Salman
Rushdie, capable de parler, est toujours dans un état grave
Cible
d’une fatwa de l’Iran depuis plus de 30 ans, Salman Rushdie a pu dire
quelques mots samedi soir, après avoir été poignardé au cou et à l’abdomen.
L’EXEMPLE
PARFAIT D’UNE RELIGION EXTREMISTE INTOLERANTE PAR SES DOGMES MOYENNAGEUX QUI
POLLUE LES ESPRITS DES PLUS FAIBLES LES TRANSFORMANT EN TERRORISTES CRIMINELS
DANGEREUX ET QUI VEULENT SUPPLANTER TOUTES LES AUTRES RELIGIONS QUI DIVISENT DÉJÀ
LES CROYANTS ET NE RESPECTANT PAS CEUX QUI NE CROIENT A RIEN DONC EMINEMENT
DANGEREUSE DONT ONT SUBI LES EXCES !
Salman Rushdie est toujours
hospitalisé dans un état grave, mais il a pu dire quelques mots samedi
soir. L'auteur des Versets sataniques et cible depuis
plus de 30 ans d'une fatwa de l'Iran a été poignardé vendredi au cou et à
l'abdomen dans l'État de New York par un homme qui a été arrêté et qui a
plaidé « non coupable » de « tentative de meurtre ».
« Salman va probablement perdre un œil ; les nerfs de son bras ont
été sectionnés et il a été poignardé au niveau du foie », a détaillé
Andrew Wylie, en précisant que Salman Rushdie, 75 ans, avait été placé
sous respirateur artificiel.
Poignardé lors d'une conférence littéraire
Immédiatement après son agression, sur l'estrade d'un amphithéâtre d'un
centre culturel à Chautauqua, dans le nord-ouest de l'État de New York, Salman
Rushdie a été transporté en hélicoptère vers l'hôpital le plus proche où il a
été opéré en urgence, a précisé devant la presse le major de la police de
l'État de New York, Eugene Staniszewski. Peu avant 15 heures (heure
française), « un suspect s'est précipité sur la scène [de l'amphithéâtre]
et a attaqué Salman Rushdie et l'intervieweur » en
« poignardant » l'écrivain « au cou », avait très
rapidement annoncé la police, qui a précisé vendredi soir que Salman Rushdie
avait aussi été poignardé « à l'abdomen ». L'animateur de la
conférence, Ralph Henry Reese, 73 ans, a, lui, été « blessé
légèrement au visage ».
Ces
« Versets sataniques » qui ont valu une fatwa à Salman Rushdie
L'agresseur a été aussitôt arrêté et placé en détention, l'agent
Staniszewski révélant qu'il s'appelait Hadi Matar, qu'il était âgé de
24 ans et originaire de l'État du New Jersey. Salman Rushdie s'apprêtait à
donner une conférence littéraire dans cette petite ville située à 100 km
de Buffalo, près du lac Érié qui sépare les États-Unis du Canada. Carl LeVan, professeur de
sciences politiques, était dans la salle, et a raconté au téléphone à l'AFP
qu'un homme s'était jeté sur la scène où Salman Rushdie était assis pour le
poignarder violemment à plusieurs reprises.
« Tuer Salman Rushdie »
Il « essayait de tuer Salman Rushdie », a affirmé ce témoin.
Salman Rushdie, né le 19 juin 1947 à Bombay, deux mois avant
l'indépendance de l'Inde, élevé par une famille d'intellectuels musulmans non
pratiquants, riche, progressiste et cultivée, avait embrasé une partie du monde
musulman avec la publication des Versets sataniques, conduisant
l'ayatollah iranien Rouhollah Khomeyni à émettre en 1989 une fatwa demandant
son assassinat.
Salman
Rushdie : « Depuis Google, l'hystérie s'est propagée par voie
électronique »
L'auteur avait été contraint dès lors de vivre dans la clandestinité et sous
protection policière, allant de cache en cache. Il affronte alors une immense
solitude, accrue par la rupture avec sa femme, la romancière américaine
Marianne Wiggins, à qui Les Versets sont dédiés. Vivant
discrètement à New York, Salman Rushdie, sourcils arqués, paupières lourdes,
crâne dégarni, lunettes et barbe, avait repris une vie à peu près normale tout
en continuant de défendre, dans ses livres, la satire et l'irrévérence.
Mais la fatwa n'a jamais été levée et beaucoup de traducteurs de son
livre ont été blessés par des attaques, voire tués, comme le Japonais Hitoshi Igarashi,
victime de plusieurs coups de poignard en 1991. « Trente ans ont
passé », disait-il toutefois à l'automne 2018. « Maintenant, tout va
bien. J'avais 41 ans à l'époque [de la fatwa], j'en
ai 71 maintenant. Nous vivons dans un monde où les sujets de préoccupation
changent très vite. Il y a désormais beaucoup d'autres raisons d'avoir peur,
d'autres gens à tuer… » Anobli en 2007 par la reine
d'Angleterre, au grand dam des extrémistes musulmans, ce maître du réalisme
magique, homme d'une immense culture qui se dit apolitique, a écrit en anglais
une quinzaine de romans, récits pour la jeunesse, nouvelles et essais.
Macron et Johnson condamnent
L'attaque a provoqué une onde de choc à travers le monde, la Maison-Blanche
condamnant « un acte de violence consternant ». « Son combat est
le nôtre, universel », a lancé sur Twitter le président français, Emmanuel
Macron, assurant être « aujourd'hui, plus que jamais, à ses côtés ».
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, s'est de son côté dit
« atterré que Sir Salman Rushdie ait été poignardé alors qu'il exerçait un
droit que nous ne devrions jamais cesser de défendre », en allusion à la
liberté d'expression.
Salman
Rushdie : « Je suis comme Édith Piaf : je ne regrette
rien »
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a déclaré via son
porte-parole être « horrifié » par l'attaque, ajoutant « qu'en
aucun cas la violence n'était une réponse aux mots ». L'association de
défense des écrivains dans le monde PEN America était aussi
« sous le choc » en révélant que vendredi matin M. Rushdie lui avait
proposé son « aide pour des écrivains ukrainiens ».
« Rien ne justifie une fatwa, une condamnation à mort », s'est
indigné Charlie Hebdo, journal satirique français décimé par un attentat
islamiste en 2015. « La liberté de penser, de réfléchir et de s'exprimer
n'a aucune valeur pour Dieu et ses serviteurs. Et dans l'islam, dont l'histoire
s'est souvent écrite dans la violence et la soumission, ces valeurs n'ont tout
simplement pas leur place, car elles sont autant de menaces contre son emprise
sur les esprits », fait valoir Riss.
Selon le directeur de publication du journal Charlie Hebdo,
« la fatwa contre Salman Rushdie était d'autant plus révoltante que ce
qu'il avait écrit dans son livre, Les Versets sataniques, n'était
absolument pas irrespectueux à l'égard de l'islam ». Selon lui, il s'agit
d'un « raisonnement d'une très grande perversité, car il induit qu'à
l'inverse des propos irrespectueux envers l'islam justifieraient une fatwa et
une punition, fût-elle mortelle ».
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Enseigné
par ce professeur à nos jeunes pourtant inscrite dans notre constitution comme
un droit inaliénable dans pays libre et démocratique est battue en brèche par
des bienpensants pleutres et médias ou même nos autorités dirigeantes de tous
bords bienpensantes hypocrites ou médias comme le Point et ses modérateurs et
leurs rédactions qui censurent les internautes qui s'offusquent et s'alarment
de cet extrémisme moyenâgeux mais cela ne semble ne pas gêner ces censeurs qui
occultent les dangers de ces religions qui dérapent par un extrémiste d'un
autre âge qui est dangereux et est parmi nous qui veut réduire les Français ou
judeo chretien catholique non musulman ou même athée à des esclaves à leur
dogmes indigne de la dignité humaine pour mieux les asservir et les avilir à l’exemple
des Talibans en AFHGHANISTAN pour leurs femmes !
Grand
merci à Mr S.RUSHDIE d’avoir dénoncé les dérives de cette religion car depuis
2001 et les attentats qui avaient créé l’ETAT ISLAMIQUE qui ont amené à des attentats
meurtriers jusqu’à ce procès fleuve par notre justice laxiste de droit et qui aurait
dû être bien plus dure (et qui perdure.. !)
Espérons
qu’il s’en sortira car nos dirigeants vont comme d’habitude verser des larmes
de crocodile et passer à autre chose en n’encadrant pas assez cette religion
qui a dans son sein des prêcheurs illuminés dangereux en ne pas continuer à mieux
encadrer cette religion en nous protégeant mieux pour la sécurité de tous !
Tout
comme ce prêcheur qui fait du prosélytisme extrémiste : Hassan Iquioussen, qui traite les Français de
« laïcards terroristes » qu’on n’arrive même pas expulser dans
notre pays de bienpensant par notre état hypocrite qui ne nous protègent pas
assez de ces dérives mystiques religieuses datant de l’âge des ténèbres !
Jdeclef 14/08/2022
11h07
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