Baignade :
l’amibe mangeuse de cerveau a encore tué !?
Son nom
est « Naegleria fowleri », un pathogène qui entre par le nez et
dévore le cerveau humain. Il tue plus de 95 % des personnes qu'il infecte.
C’EST
VRAI CELA NOUS MANQUAIT UNE NOUVELLE BESTIOLE QUI TUE LES HUMAINS QUI POURTANT
LE FONT SI BIEN ENTRE EUX C’EST PEUT ETRE LA REGULATION NATURELLE DE L’ESPECE
HUMAINE VAINCUE PAR LES INFINIMENT PETITS DEJA BIEN PLUS NOMBREUX QUE LES
HUMAINS !?
Comté de Douglas, Nebraska.
Ce 18 août, les autorités sanitaires locales ont annoncé la triste
nouvelle : un enfant est mort quelques jours après s'être baigné dans la
rivière Elkhorn qui serpente à travers cette vaste région agricole. Cause du
décès : l'attaque de l'amibe mangeuse de cerveau ! Cet organisme
unicellulaire, connu des scientifiques sous le nom de Naegleria fowleri,
est responsable de la méningo-encéphalite amibienne primitive. Il mange
littéralement le cerveau en phagocytant les cellules nerveuses.
Heureusement, cette affection est très rare – seulement 154 cas
avérés depuis 1962 aux États-Unis. Mais Naegleria fowleri a
la réputation d'être l'un des plus redoutables pathogènes connus sur Terre.
Dans plus de 95 % des cas, il provoque la mort. En effet, sur
les 154 personnes infectées, seules 4 ont survécu. Et en
moyenne, le décès survient dans les cinq jours qui suivent les premiers
symptômes. Cela commence par des maux de tête sévères, de la fièvre, des
nausées, des vomissements puis une raideur de la nuque, une altération de
l'état mental, voire des hallucinations, et, enfin, le coma, fatal.
Un diagnostic souvent tardif
Pour ne rien arranger, le mal peut être confondu avec des méningites
bactériennes plus communes, ce qui complique et retarde sensiblement le
diagnostic, au point qu'il est souvent confirmé après la mort. Or, contre cette
infection, il faut intervenir le plus tôt possible si l'on veut avoir une
chance, même infime, de sauver le patient. Le traitement repose sur une
combinaison de médicaments qui a fait ses preuves… sur trois des quatre
survivants. Avec un résultat mitigé. Sur ces trois malades, des enfants, un a
subi des dommages cérébraux irréversibles. Les deux autres, traités à temps,
ont tout de même pu reprendre une vie normale et, notamment, retourner à
l'école.
Face à une telle virulence, la meilleure stratégie pour
lutter contre l'amibe, est l'évitement. Plus facile à dire qu'à faire. Car le
microbe est fréquent dans les eaux douces et plutôt chaudes des lacs, des
rivières mais aussi des bases de loisirs aquatiques. Le risque d'infection est
d'autant plus grand que sa concentration dans l'eau est élevée. Il peut alors
pénétrer dans l'organisme via le nez lors de la baignade. Il traverse le tissu
nasal et remonte par le nerf olfactif jusqu'au cerveau où il accomplit son
œuvre destructrice. Les recommandations sont aussi simples que difficiles à
tenir pour des enfants en particulier : éviter par tous les moyens de
mettre le nez sous l'eau ! Pas de crawl ni de brasse coulée, de
plongeons et toutes autres activités à risque, comme le ski nautique, qui
peuvent forcer l'eau à entrer dans les narines.
Un seul cas en France
Désormais, la crainte des autorités américaines est que le pathogène,
jusque-là cantonnéé aux États du Sud les plus chauds, s'étende vers le nord à
la faveur du changement climatique. C'est ce que montrait déjà une étude menée
en 2021 par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Si
la plupart des cas ont été répertoriés au Texas et en Floride, ces dernières
années de nouveaux cas sont apparues dans des États plus au nord, comme le Minnesota,
l'Indiana et le Kansas. Cet été, en plus du cas dans le Nebraska, un autre a
été signalé dans l'État voisin de l'Iowa en juillet. Là encore, la personne n'a
pas survécu à l'appétit de l'insatiable amibe.
Et en France ? Un seul cas a été identifié en 2008. Il s'agissait d'un
enfant de 9 ans, décédé brutalement peu de temps après s'être baigné dans
un bassin alimenté par une source d'eau chaude en Guadeloupe. Reste à savoir si
les épisodes de canicule de plus en plus marqués et fréquents, comme nous les
avons vécus cet été, vont s'accompagner d'une augmentation des infections de
l'amibe mangeuse de cerveau.
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Qu’on
accumule de diverses saloperies dans la nature en plus des virus connus comme
la poliomyélite que l'on croyait disparue pas si ancienne (car bien qu'âgé au
collège un de mes camarades l'avait attrapé et était handicapé) ou la
tuberculose toujours présente ou la variole du singe qui s'ajoute à la pandémie
Covid loin d'être éradiquée par des vaccins pas totalement efficaces etc..!
En
conséquence, de quoi, faut-il ne plus se baigner dans nos fleuves, lacs ou
rivières, bouillon de cultures variés et pollués !?
Eh bien sûr,
on en met une couche sur le réchauffement et changement climatique comme cette
mortalité de poissons importante dans le fleuve Oder en Allemagne pas encore
élucidé ou les algues vertes dangereuses en BRETAGNE !?
Les
différentes amibes sont communes dans les zones tropicales (en Algérie un vieil
adjudant-chef qui avait fait la guerre d'Indochine en souffrait et en avait
toujours !)
Et nos
iles paradisiaques et territoires d'outre-mer sont plus à risque par leur climat
et notamment la Guyane ses moustiques son paludisme et autres petits insectes
et sa jungle du nord, par la côte qui, dans son ensemble, est plate et
marécageuse et formée de terrains sédimentaires récents ;
À l’est,
par le fleuve Oyapock, entre la Guyane et le Brésil ;
À
l’ouest, par le fleuve Maroni, séparant la Guyane du Surinam ;
Au sud,
la frontière avec le Brésil est matérialisée par la ligne de partage des eaux
avec le bassin de l’Amazone.
Les
infiniment petits sont plus dangereux que les hommes eux-mêmes car on ne les
voit pas et sont souvent difficiles à éradiquer !
Jdeclef 23/08/2022
15h14
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