercredi 27 décembre 2023

Les Français lambda niais incurables ne savent que dire ou protester et dire que « ça pue quand ils ont le nez dedans » mais il est souvent trop tard dans notre pauvre France !?

 

Marine Le Pen-Marion Maréchal : l’impossible transmission !?

LES ENFANTS MAUDITS (3/5). Entre la tante et la nièce, les relations sont désormais apaisées. L’une n’en a pas moins été la Némésis de l’autre, contrariant ce qui aurait pu être un duo.

Par Charles Sapin

CES DEUX FEMMES NE SERVENT A RIEN A PAR TROUBLER DES ELECTEURS FRANCAIS ASSEZ NIAIS ET INCURABLES COMME CELA !?

POUR LE FN DEVENU RN CELA FAIT + DE 50 ANS QUE CA DURE ? (Il serait enfin temps que cela change !?)

Désormais, tout restera en famille. Au creux de l'été 2023, les principaux lieutenants du Rassemblement national comme ceux du mouvement nationaliste rival, Reconquête !, n'ont qu'un événement en tête. Il ne s'agit pas de la rentrée prochaine du gouvernement. Pas davantage des prochaines élections européennes. Encore moins de la future présidentielle, prévue quatre ans plus tard, autant dire une éternité. Non, ce qui occupe toutes les conversations et fait turbuler nombre de groupes WhatsApp en ce mois d'août n'est autre qu'un événement privé, familial. Ce qui ne veut pas dire forcément dénué de politique, au sein de cet espace si singulier de l'échiquier politique…

Il s'agit du mariage de l'une des filles de Marine Le Pen, dans leur fief de la Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan. Le clan y est rassemblé au grand complet. Quatre générations de Le Pen se retrouvent. C'est la première fois que l'ancienne prétendante à l'Élysée revoit sa nièce, Marion Maréchal, depuis la présidentielle où cette dernière a préféré rejoindre et soutenir son concurrent direct, Éric Zemmour. « Ça s'est super bien passé, Marine a été délicieuse avec Marion. La hache de guerre est enterrée », lâche dans un soupir de soulagement un proche de la trentenaire. De là à croire à l'épilogue d'une relation conflictuelle où, plus de dix ans durant, les deux femmes autrefois complices sont peu à peu devenues la Némésis l'une de l'autre ?

Prémices d'une rivalité

Le baptême politique de Marion Maréchal se déroule un jour de décembre 2009, sur le pont d'une péniche, à Paris. La tête de liste pour les régionales en Île-de-France, Marie-Christine Arnautu, a fini par convaincre la jeune femme de 19 ans, non sans l'aide du « Menhir », de se porter candidate en deuxième de liste dans le département des Yvelines. Ses chances d'élection sont nulles. Mais l'idée est de lui mettre le pied à l'étrier. De voir si le virus familial l'a contaminée, elle aussi. Marine Le Pen voit alors d'un bon œil cette immersion politique de sa nièce adorée, celle dont elle s'est beaucoup occupée lors de ses toutes premières années.

 Marion Maréchal : « Nous voulons grand-remplacer la droite »

« Prends soin d'elle, protège-la », glisse-t-elle à l'oreille de la tête de liste quand elle lui annonce la candidature de celle qui se fait encore appeler Marion Maréchal-Le Pen. Pourtant, dans l'entourage de la future présidente du Front national, tous ne voient pas cette aventure débutante avec une même bienveillance. « Tu viens de foutre vingt ans dans la gueule de Marine ! C'est elle qui doit incarner la jeunesse du mouvement », gronde le futur député du Pas-de-Calais Bruno Bilde, auprès de Marie-Christine Arnautu. Une graine d'amertume qui mettra quelques années avant de devenir glycine.

Les prémices de la rivalité qui vient sont déjà perceptibles au soir du 19 juin 2012, second tour des législatives après l'élection de François Hollande. Pressée par son grand-père de se présenter dans la 3e circonscription du Vaucluse, Marion Maréchal finit par céder après plusieurs refus et y est finalement élue. Marine Le Pen, elle, est battue dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais. « Ce soir-là, tout a changé entre elles, renseigne un proche des deux femmes. Marine n'a pas bien pris du tout l'élection de Marion. Elle n'était plus la fille Le Pen mais la tante… »

Procès en népotisme

Entre la présidente de parti et la benjamine de l'Assemblée nationale, de vingt ans sa cadette, aurait pu se nouer une relation privilégiée de mentor à protégée. Deux éléments principaux s'y sont opposés : le tempo et le patronyme. Tout occupée par sa double entreprise de « dédiabolisation » et d'émancipation de la figure paternelle, Marine Le Pen est encore dans une phase d'affirmation de son identité politique. L'idée d'une transmission ou de l'installation d'une « dauphine » est, au mieux, prématurée.

Qui plus est avec quelqu'un portant le nom Le Pen, à l'heure où le parti à la flamme essuie continuellement un procès en népotisme. Au lendemain des débats sur le mariage pour tous, d'indépassables dissensions idéologiques finiront par se creuser, jusqu'à devenir véritables tranchées. Si Marine Le Pen poursuit sa ligne souverainiste, irriguée par sa fibre sociale et étatiste, sa nièce s'affirme davantage libérale et conservatrice. En bref, de droite. Mot honni par l'influent numéro deux du FN de l'époque, Florian Philippot, devenu son principal contempteur.

 Marion Maréchal-Jordan Bardella, la fausse dispute

Les humiliations pleuvent sur la jeune députée, jugée à la fois trop indépendante et égotique. Arrivée en tête du vote des militants lors du congrès du mouvement à Lyon, en 2014, elle se voit proposer une vice-présidence du mouvement… à la jeunesse. Ses proches – ou réputés comme tels – sont « oubliés » dans la composition des instances dirigeantes du parti. Marion Maréchal rend coup pour coup en interne et ne se prive pas alors pour critiquer les choix stratégiques de sa famille politique.

Lorsque deux ans plus tard, l'eurodéputée FN Sophie Montel livre un discours très « anti-marioniste » en ouverture du discours de Marine Le Pen, cette dernière approuve en montant à la tribune d'un « tu as raison, Sophie ». À la suite d'une interview à Femme actuelle à l'occasion de la campagne présidentielle de 2017, lors de laquelle la candidate FN la qualifie « d'assez raide » et de « trop inexpérimentée » pour rejoindre un éventuel gouvernement FN, Marion Maréchal sait d'ores et déjà qu'elle ne se représentera pas aux législatives, pour se mettre en retrait de la vie politique. Un certain temps, du moins.

Concurrence

Lorsque, deux ans plus tard, le petit monde nationaliste bruisse d'un retour imminent en politique de Marion Maréchal, fantasmée en « Jeanne d'Arc du camp national » du fait de son silence, Marine Le Pen, encore affaiblie par son débat d'entre-deux tours de la présidentielle, est prise par le doute. En étouffant au sein de son mouvement Marion Maréchal et sa sensibilité, jusqu'à provoquer son départ du Front devenu Rassemblement national, n'a-t-elle pas ouvert la voie à une concurrence autrement dangereuse pour elle, puisque désormais extérieure à son parti ?

Lors de l'organisation autour de Marion Maréchal d'une « Convention de la droite » à Paris placée sous le signe de la « métapolitique », Marine Le Pen fera passer ses consignes à ses lieutenants conviés : « Iront à cette convention ceux qui cherchent une autre alternative que la mienne à Emmanuel Macron… » Aucun, hormis l'électron libre Gilbert Collard, ne s'y rendra. Lorsque quelques jours plus tard, Marion Maréchal clarifiera sa décision de ne pas se présenter à l'élection présidentielle de 2022, Marine Le Pen peinera à y croire : « Mais que veut-elle, que cherche-t-elle ? » lâchera-t-elle dans la boucle WhatsApp de son cercle rapproché.

 Le Pen, Zemmour, Maréchal : petites trahisons en famille

L'histoire est connue. Quelques années plus tard, ce n'est pourtant pas Marion Maréchal qui investira l'espace politique ainsi laissé vacant. Mais celui avec qui elle partageait, en 2019, l'affiche de la Convention de la droite, l'essayiste Éric Zemmour. Qui, lors de sa campagne présidentielle, ralliera à sa casaque un à un les proches de Marion Maréchal. Comme tous ceux qui étaient suspectés de l'être par le RN, et dûment évincés l'année précédente pour cette raison des listes pour les régionales de 2021.

Avec 7 % des voix, Éric Zemmour aura créé la surprise à l'élection présidentielle. Mais n'aura pas empêché Marine Le Pen d'atteindre le second tour, ni de décrocher quelques mois plus tard le plus important groupe de députés à l'Assemblée nationale de l'histoire de son mouvement. Voilà cette dernière rassurée. La rivalité avec celle qui aurait pu être sa « protégée » n'a plus véritablement de chance d'être un sujet. Il pourrait en revanche le devenir, un jour, pour son dauphin : Jordan Bardella. Le jeune chef du RN, en partie mis sur orbite en 2019 dans l'espoir de ringardiser Marion Maréchal, croisera pour la première fois le fer avec elle lors des européennes de juin. Un match sans suspense, mais qui sera observé de près par celle qui, avec ou contre eux, les a largement façonnés.

Là ou voit la pauvreté de la France et des Français lambda avec (l’exemple) cet hebdomadaire dit d’information grand censeur et donneur de leçon bienpensant comme « LE POINT » totalement inféodé au pouvoir en place « macronien » qui n’a rien à dire de nouveau sur ce FN et son créateur en 1970 JM LE PEN et son FN ce grand père en fin de vie devenu RN par sa présidente pour essayer de ripoliner l’attitude de son parti pour lui acheter une respectabilité de cette droite extrémiste qui fait peur (bien que ce ne soit plus le cas de la part de Français lambda) dont beaucoup n’y comprennent rien par une de ses filles MARINE LE PEN usée et l’autre membre de sa famille prolifique plus jeune MARION MARECHAL LE PEN trublionne de cette clique auquel il faut ajouter le frais moulu JORDAN BARDELLA jeune loup sorti du bois ?!

Mais pourtant en France il n’y a pas de quoi être fier de tous les partis politiques français ringards divers et leurs leadeurs médiocres de tous bords voir trublions dangereux extrémistes de gauche comme la LFI Mélenchoniste et cet agrégat de gauches NUPES fumisterie dispersées moribondes qui font bien sur le bonheur de la «macronie» inutile et inefficace mis en plus au pouvoir jusqu’en 2027 qui ne fait rien à l’image de notre petit président bourgeois élu et réélu par défaut !?

Alors merci à ces Français (SI naïfs) de tous bords pour cette nouvelle année qui s’annonce comme la précédente !?

 En France pays démocratique libre nous tenons la palme de ceux mal dirigés et mal protèges mais par les français eux-mêmes arrogants se croyant les meilleurs qui les ont élus voire réélus !?

Jdeclef 27/12/2023 13h59

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire