mercredi 15 juillet 2020

Le président MACRON continue à déplaire à certains français mais ce non-respect du président de notre république n'est pas admissible !


« Vous êtes mon employé » : Emmanuel Macron pris à partie par des manifestants

VIDÉO. En balade aux Tuileries, le chef de l'État a été interpellé. L'Élysée explique que le président a réussi à « apaiser les choses au cours de l'échange ».

Sortie mouvementée pour Emmanuel Macron en cette soirée du 14 juillet. Le chef de l'État se trouvait avec Brigitte Macron et plusieurs personnes de son entourage dans le jardin des Tuileries lorsqu'il a été pris à partie par un groupe de Gilets jaunes. Ceux-ci lui ont réclamé l'interdiction des BRAV-M, les brigades de répression de l'action violente. Ils réclament aussi plus de « justice ». De son côté, le chef de l'État, qui a affirmé avoir entendu leur message, a lancé un appel à rester « cool ».
Dans une séquence diffusée sur Facebook, on peut voir un groupe de manifestants identifier le chef de l'État dans le jardin des Tuileries. Alors qu'ils cherchent à se rapprocher d'Emmanuel Macron, ses gardes du corps font barrage. Mais, alors que la séquence est diffusée en direct sur le réseau social, le président de la République se retourne pour entamer le dialogue. Les manifestants réclament l'interdiction des BRAV-M, les brigades de répression de l'action violente motorisées, une unité de la police régulièrement mobilisée au cours des derniers mois, notamment lors du mouvement des Gilets jaunes. Alors qu'Emmanuel Macron précise que « ce n'est pas le président de la République qui fait ça », il incite aussi les militants à garder leur calme. Il souligne aussi que, selon lui, ce n'est pas normal de l'interpeller alors qu'il se balade ainsi avec son épouse. Ce à quoi un Gilet jaune lui répond immédiatement, « vous êtes mon employé monsieur le président ! ». Du tac au tac, ce dernier souligne alors que l'on est un « jour férié ».
14 Juillet : Emmanuel Macron libéré, délivré…

Balkany, Darmanin et les soignants La discussion entre le chef de l'État et les manifestants part alors dans plusieurs directions successives. C'est d'abord le nom de Gérald Darmanin, contesté en raison de l'enquête pour viol, qui est évoqué. Comme ces derniers jours, le chef de l'État défend son ministre au nom de la présomption d'innocence : « Vous n'êtes pas juge, moi non plus. » Les manifestants invoquent alors « l'injustice », citant le cas de Patrick Balkany, l'ancien maire de Levallois qui a été libéré le 12 février après une expertise médicale. Comme le note le manifestant, l'ancien édile dansait pourtant dans les rues de la ville des Hauts-de-Seine à l'occasion de la Fête de la musique.
Cotta – Et voilà le Macron post-coronavirus
C'est ensuite la politique même du gouvernement qui revient au centre de l'échange. « On sort à peine du coronavirus et on reparle déjà de la réforme des retraites. Pourquoi vous faites ça ? Le Premier ministre il ne veut pas se calmer ? » interroge ainsi un manifestant. Après avoir rappelé que son gouvernement vient de s'engager à hauteur de plus de 8 milliards pour le personnel soignant dans le cadre du Ségur de la santé, Emmanuel Macron répète avoir entendu les requêtes des manifestants. À son tour, il leur demande un engagement : « Pas de violence, pas d'invective, sinon on s'en sort pas. » « Ah, c'est dur, hein »… rebondit un manifestant.
« Le président a souhaité hier faire une promenade en ville avec son épouse Brigitte. Il s'est rendu jusqu'aux pieds de Montmartre, où il a croisé de nombreux Parisiens et touristes qui n'ont manifesté aucune hostilité à son encontre. Il a par ailleurs croisé, vous l'avez vu, quelques personnes mécontentes, avec lesquelles il a échangé afin de leur apporter une réponse, explique l'Élysée. Il me semble que le président a réussi à apaiser les choses au cours de l'échange, par le dialogue mais aussi en restant ferme sur quelques principes importants, comme le nécessaire respect du débat démocratique et l'ordre public, protecteur de nos libertés. » « Le président de la République a été élu pour cinq ans, par les urnes, par le suffrage des Français », rappelle-t-on au Château.

« Imprudence »

Plusieurs dirigeants politiques ont déploré mercredi l'« imprudence » d'Emmanuel Macron. « Ça pose un vrai problème de sécurité », a estimé le président des Républicains Christian Jacob sur RTL. « Comment le président de la République peut-il prendre de tels risques ? À nouveau un problème de sécurité autour de lui ! » a abondé le député LR Éric Ciotti. Le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, a lui aussi jugé sur BFM TV qu'Emmanuel Macron n'était « pas très prudent », car « le président de la République qui se balade aux Tuileries où il y a tant de monde doit bien s'attendre à rencontrer des gens qui ne l'apprécient pas ».
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Mais alors qui sont ces français si vindicatifs ?!

La liberté à tout va s’en être encadrée par des gardes fous contre ce genre de trublions donne ce résultat et dérive vers l’anarchie !

Le pouvoir de la rue : La vox populi vox dei ou (« voix du peuple ») descend jusqu’à s’en prendre ouvertement au président de la république qui ne peut plus circuler comme tout un chacun librement ou il veut même dans la capitale !?

Parce que notre V eme république donne trop de pouvoir à un seul homme de part une élection à deux tours dont la fausse majorité faible élit celui-ci par défaut, donc pas assez démocratique (il faudrait peut-être revoir celle-ci en effectuant un référendum de  de confirmation pour la poursuite de sa fonction a mis mandat ou transformer peut être, ces quinquennats à 6 ans) car dans le cas de celui du président actuel E.MACRON ces 3 premières années de son mandat sont un fiasco et que ferait-il de mieux jusqu’en 2022 à par sa campagne présidentielle qui lui occulte la moitié de son mandat pour vraiment travailler autrement que de faire de la mauvaise politique politicienne de bienpensant stérile !

Là, c’est encore une preuve de défaillance de notre état régalien qui n’arrive pas à faire respecter l’autorité jusqu’au président de la république qui se fait huer jusqu’à ne pas garantir même la sécurité de sa personne par des trublions qu’il ne faut pas nommer...

Cette V eme république n’est plus au fait de ce que les français attendent ni par rapport au monde qui lui aussi a changé et ce n’est pas cette crise sanitaire qui a amélioré cela en plus !

Jdeclef 15/07/2020 14h20

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