Darmanin
veut durcir l’attribution de la nationalité française à Mayotte
Depuis
Mayotte, le ministre a annoncé qu’il comptait freiner l’immigration
clandestine et durcir l’obtention de la nationalité française pour les
enfants.
EN FRANCE
POURQUOI FAIRE SIMPLE QUAND ON PEUT FAIRE COMPLIQUER AVEC DES LOIS QUE L’ONT NE
PEUX INSCRIRE DANS LE MARBRE DEFINITIVEMENT DANS NOTRE CONSTITUTION ET QUI
PEUVENT CHANGER EN FONCTION DES GOUVERNEMENTS DE TOUS BORDS DONNEURS DE LECONS
ET SOI-DISANT BIEN PENSANTS COMME UN PEU NOTRE JUSTICE QUE L’ON NE PEUT RENDRE
EFFICACE CAR PAS TOTALEMENT INDEPENDANTE MALGRE QU’ON DISE LE CONTRAIRE PAR DES
JUGES FONCTIONNAIRES NOMMES PAR L’ETAT !
NOUS
SOMMES UN PAYS LIBRE MAIS AVEC DES LOIS MAL ENCADREES LES EXEMPLES SONT
NOMBREUX !
Le ministre de l'Intérieur
et des Outre-mer, Gérald Darmanin, en visite à Mayotte, a appelé dimanche
21 août, à Dzaoudzi, à « lutter contre l'attractivité sociale et
administrative » de l'île pour y freiner l'immigration clandestine en
provenance des Comores voisines. Il s'agit du deuxième déplacement ultramarin
du ministre depuis qu'il a récupéré cet été le portefeuille des Outre-mer,
après une visite à La Réunion début juillet.
Dans le 101e département français, le ministre s'est fait
présenter les nouveaux moyens aériens et maritimes de lutte contre l'immigration
clandestine. « La hausse continue des moyens techniques et humains ne
suffira pas », a-t-il alors déclaré à la presse. « Il faut lutter
contre l'attractivité sociale et administrative du territoire », a-t-il
ajouté. Pour y parvenir, Gérald Darmanin a réaffirmé sa volonté de
durcir l'attribution de la nationalité française aux enfants nés à Mayotte.
Pour qu'un nouveau-né bénéficie du droit du sol, il souhaite que l'un de ses
parents ait résidé régulièrement sur l'île depuis au moins un an, contre trois
mois actuellement.
« Préserver le droit du sol »
En juillet 2018, l'Assemblée nationale avait voté l'adaptation du droit du
sol à Mayotte, pour faire face à la très forte immigration clandestine en
provenance des Comores, au terme d'un vif débat y compris au sein de la
majorité. L'article introduit au Sénat exigeait pour les enfants nés à Mayotte
que l'un de ses parents ait, au jour de la naissance, été présent de manière
régulière sur le territoire national depuis plus de trois mois.
À Mayotte, Emmanuel Macron face au défi de l'immigration
Lors d'un discours consacré aux Outre-mer, Emmanuel Macron avait alors
soutenu cette démarche, en déclarant qu'elle permettait « de préserver le
droit du sol » en « adaptant ses conditions d'exercice à la réalité
de ce territoire ». Un nouveau durcissement de cette mesure devait déjà
figurer dans un projet de loi spécifique à Mayotte avorté
début 2022 après son rejet par les élus locaux.
Eugène Ébodé : « Ce que couve la fièvre de
Mayotte, île française et africaine »
« Les moyens techniques et humains ne pourront pas tout tant que l'on
aura cette législation qui permet encore aux gens de venir ici et très
rapidement de ne plus pouvoir être exclus de l'île de Mayotte », a affirmé
Gérald Darmanin. Selon l'Insee, près de la moitié de la population de Mayotte
ne possède pas la nationalité française, mais un tiers des étrangers sont nés
sur l'île. Le ministre de l'Intérieur a tenu tout l'été un discours ferme sur
l'immigration, qui fera l'objet d'un grand débat au Parlement à l'automne
prochain avant la présentation d'un projet de loi.
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Préserver
l'identité française ancestrale de près de 2 millénaires avec sa culture judéo
chrétienne «Droit du sol», «Droit du sang Le sujet revient dans l'actualité
alors que le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin souhaite durcir les
conditions d'attribution de la nationalité française à Mayotte.
DROIT DU
SANG
La
nationalité française est attribuée à tout enfant né en France ou à l'étranger dont
au moins un des parents est Français. Ce que l'on appelle le «droit du sang».
DROIT DU
SOL
Le droit
du sol permet à un enfant né en France de parents étrangers d'acquérir la
nationalité française à ses 18 ans. Pour cela, plusieurs conditions doivent être
respectées : résider en France à la date de ses 18 ans et avoir sa résidence
habituelle en France pendant une période continue ou discontinue d’au moins
cinq ans depuis l’âge de 11 ans.
Avant sa
majorité, il peut acquérir la nationalité sur demande de ses parents (entre 13
et 16 ans), ou sur demande personnelle (entre 16 et 18 ans), avec des
conditions de durée de résidence en France.
LE DOUBLE
DROIT DU SOL
Si un
parent étranger, mais né en France, a un enfant sur le sol français, celui-ci
bénéficie du droit du sol et donc de la nationalité française à sa naissance.
C'est le «double droit du sol».
Le
caractère automatique de l’acquisition de nationalité pour un enfant né en
France de parents étrangers avait été abrogé en 1993, sous le gouvernement Balladur.
L’enfant concerné devait en faire la demande à sa majorité.
Cette loi
a été supprimée par le gouvernement Jospin en 1998 ineptie de GAUCHE !
CAS
PARTICULIER POUR MAYOTTE !?
Car
Mayotte, touché par une forte immigration irrégulière ?!
Il faut
que les Français métropolitains votent au moyen d'un référendum pour décider
définitivement ces cas de nationalité Française sans artifice par une loi
stricte dans le marbre de notre constitution et sortir de cette colonisation
qui laisse trop de trace en outre-mer !
En arrêtant
ces palabres creux inutiles « macronien » !
Jdeclef 22/08/2022
12h58
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