lundi 22 août 2022

Ce problème n'est pas que pour MAYOTTE ce droit du sol et si on veut : Mais celui de nos dirigeants dépassés qui tergiversent sans cesse comme notre président car ils sont à bonne école de bavards indécis qui gouvernent mal !


 

Darmanin veut durcir l’attribution de la nationalité française à Mayotte

Depuis Mayotte, le ministre a annoncé qu’il comptait freiner l’immigration clandestine et durcir l’obtention de la nationalité française pour les enfants.

EN FRANCE POURQUOI FAIRE SIMPLE QUAND ON PEUT FAIRE COMPLIQUER AVEC DES LOIS QUE L’ONT NE PEUX INSCRIRE DANS LE MARBRE DEFINITIVEMENT DANS NOTRE CONSTITUTION ET QUI PEUVENT CHANGER EN FONCTION DES GOUVERNEMENTS DE TOUS BORDS DONNEURS DE LECONS ET SOI-DISANT BIEN PENSANTS COMME UN PEU NOTRE JUSTICE QUE L’ON NE PEUT RENDRE EFFICACE CAR PAS TOTALEMENT INDEPENDANTE MALGRE QU’ON DISE LE CONTRAIRE PAR DES JUGES FONCTIONNAIRES NOMMES PAR L’ETAT !

NOUS SOMMES UN PAYS LIBRE MAIS AVEC DES LOIS MAL ENCADREES LES EXEMPLES SONT NOMBREUX !

Le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer, Gérald Darmanin, en visite à Mayotte, a appelé dimanche 21 août, à Dzaoudzi, à « lutter contre l'attractivité sociale et administrative » de l'île pour y freiner l'immigration clandestine en provenance des Comores voisines. Il s'agit du deuxième déplacement ultramarin du ministre depuis qu'il a récupéré cet été le portefeuille des Outre-mer, après une visite à La Réunion début juillet.

Dans le 101e département français, le ministre s'est fait présenter les nouveaux moyens aériens et maritimes de lutte contre l'immigration clandestine. « La hausse continue des moyens techniques et humains ne suffira pas », a-t-il alors déclaré à la presse. « Il faut lutter contre l'attractivité sociale et administrative du territoire », a-t-il ajouté. Pour y parvenir, Gérald Darmanin a réaffirmé sa volonté de durcir l'attribution de la nationalité française aux enfants nés à Mayotte.

Pour qu'un nouveau-né bénéficie du droit du sol, il souhaite que l'un de ses parents ait résidé régulièrement sur l'île depuis au moins un an, contre trois mois actuellement.

Mayotte : douceur d'outre-mer

« Préserver le droit du sol »

En juillet 2018, l'Assemblée nationale avait voté l'adaptation du droit du sol à Mayotte, pour faire face à la très forte immigration clandestine en provenance des Comores, au terme d'un vif débat y compris au sein de la majorité. L'article introduit au Sénat exigeait pour les enfants nés à Mayotte que l'un de ses parents ait, au jour de la naissance, été présent de manière régulière sur le territoire national depuis plus de trois mois.

À Mayotte, Emmanuel Macron face au défi de l'immigration

Lors d'un discours consacré aux Outre-mer, Emmanuel Macron avait alors soutenu cette démarche, en déclarant qu'elle permettait « de préserver le droit du sol » en « adaptant ses conditions d'exercice à la réalité de ce territoire ». Un nouveau durcissement de cette mesure devait déjà figurer dans un projet de loi spécifique à Mayotte avorté début 2022 après son rejet par les élus locaux.

Eugène Ébodé : « Ce que couve la fièvre de Mayotte, île française et africaine »

« Les moyens techniques et humains ne pourront pas tout tant que l'on aura cette législation qui permet encore aux gens de venir ici et très rapidement de ne plus pouvoir être exclus de l'île de Mayotte », a affirmé Gérald Darmanin. Selon l'Insee, près de la moitié de la population de Mayotte ne possède pas la nationalité française, mais un tiers des étrangers sont nés sur l'île. Le ministre de l'Intérieur a tenu tout l'été un discours ferme sur l'immigration, qui fera l'objet d'un grand débat au Parlement à l'automne prochain avant la présentation d'un projet de loi.

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Préserver l'identité française ancestrale de près de 2 millénaires avec sa culture judéo chrétienne «Droit du sol», «Droit du sang Le sujet revient dans l'actualité alors que le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin souhaite durcir les conditions d'attribution de la nationalité française à Mayotte.

DROIT DU SANG

La nationalité française est attribuée à tout enfant né en France ou à l'étranger dont au moins un des parents est Français. Ce que l'on appelle le «droit du sang».

DROIT DU SOL

Le droit du sol permet à un enfant né en France de parents étrangers d'acquérir la nationalité française à ses 18 ans. Pour cela, plusieurs conditions doivent être respectées : résider en France à la date de ses 18 ans et avoir sa résidence habituelle en France pendant une période continue ou discontinue d’au moins cinq ans depuis l’âge de 11 ans.

Avant sa majorité, il peut acquérir la nationalité sur demande de ses parents (entre 13 et 16 ans), ou sur demande personnelle (entre 16 et 18 ans), avec des conditions de durée de résidence en France.

LE DOUBLE DROIT DU SOL

Si un parent étranger, mais né en France, a un enfant sur le sol français, celui-ci bénéficie du droit du sol et donc de la nationalité française à sa naissance. C'est le «double droit du sol».

Le caractère automatique de l’acquisition de nationalité pour un enfant né en France de parents étrangers avait été abrogé en 1993, sous le gouvernement Balladur. L’enfant concerné devait en faire la demande à sa majorité.

Cette loi a été supprimée par le gouvernement Jospin en 1998 ineptie de GAUCHE !

CAS PARTICULIER POUR MAYOTTE !?

Car Mayotte, touché par une forte immigration irrégulière ?!

Il faut que les Français métropolitains votent au moyen d'un référendum pour décider définitivement ces cas de nationalité Française sans artifice par une loi stricte dans le marbre de notre constitution et sortir de cette colonisation qui laisse trop de trace en outre-mer !

En arrêtant ces palabres creux inutiles « macronien » !

Jdeclef 22/08/2022 12h58


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