vendredi 31 juillet 2020

Délinquance d'une certaine jeunesse qui ne respecte pas autrui ni règlement quel qu'il soit ! (DANS LA RUBRIQUE FAITS DIVERS ...)


Dijon : un conducteur de tramway insulté et frappé pour avoir réclamé le port du masque

VIDÉO. La victime a été agressée par deux passagers, selon Infos-Dijon.com. Deux mineurs ont été interpellés, a indiqué le parquet de Dijon.


La mort de Philippe Monguillot, le chauffeur de bus de Bayonne, est encore dans toutes les têtes, trois semaines après les faits. C'est pour des motifs similaires à ceux de son agression qu'à Dijon (Côte-d'Or), jeudi 30 juillet vers 18 h 30, un conducteur de tramway de Keolis Dijon Mobilités, qui exploite le réseau de transports via la société Divia, a été pris pour cible par deux individus. Ils sortaient de la rame lorsqu'il leur a rappelé l'obligation de porter un masque, épidémie de coronavirus oblige, explique le site Infos Dijon.
Le ton serait monté entre les contrevenants et l'agent, qui avait quitté sa loge. Ce dernier a été insulté, puis frappé, a expliqué la CGT Divia. Le conducteur, blessé, a été pris en charge par les pompiers. Ces derniers ont confirmé à l'Agence France-Presse avoir pris en charge jeudi soir un agent de Divia de 52 ans et transféré le « blessé léger » à l'hôpital. « Deux mineurs sont actuellement en garde à vue pour agression de chauffeur », a indiqué à l'Agence France-Presse le parquet de Dijon, sans donner plus de précisions sur ces agresseurs présumés. « Une enquête est en cours », a ajouté de son côté la direction départementale de la sécurité publique de Côte-d'Or.

« On est relativement inquiets »

« Le conducteur est sorti de sa cabine. Il a rappelé les consignes du port de masque obligatoire aux voyageurs. Il y a eu des échanges verbaux, puis des échanges de coups. Il a été frappé au visage, le nez ensanglanté », a raconté à l'Agence France-Presse Frédéric Pissot, délégué CGT du réseau de transports Divia, confirmant une information de France Bleu Bourgogne. Le respect des gestes barrières a déjà suscité des « invectives, des menaces » à l'encontre d'agents du réseau qui couvre la métropole de Dijon, « mais c'est la première fois qu'il y a des coups », a affirmé Frédéric Pissot.
« Les communautarismes portent en eux une brutalité sans limites »

« On est relativement inquiets », a noté Frédéric Pissot, soulignant que « la CGT [avait] demandé le retour de tous les véhicules au dépôt le soir même » de l'agression, ce que la direction n'a pas accepté. Contactée par l'Agence France-Presse, Divia a indiqué qu'« une seule personne avait demandé son droit de retrait » et que l'activité du réseau s'était poursuivie normalement.
Jeudi soir, un mineur a été placé en garde à vue à Orléans après avoir frappé un conducteur de bus qui réclamait le port du masque. Ce dernier s'est vu prescrire 4 jours d'ITT (incapacité totale de travail) en raison, notamment, d'une blessure à l'œil. Le site Infos Dijon rappelle de son côté que le 8 juillet, les 300 conducteurs de tramway et de bus de Divia avaient symboliquement arrêté le travail durant une minute en hommage à Philippe Monguillot. Une action qui visait également à protester contre les récurrentes agressions dont les agents se disent victimes. Agressé le 5 juillet, le chauffeur de bus de Bayonne était décédé 5 jours plus tard après avoir été la cible de trois individus à qui il demandait notamment de porter un masque.
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Sous prétexte d’aliénation de leurs libertés qu'ils s'accordent en faisant leurs lois dans leurs quartiers et qui bien sûr n'ont pas peur de l'autorité puisque, quand ont arrivent à les arrêter, ils ne sont pas assez sévèrement sanctionnés, parce que souvent mineurs !

Et que le fameux « interdit d'interdire » soixante-huitard prôné par d'anciens politiciens devenus retraités a fait des émules dans les classes populaires qui n'ont pas besoin de ça pour entretenir la voyoucratie et l'anarchie rampante, qui a toujours existé, mais qui reprend de l'ampleur !

Car nous sommes dirigés et gouvernés pas des bien-pensant donneurs de leçons à cent lieues de zones de non droits ou quartiers sensibles avec leurs vies au quotidien!

Et il est très difficile de rattraper plus de trente ans de retard, à moins de fermeté ou volonté qu'il faudrait avoir de la part du ministre de l’intérieur et de la justice par exemple ou il faudrait revoir drastiquement le code pénal et notamment celui des mineurs !

Mais cela fait des décennies que l'on tergiverse dans tous nos gouvernements de bisounours, ce qui augmente l'insécurité partout !

On se demande ce que deviennent ces faits divers de la vie quotidienne des français pourtant relatés par les médias, ces Messieurs qui nous gouvernent n'écoutent pas les médias ou ne lisent pas la presse pensant qu'ils sont sans importance, pourtant de plus en plus nombreux ,il est vrai qu'ils prennent rarement les transports en commun ou ne marche que peu dans les rues, ces élites dignes représentants privilégiés d'un ancien régime toujours d'actualité dans notre V eme république pseudo monarchique !

Jdeclef 31/07/2020 16h04

Lui au moins il peut prendre des vacances pas dans la foule de fans du bronzage !


Emmanuel Macron a posé ses valises au fort de Brégançon

VIDÉO. Le président de la République va s'y installer pendant trois semaines. Sauf imprévu, il pourrait ainsi y rester jusqu'au conseil des ministres de rentrée.

L'heure des vacances a sonné pour Emmanuel Macron. Le président de la République a accosté jeudi au fort de Brégançon où il va s'installer pour trois semaines de pause estivale. Son arrivée a été très discrète mercredi soir selon la presse locale. Le chef de l'État a rejoint la résidence d'été des présidents de la République dans le Var peu de temps après le dernier Conseil des ministres avant les vacances.
Sauf imprévu, il pourrait y rester jusqu'au conseil des ministres de rentrée, le 25 août. Ses vacances seront « studieuses », a indiqué l'Élysée, en une formule devenue rituelle. Comme l'a laissé entendre le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, le président pourrait notamment réunir cet été, avec ses principaux ministres, un ou plusieurs conseils de défense sanitaire, en visioconférence, afin d'adapter la stratégie gouvernementale à l'évolution de l'épidémie, qui progresse dans le monde et menace de reprendre en France.
Édouard Philippe, Darmanin, Macron, LREM : les quatre vérités de Gilles Le Gendre

Rentrée chargée

Sa rentrée 2020 s'annonce déjà très chargée, avec la présentation d'un plan de relance historique de 100 milliards d'euros promis pour la fin août, dans un contexte de pré-campagne électorale, à vingt mois de la présidentielle de 2022. « Le président continue évidemment de suivre les dossiers d'actualité nationale et internationale et reste particulièrement attentif à l'évolution de la situation sanitaire sur le territoire. Il a d'ailleurs rappelé aux membres du gouvernement ce mercredi la nécessité de rester en état de veille permanent et pleinement mobilisé », précise la présidence.
Quand l'Élysée fait des économies… grâce aux Gilets jaunes
Le fort, perché sur une presqu'île à l'abri des regards, est aussi devenu pour lui une arme diplomatique, le chef de l'État ayant pris l'habitude d'y recevoir chaque été des dirigeants étrangers, dont l'année dernière le président russe Vladimir Poutine. L'Élysée n'a pas confirmé s'il en serait de même cette année, sans exclure cette possibilité. Rien n'est officiellement prévu, mais il pourrait également participer, comme chaque année, à la cérémonie de commémoration du Débarquement en Provence le 15 août à Bormes-les-Mimosas, où il s'offre généralement un bain de foule avec les habitants
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Et puis qu'il soit là ou pas cela ne change pas grand-chose !

Déjà s'il se tait ce sera bien !

Car depuis le début de cette crise il n'a été utile qu'à peu de chose car n'ayant pas de solution viable pour régler cette pandémie du covid 19 certains diront ce n'est pas de sa faute (bien qu'une imprévoyance plus rigoriste lui a fait défaut)

Il a beau avoir une armée de conseillers de scientifiques divers et de politiciens et ministres médiocres ce n'est qu'un homme comme ses prédécesseurs à égo démesuré mais quand on gratte le vernis de la carapace dont il est recouvert notre bien-pensant donneur de leçons que les français gogo croyaient avoir élu un homme providentiel !?

Comme d'habitude ils se sont trompés car incurables versatiles et surtout individualistes !
Alors qu'il prenne des bains dans sa piscine faite pour lui et son confort qu'il profite bien car la rentrée va être dure surtout pour les français lambda et il sera même peut être réélu, surtout si par miracle en plus ce virus Covid 19 venait à s'évaporer ?...

D'ailleurs il serait utile en cette période difficile, pour le gouvernement qui en fait est éphémère dans un quinquennat, car changé périodiquement par les remaniements du président les ministres devraient ne pas prendre de congé, car ils ne font que passer!

Les français en 2022 peuvent changer de président, mais par qui tant la classe politique française est d'une médiocrité lamentable, car trop gâtée !?

La France va mal on sait pourquoi, mais on ne veut pas prendre les mesures fermes et utiles depuis plus de trente ans car la V eme république est trop imprégnée de l'ancien régime monarchique et son administration kafkaïenne !

Jdeclef 31/07/2020 10h52LP

jeudi 30 juillet 2020

Tant mieux pour elle, mais les médias se sont chargés de l'informer ?! (Suite et fin espérons-le.. Ou stop ou encore ..?!)


SMS de Le Drian : la version de Ségolène Royal

VIDÉO. L'ex-candidate à la présidentielle explique au « Parisien » ce qui s'est passé peu avant le remaniement. Elle dit ne pas avoir reçu de texto la qualifiant de « folle ».

« L'autre folle de Ségo. » C'est ainsi que Jean-Yves Le Drian aurait qualifié l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 dans un SMS envoyé par erreur à l'intéressée. Une bourde, racontée dans l'édition du mercredi 29 juillet du Canard enchaîné, qui a eu lieu au début du mois, au moment des derniers arbitrages pour la composition du futur gouvernement dirigé par Jean Castex. Cet impair du ministre des Affaires étrangères, qui pensait envoyer un message à Emmanuel Macron pour donner son avis sur des candidatures de femmes de gauche, n'a pas manqué d'être commenté directement par Ségolène Royal. Cette dernière donne d'ailleurs une autre version de l'imbroglio que celle rapportée par Le Canard enchaîné.
Dans les colonnes du Parisien, l'ancienne ambassadrice des Pôles confirme que Jean-Yves Le Drian s'était bien trompé de destinataire, mais déclare que le qualificatif de « folle » n'a pas été employé par le ministre des Affaires étrangères. « Ce n'est pas moi qui ai transmis cela au Canard », indique-t-elle. « Est-ce que j'en avais parlé à quelqu'un qui l'aurait répété, je ne sais pas… » Au sujet du terme employé, Ségolène Royal y voit un phénomène récurrent. « Comme je le dis dans mon dernier livre, dès que les femmes dérangent ou quand on ne les maîtrise pas, on dit qu'elles sont folles, qu'elles n'ont plus leur équilibre mental. Jamais on ne dit cela pour un homme ! »

La descente aux enfers de Ségolène Royal

Une bourde prise à la légère

Selon Le Parisien, l'ex-candidate à la présidence de la République n'est pas en colère contre Jean-Yves Le Drian. L'affaire l'a, au contraire, plutôt amusée. « Le grand chef de la diplomatie française mélange ses SMS : s'il fait la même chose au niveau diplomatique, vous vous rendez compte ! » Ségolène Royal réaffirme cependant sa conviction qu'un gouvernement d'union nationale était nécessaire en cette période de crise. « Les gens auraient préféré cela, plutôt que ce gouvernement trop à droite qui ne ressemble à rien », déclare-t-elle.

Le quotidien francilien donne par ailleurs le contenu exact, selon lui, du SMS de Le Drian destiné au président de la République, et envoyé par erreur à l'ancienne ministre de l'Écologie le 4 juillet dernier. « J'ai vu le PM çà (sic) s'est très bien passé ! Toujours pas de retour de Johanna ! Pour Ségo tu me dis que faire ! Mais pour être clair avec toi il vaut mieux Pompili que Ségo si par ailleurs tu as Marie Guitte ! Je vais réessayer Johanna mais je crois qu'elle s'est mise aux abonnés absents ! » Jean-Yves Le Drian avait essayé de contacter la maire socialiste de Nantes, Johanna Rolland, ainsi que la présidente PS de la région Bourgogne-France Comté, Marie-Guite Dufay. Barbara Pompili a finalement été nommée à la tête du ministère de la Transition écologique.
Ségolène Royal supprime en douce ses tweets pro-chloroquine
Ségolène Royal, qui s'était pourtant montrée très critique envers l'ancienne équipe et Emmanuel Macron, avait affirmé avoir été contactée par téléphone par un proche du président de la République en vue du remaniement. Un soutien du chef de l'État avait par la suite démenti l'existence d'un quelconque coup de fil. L'ancienne ambassadrice des Pôles avait remis le couvert sur le plateau de BFM TV en révélant que Jean-Yves Le Drian, le fameux « proche » du président, l'avait contactée par SMS, avant qu'ils n'échangent au téléphone ensuite. L'Élysée n'avait finalement pas démenti les faits et avait même indiqué que « le président a du respect et de la considération pour Ségolène Royal ». Interrogée cette semaine par Le Parisien, l'essayiste Françoise Degois, proche de l'ex-candidate à la présidentielle de 2007, affirme que le chef de l'État l'aurait bien appelé le soir de la réception du message. L'affaire semble close.
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Sans quoi elle aurait fait un caca nerveux et ce serait mise à pleurnicher ?!

De toute façon cette politicienne chevronnée ayant eu des mandats ministériels divers et autres devrait être rodée à cette politique ou tous les coups sont permis et dont le chemin n'est pas sans pierres qui dépasse pour chuter !

Elle devrait être en retraite, mais elle est vaccinée à cette mauvaise politique politicienne, car ne sait rien faire d'autre, alors qu'elle assume, elle n'est pas à plaindre, surtout avec son bilan médiocre qui a déjà coûté assez cher au pays !

Jdeclef 30/072020 12h17LP

L'hypocrisie débile de ces politiciens élus ou ex élus est lamentable tout comme « cette folle de ségo » citée trivialement par Le Drian !?


« L'autre folle de Ségo » : quand Le Drian s'emmêle les numéros

Pensant écrire à Emmanuel Macron, le ministre des Affaires étrangères a envoyé un SMS sans équivoque à Ségolène Royal, raconte « Le Canard enchaîné ».

C'était l'un des feuilletons du remaniement. Au moment des derniers arbitrages pour la composition du futur gouvernement, dont le Premier ministre Jean Castex était la tête de pont, une voix bien connue de la politique s'est fait entendre. Ségolène Royal, qui s'était pourtant montrée très critique envers l'ancienne équipe et Emmanuel Macron, a affirmé avoir été contactée par téléphone par un proche du président de la République en vue du remaniement. « On sait qui je suis, ce que j'ai dit sur ce qui se passe aujourd'hui en France depuis trois ans, on connaît mes convictions. Donc j'ai dit : “Si c'est pour mener une politique plus sociale, plus écologiste et plus démocratique, faites-moi une proposition”, et nous en sommes là », a-t-elle assuré sur BFM TV le dimanche 5 juillet.
Un proche du chef de l'État avait ensuite démenti l'existence d'un quelconque coup de fil. Persuadée de son coup, l'ancienne ministre de l'Écologie remettait le couvert dans les colonnes du Parisien en révélant que Jean-Yves Le Drian l'avait contactée par SMS, avant qu'ils n'échangent au téléphone ensuite. L'Élysée n'avait finalement pas démenti les faits et avait même indiqué que « le président a du respect et de la considération pour Ségolène Royal ». Mercredi, LeCanard enchaîné explique en partie le déroulé de cet imbroglio.
La descente aux enfers de Ségolène Royal

« Je ne le sens pas du tout, ce truc »

Selon l'hebdomadaire satirique, Emmanuel Macron avait sondé ses proches sur la personnalité politique qui pourrait éventuellement occuper le ministère de l'Écologie. Lui aussi interrogé, Jean-Yves Le Drian avait décidé d'appeler Ségolène Royal le 4 juillet. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle de 2012 lui aurait rétorqué que sa nomination « n'aurait de sens que pour une politique plus sociale, plus écologiste, plus démocratique », comme elle l'avait affirmé sur le plateau de BFM TV.
Ségolène Royal supprime en douce ses tweets pro chloroquine
Le téléphone raccroché, le ministre des Affaires étrangères fait part de son échange au président de la République. Ce dernier lui lâche : « Je ne le sens pas du tout, ce truc », selon l'hebdomadaire. Avant de poursuivre : « Et puis, il y a Pompili. » Pensant écrire à Emmanuel Macron, Jean-Yves Le Drian commet une jolie gaffe en répondant « Pompili très bien, c'est quand même mieux que l'autre folle de Ségo », qu'il envoie par SMS… à Ségolène Royal.
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Citée dans la foulée de ses twit innombrables ou SMS de cette ex ministre soi-disant « écolo » que tous nous élus utilisent en abusant au point que leur diffusion va plus vite qu'eux !

Et ces types d'élus nous gouvernent ou ont gouverné, c'est désespérant, la folie médiatique de ces ministres ou ex passés dans divers gouvernements !

Et il faudrait que les français lambda est confiance en eux, alors qu'ils se comportent comme des acteurs de théâtre de boulevard ?!

Cela ne fait même plus rire, surtout en cette période difficile à supporter par nos concitoyens !?

Pauvre France ballottée dans cette mer houleuse et ces écueils de leur mauvaise politique politicienne médiocre!

Jdeclef 30/07/2020 10h09

mercredi 29 juillet 2020

C'est évident cette mesure liberticide de peu d'effet ne fera que du tort au commerçants ou au cafetiers/restaurants en période hivernale et leurs clients !


La fin de la terrasse chauffée, nouvel exemple d'hypocrisie climatique

Selon Ferghane Azihari, cette décision politique a pour but de punir l'individu, plutôt que de combattre le réchauffement climatique.


Le millénarisme vert exige que l'humanité expie sa faute originelle : la recherche du confort. Signe qu'il s'inscrit dans la définition du puritanisme du journaliste américain Henry Louis Mencken : la peur obsédante que quelqu'un, quelque part, soit heureux. Aristote définissait l'envie comme la douleur que procure le bonheur d'autrui. De cette douleur provient le plaisir de vexer les habitudes du petit-bourgeois. Aujourd'hui, les terrasses chauffées. Demain, l'avion. Après-demain, sa volonté de fonder une famille, ainsi que le suggère la petite musique récurrente sur la surpopulation. D'où la dangerosité de laisser à un clergé écologiste le soin de distinguer l'essentiel du superflu. Le climat n'est ici que l'alibi du despotisme doux que Tocqueville assimilait au cancer des démocraties. Dans le pays qui pèse moins d'un pour cent des émissions totales de CO2, l'appel à la contrition ne relève que de l'étalage de vertu. Il est indifférent aux conséquences quasi nulles de ces restrictions sur le climat.
Lire aussi Climat : les terrasses chauffées bientôt interdites dans l'espace public ; Conseil de défense écologique : du concret… à petits pas

Sabotage L'imposture des apôtres de la vertu est d'autant plus palpable quand surgit du débat le mot « nucléaire ». L'urgence environnementale à géométrie variable conduit les héritiers de Savonarole à réduire la vitesse des automobiles tout en fermant des centrales. Le rationnement cohabite avec le sabotage de la seule énergie pilotable, décarbonée et généralisable indépendamment de la topographie. L'objection du risque et des déchets est insincère quand chacun a accès au bilan sécuritaire remarquable du nucléaire civil. En réalité, il faut comprendre que les nouveaux malthusiens détestent le nucléaire pour ses avantages et non ses inconvénients.
Climat : l'avertissement du Haut Conseil au gouvernement

Haine En 1975, l'écologiste Paul Ehrlich écrivait que donner à l'humanité une énergie abondante et accessible serait « moralement équivalent au fait de donner une mitraillette à un enfant idiot ». Le philosophe Dominique Bourg redoute la « fuite en avant » industrialiste et technicienne qu'une telle énergie permettrait. L'ingénieur décroissant Benoît Thévard s'interroge quant à lui sur l'opportunité de disposer de toujours plus d'énergie, même si une technologie propre devait un jour voir le jour : « La mise à disposition d'une énergie encore plus abondante et moins coûteuse que l'ont été les énergies fossiles serait une catastrophe absolue, si elle ne s'accompagne pas d'un travail collectif et mondial sur la gestion des biens communs et l'artificialisation des terres. » L'innovation salvatrice n'est même plus reléguée au rang des chimères inaccessibles. Elle est redoutée. Preuve que ce n'est pas l'amour de la verdure qui motive nos écologistes. Ce n'est que la vieille haine rousseauiste de la condition bourgeoise et la volonté d'en finir avec l'homme cartésien qui s'érige en maître et possesseur de la nature.
«  L'écologie politique refuse le progrès  »

Cynisme

Pendant que nous autres versons dans la surenchère de la mauvaise conscience bourgeoise, des centaines de millions d'êtres humains à la périphérie de l'Occident veulent – à raison – imiter notre mode de vie. La rénovation thermique des bâtiments et la panoplie de mesures franco-françaises ne changeront donc rien à l'ampleur mondiale du phénomène. Face à ce constat, deux attitudes sont possibles. La première est le cynisme néocolonial qui postule que le Sud ne doit surtout pas chercher à importer le mode de vie du Nord. Un bon exemple de cette attitude réside dans les dires d'un Serge Latouche, qui invite le tiers-monde à ne pas adhérer à la « croyance » du développement pour « continuer le fil d'une histoire interrompue par la colonisation ». Comme si l'Africain était par essence immunisé contre la séduction du mode de vie occidental et qu'il n'aurait jamais eu l'idée de l'embrasser sans les impérialismes d'hier.
Écologie : les clowns, les vrais spécialistes et les autres…

Progrès

La deuxième attitude est plus empathique. Elle reconnaît l'accès à toujours plus de confort comme l'objectif naturel des sociétés humaines. Elle recherche les moyens de marier cette noble quête en préservant un environnement habitable. Une fois de plus, le nucléaire s'érige en pièce maîtresse de la civilisation industrielle. Elle est l'énergie qui permettra de décarboner l'électricité, de nettoyer l'atmosphère, et de synthétiser les carburants propres de demain. Pour sauvegarder un climat agréable, nul besoin d'importuner le petit-bourgeois ou de remplacer les damnés de la Terre par la Terre damnée. Nous devrions porter l'idéal d'une filière nucléaire compétitive et exportatrice, capable de frapper à la porte des Indiens, des Africains et de tous les peuples de la terre désireux de se délivrer simultanément des énergies fossiles et de la pauvreté. Ambitieux ? Sans aucun doute. Concédons qu'il est plus facile de sermonner son voisin qui n'éteint pas la lumière en sortant de chez lui.
Écologie : ne jetons pas le nucléaire ! ; « On n'a pas trouvé mieux que le nucléaire pour produire de l'électricité sans trop polluer »
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Pour faire plaisir à ces quelques poignées d'écologistes politiques d'EELV les verts sectaires!

Ce ne sont que cautères sur jambes de bois, ces mesures sparadraps pour faire croire que l'on lutte contre le changement climatique et la pollution !

Ce qui est préoccupant ce n'est pas l'écologie utile, mais c'est ceux qui se recommande d'elle et qui font de la mauvaise politique, qui ne sont pas meilleurs qu'un obscurantisme sectaire moyenâgeux !

Si l'on veut lutter contre la pollution et le réchauffement climatique, il faut le faire au niveau européen et surtout mondial et convaincre leurs dirigeants plutôt que de s'en prendre aux peuples lambda en les punissant en plus au porte-monnaie sans garantie des sommes récoltées pour ces soi-disant  luttes à la mode, et çà cela ne concerne pas seulement l'écologie, car sans cela, c’est de l’escroquerie financière et intellectuelle pour ceux qui y croient !

Jdeclef 29/07/2020 16h26

De toute façon nos dirigeants et leurs scientifiques éminents ne sont arrivés à peu près à rien :


Sous le nez ou le menton… Nos dangereux petits arrangements avec le masque

Avec le temps, certains ont pris des libertés dans la manière de porter leur masque. Au risque de s'exposer au Covid-19, mais aussi de contaminer les autres.


Baisser son masque sous le nez pour éviter la buée sur les lunettes ou être moins gêné, le caler sous le menton pour parler plus facilement, l'accrocher au coude pendant le repas… Dans les magasins, les transports ou au restaurant, les Français s'accordent quelques libertés dans la manière de porter leur masque. Au risque de le rendre inefficace.
Pour remplir son rôle de barrière contre le Covid-19, le masque doit être correctement mis, porté et enlevé. Il faut notamment se laver les mains avant de le mettre sur le visage, l'ajuster correctement puis ne plus le toucher, rappelle Santé publique France. Pour l'enlever, il faut se laver les mains, le retirer par les élastiques puis le jeter ou le garder dans un sac plastique avant de pouvoir le laver, puis se laver à nouveau les mains.
Psychopathes, narcissiques… Ces profils réfractaires au port du masque

Le nez, « l'endroit où il y a le plus de virus »

Mais à mesure que le port du masque s'est généralisé depuis le déconfinement en mai, beaucoup n'appliquent plus toutes ces consignes avec la rigueur des débuts. Des mauvaises habitudes qui se retrouvent jusqu'au sommet de l'État, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ayant par exemple déambulé dans les rues masque sous le nez lors d'une visite d'Emmanuel Macron à Paris dans la nuit du 27 au 28 juillet.
« On respire souvent par le nez, donc le virus va rentrer » si le masque ne le couvre pas, prévient le docteur Pierre Parneix, médecin de santé publique et d'hygiène hospitalière au CHU de Bordeaux, interrogé par France 3 Nouvelle-Aquitaine. « Et si on est malade, l'endroit où il y a le plus de virus, c'est le nez, donc on en dissémine partout. » C'est d'ailleurs dans le nez que sont réalisés les prélèvements pour les tests PCR.
« Le masque peut nous faire crever » : la mécanique complotiste à l'œuvre

Sous le menton, « une zone sale » Se sentant gênés pour discuter ou téléphoner, certains ont aussi pris l'habitude de retirer leur masque le temps de parler. Là encore, la pratique est contre-productive, puisque c'est en parlant que l'on diffuse le plus de gouttelettes susceptibles de contenir le virus et de contaminer les autres.
Attention également à ne pas garder le masque en « position d'attente » sous le menton quand il n'est pas nécessaire de le porter. « Ce sont des zones sales, où il peut y avoir des microbes ou le virus », explique Laurent Dap, président du conseil de l'Ordre des médecins en Moselle, à France Bleu. « Il vaut mieux l'enlever carrément, par les élastiques, le mettre dans un endroit propre, et le remettre plus tard, plutôt que de le bouger sur le front ou le menton. »
Et au moment de l'enlever, le tenir simplement par les élastiques, le jeter ou le ranger correctement – pas dans sa poche ou son sac à main – et se laver les mains sont des gestes primordiaux, rappelle à LCI Christophe Bécavin, chercheur au CNRS. « Si quelqu'un vous postillonne au visage, le virus se positionne alors sur le masque et non dans votre bouche […]. Si vous prenez le masque à la main, le virus va être transféré du masque vers vos doigts. Comme nous avons tendance à nous toucher souvent le visage, il finira donc par arriver dans votre bouche ou votre nez. »
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Depuis le début de cette pandémie en disant quelque fois tout et son contraire pour soi-disant se protéger, lutter ou éradiquer ce virus Covid 19 !

Malgré « les mesures dites barrières lavage de main gel hydro alcoolique et port du masque » aléatoire, seul le confinement avait stoppé la propagation de virus !

Mais bien sûr on ne pouvait mettre à l’arrêt le pays plus longtemps, alors le gouvernement a fait le déconfinement et en plus la période des congés arrivant, ne pouvait que déclencher une nouvelle vague prévue d’ailleurs, ce qui hélas ce vérifie bien que mieux préparé pour la subir !

Alors nos autorités incapables de faire mieux préfèrent fustiger les français et leur indiscipline jusqu’à critiquer ceux qui portent mal le masque ou pas du tout !

C’est bien facile de reporter la faute de cette reprise sur les français lambda, alors que depuis le début, on n’a rien à leur proposer de probant ou efficace pour combattre ou stopper ce virus !?

Les donneurs de leçons bien-pensant, les français lambda en ont ras le bol autant que du virus lui-même, ainsi que les spots de conseils pour français qui ne sont pas débiles, dont ils sont matraqués dans les médias à la télévision radio et partout !

Les français lambda sont bien conscients de ce qu’ils font ou ne font pas, ces rabâchages ne font que les rendre plus frondeurs qu’ils sont déjà, et cela produit l’effet contraire de prudence qu’il faut diffuser !

Alors que nos autorités se taisent, si elles n’ont rien à dire de nouveau d’utile, car le trop c’est trop !

Jdeclef 29/07/2020 13h23

Peut-être que cet illuminé aimait trop les chats, mais pas comme animaux domestiques semble-t-il !?


Besançon : 60 chats découverts morts dans un congélateur

VIDÉO. La police a fait cette découverte chez un homme de 77 ans qui enfermait également plusieurs dizaines de chats encore vivants, raconte France Bleu.

Une soixantaine de chats gisant dans un congélateur, chacun soigneusement recouvert et accompagné d'un petit mot. Voilà l'étrange et macabre découverte dont France Bleu Besançon se fait l'écho ce mardi. Selon l'antenne locale de la Société protectrice des animaux, des dizaines d'autres chats déambulaient, encore vivants, mais en très mauvais état de santé, dans la maison et dans le jardin d'un homme de 77 ans. Certains présenteraient des symptômes du typhus, du coryza ou encore de la gale.
Le propriétaire de la maison conteste toute maltraitance envers les animaux, malgré la découverte funeste de son congélateur et l'état d'insalubrité de sa maison. Il considère même avoir fait tout son possible pour aménager son domicile et son jardin en un lieu accueillant pour les félins.

Bars à chats : un ronron et l'addition !
Autour de la maison, un haut grillage empêche les animaux de s'échapper. Des cages et des box construits par le retraité et qualifiés par celui-ci de « parc arboré » pour les chats servent à les entasser dans des compartiments. À l'intérieur, raconte France Bleu, « des excréments canins et humains » jonchent le sol et des montagnes de sacs-poubelle ont été découvertes dehors.

Soupçon de syndrome de Noé

Ce vertigineux enfer félin pourrait être l'œuvre, selon la SPA, d'un homme atteint du syndrome de Noé. Les patients atteints par ce trouble adoptent un grand nombre d'animaux de compagnie jusqu'à ne plus pouvoir s'en occuper et nient en bloc cette incapacité à subvenir à leurs besoins et à les maintenir en bonne santé.
Le tour du monde en 80 chats
La police est intervenue ce mardi, car la SPA se doutait, depuis des années, du drame qui se déroulait derrière ces murs. Le propriétaire avait cependant toujours refusé d'ouvrir ses portes. Selon France 3, l'homme a indiqué aux autorités qu'il avait entreposé les chats morts dans son congélateur, car il ne savait pas quoi en faire. La mairie est désormais en quête d'un local pour accueillir les survivants tandis que la SPA de Besançon lance un appel à ceux qui pourraient leur prêter une cage afin de les transporter.
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Car la viande de chat est comparable à celle de lapin, alors soit, il la vendait à une certaine restauration indélicate sans scrupule ou les consommait pour son usage alimentaire habituel !

Ou plus simplement les détestait au point de les tuer, mais alors pourquoi les congeler ?!

Ce personnage semblait plutôt dérangé et bon pour l'HP psychiatrique !?

Mais dans un autre ordre d'idée chez nos animaux domestiques le chat est très prolifique et se reproduit beaucoup, l’espèce devrait peut-être stérilisée pour être mieux régulée !

Ou mieux utilisé à chasser les rats qui infestent nos villes, plutôt que les laisser s'en prendre aux oiseaux !

Jdeclef 29/07/2020 11h57CLP

Ce n'est pas un exemple de belle architecture, mais ce n'est pas ce pourquoi, il a été construit pour remplacer le précédent qui s'est effondré !?


Nouveau viaduc à Gênes, espoir pour les 5 étoiles

Avec l'inauguration du pont autoroutier San Giorgio, le parti gouvernemental espère bien reconquérir ses électeurs déçus. Mais la scission le guette.

« Beau ou laid ? Je m'en fiche, tant qu'il tient debout, c'est tout ce qu'on lui demande », peste un riverain, mains sur les reins et la nuque dévissée pour observer les imposants piliers du pont San Giorgio enjambant le Val Polcevera, dans l'ouest de Gênes. Près de deux ans après l'effondrement tragique du pont Morandi (43 morts), l'heure est aux dernières retouches avant une inauguration en grande pompe, le 3 août, en présence du chef de l'État Sergio Mattarella et du président du Conseil Giuseppe Conte.
En bonne place sur la photo poseront quelques figures du Mouvement 5 étoiles (M5S). Toutes prêtes à rappeler que, si le parti s'était fait connaître par le passé pour son opposition aux grands projets d'infrastructure (la ligne à grande vitesse Lyon-Turin, l'oléoduc TAP etc.), c'est aussi grâce à leur intervention, aux commandes de l'exécutif avec la Ligue de Matteo Salvini au moment de la catastrophe, que l'ouvrage a pu sortir de terre en un temps record.

Luc de Barochez – L'Italie, boulet de l'Europe
En revanche, les patrons d'Aspi, la société autoroutière gestionnaire du nouveau pont, n'ont pas reçu de carton d'invitation, à la demande des familles des victimes. Mise en cause dans l'effondrement du Morandi, l'entreprise, en partie contrôlée par la famille Benetton, n'est plus en odeur de sainteté dans la péninsule. Un récent accord, obtenu au forceps par la coalition gouvernementale entre le Mouvement 5 étoiles et le Parti démocrate, va progressivement pousser la célèbre dynastie industrielle vénète vers la sortie, remplacée au sein d'Aspi par la Caisse des dépôts italienne et des investisseurs agréés, futurs administrateurs du San Giorgio et de près de 3 000 kilomètres d'infrastructures routières à travers le pays.

Entre victoire et amertume pour le M5S

Pour le Mouvement 5 étoiles qui avait fait de « l'expulsion » de Benetton son cheval de bataille, la décision gouvernementale sonne comme une victoire, se félicite Fabio Tosi, chef des pentastellati au conseil régional de Ligurie. « Parce qu'ici en Italie, face à ce genre de tragédies (…) il manquait toujours cette certitude que le processus irait jusqu'au bout », poursuit-il. Mais à Gênes, dans la cité de Beppe Grillo, l'humoriste et fondateur du M5S, certains de la ligne « dure » du mouvement ne cachent pas une légère amertume : « Ils avaient promis la révocation totale et immédiate de la concession et aujourd'hui qu'est-ce qu'on a ? Un accord avec des zones d'ombre et aucune certitude que Benetton n'empochera rien à la sortie », dénonce un électeur.
Italie : les cent jours de l'opposant Salvini
Qu'importe. À deux petits mois du scrutin régional où le candidat sortant du centre droit est donné archi-favori, l'annonce tombe à point pour le M5S. L'occasion d'envoyer un « signal de cohérence » aux électeurs, de leur dire « nous l'avons fait », confirme Fabio Tosi. Pas sûr que cela suffise. Il est loin le temps de la percée nationale de 2013, menée tambour battant à Gênes par Beppe Grillo lui-même. Ou du triomphe de 2018 lorsque la formation « antisystème » s'imposait comme premier parti d'Italie. La lumière des 5 étoiles est devenue blafarde. L'apathie du mouvement et son effacement face à Salvini lui ont coûté quelque 6 millions de voix aux européennes en mai 2019. Puis viendra le pacte avec l'ennemi juré, le Parti démocrate, à l'été 2019 : « Beaucoup de nos militants n'ont pas accepté cette alliance et nous y avons perdu des électeurs », reconnaît le chef de file du M5S génois.

Départs en cascade

L'hémorragie ne se voit pas que dans les urnes. Au fil des mois, de nombreux élus ont quitté le navire : une trentaine de députés et de sénateurs en deux ans. Idem du côté des élus locaux. En Ligurie, la cheffe de file locale du M5S, Alice Salvatore, a claqué la porte en mai, ne digérant pas le choix du mouvement de faire candidature commune avec le PD pour les régionales de septembre. Comment se reconnaître dans un parti qui soutient la Gronda, ce titanesque projet d'infrastructure censé fluidifier le trafic de voitures et de marchandises dans une cité de Gênes au bord de la rupture ? « Dans la région, le M5S est né dans l'opposition à ce projet », rappelle-t-elle. Du côté du Mouvement 5 étoiles ligurien, on tempère, promettant une version « light » de la Gronda, nécessaire pour désengorger la ville.
Au conseil régional, Alice Salvatore vient de lancer son propre mouvement, le « Bon Sens ». Une sorte de retour aux sources du M5S : les batailles environnementales, la lutte contre la bétonisation du territoire, l'accès aux transports publics, etc. Mais avec davantage de démocratie interne, promet l'élue, lassée dit-elle de l'ultra-verticalisme de son ancien parti.
Un schisme pentastellato auquel il faudra s'habituer, estime Paolo Becchi, « l'ex-idéologue du M5S », comme les médias italiens le décrivent. Pour ce professeur de philosophie du droit à l'université de Gênes, « l'idée de rassembler tout le monde dans un même parti ne fonctionne plus ». Le mouvement est « congelé », paralysé par les luttes internes, affirme-t-il. L'unique voie restante, « la séparation, en créant d'un côté un parti de gouvernement, avec ceux souhaitant maintenir l'alliance avec le PD, comme Beppe Grillo. Et de l'autre un parti d'opposition, de lutte ». Il n'y a qu'à regarder Gênes, estime Paolo Becchi : « Là, la scission a eu lieu. La ville pourrait être un laboratoire pour comprendre l'avenir du mouvement. »
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On peut simplement constater que même dans un pays qui est en mauvaise situation économique n’a mis que deux ans pour reconstruire ce pont pour peut-être réparer les lacunes et manquement dans l’entretien de l’ancien qui ont causé cette catastrophe !

Les utilisateurs et habitants de Gênes seront soulagés par la mise en service de celui-ci !

Mais à contrario cela mis en exergue la vétusté et le manque de suivi de maintenance des ponts et notamment aussi en France qui sont mal réalisés, irrégulièrement, car coutant chers bien sûr, cet accident regrettable aura peut être servi à cela pour revoir les règles de maintenance des ouvrages d’arts publics !

Jdeclef 29/07/2020 10h41LP

Chaque dirigeant avait ses lubies architecturales, alors la maire de PARIS à les siennes pour la capitale !?


Tour Triangle : Dati dénonce à la justice des faits de favoritisme

Elle dénonce des avantages que la mairie aurait accordés au groupe Unibail qui, selon elle, relèvent du « favoritisme » ou d'un « détournement de fonds publics ».


L'ex-candidate LR à l'Hôtel de Ville de Paris, Rachida Dati, a affirmé mercredi à l'Agence France-Presse avoir dénoncé à la justice des avantages que la mairie aurait accordés au groupe Unibail, concessionnaire de la Tour Triangle, qui selon elle relèvent du « favoritisme » ou d'un « détournement de fonds publics ».
S'appuyant sur un rapport de la chambre régionale des comptes, l'ancienne garde des Sceaux a ajouté qu'elle a transmis jeudi des courriers dénonçant ces faits au procureur de Paris Rémy Heitz et au procureur financier Jean-François Bohnert, confirmant une information du Parisien et du Canard enchaîné. « Le rapport de la Cour des comptes est assez clair. Je n'ai fait que reprendre des faits qui sont qualifiables pénalement », a expliqué à l'Agence France-Presse Rachida Dati.
La chambre régionale de comptes d'Île-de-France a estimé dans son rapport que le projet de la Tour Triangle avait été « inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions de la porte de Versailles », situé au sud de la capitale. En outre, pour réaliser ce projet, la Ville de Paris a accepté d'indemniser le concessionnaire du parc des expositions, Viparis (filiale d'Unibail-Rodamco), à hauteur de 263 millions d'euros « pour un préjudice non démontré », a-t-elle également pointé.
Paris : le grand lifting du parc des expositions
La ville a, certes, résilié sa concession de manière anticipée, mais lui a attribué un nouveau contrat lui permettant de continuer à exploiter les installations. Ce contrat a été attribué « dans des conditions en partie contestables », souligne également le rapport.

Indemnisation pour « un préjudice dont la chambre estime qu'il n'est pas démontré »

Outre des délais de dépôt d'offre courts, compte tenu de la complexité du projet, la ville de Paris a demandé aux candidats un droit d'entrée de 263 millions d'euros. Elle a accepté que Viparis s'acquitte de cette somme en « renonçant à l'indemnité de résiliation anticipée de la concession », alors que l'autre candidat devait « autofinancer » ce droit d'entrée, selon cette source. La Ville de Paris « s'est ainsi privée d'une ressource nette tout en provoquant une distorsion de concurrence pour l'attribution du nouveau contrat », conclut la chambre régionale des comptes.
« Le rapport démontre que la réalisation du projet de la Tour triangle n'a répondu à aucun intérêt de la Ville de Paris et qu'elle a été programmée afin de favoriser les intérêts d'une personne morale privée, à savoir la société Unibail », dénonce Rachida Dati dans ses courriers que l'AFP a pu consulter. « Ainsi, le groupe Viparis a été dispensé de réaliser les investissements de modernisation programmés dans le cadre de la concession, avec pour effet de faire financer par la concession la finalisation du projet de Tour porté par une autre société de ce même groupe, ce qui s'apparente à une situation de favoritisme », explique-t-elle.
À deux, c'est mieux
« De surcroît, poursuit l'ex-ministre de Nicolas Sarkozy, la Ville de Paris a accepté d'indemniser son concessionnaire à hauteur de 263 millions d'euros pour un préjudice dont la chambre estime qu'il n'est pas démontré. » « Les interrogations de la chambre sur la partie du montant correspondant aux bénéfices non perçus par le concessionnaire, soit 152 millions d'euros, n'ont reçu aucune explication de la part de la ville. Cela pourrait être qualifié de détournement de fonds publics », a-t-elle estimé.
Pour être validé, le projet de la Tour Triangle doit être voté par le Conseil de Paris, mais les écologistes, partenaires de la majorité, et l'opposition de droite sont hostiles au projet, souligne Rachida Dati. « Si la tour n'est pas construite, il faudra que Anne Hidalgo s'en explique parce qu'il faudra à nouveau verser des indemnités », prévient-elle.


Le problème dans ce type de réalisations pour des constructions de prestiges, c’est que se sont toujours sur fond d’histoires de gros sous et pas d’utilité avérée, surtout pour la municipalité qui a d’autres priorités, car les 6 ans passées ont révélé des lacunes ou erreurs dans la gestion de PARIS et un grand endettement !?

Alors si en plus il y a soupçon de magouillage financier en filigrane, comme le souligne le rapport de la cour des comptes (dont malheureusement on ne tient que rarement compte comme d’habitude...)

Mais pour ce qui concerne la pseudo reine de PARIS A.HIDALGO, l’argent n’a pas d’odeur seul le clinquant compte, car pour ceux qui la connaisse ou ont travaillé avec elle, ne se prive de rien !

On a l’habitude de reprocher les idées de grandeurs à nos dirigeants pour que l’on parle d’eux après leur mandat, E.MACRON semble-t-il n’a pas avoir eu le temps de ce choisir un monument à ériger à part sa piscine à Brégançon (lol) il faut bien sourire un peu dans cette période qui prête plutôt à la morosité et (aux économies)!?

Vive la France des privilèges dignes de l’ancien régime !

Jdeclef 29/07/2020 10h11LP


mardi 28 juillet 2020

Enfin une bonne initiative qui ne peut que bénéficier à la SNCF fret ?! (mais pour cela il ne faudrait pas de syndicats bornés et obtus corporatistes !)


Castex dévoile les premières mesures du plan de relance du fret ferroviaire

L'État compte notamment développer des autoroutes ferroviaires et rendre gratuits les droits de péage pour les trains de marchandises.


63 millions d'euros en 2020, puis de nouveau 63 millions en 2021. En déplacement sur le chantier de transport combiné de Bonneuil-sur-Marne, Jean Castex a dévoilé les premières mesures du plan de relance du fret ferroviaire. L'État prévoit de développer des autoroutes ferroviaires et compte relancer le train des primeurs Perpignan-Rungis. Les droits de péage pour les trains de marchandises devraient également être rendus gratuits.
Coronavirus : coup de frein sur le fret

« Il y a des péages pour emprunter les sillons (…) que les trains de marchandises empruntent avec les trains de voyageurs, donc nous avons décidé la gratuité de ces péages jusqu'à la fin de l'année 2020 et une division par deux, c'est un effort tout à fait significatif, en 2021, du prix de ces péages », a déclaré à la presse le Premier ministre. « C'est un signal extrêmement fort que le gouvernement donne et c'est une première étape dans ce que j'appellerai le plan de reconquête ferroviaire », a-t-il ajouté.

20 000 poids lourds de moins en 2021 ?

Grâce à ces incitations, l'État espère voir 20 000 poids lourds de moins sur les routes en 2021, correspondant à 425 000 tonnes de CO2 émises en moins. Le gouvernement a également la « ferme intention de rouvrir et développer les autoroutes ferroviaires », a ajouté Jean Castex. Des appels à projets seront lancés d'ici à la fin de l'année pour les lignes Bayonne-Cherbourg, Sète-Calais et Perpignan-Rungis, que l'État aimerait voir prolongée d'Anvers jusqu'à Barcelone.

Coronavirus : Jean-Baptiste Djebbari, logisticien du gouvernement
« Vous avez devant vous un Premier ministre qui a été meurtri par l'affaire du Perpignan-Rungis, le train des primeurs », suspendu depuis un an, a confié Jean Castex, élu municipal à Prades (Pyrénées-Orientales). Jusqu'en juillet 2019, le « train des primeurs », formé de wagons réfrigérés, transportait chaque nuit fruits et légumes produits dans les Pyrénées-Orientales vers le marché de Rungis. La ligne devait être relancée fin 2019 vers la plateforme multimodale de Valenton (Val-de-Marne), plutôt qu'à Rungis où la gare doit être modernisée, mais les clients ne se sont pas précipités.

Développer le transport combiné rail-route

Jean Castex, qui était accompagné du PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou, et des ministres Emmanuelle Wargon (Logement), Barbara Pompili (Transition écologique) et Jean-Baptiste Djebbari (Transports), a également dit vouloir développer le transport combiné rail-route, car « c'est l'avenir ». « Il faut aussi restructurer la gestion du fret ferroviaire, améliorer sa compétitivité », a-t-il affirmé sans plus de précisions.

Infrastructures : « Il faut donner la priorité à l'entretien plutôt qu'aux nouveaux projets »
Un des enjeux est la modernisation du réseau ferroviaire, auquel le gouvernement consacre « plusieurs milliards d'euros par an jusqu'en 2022 », selon Jean Baptiste Djebbari. Dans ce cadre, Ivan Stempezynski, président du groupement national des transports combinés, a demandé à Jean Castex de donner à SNCF Réseau, gestionnaire des voies, les moyens de ses ambitions.
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Mais il y un écueil de taille les syndicats bornés de cette entreprise d'état ferroviaire !

Car pour que les transporteurs mettent leurs camions sur les trains il faut qu'ils y aient des avantages et surtout qu'ils ne soient pas bloqués par des grèves intempestives de ces syndicats corporatistes incurables et ingérables !

De plus cela diminuerait le flux énorme de camions sur nos routes et la pollution qui va avec et donnerait plus de sécurité routière !

Là on verra ce que valent vraiment les agents de conduite et leurs professionnalismes à la SNCF qui ne se laisseront pas dévoyer par des revendications fumeuses dont leurs syndicats ont le secret depuis des décennies, comme une maladie qui revient périodiquement chaque année !

Espérons sans trop y croire, car il ne faut que quelques trublions connus CGT et SUD RAIL etc, entre autres qui sont hélas rodés pour bloquer le trafic des trains !

Jdeclef 28/07/2020 12h35