vendredi 26 août 2022

C'est donc cela que l'on appelle l'islamo gauchisme rampant qui s'infiltre partout en France !? Alors oui et c'est éminent dangereux !

 

Anne-Lise Dufour-Tonini : « L’entrisme prôné par Hassan Iquioussen est dangereux » (ENCORE LUI ..?!)

INTERVIEW. Accusée de collusion avec l’imam intégriste, la maire PS de Denain évoque pour la première fois l’entrisme à l’œuvre dans sa propre mairie.

C’EST LA QUE L’ON VOIT DANS NOTRE PAYS TROP LIBRE PAR DES LOIS MAL ENCADREES QUE TOUT LE MONDE PEUT SEMER LE DESORDRE ET MEMES NOS ELUS QUI DEFENDENT CERTAINS COMME A DENAIN BIEN QU’EN ATTENTE D’EXPULSION MERITEE !?

ALORS QUI GOUVERNE LA VEME REPUBLIQUE DEVENUE MONARCHIQUE ET CES LOIS MAL ENCADREES ET MAL APPLIQUEES OU LES RELIGIONS DONT CERTAINES A COURANT EXTREMISTES DANGEREUX !?

Le Conseil d'État examine le 26 août le dossier de l'imam Hassan Iquioussen, sous le coup d'un arrêté d'expulsion qu'il a contesté devant la justice administrative. La décision devrait être connue sous 48 heures au plus tard. Le ministère de l'Intérieur reproche à l'imam, né en France mais de nationalité marocaine, de multiples propos en contradiction avec les principes de la République.

Hassan Iquioussen, en revanche, ne sera jamais inquiété sur le fond de sa stratégie. Dans la droite ligne des Frères musulmans, elle vise à islamiser la France progressivement, en pratiquant l'entrisme dans la vie associative et politique, sans provocation inutile, mais dans le but avoué d'instaurer la charia à long terme. La famille Iquioussen semble avoir mis ce plan en application à la mairie de Denain (20 000 habitants) entre 2011 et 2020, avec quelques réussites. Pour la première fois, la maire PS de Denain, Anne-Lise Dufour-Tonini, s'exprime sans détour sur ce qu'il s'est réellement passé à la mairie.

Le Point : Vous avez été taxée ces dernières années par la presse, y compris par Le Point, de complaisance envers l'imam Hassan Iquioussen, accusation abondamment reprise par votre adversaire politique local, le député RN de la 19e circonscription du Nord, Sébastien Chenu, candidat aux municipales à Denain en 2020. Pourquoi ?



Anne-Lise Dufour-Tonini : Tout part d'une photo, prise le 28 juillet 2016, lors d'une cérémonie à Denain, où je tiens la main de Hassan Iquioussen. Le père Jacques Hamel avait été assassiné par des islamistes le 26 juillet dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray. En tant que députée-maire, comme beaucoup d'élus, j'avais organisé un hommage associant les représentants de différents cultes. Pris par le temps, nous n'avons pas réussi à joindre les imams des deux mosquées de Denain. L'islam a donc été représenté par celui d'une commune des environs, Lourches. Il s'agissait de Hassan Iquioussen. Je ne le connaissais pas.

IHassan Iquioussen, les « laïcards terroristes » et son prêche en vidéo

Vous n'aviez pas été informée de ses prises de position radicales ?

Cela peut paraître étonnant aujourd'hui, mais non. J'ajoute que j'aurais pu signer le discours qu'il a prononcé à cette occasion : l'islam religion de paix, crime monstrueux, assassinat barbare, etc. Les 200 personnes présentes ont applaudi. C'est un de mes conseillers qui a diffusé la photo où on nous voit côte à côte, sans penser à mal. La cérémonie à peine terminée, un collaborateur m'a annoncé que les réseaux sociaux étaient en ébullition. J'ai immédiatement commencé à écouter les prêches en ligne de Hassan Iquioussen sur sa chaîne YouTube. J'ai compris. Obscurantisme, intolérance, fanatisme, vision rétrograde de la femme, c'était sans ambiguïté. Moi qui suis principale de collège, une vidéo en particulier m'a frappée. Hassan Iquioussen recommandait de prendre progressivement le pouvoir dans les associations de parents d'élèves, pour imposer des revendications religieuses à l'école, le moment venu.

Comment s'est-il retrouvé à vos côtés lors de cette cérémonie ? Qui l'a choisi ?

C'est là où l'affaire se corse. Hassan Iquioussen nous a été recommandé par son fils, Soufiane. Sans être encarté, Soufiane militait avec les socialistes de Denain depuis quatre ou cinq ans. C'était un jeune homme que je trouvais dynamique, intelligent, plein de bonne volonté. Après la cérémonie, je lui ai demandé des explications. Il a été très clair : il ne partageait pas du tout les idées de son père, mais il se refusait à le renier, car il avait de l'affection pour lui, tout simplement.

Vous l'avez cru ?

Oui, et je peux vous dire que je n'ai pas été la seule. Quelque temps plus tard, en 2017, il a été question d'embaucher Soufiane au centre communal d'action sociale. Comme c'est un service où les agents sont amenés à plonger dans la vie privée des citoyens, on se renseigne un minimum avant de recruter quelqu'un. Des gens bien informés nous ont confirmé que Hassan Iquioussen était définitivement infréquentable, mais ils n'avaient aucune réserve sur le fils. De mon côté, je pensais que Soufiane ne pouvait pas être tenu comptable des énormités de son père. Personne dans mon entourage ne l'avait jamais entendu tenir le moindre propos ambigu. J'avais fait sa connaissance en 2011. Âgé de 26 ans, il animait une association nommée Actions citoyennes. Elle tentait de réconcilier les jeunes avec l'engagement politique, sans le moindre soupçon de communautarisme : c'était des jeunes, garçons et filles mêlés, de toutes origines, sans signe de religiosité, sans voile. Par la suite, Soufiane s'est occupé d'un garage solidaire, que la ville de Denain n'a pas financé, mais que nous avons soutenu avec enthousiasme. Nous l'avons accueilli à bras ouverts, je n'ai pas peur de le dire. Le Sénat a fait de même. Je rappelle que Soufiane Iquioussen a reçu le prix Talent des cités en 2013 !

À cette occasion, il a été pris en photo faisant la quenelle de Dieudonné, avec quelques amis, dans les salons du Sénat. Cela ne vous a pas inquiété ?

Si. Je lui ai demandé des explications. Il m'a répondu qu'il ne connaissait pas la signification de ce geste. Il m'a assuré qu'il avait imité ses copains sans saisir la portée du symbole [la quenelle est une version édulcorée du salut nazi, NDLR]. Là aussi, je lui ai accordé le bénéfice du doute : moi non plus, je ne savais pas ce qu'était une quenelle, à cette époque.

Naïveté ?

Il faut se mettre un instant à ma place pour comprendre. Je suis une socialiste républicaine. Lorsque j'étais députée, j'étais dans la commission qui a écrit la charte de la laïcité. À l'heure actuelle, je suis toujours encartée au Parti socialiste, mais celui de Carole Delga ou de Bernard Cazeneuve. Je ne me retrouve pas du tout dans le gloubi-boulga de la Nupes. Ce que fait Éric Piolle à Grenoble, jamais ! La question d'autoriser le burkini s'est posée à Denain, il n'y a pas eu débat. C'était non. Bref, je me pensais, et je me pense toujours, à l'abri de tout soupçon de dérive communautariste. Je n'ai jamais fait la moindre concession à l'intégrisme. Au contraire. Adjointe à la vie scolaire dans l'équipe de mon prédécesseur [le PS Patrick Roy, décédé en 2011, NDLR], j'ai désamorcé des propositions de campagne inconsidérées : le hallal à la cantine et des créneaux pour les femmes à la piscine municipale.

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On allait loin…

Pas d'anachronisme. Nous étions en 2008, le climat autour de ces revendications était moins explosif. J'avais néanmoins pesé de toutes mes forces pour que nous ne nous engagions pas dans ces voies. J'ai eu gain de cause. Nous avons mis en place une formule qui existe toujours : des menus différenciés à la cantine pour les enfants qui ne mangent pas de porc.

Pas d'anachronisme, mais, précisément, le climat change au fil des années. Vous maintenez néanmoins votre confiance à Soufiane Iquioussen jusqu'aux municipales de 2020, alors que la presse s'émeut des prises de position de son père, alors que des enquêtes pour diverses malversations ciblent le garage solidaire…

Là encore, il faut se remettre dans le contexte. À Denain, pendant fort longtemps, les municipales se sont jouées entre la gauche et la gauche, socialistes contre communistes. L'émergence du Rassemblement national bouleverse la donne. Durant la campagne 2020, mon adversaire RN, Sébastien Chenu, martèle que je suis vendue aux islamistes. Ses équipes distribuent dans les boîtes aux lettres de Denain le fac-similé d'un article de Marianne sur ce thème. Que devais-je faire ? Sacrifier publiquement Soufiane Iquioussen, qui participait activement à ma campagne ? Moi, la petite-fille d'un Tonini qui a fui l'Italie de Mussolini ? Hors de question. Je le répète, je ne l'avais jamais entendu tenir un propos qui ne soit pas républicain. Et mon bilan en matière de concession au communautarisme était simple : zéro, rien. Il y a une communauté musulmane importante à Denain, tout le monde le sait, mais je ne l'ai jamais appréhendée comme un électorat.

Aux États-Unis, c'est une pratique banale : le vote noir, le vote latino…

Peut-être, mais nous sommes en France. Le vote musulman, je ne sais pas ce que c'est.

Mais les Iquioussen, eux, croient le savoir.

Oui, et c'est là où l'affaire se complique. J'ai été réélue dès le premier tour aux municipales en 2020, ce qui était une bonne surprise. Je ne vais pas mentir : je redoutais l'impact que les attaques sur mon prétendu communautarisme pouvaient avoir. Quelques jours avant le dépôt des listes, j'ai donc appelé dans mon bureau un jeune homme très proche des Iquioussen, qui devait figurer sur cette liste, Youssouf Feddal. Je lui ai dit en substance : « Tu connais les polémiques. Je peux perdre. Si cela arrive, je l'assumerai, mais pour tout le monde, tu en seras en partie responsable. C'est injuste, c'est même dégueulasse, mais c'est comme ça. Tu es jeune, tu vas porter ce fardeau pendant très longtemps. Veux-tu te retirer ? » Je ne m'attendais pas du tout à sa réaction. Il était outré. Il pensait que je l'avais convoqué pour lui annoncer que j'allais le nommer premier adjoint et vice-président de l'agglomération. Même pas trentenaire, sans expérience, il exigeait ces postes, pas moins ! Pour Soufiane, c'est moins clair. On m'a rapporté qu'il se voyait déjà directeur de cabinet, mais il ne m'a rien demandé. Néanmoins, les deux se prétendaient en mesure, à eux seuls, de m'apporter les milliers de voix nécessaires à ma réélection.

Le double jeu de l'imam Hassan Iquioussen

Et ce n'était pas le cas ?

Ces jeunes s'attribuaient une capacité de mobilisation qu'ils n'avaient pas. J'ai parcouru les bureaux de vote le jour du scrutin en mars 2020, j'ai regardé les listes d'émargement ensuite : mon électorat s'est mobilisé, mais sans afflux repérable de nouveaux électeurs venus de la communauté musulmane. On a vu ces primovotants arriver à la présidentielle et aux législatives de 2022, pour voter Nupes, mais ils n'étaient pas là en 2020, quoi que disent Youssouf Feddal et Soufiane Iquioussen.

Où en sont vos relations avec eux aujourd'hui ?

Très distantes. Soufiane Iquioussen, qui avait été recruté au CCAS, est parti de son plein gré. Youssouf Feddal, que j'avais gardé sur ma liste, a été élu conseiller municipal. Il est passé dans l'opposition assez rapidement. Quant à Hassan Iquioussen, je ne l'ai jamais revu. Je l'aurais rencontré une seule fois, en définitive.

Dans ses vidéos, Hassan Iquioussen a exposé en toute clarté sa stratégie d'infiltration à long terme de la vie politique et associative, dans le but d'islamiser la France. Selon vous, comment les élus peuvent-ils détecter ces infiltrations ?

L'entrisme prôné par Hassan Iquioussen est dangereux, mais le combattre est très difficile, et le prévenir presque impossible. Aujourd'hui encore, je n'ai pas la preuve que Soufiane Iquioussen ait été sur la même ligne que son père. De fortes présomptions, oui. La certitude, non ! Devrions-nous tenir à l'écart des jeunes qui manifestent l'envie de s'engager en politique sur des présomptions ? Je m'y refuse. La meilleure ligne est de s'en tenir aux principes républicains et de juger les élus sur les décisions qu'ils prennent.

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Cette ville est perdue et cette maire totalement inféodée à des préceptes religieux extrémiste moyenâgeux obscurantistes (semble-t-il, elle devrait porter le voile pendant qu'elle y est !?)


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Mais n'oublions pas que ce sont les Français de cette ville qui l'ont élu (peut-être en majorité musulman ?) Car c'est leur droit, les religions dans notre pays laïque devant ne pas interférer dans la marche de nos institutions républicaines et nos lois dont celle de 1905 en autres !

DENAIN est une ville de 20000 habitants n’est pas une simple petite bourgade perdue de province mais située dans une région ouvrière qui fut prospère des hauts de France avant désindustrialisation de la France notamment dans le nord et région des hauts de France avec la fermeture des mines de charbon et la fin des usines de textiles !

(Ville triste avec une maire complice avec les frères musulmans des kebab coiffure boucherie halal à chaque coin de rues on se croirait au bled, 2 mosquées pas une seule église et j'oublie les mosquées salafistes : commentaire anonyme d’un internaute rapporté sur GOOGLE )

Avec notre pays qui va mal à cause de ses problèmes à consonance religieux qui interfèrent dans la marche et gestion de notre pays de plus en plus présents !

On comprend mieux que G.DARMANIN est du mal à expulser cet imam malfaisant avéré car freiné par ce conseil d’état ou figures de vieilles barbes nantis bienpensants donneurs de leçons hypocrites enfermés dans leur confort bourgeois à mille lieues de ce qui se passent dans la société française au quotidien !

On comprend aussi pourquoi notre pays va mal et sa justice laxiste inefficace et dirigeants et gouvernements de tous bords pas du même monde jusqu’aux maires de certaines villes que les Français lambda, qu’ils protègent mal ou pas du tout et çà c’est grave !

Jdeclef 26/08/2022 11h12


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