mardi 14 juillet 2020

Le 1er ministre dit, pas de ré-confinement, car il n'a pas de solution et refaire la même chose ne sert à rien !?


Covid-19 : le plan du gouvernement pour éviter un reconfinement

L'épidémie de Covid reprend légèrement, laissant craindre une 2e vague… Comment l'État compte-t-il s'y prendre pour ne pas reconfiner la population ?

CASTEX a tranché la semaine dernière : « Il n'y aura pas d'éventuel reconfinement comme celui du mois de mars. Un reconfinement aurait des conséquences terribles », a promis le Premier ministre sur BFM TV. Même si l'épidémie devait de nouveau flamber à l'automne… Un risque réel, qui inquiète les spécialistes, alors que le seuil des 30 000 morts du Covid-19 a été dépassé : dans son dernier bulletin épidémiologique hebdomadaire, Santé publique France observe une « nouvelle tendance à l'augmentation de la circulation du virus Sars-CoV-2 ». Depuis une dizaine de jours, les consultations pour suspicion de Covid sont en augmentation et le nombre de nouveaux cas confirmés, qui n'avait cessé de baisser entre le 14 avril et le 18 juin, augmente de nouveau légèrement depuis cette date.
Le nombre hebdomadaire de nouveaux cas confirmés est passé de 2 949 cas dans la semaine précédant le 18 juin à 3 684 cas la semaine dernière. Des signaux « faibles », mais d'autant plus préoccupants que le nombre de reproduction R (le nombre moyen de personnes infectées par un cas) est de nouveau supérieur à 1, ce qui favorise la propagation de la maladie. La situation est d'ailleurs particulièrement surveillée dans les Pays de la Loire (1,52), en Nouvelle-Aquitaine (1,32) et en Paca (1,24). Depuis le 9 mai, 333 clusters ont été rapportés sur tout le territoire, dont 68 étaient toujours dimanche en cours d'investigation. En clair : le virus circule et, même si les courbes restent très basses, « un événement du même type que le rassemblement évangélique de Mulhouse au début de la crise » risquerait de rendre la situation « immaîtrisable », redoute un conseiller du ministère de la Santé.
Seconde vague du Covid-19 : les vrais chiffres
« Le respect des gestes barrières est vital », insiste le Pr Didier Pittet, chef du service de prévention et de contrôle de l'infection aux hôpitaux universitaires de Genève (HUG). « Si nous recommençons à nous comporter comme nous le faisions avant la crise, en février, alors l'épidémie repartira de la même manière. » Faut-il, comme la Belgique l'a décidé ce week-end et comme le réclament de nombreux soignants et médecins, rendre le port du masque obligatoire dans les lieux publics fermés – magasins, centres commerciaux, cinémas… ? « C'est à l'étude », indique Matignon, qui veut encore faire confiance au « civisme » de Français traumatisés par le confinement. Le gouvernement se tient prêt.

Des millions de kits PCR et 10 millions d'écouvillons « sécurisés »

Le ministère de la Santé, pris de court en février, tient maintenant un décompte précis de ses stocks. « Nous avons des masques, nous avons des chambres et des lieux pour d'éventuels isolements, nous sommes en capacité de réaliser 700 000 tests par semaine, même si la demande est aujourd'hui inférieure », détaille un conseiller. « On a les labos, le personnel, plusieurs millions de kits PCR sont disponibles…. Et 10 millions d'écouvillons sont d'ores et déjà sécurisés, dont 3 millions ont déjà été livrés partout en France. » Une trentaine d'indicateurs de suivis permettent de surveiller l'évolution de la situation. Et, si une deuxième vague devait survenir, les hôpitaux pourraient mobiliser 12 000 lits de réanimation. « Pour l'instant, le programme est de tester tous les symptomatiques et de lancer des programmes de dépistages spécifiques dans les Ehpad, les établissements de santé et dans tous les milieux à risque. Notre but est d'éviter à tout prix une deuxième vague. »
Un plan de relance de 50 milliards d'euros ?

Le défi de l'automne

Si elle devait tout de même survenir, d'autres options qu'un confinement général sont sur la table, d'un isolement des plus fragiles (personnes âgées et malades) à la prise de décisions géographiquement ciblées, par établissement ou par territoire. « Nous connaissons bien mieux la maladie, nous savons la traquer, et nous la soignons mieux : on sait, par exemple, désormais que les corticoïdes sont efficaces », souligne un proche du dossier. «  Pour l'instant, les pays européens sont aux prises avec la queue de la première vague, qu'ils travaillent à contrôler », précise l'infectiologue Didier Pittet. « Il est essentiel d'identifier tous les foyers de transmission, puis de les contrôler. » Le vrai risque, estime-t-il, devrait survenir à la rentrée : « Tous les virus respiratoires de l'automne vont faire leur réapparition. Les quatre familles de coronavirus avec lesquelles nous vivons aujourd'hui, la grippe, les rhinovirus (le rhume), etc. Ils vont nous poser problème, car nous aurons des malades avec les mêmes symptômes sans qu'on sache si c'est le coronavirus ou non ! Il faut préparer ce défi dès maintenant en maîtrisant les mini-foyers. Le respect de la distance sociale et l'hygiène des mains sont fondamentaux, appuyés par le port du masque en situation de contact rapproché. Et, au moindre symptôme, il faut tester ! »
Dans les laboratoires français, aujourd'hui pris d'assaut avant les vacances, il faut souvent attendre trois à cinq jours pour obtenir le résultat d'un test PCR. Un délai considérable… Et une piste critique de travail pour le gouvernement, d'ici à la fin de l'été.
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Pour preuve on a des masques maintenant et pourtant on a beaucoup critiqué le gouvernement de ne pas en avoir eu au début de cette pandémie !?

Maintenant, certains ne veulent pas les mettre (1 sur 2 français lambda en moyenne) doutant de leur efficacité ou parce que cela les gènes simplement !

Et comme le président a dit qu'il était favorable au port de ces masques dans lieux clos par exemple les super marché, le 1er ministre déclarera obligatoire ces utilisations (assortie d'amendes ou non accès à certains lieux clos ou ils seront obligatoires !)

Certaines catégories de populations jeunes car plus indisciplinés ou parce qu'ils croient qu'ils sont moins touchés par ce virus, sauf qu'ils transmettent ce Covid 19 à d'autres partout jusque dans leurs familles !

Alors bien sûr, on peut redouter une reprise de la pandémie surtout à la rentrée, pour l’instant, cela ne peut que rebondir peut-être que dans les lieux de villégiature ou ces vacanciers se regroupent et encore pas forcement tout de suite, car il faut attendre le délai d'incubation !

Les français lambda ont perdu leur bon sens (et encore s’ils en avaient eu un) tout ce qui entrave un peu leurs libertés leur devient insupportables, car ils ont été habitués à être trop gâtés, surtout chez nos jeunes qui n’ont plus de garde-fou pour les encadrer !

Mais cela n’est rien par rapport à la crise économique qui commence, liée indirectement à cette crise sanitaire qui a bloqué le pays depuis 5 mois environ et dont il faudra bien plus de temps pour que le pays se relève et si le Covid 19 cesse ou est stoppé efficacement et ce n’est pas le cas dans le monde entier !

A la rentrée de septembre, il faudrait enfin que tous les français se réveillent même avant, car beaucoup risquent de faire la queue auprès des associations caritatives !?

Car, l’état providence, c’est une utopie et nos dirigeants et politiciens élus de tous bords eux, ne manqueront de rien !

Jdeclef 14/07/2020 15h48

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