Le Conseil
d’État valide l’expulsion de l’imam Iquioussen
Darmanin
l’a annoncé sur Twitter, se félicitant ainsi d’une « grande victoire pour
la République ». L’imam réfléchit à saisir de nouveau la CEDH, selon son
avocate.
POUR UNE
FOIS QU’UNE BONNE DECISION ABOUTIE FAUT-IL QUE DES MEDIAS COINCES BIEN PENSANT
NE LE CENSURE PAS EN NE RESPECTANT PAS LA LIBERTE D’EXPRESSION ?!
Le Conseil d'État a donné mardi son feu
vert à l'expulsion de l'iman Hassan Iquioussen décidée par Gérald Darmanin.
Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur a estimé que cette décision qui
infirme la suspension de cette expulsion par le tribunal administratif est
« une grande victoire pour la République ». « Il sera expulsé du
territoire national », a-t-il ajouté.
Le 5 août, le tribunal administratif de Paris avait suspendu en référé
l'expulsion vers le Maroc de cet imam réputé proche des Frères musulmans,
jugeant qu'elle porterait une « atteinte disproportionnée » à sa
« vie privée et familiale », mais le ministère de l'Intérieur avait
fait appel de cette décision.
Le juge des référés du Conseil d'État estime que « ses propos
antisémites, tenus depuis plusieurs années lors de nombreuses conférences
largement diffusées, ainsi que son discours sur l'infériorité de la femme et sa
soumission à l'homme constituent des actes de provocation explicite et
délibérée à la discrimination ou à la haine justifiant la décision d'expulsion.
Il considère par ailleurs que cette décision ne porte pas une atteinte grave et
manifestement illégale à la vie privée et familiale de M. Iquioussen »,
explique la plus haute juridiction administrative française dans son
communiqué.
L'avocate de l'imam, Lucie Simon, a réagi sur Twitter en estimant que cette
décision symbolisait « un État de droit affaibli » et déploré
« un contexte alarmant de pression de l'exécutif sur le judiciaire ».
« Le combat judiciaire continue, le tribunal administratif de Paris sera
amené à se pencher sur le fond du dossier prochainement, et Hassan Iquioussen
étudie la possibilité de saisir de nouveau la CEDH », a-t-elle ajouté.
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait refusé de suspendre
l'expulsion début août, expliquant qu'elle n'accordait des mesures provisoires
de suspension « qu'à titre exceptionnel », lorsque le requérant était
exposé « à un risque réel de dommages irréparables ».
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Pour le
reste il y a surement encore d'Imams de même acabit qui perdure dans certaines
zones et notamment de non droit qui utilise aussi la charia contraire aux lois
de la république et que l'on n'arrive pas à éradiquer en France !
Mais que
de temps perdu et de lenteur dans notre justice laxiste que beaucoup ne
respecte pas !
Le ver
est dans le fruit depuis longtemps, si cela peut servir d'exemple ce sera
toujours cela d'acquit !
Car ces
prédicateurs qui font du prosélytisme extrémiste sont éminemment dangereux pour
la paix et la laïcité et notre culture judéo chrétienne !
C'est un
progrès mais il ne faut pas baisser notre garde car des faits similaires ont
déjà eu lieu et pas assez sanctionné rigoureusement !
Rappelons-nous
les attentats islamistes et le grand procès fait contre cela mais qui n'a pas
éliminé ce fléau dormant de cette religion à courant extrémiste qui perdure
toujours partout en France et Europe occidentale et dans le monde!
Car il en
va de notre sécurité, il faut appeler un chat un chat SVP !
Jdeclef 30/08/2022
16h47
Naturellement ces abrutis de modérateurs du point ont du censurer ce commentaire et foulés au pied la liberté d'expression mais peu importe car le ministre de l'intérieur à réussi a expulser cet individu malhonnête et malfaisant c'est tout ce qui compte et change de la politique de bien pensant hypocrite de nos dirigeants indignes et de notre justice inefficace qui freine tout ce qui est utile pour nous protéger et éviter si possible une anarchie teintée de mysticisme religieux moyenâgeux extrémistes !
RépondreSupprimer