jeudi 18 août 2022

Ne peut-on SVP nous parler d'autres choses plus importantes que ce que fait de ses nuits Mr MACRON notre pseudo monarque ?!

 

Textos, rendez-vous secrets, marches… les nuits d’Emmanuel Macron

Insomniaque, Emmanuel Macron est un adepte de la double journée de travail, au risque d’épuiser ses collaborateurs. Enquête sur un président noctambule.

PEUT ETRE UN MALADE QUI S’IGNORE C’EST ASSEZ COMMUN AVEC CES DIRIGEANTS A EGOS DEMESURES QUI PEUVENT LEUR JOUER DES TOURS !

Rien n'y fait. Brigitte a beau lui répéter qu'il doit se reposer et se coucher plus tôt, le président ne change pas. Les soirées d'Emmanuel Macron sont invariablement consacrées au travail. Les nuits à l'Élysée sont bien souvent studieuses, en contraste avec le faste du lieu. « Je passe mes nuits avec vous ! » soupire parfois la première dame, croisant les courtisans zélés du chef de l'État qui envoient des notes et des messages à des heures indues. Au palais sous Macron, le monde appartient à ceux qui se couchent tard : la nuit l'agenda est vide, les hiérarchies s'estompent, les ambitieux sont sur le qui-vive. C'est entendu : le président travaille tard. Il aime d'ailleurs que ce soit dit, écrit, répété, comme si le mandat que lui avaient confié les Français à deux reprises était un sacerdoce qui n'offre aucun répit à celui qui l'exerce.

Parvenu au pouvoir à moins de 40 ans, Emmanuel Macron s'est astreint depuis ses débuts à une vie d'ascèse, rythmée par une discipline quasi militaire. En dehors des déplacements, le président ne s'échappe que rarement de l'Élysée, cette forteresse où convergent les pouvoirs. Attaché à la légende qu'il a forgée d'un président jeune, dynamique et qui dort peu, il ne supporte pas que l'on suggère qu'il pourrait éventuellement être fatigué. Ses équipes l'ont appris à leurs dépens durant la dernière campagne présidentielle. Essoré par un quinquennat qui ne fut qu'une succession de crises, ceux qui le côtoyaient lui trouvaient des traits tirés. Malgré les cernes et à peine plus de deux heures de sommeil au pic de la guerre en Ukraine, rien ne l'agaçait plus que la petite ritournelle d'un supposé coup de mou. Après tout, ni Jupiter ni Vulcain ne dorment… « Il a alors démultiplié les déplacements alors qu'il était objectivement “cramé”. Il ne voulait apparaître que seul en scène, sans ministre. Il est en permanence dans le culte de la performance, révèle un collaborateur. Sa volonté était de conserver intacte l'image du leader infatigable. »

EXCLUSIF. La riposte d'Alexis Kohler

Week-ends à La Lanterne

Emmanuel Macron vit et dort – insuffisamment si l'on s'en tient aux recommandations de l'OMS – sur son lieu de travail. Avant lui, plusieurs de ses prédécesseurs ont renoncé à s'installer sous les dorures du 55 rue du Faubourg-Saint-Honoré. François Mitterrand rentrait rue de Bièvre, Nicolas Sarkozy regagnait ses pénates à Neuilly ou villa Montmorency. Jacques Chirac habitait au palais, mais laissait ses conseillers avoir une vie. Quant à François Hollande, il avait fini par s'astreindre à emménager au Château, ce qui ne l'empêchait pas de rejoindre l'actrice Julie Gayet rue du Cirque à scooter… Chez le jeune président Macron, point de fantaisies ni d'escapades nocturnes connues. De mémoire de personnel de l'Élysée, jamais on avait connu la maison aussi studieuse ! Le chef de l'État et son épouse protègent jalousement leur vie privée. Même Alexis Kohler, son fidèle bras droit, n'est pas toujours informé de la raison pour laquelle un créneau est réservé en semaine de 18 heures à 20 heures, entre chien et loup, dans l'agenda du président. Parfois – c'est rare –, Emmanuel Macron demande à des conseillers de monter des rendez-vous secrets, dans le dos d'Alexis Kohler. Ce fut le cas avec Jean Castex, son ex-premier ministre, et avec Catherine Vautrin, qui a failli l'être.

Les appartements privés qu'occupe le couple Macron au premier étage du palais sont un sanctuaire où seuls des membres de la famille, l'aide de camp du président et quelques ultraproches sont parfois autorisés à entrer. Le vendredi, Emmanuel Macron s'échappe à la Lanterne chargé d'une caisse de parapheurs. Dans cette annexe du château de Versailles, sa résidence secondaire, il peut s'isoler pour travailler, profiter des espaces pour ses entraînements de sport. Le dispositif de sécurité y est moins lourd qu'à l'Élysée, les collaborateurs sont absents, les réunions inexistantes… mais le sommeil n'est pas plus long. Hormis les enfants de Brigitte le dimanche midi pour un traditionnel poulet rôti, personne ou presque n'est invité dans la tanière présidentielle. L'été, le couple se retire au fort de Brégançon.

C’est une maison monacale.Un habitué de l’Élysée

Emmanuel Macron n'est pas un président mondain. À la différence de Nicolas Sarkozy ou de François Hollande, le président organise peu de dîners ou de réceptions, même informels. Quand Brigitte Macron reçoit des amis, il passe au mieux une tête, histoire de dire bonjour. « Le chef de l'État n'a pas de vie sociale », assène un vieux compagnon de route. « Il voit peu de monde, et c'est à mon sens un problème », ajoute un autre, qui s'en est ouvert auprès de la première dame. La réponse n'a pas tardé : « Je ne veux plus qu'on fasse de dîners à l'Élysée. Ça se termine à 2 heures du matin et ensuite, Emmanuel retourne travailler ! »

Pérégrinations nocturnes

L'inventeur du « en même temps » aime marcher, rentrer à pied après un événement officiel. Des déambulations mises en scène par sa photographe, Soazig de la Moissonnière, dans lesquelles on peut reconnaître la rue de Rivoli. Les nuits à l'Élysée sont tristes et laborieuses. « C'est une maison monacale, le président travaille tout le temps », décrit un habitué. Même la soirée du 21 décembre, jour de l'anniversaire d'Emmanuel Macron, son organisation austère ne varie pas. Brigitte invite parfois au débotté un ou deux proches, qui courent chercher un cadeau pour ne pas débarquer les mains vides. Elle l'extirpe de temps à autre de son bureau pour aller voir une pièce de théâtre, dans l'une des salles du producteur parisien Jean-Marc Dumontet, un ami du couple. Une bouffée d'air.

Élisabeth Borne, Madame Pugnace

À l'inverse de ses prédécesseurs, le président ne reçoit pas de visiteurs du soir, ces fameux conseillers officieux qui ne figurent ni dans l'agenda ni dans l'organigramme. Emmanuel Macron n'a jamais cherché à sanctuariser ce genre de rendez-vous avec ses fidèles, pas plus qu'il n'apprécie les dîners politiques avec les poids lourds de sa majorité, le contenu des conversations fuitant, trop souvent à son goût, dans la presse. La nuit, il préfère éplucher ses notes, étudier ses dossiers, écrire ses discours importants comme celui des Mureaux, de l'hommage à Samuel Paty, de la panthéonisation de Joséphine Baker. Il lit des essais, relit ses poètes fétiches, de Guillaume Apollinaire à René Char, en passant par Michel Leiris, fait-on savoir. L'ancien banquier d'affaires affectionne surtout les conversations nocturnes avec ses « télégrameurs du soir ».

Emmanuel Macron consacre ainsi une partie de ses nuits à pianoter sur son téléphone jusqu'à 2, voire 3 heures du matin. Son jardin secret. C'est après son dîner dans ses appartements privés – souvent une omelette en tête-à-tête avec son épouse – que ce président casanier et solitaire se consacre à ce rituel. « De 20 heures à 22 heures, on a la paix, sourit l'un de ses « télégrameurs. Et à partir de 22 h 30, il bombarde chaque jour que Dieu fait ! » Il répond aux messages reçus durant la journée. Il consulte, il sonde et sollicite ses « capteurs » informels à la recherche des signaux faibles. Le chef de l'État déploie ses antennes pour se reconnecter, pense-t-il, avec le pays. « Comment tu sens les choses ? C'est quoi ta lecture là-dessus, ça, tu en penses quoi ? » Ils sont une cinquantaine à faire partie de ses interlocuteurs nocturnes, une vingtaine à recevoir régulièrement ce genre de messages génériques et laconiques. Une manière de ne pas se laisser enfermer par ses conseillers, de confronter les points de vue. Quitte à provoquer des crispations dans son cabinet, peuplé d'ego blessés.

Dans les secrets du gouvernement Borne

Quelques vannes, parfois

Le président a identifié les couche-tard de son entourage : le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, ses conseillers politiques Thierry Solère et Stéphane Séjourné, l'ex-ministre Jean-Louis Borloo, des élus ou anciens élus comme Jérôme Peyrat, Nicolas Bays, des fidèles de la première heure comme Julien Denormandie, Ismaël Emelien, Stéphane Travert, Jacques Mézard. Richard Ferrand et Christophe Castaner sont aussi dans le lot. Ils rapportent le bruit de la ville. Évidemment des collaborateurs, mais aussi des élus locaux comme Jean-Yves Gouttebel, président du département du Puy-de-Dôme, avec qui il échange régulièrement, le maire de Poissy, Karl Olive, devenu député, des sénateurs comme André Gattolin, Patricia Schillinger, à qui il répond souvent… « Moi, je ne le dérange pas. Je ne comprends même pas pourquoi il répond à certaines de ces personnes… », se désole un ami.

Dans son panel, on trouve aussi des chefs d'entreprise et des figures plus inattendues comme des urgentistes ou le cafetier de Saint-Cirq-Lapopie, où Emmanuel Macron s'est rendu l'été dernier. « Il échange avec des profils très variés, pas seulement ceux qui sont dans le spectre politique. Il ne dialogue pas par exemple avec des intellectuels parisiens comme Rosanvallon ou Pisani-Ferry. C'est le dernier kilomètre qui l'obsède. Il vérifie par lui-même que les décisions sont correctement appliquées, que ça fonctionne sur le terrain », décrit un collaborateur. « La nuit, c'est son terrain, son monde. Une forme d'évasion de la norme institutionnelle, pour aller au plus près des réalités », rapporte l'un de ses ex-conseillers.

Parfois, je reçois des messages longs comme le bras à minuit le samedi.Un fidèle

Il est plus de 1 heure du matin, ce 13 juillet. Emmanuel Macron est devant son écran de télévision, il suit les débats parlementaires en direct. Il fulmine : Les Républicains viennent de voter avec les Insoumis contre la possibilité d'un retour du passe sanitaire aux frontières, l'une des mesures phares de la loi d'urgence sanitaire. Dans ces moments-là, il attrape son téléphone, il a besoin d'échanger, d'évacuer. Les destinataires pèsent chaque mot pour lui répondre : « Il écrit à n'importe qui, certes, mais moi je sais que j'écris au président de la République. » Il faut argumenter, donner le change. Certains ont leur technique : feindre de ne pas avoir lu le message et se donner la nuit pour réfléchir à une réponse étayée et, idéalement, pertinente. « Parfois, je reçois des messages longs comme le bras à minuit le samedi. Si je commence à répondre, je risque le cancer du pouce… Je préfère appeler le lendemain matin », confesse un fidèle. Beaucoup, qui ont intégré le risque de fuites, s'autocensurent dans leurs écrits.

Le président, toujours courtois, s'exprime lui-même toujours avec une forme de retenue, se protège de plus en plus. « Les messages, la nuit, c'est le canal le plus direct avec le président », confie l'un de ses correspondants. « Il se met à niveau, il argumente, il demande des nouvelles de proches parce qu'il se souvient de tout. Parfois, il envoie des vannes. Si un jour on avait accès à ces écrits, ça l'humaniserait ! » estime un de ses soutiens. Dresser la liste des correspondants nocturnes du président revient à recenser qui est en cours et qui ne l'est plus. Car Emmanuel Macron répond le plus possible, sauf quand il est contrarié. « Un jour, je lui ai écrit : “Édouard Philippe nous amène beaucoup d'emmerdes. Il faut mettre Richard Ferrand à Matignon.” Il n'a pas répondu. Quand ça l'emmerde, il ne répond pas », raconte un élu. Effet collatéral de ce mode de fonctionnement : beaucoup attendent de voir l'un des trois numéros de portable du président connectés le soir sur Telegram pour lui écrire. Et beaucoup paniquent quand ils n'obtiennent pas de réponses sous quarante-huit heures. Le piège de l'affect, de se croire indispensable… « S'il répond, cela signifie que vous ne racontez pas n'importe quoi », s'enorgueillit un conseiller.

Christine Clerc – Quand Macron la joue « façon Chirac »

« La nuit, on voit des choses que le jour ne montre pas. Quand le temps est plus calme, les réflexions sont plus profondes », a confié Emmanuel Macron dans le livre Vérités et légendes (Perrin), du journaliste Arthur Berdah. Le président affectionne ce silence ouaté, cette obscurité propice à la conversation, aux confidences. Il échange parce qu'il ne dort pas, il cherche à se nourrir en permanence. Il a horreur d'être à l'arrêt, ne s'épanouit que dans l'action. « Le président avale tout, il est toujours à fond, c'est un boulimique de travail, confirme Thierry Solère. Chaque minute de son quinquennat doit être utile, c'est ce qui explique son rapport au temps, son rapport aux nuits. » Alexis Kohler, le numéro deux de l'Élysée, passe les urgences au tamis mais le président a pris l'habitude de tout contrôler par lui-même. Au bout de cinq ans d'exercice du pouvoir, ceux qui ont travaillé avec lui évoquent carrément un « dysfonctionnement » structurel. Est-ce la peur du vide qui pousse le chef de l'État à saturer son agenda de rendez-vous et de réunions, à prolonger systématiquement ses échanges la nuit ? Est-ce une manière de tenter de garder le contrôle que d'être sans cesse en interaction, en mouvement ? Certains conseillers ont préconisé d'alléger l'agenda, de lui prévoir des moments de respiration. Refus de l'intéressé. « Non seulement il surexploite ses équipes, mais en plus il ne se donne pas à lui-même le temps nécessaire de la prise de recul, de distance, de la réflexion, pointe l'un de ses confidents. Dans son temps de travail, il y a parfois du “non-essentiel”, des rencontres qui ne sont pas obligatoires. Il a un besoin insatiable de connexions, d'absorber des éléments. S'il n'a pas ça, ça l'insécurise. »

Au whisky à 3 h 30

Autour de lui, tous n'ont pas son énergie de jeune quadra et sa capacité à dompter la nuit. La soirée du 19 juin, jour de la débâcle de son camp aux législatives, Emmanuel Macron a encore fait une nocturne. Jusqu'à 3 h 30 passées, tournant au whisky Lagavulin, il retournait la nouvelle donne politique dans tous les sens, entouré d'une poignée de conseillers et de ministres. « Comment on peut bouger sur ça ? » Gérald Darmanin donnait le change. Puis voilà le chef de l'État qui digresse. « Quand on en était à débattre de la réforme de l'ONU à 4 heures du matin, on s'est dit qu'il était grand temps d'aller se coucher », raconte un participant. Comme cette interminable soirée du 16 mars, en pleine campagne présidentielle, à la veille de la présentation de son projet. Le banc et l'arrière-banc de la macronie sont à l'Élysée pour un dîner de calage, de François Bayrou à Bruno Le Maire, qui pourtant n'est pas du soir. À minuit trente, voilà Emmanuel Macron tapant du poing sur la table, relançant les uns et les autres, détaillant sa trame. La conversation part dans les méandres. Richard Ferrand, alors président de l'Assemblée, s'agace. « Bon, on termine ? »

« La nuit, c'est un moment qui lui est propre, son moment d'itération », glisse le ministre et patron de La République en marche, Stanislas Guerini. Il n'y a qu'à se souvenir de la préparation de la loi Macron, à l'époque de Bercy. Les « zones touristiques internationales » ont été imaginées par l'ex-ministre de l'Économie entre 3 et 4 heures du matin. Emmanuel Lacresse, directeur adjoint de cabinet d'alors, et Stéphane Travert, rapporteur de la loi, s'en souviennent… Et pendant le grand débat, combien de fois le président regagnait-il son lit tandis que le jour se levait sur les jardins de l'Élysée ? En déplacement à l'étranger, c'est parfois pire. « Il a essoré des ministres qui pensaient faire des nuits dans l'avion durant douze heures et se sont retrouvés pendant cinq heures en réunion », s'amuse un macroniste de la première heure.

Le président a commencé la réunion à minuit trente. On l’a clairement vécu comme une punition.Un ministre

Les ministres qui étaient de la délégation du Conseil franco-italien en novembre dernier gardent ainsi en mémoire une réunion convoquée au dernier moment à 23 heures, dans les salons du somptueux palais Farnèse, à Rome, où séjournait le chef de l'État. Gérald Darmanin avait déjà regagné son hôtel, le voilà qui revient à la hâte. Jean-Yves Le Drian et Florence Parly souffrent en silence. « Le président a commencé la réunion à minuit trente. On l'a clairement vécu comme une punition », se remémore un ministre. Une sorte de guerre d'usure permanente, qu'il vainc toujours. « Quelle que soit l'heure, il n'y a pas de moment où l'intensité baisse. On voit simplement le visage se creuser, mais il reste toujours dans l'échange. Il est tout le temps là, vif », dit de lui une conseillère. Le jour du déclenchement de la guerre en Ukraine, réveillé par son aide de camp à l'aube, Emmanuel Macron fait le tour du cadran jusqu'à son retour de Bruxelles, vingt-quatre heures plus tard.

Sommeil : les Français ne dorment pas assez

L'adrénaline du pouvoir. La faculté à tenir la cadence et à s'astreindre à un minimum d'heures de sommeil pour récupérer est un gage de puissance aux yeux de beaucoup de leaders. Margaret Thatcher se vantait, elle aussi, de ne dormir que cinq heures par nuit. À l'issue des Conseils européens, Emmanuel Macron avait pris l'habitude de retrouver Angela Merkel à l'Hôtel Amigo de Bruxelles, où tous deux séjournaient. Entourés de leurs équipes respectives, le chef de l'État et l'ex-chancelière allemande, inébranlable comme lui, partageaient un ou plusieurs verres de vin rouge, parfois jusqu'au petit matin. Emmanuel Macron connaît-il seulement cette mise en garde de Bill Clinton ? « Toutes les graves erreurs que j'ai commises dans ma vie l'ont été parce que j'étais fatigué. » Parole de président.

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Ce que fait Mr MACRON notre pseudo monarque de ses nuits ?!

Il dort peu, ça le regarde, peut-être n'a-t-il pas la conscience tranquille, de toute façon jusqu'à maintenant, il ne fait rien qui sorte de l’ordinaire malgré ses courtes nuits !

Et quand il parle moins, il nous soule moins, c'est toujours çà !

Cela étant, il joue avec sa santé, il brule la chandelle par les deux bouts, sa charmante épouse ne lui a pas dit !?

Surtout qu'il a un quinquennat devant lui qui ne sera pas meilleur que le 1er car on a testé sa manière de faire surtout de ne pas faire il n’y a pas de raison que ça change !

Jdeclef 18/08/2022 17h13


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