samedi 18 juillet 2020

Ce n’est qu’ERDOGAN qui fait dire cela, de la part de FOG car :


FOG – Au secours ! Les Ottomans reviennent !

La décision d’Erdogan de transformer la basilique Sainte-Sophie, symbole du passé chrétien de l’Empire romain d’Orient, en mosquée annonce un tournant.


Du passé, faisons table rase. » C’est le mot d’ordre de tous les totalitarismes, de toutes les ignominies, et Recep Tayyip Erdogan vient de nous donner une nouvelle preuve qu’il était l’incarnation d’un état d’esprit consistant à éradiquer toutes les traces de l’Histoire quand elle dérange.
En décidant de transformer l’ancienne basilique Sainte-Sophie d’Istanbul en mosquée, lire notre dossier,  le président turc, affidé des Frères musulmans, a donné un signal clair au monde entier : l’islam est en marche, rien ne l’arrêtera. Même si la plupart des commentateurs relativisent la chose avec la tranquille sérénité des vaches qui regardent passer les trains, la décision de la « justice » turque annonce un tournant.
Pour justifier l’islamisation de Sainte-Sophie, Erdogan s’en prend à « ceux qui ne bronchent pas contre l’islamophobie dans leurs propres pays ». Il se trouvera toujours des « idiots utiles » dans notre chère presse bien-pensante pour reprendre son refrain victimaire. Mais, si c’est vrai, pourquoi diable y a-t-il de plus en plus de musulmans en Occident et de moins en moins de chrétiens en Orient ? Où sont vraiment les morts, les martyrs ? Comparons, pour le savoir, le sort des uns et des autres, sans oublier celui des mosquées ici et des églises là-bas. Chiche ? 
Certes, il est souvent arrivé, dans le passé, que des églises deviennent des mosquées et inversement, au Proche-Orient, mais aussi tout près de chez nous : la mosquée-cathédrale de Cordoue, l’une des merveilles du monde, est une mosquée construite par les musulmans quand ils dominaient l’Espagne (« Al-Andalus »). Elle s’est élevée sur le site d’une basilique chrétienne, elle-même édifiée sur un temple romain, avant d’être reconvertie en cathédrale dans la foulée de la Reconquista, après que les rois catholiques eurent repris le contrôle du pays. 
Mais l’affaire de la basilique Sainte-Sophie, érigée au IVe siècle, puis agrandie au VIe sous l’empereur byzantin Justinien, n’a rien à voir : transformé en musée depuis 1934, c’est un édifice qui symbolise le passé chrétien de l’Empire romain d’Orient jusqu’à son invasion par les Turcs, ottomans musulmans, à l’origine des nomades guerriers apparentés aux Mongols, venus des steppes asiatiques, qui avaient, comme Attila, la réputation de tout écraser sur leur passage. 
Après avoir fait tomber Constantinople, en 1453, les Turcs ont ensuite tenté par deux fois de soumettre Vienne, capitale du Saint Empire romain germanique, dont ils ont fait le siège en 1459, puis en 1683, lors de ce qu’on appelle la « grande guerre turque », qui ne prit fin qu’en 1699. La Turquie a-t-elle toujours les mêmes visées sur la vieille Europe ? Sans aucun doute. C’est pourquoi on surnomme Erdogan « le sultan ». Mais sa stratégie est infiniment plus perverse et sophistiquée que celle de Soliman le Magnifique, le Napoléon turc, commandeur des croyants et chérif de La Mecque, qui annexa par les armes une grande partie du Moyen-Orient, au XVIe siècle. 
Reprenant la tradition expansionniste de ses prédécesseurs ottomans, Erdogan a pris des positions en Syrie dans l’espoir d’en finir, le jour venu, avec les Kurdes, dont le grand tort est, comme les Arméniens, déjà massacrés, d’avoir habité le pays bien avant que les Turcs l’envahissent. À la suite de quoi, il a mis un pied en Libye, dont il guigne le pétrole, pour en prendre le contrôle avec l’appui des islamistes, y compris ceux de Daech, qui sont depuis longtemps ses alliés objectifs et historiques. Signe des temps : le nouveau chef de l’État islamique n’est plus arabe, mais turkmène.
Sur notre Vieux Continent, la Turquie a choisi la stratégie de l’entrisme en prenant le quasi-contrôle du CFCM (Conseil français du culte musulman), qui a pour vocation de représenter les musulmans de France. En Allemagne comme en France, la Turquie s’ingénie également, à travers ses associations et ses imams (151 chez nous), à enrayer « l’occidentalisation » de la diaspora turque. Erdogan a, au demeurant, qualifié l’assimilation de « crime contre l’humanité » ! 
Loin de nous l’idée stupide de jeter l’opprobre sur tous les Turcs en général, mais il est de plus en plus clair que, sous Erdogan, leur pays, membre de l’Otan (un comble !), menace aujourd’hui la sécurité européenne. Dans ses Mémoires d’outre-tombe (1), le grand Chateaubriand s’inquiétait que la Turquie n’introduise « la barbarie en Occident » dans une saillie qu’on ose à peine citer, en ces temps d’anathèmes : « Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols. » 
Bien sûr, on ne peut pas approuver Chateaubriand. Mais la Turquie mérite mieux qu’Erdogan
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Ce politiquement correct est insupportable : Car mon grand père est mort à La bataille des Dardanelles, en 1915 également appelée bataille de Gallipoli (ou campagne des Dardanelles, ou campagne de Gallipoli), est un affrontement de la Première Guerre mondiale qui opposa l'Empire ottoman aux troupes britanniques et françaises dans la péninsule de Gallipoli dans l'actuelle Turquie du 18 mars 1915 au 9 janvier 1916 !


Donc ce président turc s'affirme en pseudo dictateur se prenant pour un sultan nostalgique de l'empire ottoman!?

Mais qui veut faire de la Turquie son pays une république islamique ou vive 98% de musulmans !

Balayant ce qu'avait fait Mustapha Kemal en faisant de la TURQUIE un pays moderne laïque en 1923 !

Et veut faire de son pays un état ou la religion dirige tout comme en IRAN !

Mais c’est les turcs qui l’ont élu, donc qu’ils ne se plaignent pas, bien qu’ils aient perdu la majorité de leur liberté, car leur président met ses opposants en prison !

Il faut croire que ce peuple a besoin d’un chef dur qui les tiens en laisse fermement !

Mais à ce titre, il ne faut pas accepter ce pays dans l’Union Européenne qui n’a pas les mêmes valeurs, car il est dangereux pour la paix !


J.DECLEF
18/07/2020 14H41



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