Mikhaïl
Gorbatchev, dernier dirigeant de l’URSS, est mort à 91 ans
L’ex-président
soviétique était l’un des principaux artisans de la fin de la guerre froide. Il
avait eu le prix Nobel de la paix en 1990.
POUR REVENIR
APRES +30 ANS RETOUR A LA CASE DEPART AVEC POUTINE PAR L’INERTIE DES OCCIDENTAUX QUI
ONT ASSISTE SANS BOUGER A L’ASCENSION DE CE DICTATEUR QUI LES MENACE SANS
VERGOGNES DU FEU NUCLEAIRE ET MET LA SITATION ECONOMIQUE INTERNATIONALE EN
MAUVAISE POSTURE PAR CETTE GUERRE UKRAINIENNE AUX FRONTIERES DE L’EUROPE
OCCIDENTALE AVANT PIRE PEUT ETRE ?!
C'est une formidable
destinée que celle de Mikhaïl Gorbatchev, mort à l'âge de 91 ans. Un
provincial, venu du Caucase, à qui une ferveur communiste indiscutable et un
entregent qui a fait beaucoup d'envieux auront permis de franchir, très jeune,
dans les arcanes verrouillés d'un pouvoir sénile, toutes les étapes menant à la
consécration suprême. Un opportuniste audacieux aussi.
Réalisant très tôt l'échec patent – mais non reconnu par ses pairs – du
socialisme, il n'a pas tremblé et mis en pratique dès qu'il en a eu le pouvoir
des réformes d'inspiration libérale qui vont fissurer le carcan d'un régime
autoritaire, figé, improductif et surtout corrompu. Dans la foulée, il mettra
également fin, à l'extérieur des frontières de l'URSS, à 70 ans de
domination sur des pays asservis par un impitoyable système dictatorial, en
laissant se détruire le Rideau de fer et en tirant un trait sur la guerre
froide.
Et puis, comme l'apprenti sorcier qu'il était, il finira par être lui-même
aspiré par le tourbillon du bouleversement qu'il avait engagé, au point d'être
contraint de céder piteusement la place à plus réformiste que lui – du moins
pouvait-on le croire à l'époque – en la personne de Boris Eltsine.
Gorbatchev : la vie après le Kremlin
Le koulak et le stalinien
Dans le village de Privolnoe où il est né le 2 mars 1931 dans
une famille de paysans, Mikhaïl Gorbatchev aura été dès l'enfance déchiré entre
deux mondes. Celui d'une orthodoxie communiste pure et dure, celle que pratique
son grand-père maternel Panteleï Gopkalo, président du kolkhoze du village, et
celui d'une Russie plus traditionnelle, mais aussi plus ouverte au changement.
En effet, le grand-père paternel du jeune Micha, Andreï Gorbatchev, est un
cultivateur traditionnel, hostile à la collectivisation des terres et qui
cherche à exploiter son bien en vendant ses produits au plus offrant. C'est une
attitude qui ne pouvait être tolérée longtemps sous Staline, surtout après la
grande famine des années trente. Alors que Gorbatchev a tout juste trois ans,
Andreï qu'il adore et admire est arrêté et envoyé au goulag. Miraculeusement,
car à l'époque on revenait rarement de Sibérie, le « koulak »
récalcitrant est remis en liberté au bout d'un an seulement.
Gorbatchev : « J'ai laissé agir l'Histoire »
Entre-temps, le jeune Gorbatchev et ses parents se sont installés chez
Panteleï, ce grand-père dont le marxisme est le bréviaire et pour qui Staline
est un Dieu dont le culte imbibera les jeunes années de Micha. C'est dire qu'à
l'orée de l'adolescence, le jeune homme n'a pas encore goûté aux sirènes de la
contestation. Il fait au contraire un parcours scolaire impeccable et une
montée en responsabilité régulière dans les jeunesses communistes, les
komsomols : en 49, il est décoré de l'ordre du drapeau rouge du travail et
termine son cycle scolaire avec une médaille d'argent.
Cette double décoration « prolétarienne » a une influence
considérable sur son avenir : elle lui ouvre, privilège rare pour un
provincial, les portes de l'université de Moscou. Il y fera des études de droit
et y rencontrera celle qui fut non seulement la femme de sa vie, Raïssa, mais
aussi l'inspiratrice et le soutien de sa progression jusqu'au sommet du
pouvoir.
Une ascension éclair
Première grosse déception dans son ascension : il espérait un poste de
magistrat à Moscou, on le renvoie à Stavropol. En fait, ce sera sa chance. Car
il prend vite du galon dans les komsomols locaux. Et comme il a déjà un
excellent flair politique et est avide de progrès, il profite du rapport
Khrouchtchev, dénonçant le culte de la personnalité de Staline et réclamant une
réforme du parti, pour devenir dans sa région le meilleur propagandiste des
idées nouvelles. Et puis Gorbatchev se révèle déjà un orateur né, sachant aller
vers ses auditoires, ne refusant jamais la discussion, même quand elle vient de
simples paysans.
Gorbatchev : l'homme qui a regardé tomber le mur de
Berlin
À 30 ans, il est nommé premier secrétaire régional des jeunesses communistes.
Ce qui lui permet de revenir à Moscou pour participer, en 1961, au 22e Congrès
du Parti, première marche vers le pouvoir. C'est là qu'intervient dans sa vie
l'un des protecteurs qui va aider Mikhaïl Sergueïevitch à passer de sa province
à la cour des grands. Fedor Koulakov a 42 ans. Comme Gorbatchev il est, ce
qui est rare dans la nomenklatura, fils de paysan. Après avoir été ministre, il
a été envoyé par Khrouchtchev, qui a toute confiance en lui, pour prendre la
direction de la région de Stavropol et y faire appliquer les mesures
préconisées par le maître du Kremlin pour y redresser une agriculture à la
dérive.
Le nouveau patron de la région va se servir de l'expérience de ce fils de
paysan. Il appelle Gorbatchev auprès de lui comme responsable des cadres du
parti dans la région. Dès lors, sa progression va être exceptionnelle :
premier secrétaire du parti de la ville de Stavropol en 66, il est
« élu » deux ans plus tard deuxième secrétaire de la région. Puis en
1970, à 39 ans et sur recommandation expresse de Koulakov, premier
secrétaire du PC régional.
Des amitiés utiles
En 1971, le voilà à Moscou, et déjà coopté, au 24e congrès, comme membre
titulaire du comité central du PC de l'URSS. Entre-temps Khrouchtchev a été
évincé et Leonid Brejnev est le nouveau maître de l'Union. Gorbatchev n'en
souffrira pas. Sans doute parce que ses bonnes fées se nomment Koulakov,
l'expert en agriculture du régime, et aussi Iouri Andropov, le patron du KGB de
l'époque. Mikhaïl a eu la chance, alors qu'il n'était encore qu'un obscur
responsable local des komsomols, de se lier d'amitié et de parler longuement
des maux du pays avec le patron de l'espionnage, quand celui-ci, plus libéral
qu'il n'y paraissait, venait suivre une cure thermale à côté de Stavropol.
Un hasard tragique va être à l'origine de la première grande
consécration de Gorbatchev : Fedor Koulakov décède brutalement le
26 novembre 1978 et Mikhaïl va être propulsé au poste de
ministre de l'Agriculture que Brejnev réservait au défunt. Le protégé profite
avec réalisme de cette disparition soudaine. « Vas-y, fonce », lui
écrit même Brejnev.
Il ne s'en privera pas. Surtout lorsque, quatre ans plus tard, Iouri
Andropov succède à Leonid Brejnev et devient premier secrétaire. Avec
l'accession au pouvoir suprême de celui avec qui, lors de ses cures thermales,
il a partagé de longues discussions sur la manière de déverrouiller la société,
Gorbatchev peut espérer voir se réaliser leurs idées communes. Mais le destin
en décidera autrement. Tombé gravement malade à l'automne, Iouri Andropov
décède le 9 février 1984, avant d'avoir pu mettre en pratique l'esquisse
même des réformes envisagées.
Est-il possible d’accomplir les changements
profonds que le pays espère ? Il le faudra bien, car on ne peut pas
continuer comme cela
Le coup du sort de cette deuxième disparition aurait pu être un coup d'arrêt
à la carrière politique de Gorbatchev. Mais même dans cette bureaucratie aux
codes figés, il est difficile d'interrompre la montée en puissance de celui
qu'Andropov avait clairement désigné comme son héritier : « Ne te
limite pas à l'Agriculture. Agis comme si tu avais toutes les
responsabilités », lui avait-il conseillé. Pourtant, au grand désespoir de
tous les réformistes, un apparatchik sans talent et souffreteux, Konstantin
Tchernenko, devient premier secrétaire. Il est déjà tellement malade qu'il
parviendra difficilement à prononcer l'éloge funèbre d'Andropov.
Au fil des mois ce pouvoir grabataire va d'ailleurs un peu plus
s'essouffler. Et c'est Gorbatchev qui préside le Politburo quand Tchernenko est
souffrant. C'est-à-dire de plus en plus souvent. Au point que dans les couloirs
du Kremlin, comme dans les salles de rédaction des médias officiels, on le
surnomme déjà « le secrétaire bis ». Il n'attendra pas très longtemps
pour devenir le vrai numéro un. Un an et vingt-cinq jours après avoir été
intronisé, Tchernenko meurt.
Au soir de ce 10 mars 1985 qui le voit à 54 ans accéder
au sommet du pouvoir, Gorbatchev sort dans le parc proche de sa datcha avec
Raïssa, seul moyen d'échapper aux micros du KGB. Il racontera lui avoir
dit : « Depuis sept ans que je suis à Moscou, je me heurte à des
murs. Est-il possible d'accomplir les changements profonds que le pays
espère ? Il le faudra bien, car on ne peut pas continuer comme
cela. »
Perestroïka…
En tout cas, il est pressé de passer aux actes. Il s'attaque d'abord aux
prébendes des cadres du parti. Entre l'entrée en fonction de Gorbatchev et le
27e congrès du parti, moins d'un an plus tard, près
de 117 responsables et apparatchiks, dont 35 ministres
et 46 premiers secrétaires de région, vont être limogés.
La remise en cause du système ne se borne pas pour autant à des purges comme
le pays en connaît depuis 1917. Gorbatchev a compris que l'URSS a un besoin
urgent, non pas d'une simple modernisation, mais d'une restructuration du
modèle existant. Dès l'été qui suit son accession au pouvoir, il va lui donner
un nom : « perestroïka ». Une rénovation de l'économie, une
remise à plat des pratiques existantes dont Gorbatchev ne veut pas pour autant qu'elle
s'accompagne de la mise au rencart du parti. Bien au contraire, c'est la
nécessaire démocratisation de celui-ci qui « conduira notre patrie à de
nouvelles frontières », lance-t-il d'un ton un peu emphatique, qui
rappelle celui de John Kennedy.
Mais, comme on pouvait s'y attendre, beaucoup de barons renâclent devant la
nouvelle politique proposée. D'autant que les premières réformes lancées –
autonomie des entreprises ou des kolkhozes, retour à la vérité de la loi du
marché –, non seulement ne donnent pas de résultats immédiats, mais
s'accompagnent d'une flambée des prix qui provoque une montée du mécontentement
populaire. Comment les progrès pourraient-ils être rapides dans une économie
dont les dépenses militaires sont supérieures en valeur à celles des
États-Unis, alors que le PNB de l'URSS est à peine le quart de celui de
l'Amérique.
… et Glasnost
Gorbatchev en tire la conclusion que, puisque les appareils résistent, il
faut s'adresser directement au peuple. Et pour cela jouer la transparence, la « glasnost »,
qui sera avec la perestroïka le symbole de la nouvelle politique. Cela se
traduit par une liberté laissée à la presse inédite depuis la Révolution
d'octobre. Et par l'éclosion un peu partout dans le pays de manifestations
parfois hostiles, quelquefois favorables, qui autrefois auraient été
interdites. Dans le même temps, le goulag se libère de beaucoup de ses
prisonniers politiques. Le dissident Andreï Sakharov sera du lot.
En juin 1988, pour la première fois, il y a des candidatures multiples aux
élections de délégués du parti. Mais déception : peu de nouveaux élus
émergent de cette consultation plus ouverte. Les Russes restent sceptiques et
ont reconduit la vieille classe.
S'il n'est pas encore vraiment prophète en son pays, Mikhaïl Gorbatchev fait
en revanche bouger les lignes à toute allure dans les « pays frères »
de l'Europe de l'Est. Dès novembre 1986, lors d'un sommet secret à Moscou, il
annonce aux dirigeants de l'Est médusés qu'il faudra dorénavant tenir compte
des lois du marché et surtout que « chaque nation a le droit de choisir
son modèle de développement, capitalisme ou socialisme ». C'est la fin de
la doctrine de la souveraineté limitée. Celle qui autorisait toutes les
interventions armées, comme celle contre le Printemps de Prague en 1968.
Reconnu à l'Ouest
L'erreur de Gorbatchev est d'imaginer que sinon les dirigeants, dont la
plupart sont bornés et incapables d'évoluer, du moins les peuples, vont suivre
la voie des réformes prudentes engagées par l'URSS. Or cette liberté de choix
retrouvée, conjuguée à l'absence de risque d'intervention armée, va favoriser
non pas des réformistes qui adapteraient la perestroïka à leur pays, mais des
nationalistes dont 70 ans de servage ont entretenu leur haine des
Soviétiques et leur désir de revanche.
La Pologne avec Solidarnosc, puis la Hongrie, la Bulgarie, la
Tchécoslovaquie multiplient les manifestations hostiles à leurs gouvernants.
Puis s'en prennent à Moscou et finalement à Gorbatchev lui-même. Pourtant, avec
courage, celui-ci empêchera les dirigeants les plus durs, ceux d'Allemagne de
l'Est ou de Bulgarie, à intervenir militairement pour rétablir « l'ordre
communiste » en Pologne, en juillet 1989. Surtout, il agira de même lors
de la chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989.
Si cette position courageuse vaut à l'initiateur de la perestroïka une forte
popularité en Occident bientôt couronnée par un prix Nobel de la paix, en
Russie, le peuple ne voit en lui que le responsable de la débâcle de l'empire
et d'une catastrophe économique pire parfois que les années de privation des
plus mauvais jours du stalinisme. Quant à ses compagnons de route du Kremlin, à
part quelques très proches, ils n'y verront que naïveté ou trahison.
Un rival nommé Eltsine
En effet, après la chute du Mur, Gorbatchev va très vite se retrouver à
Moscou attaqué sur sa droite par les conservateurs, qui n'ont pas accepté sa
remise en cause des « acquis du socialisme », et par les partisans
d'une réforme accélérée des institutions politiques de l'URSS, avec remise en
cause du parti unique, la création d'un marché intérieur, la refonte du système
fiscal, la fin des monopoles sur le gaz et le pétrole. Ce courant a un chef de
file, Boris Eltsine. Un homme venu de l'Oural et que Gorbatchev avait fait
venir auprès de lui parce qu'il avait une réputation de réformateur. Partisan
de réformes très libérales, certes, mais qui lorsqu'il parviendra au pouvoir
montreront leurs limites et leurs dérives au profit de quelques profiteurs
enrichis qui mettront le pays en faillite.
Eltsine est doué d'une ambition démesurée. Lorsqu'il se fait élire, en mai
1990, président du Présidium du soviet de la Fédération de Russie, il est de
facto le rival de Gorbatchev, devenu deux mois plus tôt président du soviet de
l'URSS. La Russie contre l'URSS, c'est le match qui se livrera jusqu'en
décembre 1991 et la retraite forcée de Gorbatchev. Un match que
Gorbatchev pense qu'il aurait pu gagner si l'Occident avait pris la juste
mesure de ce qui se passait dans son pays et l'avait aidé, comme les États-Unis
avaient aidé l'Allemagne de 1945, par un gigantesque plan Marshall qu'il
évaluait à 50 milliards de dollars.
Le triomphe des oligarques
Revenu bredouille le 19 juillet 1991 du premier sommet du G7
auquel l'URSS était admise, Mikhaïl Gorbatchev tente une dernière
manœuvre : éviter l'explosion de l'URSS en proposant à toutes les
républiques associées, y compris les Baltes et l'Ukraine qui ont déjà plus ou
moins pris le large, un traité d'union pour une sorte de confédération.
Un putsch grotesque et raté, le 19 août 1991, concocté par des
conservateurs profitant des quelques jours que Mikhaïl s'accordait au bord de
la mer Noire, va lui faire perdre cette dernière manche. Prisonnier des
apprentis putschistes dans sa maison de Crimée, il va laisser le champ libre à
Boris Eltsine, qui juché sur un char devant le Kremlin apparaîtra comme l'homme
ayant mis les comploteurs en déroute.
Les quatre mois qui suivront jusqu'à l'annonce de la démission de Mikhaïl
Gorbatchev le 25 décembre 1991 seront pour lui une longue
humiliation au cours de laquelle il est mis plusieurs fois en minorité par ses
pairs, tandis que le pouvoir lui échappe et qu'Eltsine et la Fédération de
Russie triomphent. Et avec eux les oligarques qui, pendant huit ans, jusqu'à
l'arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir, vont pomper à leur profit la sève de
cette Russie que Gorbatchev avait cru pouvoir faire passer en douceur d'une
dictature communiste impotente et menaçante à une démocratie moderne.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
la
mentalité slave des Russes habitués au soviétisme et à être gouvernés asservis
par un totalitarisme depuis des siècles tsariste staliniste et ces vieux
autocrates jusqu'en 1989 et la chute du mur de BERLIN et la fin de la guerre
froide mais qui avait dans son sein déjà un remplaçant POUTINE ex du KGB qui a
attendu 30 ans en testant sa force par petit palier successif envers certaines républiques
de l'ex URSS qui avaient obtenues leurs indépendances et qui ne voulaient pas
entrer dans le giron de la nouvelle fédération de RUSSIE : Tchechenie Georgie
Dombas Ukraignien et annexion de la CRIMEE !
Avec la
cerise sur ce gâteau empoisonné la guerre à l'UKRAINE car elle aussi voulait sa
liberté !
Dont les
occidentaux ont bien sur vu l'évolution sans bouger trop occupé à faire du
profit et de l'argent roi sur la mondialisation qui s'épuisait en vain et
devenue obsolète car le chacun pour soi étant redevenu la règle attisé par des
crises diverses et sanitaires comme la COVID !
Alors au
niveau international l'est et l'ouest que l'on appelait deux blocs renait avec
en plus la CHINE qui s'est réveillée en ASIE avec aussi l'INDE sans compter ce
moyen orient devenu explosif avec cet AFHGHANISTAN et PAKISTAN avec ses
TALIBANS et derrière nous 20 ans de guerres moyen orientales de l'occident qui
n'ont servi à rien plus les printemps arabe fiasco et pour la France une
décolonisation ratée en Afrique du nord et Afrique francophone ex AOF/AEF ou
notre pays y est encore impliqué !?
Alors le décès
de GORBATCHEF n'a été que reculer pour mieux sauter car les occidentaux sont
maintenant revenus en dessous de zéro par nos dirigeants d'une incapacité
lamentable (mais nous les avons élus et même réélus !?)
Tant pis
pour nous !
Jdeclef 31/08/2022
12h02LP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire