Mélenchon
lance un « compte à rebours » avant la dissolution de l’Assemblée
Le leader de La France insoumise promet une « bataille générale » à la rentrée pour contrer le gouvernement qui, selon lui, s'apprête « à gouverner à coups de 49.3 ».
CAPHARNUM MELENCHONISTE DE CETTE LFI QUI PORTE
BIEN SONT NOM ET CETTE NUPES AGREGAT DE CETTE GAUCHE MORIBONDE NE PEUT DONNER
RIEN DE BON LE TOUT AVEC UN PAYS PILOTE PAR UN DIRIGEANT QUI TERGIVERSE
TOUJOURS COMME SON GOUVERNEMENT DEPASSE MALGRE UN 1ER QUINQUENNAT
MEDIOCRE QUI DEBUTE AUSSI MAL QUE LE 2 eme NOUS PROMETTANT ENCORE PIRE PLUS
FACILE QUE DE DIRE LE CONTRAIRE AUX FRANÇAIS ALORS MERCI A TOUS NOS POLITICIENS
DE TOUS BORDS QUI EUX PROFITENT DE LEURS AVANTAGES DIVERS !
Il n'est plus député et n'a
pas participé à la session parlementaire de juillet, mais Jean-Luc Mélenchon
garde la main chez les Insoumis. Dans un point de presse improvisé, le
candidat arrivé troisième de la présidentielle (22 %) a promis au
gouvernement « la bataille générale » à la rentrée. Jean-Luc
Mélenchon a profité des amphis d'été pour prendre la parole.
En effet, à ses yeux « le gouvernement a décidé d'être frontal »
en s'apprêtant « à gouverner à coups de 49.3 » sans majorité absolue
dans une Assemblée morcelée. Mais comme « les dernières législatives de
juin ne sont pas conformes à l'état du pays », « la vie politique
française est un compte à rebours vers la dissolution » de l'Assemblée
nationale et de nouvelles élections.
Pendant ce temps-là se déroulait le débat entre Clément Beaune et Manon
Aubry, qui a succédé, dans l'amphi principal de l'université d'été, à celui
entre la ministre Marlène Schiappa et le député Alexis Corbière. Deux temps
forts pour montrer que LFI est la première opposition.
Plus tôt à la mi-journée, Manuel Bompard, député et directeur des campagnes
de LFI, a déclaré que les « trois sujets de la rentrée sont l'urgence
climatique, l'urgence sociale causée par l'inflation et la taxation des
superprofits ».
Jean-Paul
Huchon : « Macron, c'est Bryan Ferry, rock mais pas destroy »
Le combat à l'Assemblée et dans la rue
Mais LFI ne veut pas se contenter des débats parlementaires. « Mener
le combat au Parlement est d'égale importance avec ce que nous faisons hors
institutions par les mobilisations. Il faut marcher sur ses deux jambes,
Parlement et extérieur », a fait valoir le député et coordinateur du
mouvement Adrien Quatennens dans une conférence de presse.
C'est pourquoi LFI souhaite que la Nouvelle Union populaire écologique et
sociale (Nupes) qu'elle a impulsée en mai avec le PS, EELV, le PCF et
Génération·s
s'approfondisse en dehors de l'hémicycle. Elle a proposé qu'une marche pour
réclamer l'augmentation des salaires pour compenser l'inflation soit organisée
de concert avec les syndicats en octobre.
Une première réunion de la Nupes avec la CGT, les Amis de la Terre ou encore
Oxfam a eu lieu mardi et sera suivie d'une autre le 12 septembre.
« L'arc des forces » de cette marche « est très large et
correspond à la volonté de fédération populaire que Jean-Luc Mélenchon a
formulée » avant la campagne présidentielle, s'est réjoui Adrien
Quatennens.
Les 150 élus de la Nupes restant la « minorité »,
« pour remporter des victoires, il faut bien mettre la pression par la
rue », a remarqué Manuel Bompard.
Des divergences dans la Nupes
Reste que la bataille parlementaire, première vocation de la Nupes,
s'annonce intense à partir d'octobre. Éric Coquerel va faire de la
« mission flash » sur l'instauration d'une taxe sur les superprofits
le cheval de bataille principal de LFI à l'Assemblée nationale.
Certains socialistes et écologistes se sont émus de la méthode musclée des
Insoumis dans l'hémicycle ? « On est l'opposition sans doute la plus
bruyante. [...] Mais on a fait une contre-proposition de loi de la Nupes.
On va continuer de faire le travail sérieusement », a souligné la députée
et coordinatrice du programme Clémence Guetté.
La présidente du groupe LFI Mathilde Panot a insisté : « Ce qui
fait la force de la Nupes, c'est à la fois les 650 mesures en commun,
et de pas être pareils, sinon cette coalition n'a plus de sens. »
Chez EELV, le PS et le PCF, qui tiennent au même moment leurs universités
d'été, l'heure est à se prémunir des risques d'hégémonie de LFI. Les trois
partis se sont montrés sceptiques sur la perspective voulue par les Insoumis de
s'allier aux européennes de 2024, notant des divergences sur l'Europe.
« Soit l'état d'esprit, c'est d'approfondir la Nupes et on met en avant
les convergences, soit c'est prendre tous les exemples où on n'est pas d'accord
à 100 % », a prévenu Manuel Bompard. « Mais vous trouverez les
mêmes divergences à l'intérieur d'une organisation, et même entre deux
personnes ! »
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Qu'on le
mette en maison de retraite d'office en Amérique du Sud dans un de ces pays
totalitaires qu'il affectionne ( c'est de meme acabit que de devenir 1er ministre ce vieux fou ?!)
Et
dissoudre l'Assemblée nationale pour reprendre les mêmes, pas dans cet ordre
mais toujours aussi nuls pourquoi ?!
De toute
façon le président est là jusqu'en 2027 les Français n'avaient qu'à pas le
réélire mais comme ils ne savent plus choisir ni voter ils paient l'addition et
qu'en plus ce bon Macron les dédaigne et se moque d'eux leur a promis salée !
Si les
Français n'ont pas encore compris c'est qu'ils sont incurables, ils ont
pourtant eu maintes fois le choix de changer mais ils sont bornés !?
Jdeclef
27/08/2022 10h18
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire