mercredi 31 août 2022

Le serpent de mer macronien d'un petit bourgeois parvenu qui n'a rien compris à la France et surtout aux Français ! Et çà ne s'arrange pas..?!

 

Coignard – Macron : une refondation aux fondations très incertaines

CHRONIQUE. Le Conseil national de la refondation doit être installé dans 8 jours, mais les partis d’opposition refusent d’y siéger. Un compte à rebours tendu…

CE « CNR » SEMBLE BIEN DE LA MASTURBATION INTELLECTUELLE MACRONIENNE TYPIQUE DE NOTRE PRESIDENT !?

Avant la refondation, il serait nécessaire de s'intéresser à la fondation. Car le CNR, ce Conseil national de la refondation imaginé par Emmanuel Macron en juin dernier pour figurer une « nouvelle méthode », semble mal parti avant même d'avoir été créé. La faute à qui ? À un président qui veut conserver la main coûte que coûte, quitte à contourner un Parlement moins docile que sous son premier quinquennat ? Ou à des oppositions qui refusent le dialogue et la « main tendue » avec des arguments qui frisent parfois la mauvaise foi ?

Les torts, en vérité, sont partagés. Et les dommages collatéraux pourraient se révéler coûteux pour chacune des deux parties. Les Français sont préoccupés, inquiets, donc peu enclins à voir les responsables politiques se perdre dans des combinaisons dignes de joueurs d'échecs du dimanche.

 Le Conseil national de la refondation sauvera-t-il les retraites ?

S'ils ont élu des députés en juin dernier, c'est pour les voir tenir leur rôle dans le débat sur les réformes nécessaires. Or, indéniablement, ce CNR qui doit organiser la concertation sur les transformations à venir veut faire dialoguer la carpe, le lapin… et tous les animaux de la ménagerie. Il réunit en effet les acteurs politiques, économiques, sociaux, associatifs, les élus locaux et des citoyens… Or, il existe déjà des instances pour débattre : l'Assemblée nationale et le Sénat, bien sûr, mais aussi le Conseil économique, social et environnemental (Cese). Pourquoi créer un « machin » de plus ? Est-ce à la hauteur de la « nouvelle méthode » promise ?

Boycott généralisé

La plupart des partis d'opposition ont décidé que non et ont annoncé qu'ils ne participeraient pas au CNR. Le président du Sénat en personne, Gérard Larcher, a adressé au chef de l'État une vive critique dans une lettre dévoilée par Le Figaro : « Vouloir réunir dans une même instance des parlementaires, seuls constitutionnellement habilités à voter la loi et contrôler l'exécutif, et des représentants de la société civile […] ne peut aboutir qu'à une confusion des rôles. » Après LR, LFI et le RN, ce sont par ailleurs les Verts qui ont fait part, hier mardi, de leur intention de boycotter le CNR.

Une « soirée des losers » dans les jardins de l'Élysée

Ces fins de non-recevoir n'ont rien d'illégitime en elles-mêmes. Elles s'accompagnent toutefois de commentaires pour le moins spécieux. Il est par exemple reproché au président d'avoir créé le CNR pour contourner une Assemblée nationale où il ne dispose que d'une majorité relative. C'est feindre d'ignorer qu'Emmanuel Macron a lancé cette idée le 3 juin, avant le premier tour des élections législatives. Il est aussi chuchoté que, si ce Conseil faisait ses preuves, certains seraient tentés de revoir leur position.

Entre un président nimbé du soupçon de vouloir passer en force et des opposants suspectés d'anti-jeu, le CNR, que d'aucuns disent mort-né, pourrait au contraire devenir un enjeu, un révélateur, mais aussi une source d'embarras

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Dont il se moque et dédaigne n'étant pas de son monde de l'ancien régime décadent qui nous met en danger par son inertie tergiversations et indécisions dans une période tendue internationale qu'il ne maitrise pas et dont pourtant il doit voir les effets pervers économiques voire dangereux !

Conseil national de refondation car il ne sait plus où il va depuis longtemps et pour fonder ce qui n'existe pas par des comités Théodule, grands débats, conseils de défense ou autres qui ne sont que des réunions de bavards s'écoutant parler d'ailleurs ce que notre président fait très bien car les discours c'est son "truc" ce théâtreux tiré à quatre épingles avec ces beaux costumes et ses sourires forcés hypocrites de bienpensant donneurs de leçon !

Et qui dernièrement a entrepris d'effrayer les Français sur la situation de la France et des Français à venir ainsi que celle internationale sur l'économie et l'énergie qui ne s'arrange pas depuis 6 mois avec cette rentrée après les congés d'été car comme d'habitude mais dont il est dépassé avec un gouvernement qui patauge malgré cette bonne 1ere ministre qui n'a pas de solution miracle fait ce qu'elle peut honnêtement !

Car prévenir ce n'est pas guérir une maladie qui empire quand on n'a pas de remèdes ou médicaments depuis le 1er quinquennat et qui prend le même chemin pour le 2 eme peut être en pire comme semble dire notre président!?

Ou il pourra nous dire je vous l’avais dit (cela nous fait une belle jambe) mais je répète nous l'avons élu et réélu on a ce qu'on mérite !

jdeclef 31/08/2022 14h01


Cet homme de paix qui a laissé faire l'histoire mais n'a pas pu changer : Le soviétisme russe ancré dans l'âme des peuples slaves habitués à baisser la tête depuis des siècles !

 


Mikhaïl Gorbatchev, dernier dirigeant de l’URSS, est mort à 91 ans

L’ex-président soviétique était l’un des principaux artisans de la fin de la guerre froide. Il avait eu le prix Nobel de la paix en 1990.

POUR REVENIR APRES +30 ANS  RETOUR A LA CASE DEPART AVEC POUTINE PAR L’INERTIE DES OCCIDENTAUX QUI ONT ASSISTE SANS BOUGER A L’ASCENSION DE CE DICTATEUR QUI LES MENACE SANS VERGOGNES DU FEU NUCLEAIRE ET MET LA SITATION ECONOMIQUE INTERNATIONALE EN MAUVAISE POSTURE PAR CETTE GUERRE UKRAINIENNE AUX FRONTIERES DE L’EUROPE OCCIDENTALE AVANT PIRE PEUT ETRE ?!

C'est une formidable destinée que celle de Mikhaïl Gorbatchev, mort à l'âge de 91 ans. Un provincial, venu du Caucase, à qui une ferveur communiste indiscutable et un entregent qui a fait beaucoup d'envieux auront permis de franchir, très jeune, dans les arcanes verrouillés d'un pouvoir sénile, toutes les étapes menant à la consécration suprême. Un opportuniste audacieux aussi.

Réalisant très tôt l'échec patent – mais non reconnu par ses pairs – du socialisme, il n'a pas tremblé et mis en pratique dès qu'il en a eu le pouvoir des réformes d'inspiration libérale qui vont fissurer le carcan d'un régime autoritaire, figé, improductif et surtout corrompu. Dans la foulée, il mettra également fin, à l'extérieur des frontières de l'URSS, à 70 ans de domination sur des pays asservis par un impitoyable système dictatorial, en laissant se détruire le Rideau de fer et en tirant un trait sur la guerre froide.

Et puis, comme l'apprenti sorcier qu'il était, il finira par être lui-même aspiré par le tourbillon du bouleversement qu'il avait engagé, au point d'être contraint de céder piteusement la place à plus réformiste que lui – du moins pouvait-on le croire à l'époque – en la personne de Boris Eltsine.

Gorbatchev : la vie après le Kremlin

Le koulak et le stalinien

Dans le village de Privolnoe où il est né le 2 mars 1931 dans une famille de paysans, Mikhaïl Gorbatchev aura été dès l'enfance déchiré entre deux mondes. Celui d'une orthodoxie communiste pure et dure, celle que pratique son grand-père maternel Panteleï Gopkalo, président du kolkhoze du village, et celui d'une Russie plus traditionnelle, mais aussi plus ouverte au changement.

En effet, le grand-père paternel du jeune Micha, Andreï Gorbatchev, est un cultivateur traditionnel, hostile à la collectivisation des terres et qui cherche à exploiter son bien en vendant ses produits au plus offrant. C'est une attitude qui ne pouvait être tolérée longtemps sous Staline, surtout après la grande famine des années trente. Alors que Gorbatchev a tout juste trois ans, Andreï qu'il adore et admire est arrêté et envoyé au goulag. Miraculeusement, car à l'époque on revenait rarement de Sibérie, le « koulak » récalcitrant est remis en liberté au bout d'un an seulement.

Gorbatchev : « J'ai laissé agir l'Histoire »

Entre-temps, le jeune Gorbatchev et ses parents se sont installés chez Panteleï, ce grand-père dont le marxisme est le bréviaire et pour qui Staline est un Dieu dont le culte imbibera les jeunes années de Micha. C'est dire qu'à l'orée de l'adolescence, le jeune homme n'a pas encore goûté aux sirènes de la contestation. Il fait au contraire un parcours scolaire impeccable et une montée en responsabilité régulière dans les jeunesses communistes, les komsomols : en 49, il est décoré de l'ordre du drapeau rouge du travail et termine son cycle scolaire avec une médaille d'argent.

Cette double décoration « prolétarienne » a une influence considérable sur son avenir : elle lui ouvre, privilège rare pour un provincial, les portes de l'université de Moscou. Il y fera des études de droit et y rencontrera celle qui fut non seulement la femme de sa vie, Raïssa, mais aussi l'inspiratrice et le soutien de sa progression jusqu'au sommet du pouvoir.

Une ascension éclair

Première grosse déception dans son ascension : il espérait un poste de magistrat à Moscou, on le renvoie à Stavropol. En fait, ce sera sa chance. Car il prend vite du galon dans les komsomols locaux. Et comme il a déjà un excellent flair politique et est avide de progrès, il profite du rapport Khrouchtchev, dénonçant le culte de la personnalité de Staline et réclamant une réforme du parti, pour devenir dans sa région le meilleur propagandiste des idées nouvelles. Et puis Gorbatchev se révèle déjà un orateur né, sachant aller vers ses auditoires, ne refusant jamais la discussion, même quand elle vient de simples paysans.

Gorbatchev : l'homme qui a regardé tomber le mur de Berlin

À 30 ans, il est nommé premier secrétaire régional des jeunesses communistes. Ce qui lui permet de revenir à Moscou pour participer, en 1961, au 22e Congrès du Parti, première marche vers le pouvoir. C'est là qu'intervient dans sa vie l'un des protecteurs qui va aider Mikhaïl Sergueïevitch à passer de sa province à la cour des grands. Fedor Koulakov a 42 ans. Comme Gorbatchev il est, ce qui est rare dans la nomenklatura, fils de paysan. Après avoir été ministre, il a été envoyé par Khrouchtchev, qui a toute confiance en lui, pour prendre la direction de la région de Stavropol et y faire appliquer les mesures préconisées par le maître du Kremlin pour y redresser une agriculture à la dérive.

Le nouveau patron de la région va se servir de l'expérience de ce fils de paysan. Il appelle Gorbatchev auprès de lui comme responsable des cadres du parti dans la région. Dès lors, sa progression va être exceptionnelle : premier secrétaire du parti de la ville de Stavropol en 66, il est « élu » deux ans plus tard deuxième secrétaire de la région. Puis en 1970, à 39 ans et sur recommandation expresse de Koulakov, premier secrétaire du PC régional.

Des amitiés utiles

En 1971, le voilà à Moscou, et déjà coopté, au 24e congrès, comme membre titulaire du comité central du PC de l'URSS. Entre-temps Khrouchtchev a été évincé et Leonid Brejnev est le nouveau maître de l'Union. Gorbatchev n'en souffrira pas. Sans doute parce que ses bonnes fées se nomment Koulakov, l'expert en agriculture du régime, et aussi Iouri Andropov, le patron du KGB de l'époque. Mikhaïl a eu la chance, alors qu'il n'était encore qu'un obscur responsable local des komsomols, de se lier d'amitié et de parler longuement des maux du pays avec le patron de l'espionnage, quand celui-ci, plus libéral qu'il n'y paraissait, venait suivre une cure thermale à côté de Stavropol.

Un hasard tragique va être à l'origine de la première grande consécration de Gorbatchev : Fedor Koulakov décède brutalement le 26 novembre 1978 et Mikhaïl va être propulsé au poste de ministre de l'Agriculture que Brejnev réservait au défunt. Le protégé profite avec réalisme de cette disparition soudaine. « Vas-y, fonce », lui écrit même Brejnev.

Il ne s'en privera pas. Surtout lorsque, quatre ans plus tard, Iouri Andropov succède à Leonid Brejnev et devient premier secrétaire. Avec l'accession au pouvoir suprême de celui avec qui, lors de ses cures thermales, il a partagé de longues discussions sur la manière de déverrouiller la société, Gorbatchev peut espérer voir se réaliser leurs idées communes. Mais le destin en décidera autrement. Tombé gravement malade à l'automne, Iouri Andropov décède le 9 février 1984, avant d'avoir pu mettre en pratique l'esquisse même des réformes envisagées.

Est-il possible d’accomplir les changements profonds que le pays espère ? Il le faudra bien, car on ne peut pas continuer comme cela

Le coup du sort de cette deuxième disparition aurait pu être un coup d'arrêt à la carrière politique de Gorbatchev. Mais même dans cette bureaucratie aux codes figés, il est difficile d'interrompre la montée en puissance de celui qu'Andropov avait clairement désigné comme son héritier : « Ne te limite pas à l'Agriculture. Agis comme si tu avais toutes les responsabilités », lui avait-il conseillé. Pourtant, au grand désespoir de tous les réformistes, un apparatchik sans talent et souffreteux, Konstantin Tchernenko, devient premier secrétaire. Il est déjà tellement malade qu'il parviendra difficilement à prononcer l'éloge funèbre d'Andropov.

Au fil des mois ce pouvoir grabataire va d'ailleurs un peu plus s'essouffler. Et c'est Gorbatchev qui préside le Politburo quand Tchernenko est souffrant. C'est-à-dire de plus en plus souvent. Au point que dans les couloirs du Kremlin, comme dans les salles de rédaction des médias officiels, on le surnomme déjà « le secrétaire bis ». Il n'attendra pas très longtemps pour devenir le vrai numéro un. Un an et vingt-cinq jours après avoir été intronisé, Tchernenko meurt.

Au soir de ce 10 mars 1985 qui le voit à 54 ans accéder au sommet du pouvoir, Gorbatchev sort dans le parc proche de sa datcha avec Raïssa, seul moyen d'échapper aux micros du KGB. Il racontera lui avoir dit : « Depuis sept ans que je suis à Moscou, je me heurte à des murs. Est-il possible d'accomplir les changements profonds que le pays espère ? Il le faudra bien, car on ne peut pas continuer comme cela. »

Perestroïka…

En tout cas, il est pressé de passer aux actes. Il s'attaque d'abord aux prébendes des cadres du parti. Entre l'entrée en fonction de Gorbatchev et le 27e congrès du parti, moins d'un an plus tard, près de 117 responsables et apparatchiks, dont 35 ministres et 46 premiers secrétaires de région, vont être limogés.

La remise en cause du système ne se borne pas pour autant à des purges comme le pays en connaît depuis 1917. Gorbatchev a compris que l'URSS a un besoin urgent, non pas d'une simple modernisation, mais d'une restructuration du modèle existant. Dès l'été qui suit son accession au pouvoir, il va lui donner un nom : « perestroïka ». Une rénovation de l'économie, une remise à plat des pratiques existantes dont Gorbatchev ne veut pas pour autant qu'elle s'accompagne de la mise au rencart du parti. Bien au contraire, c'est la nécessaire démocratisation de celui-ci qui « conduira notre patrie à de nouvelles frontières », lance-t-il d'un ton un peu emphatique, qui rappelle celui de John Kennedy.

Mais, comme on pouvait s'y attendre, beaucoup de barons renâclent devant la nouvelle politique proposée. D'autant que les premières réformes lancées – autonomie des entreprises ou des kolkhozes, retour à la vérité de la loi du marché –, non seulement ne donnent pas de résultats immédiats, mais s'accompagnent d'une flambée des prix qui provoque une montée du mécontentement populaire. Comment les progrès pourraient-ils être rapides dans une économie dont les dépenses militaires sont supérieures en valeur à celles des États-Unis, alors que le PNB de l'URSS est à peine le quart de celui de l'Amérique.

… et Glasnost

Gorbatchev en tire la conclusion que, puisque les appareils résistent, il faut s'adresser directement au peuple. Et pour cela jouer la transparence, la « glasnost », qui sera avec la perestroïka le symbole de la nouvelle politique. Cela se traduit par une liberté laissée à la presse inédite depuis la Révolution d'octobre. Et par l'éclosion un peu partout dans le pays de manifestations parfois hostiles, quelquefois favorables, qui autrefois auraient été interdites. Dans le même temps, le goulag se libère de beaucoup de ses prisonniers politiques. Le dissident Andreï Sakharov sera du lot.

En juin 1988, pour la première fois, il y a des candidatures multiples aux élections de délégués du parti. Mais déception : peu de nouveaux élus émergent de cette consultation plus ouverte. Les Russes restent sceptiques et ont reconduit la vieille classe.

S'il n'est pas encore vraiment prophète en son pays, Mikhaïl Gorbatchev fait en revanche bouger les lignes à toute allure dans les « pays frères » de l'Europe de l'Est. Dès novembre 1986, lors d'un sommet secret à Moscou, il annonce aux dirigeants de l'Est médusés qu'il faudra dorénavant tenir compte des lois du marché et surtout que « chaque nation a le droit de choisir son modèle de développement, capitalisme ou socialisme ». C'est la fin de la doctrine de la souveraineté limitée. Celle qui autorisait toutes les interventions armées, comme celle contre le Printemps de Prague en 1968.

Reconnu à l'Ouest

L'erreur de Gorbatchev est d'imaginer que sinon les dirigeants, dont la plupart sont bornés et incapables d'évoluer, du moins les peuples, vont suivre la voie des réformes prudentes engagées par l'URSS. Or cette liberté de choix retrouvée, conjuguée à l'absence de risque d'intervention armée, va favoriser non pas des réformistes qui adapteraient la perestroïka à leur pays, mais des nationalistes dont 70 ans de servage ont entretenu leur haine des Soviétiques et leur désir de revanche.

La Pologne avec Solidarnosc, puis la Hongrie, la Bulgarie, la Tchécoslovaquie multiplient les manifestations hostiles à leurs gouvernants. Puis s'en prennent à Moscou et finalement à Gorbatchev lui-même. Pourtant, avec courage, celui-ci empêchera les dirigeants les plus durs, ceux d'Allemagne de l'Est ou de Bulgarie, à intervenir militairement pour rétablir « l'ordre communiste » en Pologne, en juillet 1989. Surtout, il agira de même lors de la chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989.

Si cette position courageuse vaut à l'initiateur de la perestroïka une forte popularité en Occident bientôt couronnée par un prix Nobel de la paix, en Russie, le peuple ne voit en lui que le responsable de la débâcle de l'empire et d'une catastrophe économique pire parfois que les années de privation des plus mauvais jours du stalinisme. Quant à ses compagnons de route du Kremlin, à part quelques très proches, ils n'y verront que naïveté ou trahison.

Un rival nommé Eltsine

En effet, après la chute du Mur, Gorbatchev va très vite se retrouver à Moscou attaqué sur sa droite par les conservateurs, qui n'ont pas accepté sa remise en cause des « acquis du socialisme », et par les partisans d'une réforme accélérée des institutions politiques de l'URSS, avec remise en cause du parti unique, la création d'un marché intérieur, la refonte du système fiscal, la fin des monopoles sur le gaz et le pétrole. Ce courant a un chef de file, Boris Eltsine. Un homme venu de l'Oural et que Gorbatchev avait fait venir auprès de lui parce qu'il avait une réputation de réformateur. Partisan de réformes très libérales, certes, mais qui lorsqu'il parviendra au pouvoir montreront leurs limites et leurs dérives au profit de quelques profiteurs enrichis qui mettront le pays en faillite.

Eltsine est doué d'une ambition démesurée. Lorsqu'il se fait élire, en mai 1990, président du Présidium du soviet de la Fédération de Russie, il est de facto le rival de Gorbatchev, devenu deux mois plus tôt président du soviet de l'URSS. La Russie contre l'URSS, c'est le match qui se livrera jusqu'en décembre 1991 et la retraite forcée de Gorbatchev. Un match que Gorbatchev pense qu'il aurait pu gagner si l'Occident avait pris la juste mesure de ce qui se passait dans son pays et l'avait aidé, comme les États-Unis avaient aidé l'Allemagne de 1945, par un gigantesque plan Marshall qu'il évaluait à 50 milliards de dollars.

Le triomphe des oligarques

Revenu bredouille le 19 juillet 1991 du premier sommet du G7 auquel l'URSS était admise, Mikhaïl Gorbatchev tente une dernière manœuvre : éviter l'explosion de l'URSS en proposant à toutes les républiques associées, y compris les Baltes et l'Ukraine qui ont déjà plus ou moins pris le large, un traité d'union pour une sorte de confédération.

Un putsch grotesque et raté, le 19 août 1991, concocté par des conservateurs profitant des quelques jours que Mikhaïl s'accordait au bord de la mer Noire, va lui faire perdre cette dernière manche. Prisonnier des apprentis putschistes dans sa maison de Crimée, il va laisser le champ libre à Boris Eltsine, qui juché sur un char devant le Kremlin apparaîtra comme l'homme ayant mis les comploteurs en déroute.

Les quatre mois qui suivront jusqu'à l'annonce de la démission de Mikhaïl Gorbatchev le 25 décembre 1991 seront pour lui une longue humiliation au cours de laquelle il est mis plusieurs fois en minorité par ses pairs, tandis que le pouvoir lui échappe et qu'Eltsine et la Fédération de Russie triomphent. Et avec eux les oligarques qui, pendant huit ans, jusqu'à l'arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir, vont pomper à leur profit la sève de cette Russie que Gorbatchev avait cru pouvoir faire passer en douceur d'une dictature communiste impotente et menaçante à une démocratie moderne.

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la mentalité slave des Russes habitués au soviétisme et à être gouvernés asservis par un totalitarisme depuis des siècles tsariste staliniste et ces vieux autocrates jusqu'en 1989 et la chute du mur de BERLIN et la fin de la guerre froide mais qui avait dans son sein déjà un remplaçant POUTINE ex du KGB qui a attendu 30 ans en testant sa force par petit palier successif envers certaines républiques de l'ex URSS qui avaient obtenues leurs indépendances et qui ne voulaient pas entrer dans le giron de la nouvelle fédération de RUSSIE : Tchechenie Georgie Dombas Ukraignien et annexion de la CRIMEE !

Avec la cerise sur ce gâteau empoisonné la guerre à l'UKRAINE car elle aussi voulait sa liberté !

Dont les occidentaux ont bien sur vu l'évolution sans bouger trop occupé à faire du profit et de l'argent roi sur la mondialisation qui s'épuisait en vain et devenue obsolète car le chacun pour soi étant redevenu la règle attisé par des crises diverses et sanitaires comme la COVID !

Alors au niveau international l'est et l'ouest que l'on appelait deux blocs renait avec en plus la CHINE qui s'est réveillée en ASIE avec aussi l'INDE sans compter ce moyen orient devenu explosif avec cet AFHGHANISTAN et PAKISTAN avec ses TALIBANS et derrière nous 20 ans de guerres moyen orientales de l'occident qui n'ont servi à rien plus les printemps arabe fiasco et pour la France une décolonisation ratée en Afrique du nord et Afrique francophone ex AOF/AEF ou notre pays y est encore impliqué !?

Alors le décès de GORBATCHEF n'a été que reculer pour mieux sauter car les occidentaux sont maintenant revenus en dessous de zéro par nos dirigeants d'une incapacité lamentable (mais nous les avons élus et même réélus !?)

Tant pis pour nous !

Jdeclef 31/08/2022 12h02LP


Là on voit l'incompétence de notre gouvernement et un camouflet de plus pour le ministre de l'intérieur !? Qui avait parlé trop vite car cet individu qui se moque de lui a fui !?

 

Expulsé et introuvable, l’imam Iquioussen recherché par la police !?

Darmanin l’a annoncé sur Twitter, se félicitant ainsi d’une « grande victoire pour la République ». L’imam réfléchit à saisir de nouveau la CEDH, selon son avocate ?

PAS ENCORE EXPULSE PHYSIQUEMENT CAR AYANT FUIT ON NE SAIT OÙ ? IL CONTINUE A FAIRE LA UNE DES MEDIAS LAMENTABLE ! UNE HONTE DE PLUS DE NOTRE GOUVERNEMENT D’INCAPABLES ET SONT ARMEE DE FONCTIONNAIRES !

BEAU SCANDALE MACRONIEN DE PLUS !

Le Conseil d'État a donné mardi son feu vert à l'expulsion de l'imam Hassan Iquioussen décidée par Gérald Darmanin. Pourtant, dans la soirée, une source proche du dossier a indiqué à l'Agence France-Presse que l'imam était en fuite et avait été inscrit au fichier des personnes recherchées.

Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur a estimé que cette décision qui infirme la suspension de cette expulsion par le tribunal administratif est « une grande victoire pour la République ». « Il sera expulsé du territoire national. Dès son interpellation, il sera placé en centre de rétention administratif », a indiqué Gérald Darmanin en début de soirée, depuis le perron de son ministère, précisant que « depuis 2017, 786 étrangers radicalisés avaient été expulsés » et que « 74 d'entre eux » l'ont été au cours « des derniers mois ».

Le 5 août, le tribunal administratif de Paris avait suspendu en référé l'expulsion vers le Maroc de cet imam réputé proche des Frères musulmans, jugeant qu'elle porterait une « atteinte disproportionnée » à sa « vie privée et familiale », mais le ministère de l'Intérieur avait fait appel de cette décision.

« Des actes de provocation explicite », selon le juge

Le juge des référés du Conseil d'État estime que « ses propos antisémites, tenus depuis plusieurs années lors de nombreuses conférences largement diffusées, ainsi que son discours sur l'infériorité de la femme et sa soumission à l'homme constituent des actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination ou à la haine justifiant la décision d'expulsion. Il considère par ailleurs que cette décision ne porte pas une atteinte grave et manifestement illégale à la vie privée et familiale de M. Iquioussen », explique la plus haute juridiction administrative française dans son communiqué.

L'avocate de l'imam, Lucie Simon, a réagi sur Twitter en estimant que cette décision symbolisait « un État de droit affaibli » et déploré « un contexte alarmant de pression de l'exécutif sur le judiciaire ». « Le combat judiciaire continue, le tribunal administratif de Paris sera amené à se pencher sur le fond du dossier prochainement, et Hassan Iquioussen étudie la possibilité de saisir de nouveau la CEDH », a-t-elle ajouté.

La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait refusé de suspendre l'expulsion début août, expliquant qu'elle n'accordait des mesures provisoires de suspension « qu'à titre exceptionnel », lorsque le requérant était exposé « à un risque réel de dommages irréparables ».

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Car cet individu n'était alors pas surveillé voire, assigné à résidence ?!

Pitoyable gouvernement de bienpensant et ses ministres donneurs de leçons qui n'est pas capable de nous protéger en laissant courir ce soi-disant prédicateur qui sème désordre par ses diatribes inqualifiables !

Cette justice inefficace adossé à un état régalien défaillant nous montre que la France va vraiment mal !

Nos dirigeants ou celui au pouvoir à qui on a donné trop de pouvoir comme à d'autres avant lui ne sont même pas capable de la faire appliquer avec rigueur préférant pérorer pour ne rien dire d'utile en nous soulant de discours fumeux s'écoutant parler avec leurs égos démesurés !

Alors même défendre le peuple et le pays dans cette période internationale tendue il ne faut pas rêver !?

Quant à la délinquance diverse et sa voyoucratie elle a de beaux jours devant elle comme l'anarchie rampante il n'y a qu'à ouvrir ses médias habituels chaque jour pour lire un fait divers plus ou moins inqualifiable !

Jdeclef 31/08/2022 10h04


mardi 30 août 2022

Merci au ministre de l’Intérieur d'avoir été tenace face à notre justice bornée !

 

Le Conseil d’État valide l’expulsion de l’imam Iquioussen

Darmanin l’a annoncé sur Twitter, se félicitant ainsi d’une « grande victoire pour la République ». L’imam réfléchit à saisir de nouveau la CEDH, selon son avocate.

POUR UNE FOIS QU’UNE BONNE DECISION ABOUTIE FAUT-IL QUE DES MEDIAS COINCES BIEN PENSANT NE LE CENSURE PAS EN NE RESPECTANT PAS LA LIBERTE D’EXPRESSION ?!

Le Conseil d'État a donné mardi son feu vert à l'expulsion de l'iman Hassan Iquioussen décidée par Gérald Darmanin.

Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur a estimé que cette décision qui infirme la suspension de cette expulsion par le tribunal administratif est « une grande victoire pour la République ». « Il sera expulsé du territoire national », a-t-il ajouté.

Le 5 août, le tribunal administratif de Paris avait suspendu en référé l'expulsion vers le Maroc de cet imam réputé proche des Frères musulmans, jugeant qu'elle porterait une « atteinte disproportionnée » à sa « vie privée et familiale », mais le ministère de l'Intérieur avait fait appel de cette décision.

Le juge des référés du Conseil d'État estime que « ses propos antisémites, tenus depuis plusieurs années lors de nombreuses conférences largement diffusées, ainsi que son discours sur l'infériorité de la femme et sa soumission à l'homme constituent des actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination ou à la haine justifiant la décision d'expulsion. Il considère par ailleurs que cette décision ne porte pas une atteinte grave et manifestement illégale à la vie privée et familiale de M. Iquioussen », explique la plus haute juridiction administrative française dans son communiqué.

L'avocate de l'imam, Lucie Simon, a réagi sur Twitter en estimant que cette décision symbolisait « un État de droit affaibli » et déploré « un contexte alarmant de pression de l'exécutif sur le judiciaire ».

« Le combat judiciaire continue, le tribunal administratif de Paris sera amené à se pencher sur le fond du dossier prochainement, et Hassan Iquioussen étudie la possibilité de saisir de nouveau la CEDH », a-t-elle ajouté.

La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait refusé de suspendre l'expulsion début août, expliquant qu'elle n'accordait des mesures provisoires de suspension « qu'à titre exceptionnel », lorsque le requérant était exposé « à un risque réel de dommages irréparables ».

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Pour le reste il y a surement encore d'Imams de même acabit qui perdure dans certaines zones et notamment de non droit qui utilise aussi la charia contraire aux lois de la république et que l'on n'arrive pas à éradiquer en France !

Mais que de temps perdu et de lenteur dans notre justice laxiste que beaucoup ne respecte pas !

Le ver est dans le fruit depuis longtemps, si cela peut servir d'exemple ce sera toujours cela d'acquit !

Car ces prédicateurs qui font du prosélytisme extrémiste sont éminemment dangereux pour la paix et la laïcité et notre culture judéo chrétienne !

C'est un progrès mais il ne faut pas baisser notre garde car des faits similaires ont déjà eu lieu et pas assez sanctionné rigoureusement !

Rappelons-nous les attentats islamistes et le grand procès fait contre cela mais qui n'a pas éliminé ce fléau dormant de cette religion à courant extrémiste qui perdure toujours partout en France et Europe occidentale et dans le monde!

Car il en va de notre sécurité, il faut appeler un chat un chat SVP !

Jdeclef 30/08/2022 16h47


Toute violence entraine la violence de ce cas encore par refus d'obtempérer !

 

Nord : un homme tué par balle par un policier lors d’un contrôle routier

L’agent a été placé en garde à vue. La victime, âgée de 23 ans, a tenté de s’enfuir en redémarrant brusquement son véhicule, près de Tourcoing.

LES POLICIERS NE SONT PAS DES PUNCHING BALL SUR QUI ON PEUT FRAPPER BLESSER VOIR ECRASER A L’AIDE DE VEHICULE DONT ON SE SERT COMME BELIER OU ARME ?!

Un homme de 23 ans a été tué par un tir de police dans la nuit de lundi à mardi à Neuville-en-Ferrain (Nord), près de Tourcoing, après un refus d'obtempérer. Un agent des forces de l'ordre a été placé en garde à vue dans cette nouvelle affaire de tir policier sur des conducteurs récalcitrants. Selon le récit de la procureure de Lille, Carole Étienne, un équipage de police a voulu contrôler les « occupants d'un véhicule muni de fausses plaques d'immatriculation » vers 3 heures du matin, dans cette commune voisine de Tourcoing, à la frontière belge.

Le conducteur de la voiture a alors démarré « brusquement afin de s'y soustraire », a-t-elle expliqué à l'Agence France-Presse. « Dans la fuite, un policier parvenait à ouvrir la portière côté conducteur afin d'extraire l'individu et faisait usage de son arme à une reprise. Le conducteur du véhicule mis en cause, âgé de 23 ans, est décédé sur place malgré l'intervention des secours », a-t-elle poursuivi. Selon une source policière, il a été atteint au thorax.

Une deuxième source policière a précisé que ce jeune homme demeurait à Roubaix et était « connu pour plusieurs faits lourds de stupéfiants et de recel ». Il devait effectuer une peine de six mois de prison à la suite d'un « défaut de réalisation d'un travail d'intérêt général », la « décision d'écrou datant de juin 2022 ». Le passager du véhicule a été placé en garde à vue « pour recel de vol de véhicule et complicité de refus d'obtempérer », a précisé la procureure de Lille. « Le policier qui a fait usage de son arme » est lui aussi entendu « sous le régime de la garde à vue », a-t-elle ajouté. Selon la première source policière, il appartient à la brigade anticriminalité de Tourcoing.

« En voulant l'atteindre, on touche le président » : Darmanin en zone de turbulences

La « police des polices » appelée

Les investigations ont été confiées « à la Direction zonale de la police judiciaire et à l'IGPN » – la « police des polices » – pour « circonscrire très exactement les circonstances de la commission des faits », a souligné la procureure. La commune de Neuville-en-Ferrain est un secteur « avec pas mal de passages pour tous types de trafics », selon Arnaud Boutelier, du syndicat Alliance.

« Encore un homme tué pour un refus d'obtempérer. La condamnation à mort pour délit de fuite se banalise dans notre pays. Et cette fois-ci en plein dans la circonscription du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui ne maîtrise plus rien », a fustigé sur Twitter le député Insoumis de la 8e circonscription du Nord, incluant Roubaix, David Guiraud.

Interrogé par l'AFP, l'entourage du ministre de l'Intérieur n'a souhaité commenter ni ce tweet ni le fond de l'affaire. « Encore un policier blessé pour #refusdobtemperer et une enquête qui déterminera et qualifiera les faits ! Un député n'est pas un juge ! Non la #police ne tue pas @GuiraudInd, elle protège les honnêtes citoyens ! Toute cette rhétorique injurieuse est une insulte à la République ! » a en revanche répliqué Vincent Ledoux, suppléant pour la 10e circonscription du Nord de Gérald Darmanin.

Sur 14 240 refus d'obtempérer comptabilisés en 2021 par la police nationale, 157 cas concernent des « usages d'armes à feu sur des véhicules en mouvement », selon des chiffres de la police.

Mi-août, à Vénissieux, une commune sensible proche de Lyon, des policiers avaient tiré à plusieurs reprises lors du contrôle d'une voiture signalée volée, faisant deux morts. L'IGPN a ouvert une enquête. Fin juin la « police des polices » avait également été saisie après un contrôle de police qui avait mal tourné à Carcassonne. Un homme qui avait heurté un policier en tentant de fuir un contrôle au volant d'une voiture avait été grièvement blessé par arme à feu.

Quelques semaines plus tôt, des policiers avaient fait feu sur un véhicule à Paris, tuant une des passagères. Le conducteur a ensuite été mis en examen pour tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique et récidive de refus d'obtempérer aggravés.

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Représente bien ce fait divers récurent car refuser de stopper à la demande de la police et force de l'ordre entraine cela surtout si le conducteur du véhicule s'en sert pour s'échapper mais surtout pour bousculer voire blesser les agents chargés de l'arrêter!

Si les individus avaient stoppé pour ce contrôle !?  Mais ils ont voulu fuir le jeune homme demeurait à Roubaix et était « connu pour plusieurs faits lourds de stupéfiants et de recel ». Il devait effectuer une peine de six mois de prison à la suite d'un « défaut de réalisation d'un travail d'intérêt général », la « décision d'écrou datant de juin 2022» !

Et donc c'est à qui a bu boira, s'il avait été incarcéré en juin 2022 il n'aurait pas perdu la vie mais s'est servi d'un véhicule semble-t-il volé comme d'une arme pour percuter les forces de l'ordre et n'a pas trainé pour récidiver !

Cette petite délinquance comme on la qualifie, est dangereuse par cette voyoucratie de zones ou quartiers difficiles si ces faits de refus d'obtempérer aux ordres de la force publique diminuent voire disparaissent et seront un gain pour diminuer l'insécurité de notre société au quotidien ce sera un progrès appréciable pour le respect de la police qui est là pour protéger et défendre les citoyens et quand ces agents le font correctement et notamment pour se défendre, ils ne font que leur travail !

Jdeclef 30/08/2022 15h27


GASPROM est Russe donc il serre la vis aux Européens occidentaux qui se Fournissent chez lui !

 

Gazprom réduit à nouveau ses livraisons de gaz auprès d’Engie

Les livraisons russes à l’énergéticien français avaient déjà considérablement diminué depuis le début du conflit en Ukraine.

QUI SOUFFRE LE PLUS DES RESTRICTIONS OU SANCTIONS PAS POUTINE SEMBLE-T-IL !?

L'énergéticien français Engie a annoncé, ce mardi, que le géant russe Gazprom l'avait informé de réductions supplémentaires et immédiates de ses livraisons de gaz auprès de lui « en raison d'un désaccord entre les parties sur l'application de contrats ».

Les livraisons de gaz russe à Engie avaient déjà considérablement diminué depuis le début du conflit en Ukraine, passant récemment à seulement 1,5 TWh par mois, a précisé dans un communiqué Engie, qui avait évoqué fin juillet une part de gaz russe dans ses approvisionnements de l'ordre de 4 %. Le groupe rappelle avoir déjà mis en place des mesures pour pouvoir fournir ses clients même en cas d'interruption des flux de Gazprom.

« Engie avait déjà sécurisé les volumes nécessaires pour assurer l'approvisionnement de ses clients »

Ce chiffre est à rapporter à des approvisionnements « totaux annuels en Europe supérieurs à 400 TWh », ajoute le principal fournisseur de gaz en France, dont l'État français détient près de 24 %. Le groupe rappelle avoir déjà mis en place des mesures pour pouvoir fournir ses clients même en cas d'interruption des flux de Gazprom. « Engie avait d'ores et déjà sécurisé les volumes nécessaires pour assurer l'approvisionnement de ses clients et pour ses propres besoins », est-il indiqué dans le texte.

Pénurie d'énergie : cet hiver, la crainte d'un « Waterloo électrique »

Jeudi dernier, les stocks de gaz de la France ont dépassé le seuil de 90 % de remplissage pour l'hiver, selon la plateforme européenne Agregated Gas Storage Inventory (AGSI) et la France est en bonne route pour tenir son objectif de 100 % d'ici novembre. Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a confirmé mardi sur la radio France Info que l'objectif serait atteint « d'ici à la fin de l'été », mais a averti que cela ne signifiait pas que la France aurait « suffisamment de gaz pour passer l'hiver si les Russes le coupaient et si on en consommait beaucoup ». Fin juillet, Engie avait assuré avoir significativement réduit son « exposition financière et physique au gaz russe », qui ne représentait déjà plus qu'à peu près 4 % de ses approvisionnements. « C'est complètement dans la marge de la flexibilité de nos portefeuilles, donc on n'est pas du tout inquiets », avait alors déclaré sa directrice générale Catherine MacGregor.

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C'est nettement plus efficace que les menaces ou gesticulations militaires de l'OTAN qui reste tapie derrière les frontières de l'Europe occidentale qu'il ne peut ou ne veut pas franchir par crainte de la réaction du maitre de KREMLIN avec ses menaces nucléaires qui ne semble pas beaucoup souffrir des sanctions européennes !?

Car depuis 6 mois et le début de cette guerre Russo-Ukrainienne c'est maintenant l'Europe et l'occident qui souffre de cette situation devenant économique dans le monde par cette inflation et crise énergétique déclenchée indirectement par ce dictateur malade à égo démesuré nostalgique d'un passé qu'il ne supportait plus  !

Par l'inertie des dirigeants de tous les pays d'Europe unie ou autres qui n'ont rien vu venir pourtant, ce voyant comme le nez au milieu de la figure comme la France et nos grands donneurs de leçons qui désormais demandent à leurs peuples de se serrer la ceinture déjà commencée par cette inflation et crises diverses qui devient difficile à supporter à cause de leur imprévoyance et optimisme stupide mais pas seulement en FRANCE !

Car les Français et nos voisins européens et leurs peuples n'ont jamais voulu cette guerre en UKRAINE comme d'autres d'ailleurs, en ayant subi d'autres anciennes mais encore dans les mémoires, ils ne sont pas belliqueux et vindicatifs, souvent prêt à aider ceux qui souffrent et ils le prouvent !

Mais ils sont mal gouvernés car dirigés par des dirigeants pleutres donneurs de leçons hypocrites et pour l'instant c'est POUTINE qui gagne car son peuple est asservi mais habitué depuis des siècles au totalitarisme de dirigeants autocrates sans scrupules !

Il faudrait que ces politiciens que nous élisons changent mais ils sont trop habitués à leurs conforts et avantages depuis les après guerres mondiales et c'est pourquoi le chacun pour soi est bien présent et que la kyrielle de dictateurs perdurent qu'ils n'arrivent pas à éliminer !?

Il n'y a pas de quoi être fier de certains !?

JDECLEF 30/08/2022 12H53LP


lundi 29 août 2022

Le ministère de l’éducation nationale est celui qui a donné le plus de ministres mais ce n'est pas une référence !

 

Éducation : Ndiaye annonce un concours pour titulariser les contractuels

Au printemps prochain, un concours exceptionnel sera organisé pour les contractuels en quête de titularisation pour faire face à la pénurie d'enseignants.

ENFIN IL EN FALLAIT BIEN UN SE SERA CELUI-LA POURQUOI PAS ON VERRA COMBIEN DE TEMPS IL DURERA TANT PIS POUR LES ELEVES ET LEURS PARENTS LES SYNDICATS FOURBISSENT DEJA LEURS ARMES DE CONTESTATIONS HABITUELLES !?

Changement de ministre, changement de style. C'est dans la cour de l'Hôtel de Rochechouart que le ministre de l'Éducation nationale reçoit les journalistes pour sa première conférence de rentrée. Exit, les jardins du ministère dans lequel Jean-Michel Blanquer organisait son raout de fin août, auprès de son platane adoré.

Pap Ndiaye reçoit dans la cour pavée, parle devant un fond blanc. On est loin du souffle du vent qui murmurait dans les arbres et berçait le précédent ministre : l'heure est à un cadre plus austère. Sur le pupitre, le leitmotiv de la rentrée : « Construisons ensemble une école engagée ! »

Rentrée scolaire : les principales mesures annoncées par Macron

Le mot « ensemble » n'est pas là par hasard. La veille de cette conférence de rentrée, le président de la République a lui-même appelé, en ouverture de la réunion de rentrée des recteurs d'académie, à une « transformation profonde », annonçant, entre autres, un salaire de 2 000 euros net minimum en début de carrière pour tous les profs, des réformes de la voie professionnelle et de la formation des enseignants, et plus d'autonomie pour les écoles qui le souhaitent.

Sans se dédire

Le ministre s'est lui aussi exprimé lors du journal télévisé de 20 heures, jeudi soir, à la suite du président. Pas de grosses surprises pour cette conférence de rentrée donc, l'heure est plutôt à marquer un nouveau style.

Pap Ndiaye a toutefois gardé la primeur de certaines annonces pour les journalistes réunis vendredi 26 août, comme l'ouverture d'un concours exceptionnel pour les contractuels qui seront venus renforcer les effectifs de cette année scolaire, ou encore sa volonté de concentrer des efforts sur le collège.

Pénurie de professeurs : la formation express des nouveaux contractuels

Difficile exercice de style que celui d'assurer la continuité d'une action commencée sous le premier mandat d'Emmanuel Macron, alors même que le président lui-même a évoqué la nécessité d'une « révolution copernicienne » en matière d'Éducation nationale. Comment convaincre qu'il faut tout changer, sans pour autant se dédire de l'action entreprise sous le premier mandat du même président ?

Lorsque le nouveau ministre évoque le volet pédagogique, il n'oublie pas de dire qu'il va « poursuivre » les plans français et mathématiques, « poursuivre » les évaluations nationales – et les étendre aux CM1 et 4e –, « poursuivre » les dédoublements de classes en éducation prioritaire. La triple répétition du verbe pour insister sur ce qu'il ne faut pas jeter des précédentes réformes.

Pas de place au doute

Plus tard, lors des questions ouvertes de la presse, Pap Ndiaye évoquera l'attention particulière portée à l'école primaire et au lycée par son prédécesseur, Jean-Michel Blanquer, et le « salue[ra] au passage ». Fin des occurrences dédiées au temps d'avant : l'hommage fut bref – juste assez long pour ne pas faire du passé table rase. Pap Ndiaye veut ouvrir une nouvelle ère de l'Éducation nationale.

Pap Ndiaye, privilégié ? Non. Précurseur !

Et cela commence par la forme. Blanquer avait peut-être un style oral moins convenu, plus libre, pétri de plus d'éloquence. Pap Ndiaye est plus direct, ne laisse pas de place au doute : il parle clairement, prend le temps, termine ses phrases. Il lit ses fiches, annonce le plan de sa prise de parole, quitte à passer pour trop scolaire.

Tout est soigneusement contrôlé : le discours, presque récité, est loin d'être enflammé. Pas un sourire ne transparaît. Le sérieux est de mise. Ce changement de ton augure-t-il d'un changement d'ère ? C'est ce qu'attendent en tout cas l'ensemble des acteurs de l'école, à commencer par les enseignants… et le président

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De l’enseignement depuis que la Vème république existe et qui prouve qu’il n’est pas efficace mais plutôt médiocre !

La nouveauté de la rentrée scolaire c’est le nouveau ministre de l’EDUCATION NATIONALE bon chic bon genre dans son beau costume tiré à quatre épingles parlant très bien à l’image de notre président bienpensant donneur de leçon avec une originalité il est noir ce qui plaira à nos concitoyens d’outre-mer ou d’origine africaine car c’est cela la diversité de la population française !

Delà à croire qu’il nettoiera les écuries d’Augias du ministre de l’Enseignement il ne faut pas rêver (un autre avant lui avait dit dégraisser le mammouth il n’a pas fait long feu car leurs syndicats hyper puissants sont champions des grèves à répétitions sans compter les associations de parents d’élèves !)

Avec en plus les recrutements des enseignants qui manquent qui montre l’imprévision de notre gouvernement macronien habituel qui aurait dû débuter bien avant dès le début des vacances scolaires et a décidé la création d'un concours exceptionnel de titularisation des enseignants contractuels, avec un ersatz de formation accélérée des candidats retenus !?

Certain s’étonnent que le niveau de élèves en France de primaire jusqu’au collège qui régresse, pas étonnant tant pis pour eux et leurs parents (que çà intéresse l’école étant obligatoire !)

Et le ministre tout sourire dit que tout se passera bien à la rentrée (mais peut-il dire le contraire, il n’a pas le choix !?)

Jdeclef 29/08/2022 15h25


EELV les verts sont des illuminés totalitaires on a vu avec certains : sectaires ou déjantés avec leurs idées utopiques dénouées de bon sens pollué par la politique d'état !

 

Climat et libertés publiques : le double enjeu 

CHRONIQUE. La sécheresse historique de 2022 et le dérèglement climatique sont indéniables. Pour autant, rien ne devrait justifier le recul des libertés.

NOS DIRIGEANTS DE TOUS BORDS SONT DES OISEAUX DE MAUVAISES AUGURES ILS POUSSENT LES PEUPLES A S’OPPOSER ENTRES EUX PLUTÔT QU’ESSAYER D’APPORTER DES SOLUTIONS ACCEPTABLES MAIS EN DIMINUANT LEURS LIBERTES CE QUI SERAIT UNE ERREUR !

Cet hiver, nous avons eu quelques jours de grand froid, moins que d'habitude, il est vrai. Cet été a été particulièrement chaud et sec. Ne remettant en cause ni le dérèglement climatique ni la nécessité de s'en préoccuper, nous ne pouvons qu'être surpris que, concernant l'impact de l'homme sur le réchauffement et la relation entre climat et météo, la peur et la culpabilisation remplacent la raison.

Si les mesures systématiques de température à l'échelle du continent européen datent du milieu du XIXe siècle, si la météorologie n'a sérieusement été étudiée et comparée que dans les décennies suivantes, on dispose de nombreux moyens de connaître l'histoire du climat. On renvoie ici aux travaux et à la bibliographie d'Emmanuel Le Roy Ladurie, notamment sa formidable Histoire humaine et comparée du climat, parue chez Fayard en 2006.

Une sécheresse importante dès le XIIe siècle en Europe

On y apprend que, quatre siècles avant Jésus-Christ, les Grecs réfléchissaient déjà à ces questions et que cela n'a pas cessé depuis, tant les activités humaines en avaient besoin, de la culture des champs à la navigation maritime et à l'aviation. L'historien dispose d'une documentation importante, y compris avec des séries de données, pour mieux replacer les événements météorologiques dans un contexte plus large, et même séculaire.

Ainsi, on sait que l'Est européen connut une formidable sécheresse puis une intense chaleur au milieu du XIIe siècle et qu'alors, le Rhin se traversait à pied ; qu'un siècle et demi plus tard, deux récoltes successives furent brûlées par le soleil en France ; qu'au début du XIVe siècle, les principaux fleuves de l'ouest du continent, y compris le Rhin et la Seine, étaient quasiment à sec ; qu'à la fin du même siècle, les récoltes furent à nouveau détruites par une chaleur excessive, sur deux années consécutives ; qu'entre 1538 et 1541, il plut si peu que les fleuves s'asséchèrent à nouveau ; que quinze ans plus tard, la sécheresse fut générale en Europe ; etc.

La minute antique – Rien que de l'eau

Le record semble appartenir à l'année 1718 où nous restâmes six mois sans aucune pluie et qu'à l'été, il fit 45 degrés Celsius à Paris (ou 36° Réaumur de l'époque). Et encore, on repère dans la documentation publique et privée des canicules en 1723, 1726, 1746, 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788. Et ça recommence en 1810, 1811, 1818, 1830, 1832, 1835, 1850. Arrêtons-nous là : il a fait souvent très chaud par le passé, parfois plus que cette année. L'épisode européen de 2022 n'est probablement pas le plus accablant que l'Humanité ait connu. Ce qui inquiète, à juste titre, c'est la succession de ces épisodes.

Entendons-nous à nouveau (car il faut se répéter pour tenter d'éloigner les anathèmes) : nul ne peut nier le dérèglement climatique – dont d'ailleurs Le Roy Ladurie est convaincu, et nous avec lui. Notre objet est d'essayer de comprendre pourquoi des inexactitudes aussi criantes doivent être considérées comme des vérités presque sacrées. L'ignorance et le désintérêt pour la profondeur intellectuelle et historique des faits n'expliquent pas tout. Pas plus que les paresses médiatiques et politiques. Il y a bien longtemps que nos illusions sur ce point sont mortes. Ce qui est en cause ici est l'infantilisation des sociétés. Le dérèglement est le monstre qui, quoi qu'on fasse, se cache derrière la porte et doit absolument nous empêcher de dormir.

La peur et ses diktats

Désarmés devant la perte de civisme et de sens collectif, se rendant compte (mais un peu tard) qu'ils récoltent les fruits amers de l'infantilisation, les gouvernements n'ont plus qu'une solution pour convaincre les masses : une systémique politique de la peur (on devrait dire des peurs, car il y en a d'autres en stock). La génération actuelle est payée pour le savoir. Et dès que l'homme a réussi à en juguler une, on en trouve vite une autre pour la remplacer. Avec celle du dérèglement climatique, on a trouvé la peur par excellence, la peur de long terme, la peur vitale pour des générations entières. C'est une peur en or qui permet tout et qui, un jour ou l'autre, aura des conséquences sur les libertés individuelles.

On croyait autrefois à la science et au génie de l'homme. Et on doit dire que cette croyance et les efforts de l'humanité ont fait progresser l'espèce de façon incroyable, en la mettant à l'abri de bien des périls. Contourner et dompter la nature étaient des buts des sociétés, des savants, des politiques et des simples citoyens. L'ambition est aujourd'hui exclusivement de se soumettre à ses diktats, sans plus jamais ruser avec elle.

Biologie de la peur

Pour certains, comme les Verts et les ONG les plus diverses, c'est même devenu une obligation, quitte à sacrifier tous les progrès humains (et les humains avec) sans quoi, comme dit Mme Rousseau pour le jet-ski de M. Macron, on est un « criminel ». Pour ces doctrinaires, lutter contre le dérèglement va de pair avec la stigmatisation, l'accusation et, demain, la condamnation. Comment vivrons-nous avec ce totalitarisme qui ne se cache même plus, une fois résolue la question du réchauffement, si tant est qu'elle puisse l'être ?

Voici posé le vrai double défi des démocrates et des libéraux : comment lutter à la fois contre le dérèglement et pour les libertés individuelles.

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Ministres de l'Écologie, passé et pas net personnellement qui se sont succédé en plus sous divers gouvernements de tous bords !

La grande peur de la sécheresse ou du réchauffement climatique est immuable car la terre et la nature elle-même évolue et certains grands pays privilégient le profit et l'argent roi !

Les derniers événements, crises sanitaires, guerre en Ukraine ont rebattu les mauvaises cartes et nos défauts du chacun pour soi, le principal de ceux-ci !

On peut toujours éduquer nos enfants à ne plus gaspiller, à ne plus dégrader la nature, à être plus attentif à respecter l'environnement etc !

Je parle des enfants des leurs jeunes âges car bien sûr, il y a le respect d'autrui pour limiter au maximum la délinquance voire pire tout est lié car quand ils ont déjà atteint l’âge de 6 ans tout est fait dans leurs petites têtes, le bon et le mauvais inculqué en 1er par leurs parents et une éducation nationale mais trop politisée par les pouvoirs en place dans nos pays démocratiques libres civilisés qui le peuvent mais le veulent-ils ?!

Car quand on voit le boum des jets privés qui ne représente qu'une infime partie de cette pollution avec déjà notre état et nos ministres qui en abusent déjà!?

Il faut arrêter ces polémiques de bienpensant donneurs de leçon et s'adapter en fonction de l'évolution de la situation, car si l'on s'attaque aux libertés acquises en interdisant une partie de celles-ci (cela ressemblera comme à la prohibition de l'alcool dans les années 30 aux USA qui fut un fiasco ou les luttes contre les divers stupéfiants actuels !)

La France est un petit pays, ça peut être sa chance pour appliquer des règles simples à sa taille pour elle supportable mais surtout pas à marche forcée, bornée mais il ne faut pas être arrogant comme certains de nos dirigeants donneurs de leçons car çà braque les plus grands qui n'écoutent pas !

Et des exemples flagrants de ces dernières décennies et quinquennats, inutile de les citer, on en subit déjà les conséquences !

Jdeclef 29/08/2022 13h40